L'étoile écarlate

Chapitre 41 : Week-end prolongé partie 1

3845 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 10/11/2016 08:58

Lucy suivit Luxus chez lui. Il habitait juste au dessus du garage.

Luxus commanda des pizzas et mangèrent dans une bonne ambiance. Lucy lui raconta ses aventures et lui expliqua sa situation avec Natsu.

 

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Le lendemain au petit matin, Bickslow le bras droit de Luxus et Evergreen son bras gauche arrivèrent au garage.

Ils virent deux belles jambes au dessous d’une moto.

Bickslow : Quelle belle paire de cannes, je vois là…

Evergreen : Que vient faire une fille dans le QG de Luxus ? Demanda-t-elle sèchement.

Bickslow : A ton avis Ever ? Serais-tu naïve ? En tout cas il a de bons goûts Luxus. En se léchant les lèvres.

Lucy : Salut ! Dit- elle en se relevant et en se ré-essuyant les mains.

Evergreen et Bickslow : Lucy !!

Evergreen : Ça fait plaisir de te voir ! Dit-elle en serrant Lucy dans ses bras.

Bickslow : Ça faisait longtemps ! Tu nous as manqué. Tu es encore plus ravissante qu’avant.

Lucy : Merci Bickslow.

Evergreen : Tiens on a des pâtisseries. Si je me souviens bien tu es aussi gourmande que ton cousin, non ? Lui demanda-t-elle en lui tendant une pâtisserie.

Lucy : Oui ! Et mangea deux pâtisseries d’un coup.

Luxus : Tu es une vraie gloutonne !

Lucy lui tira la langue et se remit sous la moto de Sting. Luxus salua ses deux meilleurs amis.

Luxus : Sting va encore t’engueuler. Tu trafique encore sa moto. Dit-il d’un ton las.

Lucy : Oui, j’ai remarqué qu’il y avait un léger déséquilibre sur la gauche. J’en profite pour trafiquer son moteur.

Luxus : Sa moto c’est comme sa vie. Il la connaît par cœur ! Il va te déglinguer…

Lucy : Mais non ! Il sait bien qu’à chaque fois je lui emprunte sa moto, je la trafique… Et malgré ça il continue toujours de me la prêter… Donc c’est qu’il doit bien aimer mes modifications.

Luxus : Il doit surtout bien t’aimer tout court. Dit-il en regardant les jambes de Lucy.

Quand je pense que ces magnifiques jambes sont célibataires. C’est désespérant.

Lucy : Au lieu de raconter des conneries, passe-moi la clé de douze. Idiot !

Luxus : Tiens. Dit-il en mangeant des pâtisseries qu’Ever avait acheté (initialement pour lui).

Lucy : Et ne mange pas toutes les pâtisseries, j’en veux encore. Dit-elle en lâchant sa clé.

Luxus : Mais tu n’es pas possible. Tu n’es qu’une goinfre.

Lucy : Et alors, mon corps est en pleine croissance, j’ai besoin de manger. Pas toi !

Luxus : Je suis un homme et j’ai des besoins énergétiques aussi. Dit-il en prenant le dernier croissant. Puis, premier servit, ben... Premier servit, dit-il en souriant.

Lucy qui s’était relevée : Si, je comprends bien… C’est chacun pour sa peau. Tant pis pour toi.

Elle lui fit une clé avec le bras de Luxus et prit le croissant qu’elle mordit aussitôt.

Lucy : Pas de pitié pour un croissant !

Luxus : Tu n’as pas changé d’un iota. Tu es même pire que quand tu étais petite.

Lucy : Tu l’as dit à la guerre comme à la guerre. Tu n’avais aucune chance. Dit-elle en finissant le croissant.

Bickslow et Evergreen assistaient à la scène sagement sans oser interrompre les deux cousins. Une querelle de famille ça ne s’arrête pas d'un claquement de doigts….

Luxus vexé de s’être fait piquer sa pâtisserie : En attendant, ton petit prince Sting sera ravi de savoir de sa petite amie est un estomac sur patte.

Lucy : Je n’aime pas Sting ! C’est Natsu que j’aime alors lâche moi avec lui !

Luxus : Mouais en attendant tu dois faire semblant d’être sa petite-amie.

Evergreen : Semblant ?

Lucy : Oui, c’est pour de faux.

Evergreen : Comment vas-tu t’habiller ?

Lucy : Il m’a demandé de m’habiller comme une vraie femme. Une vraie femme sexy, motarde et l’air intelligente…

Evergreen : J’ai des vêtements qui t’iront à merveille. Bickslow vient avec moi. Elle prit sa main et ils partirent rapidement. (Bickslow se faisait plutôt traîner par Evergreen que de la suivre).

 

Quand ils revinrent quelques minutes plus tard avec des valises de vêtements, Lucy se fit entraîner par Evergreen qui lui fit des essayages.

 

Lucy : Je ne suis pas sûre…

Evergreen : Mais si, tu es hyper sexy.

Lucy : Mais ça fait un peu trop justement.

Evergreen : Mais non ! Les garçons, soyez prêt de voir une Lucy motarde et hyper sexy. Allez Lucy montre toi !

Lucy  arriva devant son cousin et Bickslow en fixant le sol. Les réactions furent immédiates.

Bickslow saigna du nez comme un malade et Luxus tout rouge gueula sur Evergreen : Tu es malade, moi vivant jamais ma cousine se promènera comme ça. On dirait une allumeuse.

Evergreen : Mais non elle est juste trop sexy c’est tout !

Luxus : J’ai dit non hors de question.

Il la regarda encore une fois… Elle avait des collants résilles noirs, un mini short court en cuir noir et un bustier rouge très subjectif. C’était trop pour le pauvre cousin qui prit la main de Lucy et l’emmena dans sa chambre pour qu’elle change de tenue.

Luxus : Mets ça !

Lucy : N’osant pas le contredire elle prit les vêtements et les mis.

Luxus : Voilà c’est bien mieux. Ma petite cousine intelligente et trop mignonne. Les gars, regardez ma magnifique petite cousine !

Lucy avança, Evergreen devint verte et Bickslow ne bougea pas.

Evergreen : Ça va pas la tête Luxus. Elle doit s’habiller comme une femme pas comme une bonne sœur !

Luxus : Et toi c’est mieux peut-être tu l’habilles comme une fille de joie ! Moi au moins elle garde toute sa dignité.

Evergreen regarda encore Lucy. Elle était dégoûtée de voir Lucy aussi mal fringuée. Elle portait une chemise beaucoup trop grande à fleurs horrible qui était boutonnée jusqu’au cou.  Avec un jean trop large. Et en plus elle portait deux couettes tressées. Elle faisait arriérée.

Avec une Lucy pareille, elle était loin d’être sexy ou même motarde…

Bickslow : J’ai compris, je vais m’occuper d’elle. Viens Lucy…

Lucy : Je ne suis pas une poupée !

Mais bon ça l’amusait de les voir s’engueuler pour des broutilles pareilles… Décidément ce week-end prolongé lui faisait beaucoup de bien.

Bickslow prit en main les opérations… Quelques minutes plus tard, c’est avec un grand sourire qu’il dit à Luxus et Evergreen : Les amis, je vous présente la sexy, motarde et intelligente Lucy !

Lucy sortit et Luxus et Evergreen  la regardèrent tout en souriant. Elle était parfaite.

Evergreen : Bickslow, je ne te connaissais pas ce genre de talents cachés.

Luxus : Je préférai la tenue que j’avais suggérée. Je te trouvais super mignonne avec tes couettes…

Tout le monde éclata de rire.

Bickslow : Sacré Luxus !

Lucy : Bon les gars, on a bien ri mais j’ai mon pseudo petit-ami qui va m’attendre et je n’ai pas intérêt d’être en retard. Dit-elle en montant sur la moto.

Evergreen : Épate les tous, sexy girl.

Luxus : Va-y mon intelligente petite cousine adorée.

Bickslow : Fais les baver, petite motarde !

Lucy : Merci pour tout ! À plus tard ! Et Lucy démarra en trombe.

 

Au bout de quelques heures, elle arriva devant le lycée de Sting. La cloche venait de sonner il y avait à peine quelques minutes.

 

Tous les lycéens sortaient du lycée et parcouraient les quelques mètres qui les distançaient de la rue.

Ils parlaient de leur week-end passé, des cours, des professeurs assommant et de leur hâte d’être au week-end prochain. Seule une personne regardait inquiet les alentours… Désespéré de ne pas voir la blonde…

Quand ils entendirent un vrombissement de moto. Tous se tournèrent vers ce bruit particulièrement assourdissant.

 

Ils virent une moto se diriger vers eux à vive allure. Puis elle freina d’un coup ce qui eu pour effet qu’elle resta sur la roue avant et gara la moto sur le côté. Elle accéléra un bon coup avant de couper le moteur.

 

La personne retira son casque noir et une magnifique cascade de cheveux blonds s’y échappa. Une fois son casque reposé, elle descendit de la moto. Tous les jeunes hommes regardaient cette magnifique silhouette, envieux devant cette femme qui avait visiblement tous les atouts que l’on pouvait rêver et les jeunes femmes la jalousaient. Comme une fille aussi belle pouvait exister…

Elle se dirigeait vers la proie qui, elle, était hypnotisée par les mouvements de la belle. Hypnotisée par cette beauté, par sa meilleure amie… Elle était là comme il le souhaitait. Elle portait un short en cuir noir qui lui arrivait mi-cuisse. Elle portait une petite chemise blanche mais il était aisé de voir à travers son petit bustier rouge particulièrement sexy. Et évidemment, qui dit motarde, dit veste en cuire noir… Elle était parfaite !

Quand elle marchait tout le monde se retournait pour la voir elle et savoir vers qui elle allait.

Elle marchait déterminée avec un regard de chasseur mais également un sourire qui faisait fondre tous les cœurs des lycéens et surtout celui de Sting.

Il eu une seconde de regret car tout cela était faux. Mais bon, il allait profiter de tout cela même si c’était faux.

Elle arriva enfin devant lui. Le petit cœur de Sting tambourinait comme un fou. Qu’allait-elle faire ? Ils devaient être un parfait faux couple. Elle était tellement, tellement belle. Il l’aimait tellement qu’il ne savait pas comment faire avec elle.

Elle se pencha vers lui et lui fit un simple baiser sur la bouche. Puis, le regarda en souriant. Sting avait les joues colorées en rouge. Il semblait perdu, Lucy l’avait embrassée mais en plus tout le monde le regardait... Lucy vit son mal l’aise aussi elle lui prit sa main tout en souriant et lui dit simplement : Rentrons !

Il serra fort la main de Lucy et marcha en regardant tous les jeunes hommes avec un air de défi qui voulait dire : C’est Ma femme, le premier qui ose la toucher je le tue. Après s’être ressaisit, il était facile à faire semblant pour lui car en fait il l’aimait vraiment. Tout cela n’était pas vraiment faux pour lui.

Une fois arrivé devant sa moto, il lui dit : Tu as encore trafiqué ma moto…

Lucy : Il fallait bien que tout le monde m’entende…

Sting  se retourna vers son amie et l’embrassa.

Il adorait l’embrasser mais à chaque fois son cœur lui faisait mal car il sentait qu’elle ne partageait pas ses sentiments.

Sting en souriant : C’est pour ça que je t’aime.

Ils montèrent sur la moto. Sting démarra comme il a toujours aimé démarrer  c'est-à-dire sur la roue arrière et ils partirent au QG de Sting.

 

Une fois arrivé au QG de Sting, Lucy demanda à Sting comment il avait séduite la jeune fille.

Sting était mal à l’aise : En fait, au début c’était un pari. Il s’agit de la fille la plus coincée du lycée qui ne pense qu’aux études. Elle est d’ailleurs la meilleure de notre lycée.  Je l’ai draguée et depuis elle ne travaille plus, ses notes sont aussi désastreuses que les miennes, elle sèche les cours et veut intégrer notre gang. Elle pense me reconquérir en devenant comme moi… J’ai alors essayé de lui parler, de sortir avec X filles mais rien à faire. Elle reste accrochée. J’espère que notre petit numéro va marcher.

Lucy n’eut pas le temps de répliquer car le reste du gang venait d’arriver.

Rufus un homme aux longs cheveux blancs : Lucy ! C’est une super surprise !! Toi et Sting !!! Je ne l’aurai jamais cru…

Lucy : Tout à un début Rufus…

Une fille toujours en vêtement scolaire arriva avec un jeune homme.

La jeune fille : Sting ! Qui est cette  allumeuse ?

Sting : Je ne te permets de l’appeler comme ça. Répond-t-il sèchement.

Lucy en s’approchant de la jeune fille : Je m’appelle Lucy et toi comment t’appelles-tu ?

La jeune fille : Katsumi.

Lucy : Tu es la fille qui court désespérément après mon petit-ami ?

Katsumi : Vous faites semblant, c’est sûr.

Lucy : Je vois… Comment pourrais-tu voir que tu n’as aucune chance avec mon blondinet ?

Katsumi : Sting n’aime pas les filles tape à l’œil, vulgaire et aussi conne que toi. Il n’est pas superficiel !

Lucy : Je vois que tu te permets de juger sans même connaître ton adversaire. Leçon n°1 ne jamais sous-estimer ton adversaire…

Je te propose un défi, Katsumi… Choisit ton domaine.

Katsumi était abasourdie par les paroles de Lucy. Puis elle se reprit rapidement : Très bien, mon défi se portera sur des exercices de mathématiques, dit-elle en souriant.

Katsumi en pensées : Elle est belle mais elle doit avoir un neurone dans sa petite tête blonde.

Elle ajouta : Celle qui obtient le score le plus important devra abandonner Sting pour toujours.

Lucy : Ok.

Lucy lui tendit la main… Katsumi la lui serra.

Katsumi : Yuki ! Sois prêt à nous donner un sujet de bac de mathématiques.

Le jeune homme qui suivait Katsumi chercha dans son sac un annal bac de mathématiques. Les différents membres du gang installèrent deux tables et deux tabourets. Rufus fit deux photocopies du sujet choisit par Yuki qui donna les sujets aux deux jeunes filles.

 

Lucy regarda avec un œil mauvais Sting. Elle était énervée de voir comment il avait retourné cette pauvre fille. Elle lui faisait penser à Rebby. Elle détestait voir les forts abusés des faibles mais savoir que c’était son meilleur ami qui faisait des conneries pareilles… Elle était vraiment déçue et en colère. Pendant qu’elle finissait l’exercice très rapidement elle réfléchissait à la manière de procéder pour la pauvre Katsumi et pour Sting…

Trente minutes plus tard.

Yuki corrigea la copie de Katsumi. Il était très fier de sa meilleur amie qui avait fait un excellent score quatre vingt seize sur cent.

Katsumi souriait c’était sûr, elle allait gagner…

Mais quand Yuki corrigea la copie de Lucy son sourire se fana… Tout simplement parce qu’il n’y avait rien à corriger. Elle avait fait, un sans faute.

 

Katsumi commença à pleurer. Elle avait perdu Sting. Ce n’était pas possible.

Katsumi : Ce n’est pas possible ! Tu as triché c’est la seule raison logique ! Tu as triché. Tu as une oreillette ou un artifice qui t’a aidé dit-elle en prenant les cheveux de Lucy pour les inspecter.

Lucy qui se laissa faire : Non, je n’ai pas triché.

Katsumi qui lâcha les cheveux de Lucy : Une fille comme toi, aussi belle et intelligente ne devrait pas exister ! Ce n’est pas possible ! Tu n’es qu’un monstre. Le parfait n’existe pas. Tu dois avoir un côté caché encore plus horrible et sombre. Tu n’as pas à exister ! Des monstres comme toi devraient être enfermés !

Puis, elle partit en courant du QG et en pleurant.

 

Lucy était sonnée… Elle lui avait dit des choses… Des choses qu’elle n’avait pas entendu depuis le club… Un monstre, un fléau… Toujours ces mots blessants et qui lui meurtrissait l'âme à chaque fois.

Sting s’approcha de Lucy…Voyant qu’elle ne réagissait pas.

Sting : Lucy…

Lucy : Passe-moi les clés de ta moto…

Sting les lui passa sans rechigner.

Lucy monta sur la moto et partit à la recherche de Katsumi.

 

Katsumi, en pleurs, se trouvait près d’un parc. Elle était détruite, son cœur s’était brisé à cause d’une p*tasse. Des hommes qui sortaient d’un bistro virent cette jeune écolière en pleurs. Aussi, il voulait s’amuser avec elle.

Tandis que Katsumi se faisait agresser par ces hommes. Elle hurla le nom de Sting pensant qu’il allait la sauver comme on pouvait parfois le voir dans les films. Elle entendit le son assourdissant de sa moto. Il était revenu pour la sauver, elle, cela signifiait donc qu’il tenait à elle et non à la blondasse.

 

Elle entendit des combats, son sauveur, son Sting se débrouillait bien et se débarrassa rapidement de ses agresseurs. Quand Katsumi ouvrit les yeux pour voir celui qu’elle aime. Elle constata avec horreur que son sauveur était, en fait, cette blonde.

Katsumi affreusement déçue et ne sachant comment réagir face à cette femme fit qu’une seule chose… Elle pleura et pleura encore et encore dans les bras de son ennemie qui venait de lui sauver la mise. Elle expliqua que Sting lui avait dit qu’elle était la seule, l’unique qui lui avait fait battre son cœur.

Après s’être calmée elle demanda à Lucy: Pourquoi m’as-tu sauvée ? Alors que je t’ai dit des choses horribles ?

Lucy : Tu as le cœur brisé… Quand on est triste tout le monde dit des choses qu’il regrette après.

Sting ne mérite pas une fille comme toi. J’ai cru comprendre que tu étais une fille très sérieuse. Il ne faut pas changer de personnalité pour une personne. Tu dois être forte et rester toi-même et un jour tu trouveras l’homme de ta vie, si tu ne l’as pas déjà trouvé. Personnellement, j’ai trouvé ton ami disons intéressé.

Quoi ?! Répondit Katsumi. C’est mon ami d’enfance. C’est tout. Dit-elle en baissant les yeux.

Lucy lui sourit : Regarde Katsumi, elle est belle la lune, n’est-ce pas ?

Katsumi releva la tête et fixa la lune : Oui…

Lucy : D’ici deux semaines tu te seras remise de ta déception amoureuse, Katsumi. Tu resteras toi-même et tu trouveras ton prince charmant. Sois en sûre. Tout en disant cela, elle la manipula en touchant différents endroits de son corps (tête, bras, épaule). Ne perd pas espoir.

Lucy ramena Katsumi chez elle. Cette dernière épuisée, s’endormit aussitôt dans son lit.

 

Lucy enfourcha la moto et pensa : Prochaine étape… Sting !

 

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