Regarder l'avenir.
Chapitre 18 : Les dragons sont comme des chats géants.
399 mots, Catégorie: G
Dernière mise à jour 09/11/2016 23:42
La scène commença par Harold s'amusant avec Krokmou dans la clairière. Un rayon concentré de lumière qui se déplaçait sur le sol… pourchassé par Krokmou à la manière d'un gros félin.
Dragons et vikings rirent du comportement du puissant dragon noir. Personne ne s'attendait à ce que la furie nocturne est une attitude si détendue et insouciante. Surtout pas les vikings qui ne pouvaient que se rendre à l'évidence : les dragons, si on savait comment si prendre avec eux, n'étaient pas un véritable danger.
La scène passa, de toute évidence, au cours de dragons. La porte de l'enclos s'ouvrait lourdement.
« Je vous présente la terrible terreur. » Annonça Gueulfor à la classe.
Un minuscule dragon, de la taille d'un chat, sortit d'une petite trappe au bas de la grande porte de bois. Il était vert, les ailes marrons et des yeux globuleux jaunes.
La salle fut soudainement envahie des piaillements excités des terribles terreurs.
Certains villageois rirent amusés en pressentant que les adolescents allaient sous estimer le petit reptile vert.
Le premier élève qui prit la parole fut Kranedur.
« Il est de la taille de ma… »
Il n'acheva pas la parole. La terrible terreur se jeta à son visage. Tous les autres s'écartèrent rapidement.
Le reptile volant mordait et tirait le nez du jeune viking lorsqu'un cercle de lumière attira son attention. Il s'éloigna rapidement de Kranedur qui couru loin de son agresseur en se plaignant.
« Je suis blessé, je suis sérieusement touché. »
Harold s'avance en douceur, attirant le petit dragon vers son box sous le regard admiratif et surpris des vikings-élèves et de certains villageois.
« Woua ! T'as jamais été aussi bonne que lui. » Fit Kranedur à l'attention d'Astrid alors qu'Harold faisait rentrer la terrible terreur.
Une slave d'acclamation surgit dans la salle. Harold rougit violemment à l'attention générale fixée sur lui.
Heureusement, les images reprirent aussitôt.