Dragon Ball The Demon's Legacy

Chapitre 19 : Attraper l’Eau Bénite !

1382 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour il y a 23 jours

Note de l’auteur : Notre procédé d’écriture sortant de l’ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d’éviter toute confusion dans la lecture. 

Pour rappel : 

Paragraphes en italique : Le narrateur est l’un des personnages.

Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S’applique aussi dans les dialogues. 

Dans les dialogues : 

Phrase entre des astérisque : exemple * J’ai l’impression qu’on m’observe * : Le personnage réfléchit ou pense. 

Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé. 

Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Serviteur (téléphone) : Donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, le Serviteur parle au téléphone. 

Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture. Nous vous souhaitons dès à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages.  

Leakee/Skymailleur. 

Dragon Ball The Demon's Legacy.

Chapitre 19 : Attraper l'Eau Bénite !


Lute et Ackman font face au vieux maître félin. Assis sur son coussin, il les observait d’un air amusé, son bâton posé en travers de ses genoux. 

Karin : Bon, bon… Si vous voulez devenir plus forts, il va falloir le prouver.  

Il leva une patte et désigna une petite jarre posée derrière lui sur un socle en pierre. Le récipient brillait faiblement sous la lumière du soleil, et un liquide clair s’y reflétait. 

Karin : Voilà l’Eau Bénite. Celui qui la boira verra sa force augmenter de manière spectaculaire… Mais il y a un petit problème.  

Lute : Laissez-moi deviner… Vous n’allez pas nous la donner si facilement.  

Karin : Évidemment, gamin ! Vous devez me l’arracher des mains.  

Ackman, qui observait la scène d’un air nonchalant, haussa un sourcil. 

Ackman : Tss… Facile. Un coup de vitesse et c’est réglé.  

Karin : « Éclata de rire, son petit corps secoué par l’hilarité. » Ah, ces jeunes… Toujours aussi sûrs d’eux ! Eh bien, venez donc essayer. Je vous laisse cinq jours. Si vous réussissez avant, tant mieux. Sinon… dommage pour vous !  

Lute et Ackman échangèrent un regard, puis se mirent en garde. 

Lute : C’est parti !  

Jour 1 : L’Arrogance Châtiée 

Dès que Karin donna le signal, Ackman fondit sur lui, disparaissant presque sous l’effet de sa vitesse. En une fraction de seconde, il tendit la main vers la jarre. 

Mais au dernier instant, Karin pivota gracieusement sur lui-même, esquivant avec une aisance déconcertante. Le démon s’arrêta net, fixant l’endroit où le vieux chat se trouvait un instant plus tôt. 

Ackman : Hein ?!  

Avant qu’il ne puisse réagir, Karin apparut derrière lui et lui donna une pichenette sur le crâne. 

Karin : Trop lent. Et trop prévisible.  

Lute en profita pour tenter sa chance. Il bondit avec force, visant directement la jarre. Mais au moment où il allait l’attraper, Karin glissa entre ses jambes, le fit trébucher et l’envoya rouler sur le sol. 

Lute : Argh ! C’est quoi ce vieux chat ?!

Karin : Hahaha ! Vous pensiez vraiment que ce serait aussi simple ? Allez, on recommence !  

Pendant toute la journée, Lute et Ackman enchaînèrent les tentatives. Mais Karin, d’une agilité et d’une vitesse incroyables, esquivait chaque assaut avec un sourire malicieux. 

Quand la nuit tomba, les deux guerriers s’effondrèrent, essoufflés et couverts de sueur. 

Lute : C’est… impossible…  

Ackman : Tss… Ce chat joue avec nous…  

Karin : Vous êtes loin du compte. Dormez bien, demain sera pire.  

Jour 2 : Début des Stratégies. 

Dès l’aube, Lute et Ackman repartirent à l’assaut. Plutôt que de foncer tête baissée, ils commencèrent à tester différentes approches. 

Lute tenta d’anticiper les mouvements de Karin, se concentrant sur ses déplacements. Mais chaque fois qu’il croyait avoir une ouverture, le vieux félin disparaissait à nouveau. 

Ackman, de son côté, tenta de l’encercler avec sa vitesse démoniaque. Il créa plusieurs illusions pour perturber le maître. Mais Karin n’était pas dupe et déjoua son stratagème sans effort. 

À midi, Karin les observa avec amusement. 

Karin : Hmm… Vous commencez à réfléchir, c’est mieux. Mais encore trop lent, trop hésitant.  

Frustrés, Lute et Ackman passèrent l’après-midi à essayer de coordonner leurs attaques. 

Le soir venu, bien que fatigués, ils avaient compris une chose essentielle : ils devaient faire preuve de patience et de précision. 

Jour 3 : Exploiter Ses Propres Faiblesses. 

Le troisième jour, ils changèrent d’approche. Lute et Ackman observèrent attentivement chaque mouvement de Karin, tentant de repérer une faille. 

Au fil des heures, une idée germa dans l’esprit de Lute. 

Lute : Il ne se fatigue jamais… Mais nous, oui. Ce qui veut dire qu’il nous attend… Il se contente de réagir à nos actions.  

Ackman : Hah, et donc ?  

Lute : On va le forcer à bouger d’abord.

Ils mirent leur plan à exécution. Plutôt que de charger directement, ils commencèrent à simuler des attaques sans jamais aller jusqu’au bout. Karin fronça les sourcils, semblant comprendre leur manœuvre. 

Puis, au moment où il esquiva l’une de leurs fausses attaques, Lute bondit derrière lui et tendit la main vers la jarre. 

Mais au dernier moment, Karin pivota et envoya Lute rouler au sol. 

Karin : Pas mal… mais encore trop lent.  

Ackman : Bon sang… !  

Jour 4 : Le Mur Invisible. 

Le quatrième jour, la fatigue commença à peser sur eux. Leurs muscles endoloris leur rappelaient chaque chute, chaque échec. Mais malgré leurs efforts, Karin restait insaisissable. 

Le soir venu, alors qu’ils étaient allongés, regardant les étoiles, Lute serra les poings. 

Lute : Il y a un truc qu’on ne comprend pas encore.  

Ackman : Ce vieux chat… Il est trop fort pour son apparence. Ce n’est pas normal.  

Ils comprirent alors que Karin ne se contentait pas d’esquiver : il lisait leurs mouvements avant même qu’ils n’agissent. 

C’était une leçon bien plus grande que la simple force brute. 

Jour 5 : Le Déclic. 

Le cinquième jour, Lute et Ackman mirent tout en œuvre. Mais cette fois, ils ne se contentèrent pas de foncer. 

Ils commencèrent à lâcher prise. Plutôt que de réfléchir à ce que Karin allait faire, ils laissèrent leur instinct agir. Leurs mouvements devinrent plus naturels, plus fluides. 

Karin, pour la première fois, sembla légèrement surpris. Puis, dans un éclair de vitesse, Lute sentit sa main frôler la jarre. 

Karin : Hmm… Enfin.  

Il relâcha légèrement sa garde, et d’un mouvement synchronisé, Ackman et Lute saisirent la jarre ensemble. 

Lute : On l’a… !  

Karin : Héhéhé… Bien joué.  

Ils tombèrent en arrière, essoufflé, mais victorieux.

Karin : Vous avez appris la leçon. Ce n’était jamais une question de force. C’était une question de perception.  

Lute et Ackman échangèrent un regard. Ils avaient compris. 

Karin : L’eau bénite n’était qu’un prétexte. En réalité, elle est ordinaire. Ce qui vous a fait progresser, c’est l’effort, l’endurance et la rareté de l’oxygène à cette altitude.  

Il posa une patte sur son bâton et sourit. 

Karin : Bien joué à vous deux. Reposez-vous, vous l’avez bien mérité. 

Fin du chapitre 19 : Attraper l'Eau Bénite ! 

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