Chasseurs de dragons : Saison 2.

Chasseurs de dragons :

Chapitre 4 :

Zoé :

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- ZOÉ !!!

Je vis soudainement des éclaires apparaître et j'entendis Lian-chu dire :

- Des dragons gégénes !

- Des gégénes ! Il y a peut être des gignes à ce faire !

Je n'écoutais même pas mon double, je m'élança vers la forêt le plus vite possible, suivi de prés par Lian-chu.

- Lian-chu ! Attend moi !!! cria mon double.

Il ne pense vraiment qu'a l'argent, celui là ! Les cris de Zoé se firent de plus en plus proche, mais aussi beaucoup plus fort ! Il fallait que je me dépêche ! Puis, au bout d'une course acharné, je vis des éclaires venir dans ma direction ! Je les évita de justesse puis je vis des dragons gégénes juste devant moi ! Ils ne poursuivaient pas Zoé ? Mais j'entendais toujours ses cris ! Ils étaient plusieurs ! Plus que dans mon souvenir ! Je courus du plus vite que je pouvais jusqu’à trébuché sur des lianes et des ronces ! L'un d'eux s’apprête à me lançait un éclaire mais je dégaine mon sabre et le mes devant moi. Celui-ci se prend l'éclaire et le renvois sur le dragon, qui tombe raide mort.

- Mais oui, c'est sa ! Le fer renvois les éclaires !

Je me remis à courir vers les cris de Zoé toute en me protègent des éclaires avec mon sabre. Au bout d'un moment, je fini par tombé sur elle ! Elle vient de trébuché à son tour sur des ronces et tombent en arrière ! Le dragon lui envois directe un éclaire qui lui arrive droit dessus, mais je m'interpose et renvois l'éclair dans la direction du dragon. Je prend ensuite Zoé par la main et l’entraîne avec moi le plus loin possible. Pendant ma course, je croise Lian-chu, qui me fait un sourire :

- Tu te débrouille bien !

- Merci !

Les dragons gégénes nous poursuivent toujours puis on arrive devant un fossé. Je cache Zoé dedans et et sautent au dessus de fossé, tout comme Lian-chu. Celui-ci va plus haut et moi, je me cache ailleurs, observant se qu'il va faire : Les dragons sont maintenant devant lui, et il n'a pas d'armes ! Soudain, je me souvient :

- Tes aiguilles, Lian-chu ! Sert toi de tes aiguilles !!!

Il comprit immédiatement se que je voulais dire et prend ses aiguilles ! Les dragons envois des éclaires dans sa direction et elle viennes heurté ses aiguilles ! A ce moment là, Lian-chu croise ses aiguilles et revois ainsi les éclaire vers les dragons, qui tombent raide morts, comme les autres ! Je vis ensuite Zoé sortir de sa cachette et observer les deux dragons gégénes qui étaient devant elle. Elle regarda ensuite Lian-chu et dis :

- Wahou ! Chevalier Gothiques ?

- Non, c'est moi... Lian-chu !

- Vous m'avez sauvé la vie, messirs !

Elle tenta de le serrait dans ses bras mais les aiguilles était encore électrique, se qui l’électrocuta et elle fini à terre. Lian-chu et moi courûmes vers elle pour voir si elle aller bien, mais quand elle se releva, elle avait les cheveux qui voler. Ils étaient électriques ! Lian-chu eu presque peur d'elle et moi j'eu un petit rire. C'est à ce moment là qu'Hector et mon double arrivèrent :

- Bon sang de bois de chauffe ! Deux gégénes pour le prix d'un !

Puis il s'adressa à Zoé :

- Enfin, quand je parle de prix, c'est façon de dire, on est d'acore ?

Puis Hector regarda Zoé de la tète aux pied :

- Oh ! La fille !

Gwizdo s'adressa de nouveau à Zoé :

- Alors, àa nous fait deux dragons gégénes au tarifs réduit soit trente gignes plus payable à la livraison. T'a de l'argent sur toi, gamine ?

- Non.

- Tu pense vraiment qu'à l'argent... lui dis'je.

- Evidemment. Mais ton père, il a de l'argent, pas vrai ? Où ils sont tes parents ?

J'y crois pas, il m'a totalement ignoré ! Quel ingrat !

- Ils sont morts.

- Oh, si c'est pas malheureux... Voilà, on a encore bossé pour des prunes !!!

- J'tai donné l'argent, tout à l'heure !

- Et que se que tu fais, toute seul, dans les bois, la nuit, sans un sous en poche ?

Il m'a encore ignoré... il va le regretter !

- Je suis à la recherche de valeureux chevaliers pour mon oncle qui est très très riche.

- Attend un peu, tu a dis très très riche ?

- Oui, vous êtes bien des chevaliers, messires, pas vrai ?

Je vis que Gwizdo et Lian-chu cherchaient quelque chose à dire.

- Chevaliers Lian-chu était tapis au milieu du village. Des dragons assoiffés de sang arrivé de partout !

On marcher vers la demeure de l'oncle de Zoé, le seigneur Arnold, qui est une bel pourriture au passages.

- Tu a déjà vécu tout sa ?

Je n'entendis pas Lian-chu m’appeler, j'était perdu dans mes pensées :

- Gwizdo ?

- Hein, quoi ? Tu me parler ?

- Je t'avais demander si tu avais déjà vécu tout sa.

- Oh, et bien... oui. Oui, je connais déjà tout !

Mon double continuer de raconter ses bobards à Zoé.

- Et où à tu appris ses techniques de combats ?

- Tu... tu... tu me les à apprises !

- Ah bon ?

- Oui ! C'est même moi qui t'ai demandé !

On arriva vers la fin de la falaise et je vis mon double, Zoé et Hector sautais sur l'autre. Comme j'étais à coté de Lian-chu, son poids à lui seul suffit pour que le falaise s'abaisse et nous fasse traverser sans le moindre effort !

- Et pourquoi tu déteste... ton autre toi ?

- Et bien... il me rappelle tout les mauvais choix que j'ai fait durant ma vie. L’obsession de l'argent, cet égoïsme, cet peur... je ne supporte plus sa.

- Et... te reste t'il une part de tout sa en toi ?

Sa questions me surpris. Jamais je n'aurai pensé que Lian-chu s'en inquiété. Es qu'il a toujours pensais sa de moi ? Sans le vouloir, j'eu les larmes au yeux :

- Hé, attend ! Je suis désolé !

- Non, non, ne t'excuse pas ! Ce n'est pas ta faute ! Je... j'ai juste repensé à un truc.

Lian-chu me regarda avec tendresse. Mon dieu, mais sa fait combien de temps que je n'ai pas vu ce visage ? Oh mon dieu, je t'aime, mon grand (si seulement j'avais dis sa à voix haute...).

On arriva soudainement devant... le château ! C'est l'endroit où l'on va rencontrer l'oncle de Zoé ! Et... la légende du Bouffe monde... j’espère que je ne rencontrerais pas ce monstre une deuxième fois !

- En tout cas, tonton Arnold sera fabuleusement heureux de vous voir !

J'en doute un peu, ma petite Zoé. Mais bon, on y vas ! J'allais les suivre, quand j'aperçut une silhouette au loin. Je ne sais pas qui s'étais, mais elle nous observer, silencieusement. Puis, se rendant compte que je l'avais vu, s'enfuit. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai un mauvais pressentiment !