Chasseurs de dragons : Saison 2.
Chasseurs de dragons :
Chapitre 3 :
Révélations :
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Je continuer de guider mes amis, tentent de trouver mon chemin. Et ba oui, hein ! Après quatorze ans, vous croyez vraiment que je me souvient de tout les détailles ?... bon, oui, un peu, mais pas trop ! Et puis.. ah ! Enfin ! J'ai trouvé le chemin qui mène jusqu'au mini refuge que j'avais découvert quatorze ans plus tôt. Je continu de marchant quand :
- Bon, on est bientôt arrivé ? me demanda Gwizdo d'un ton sec.
- Pour une personne qui t'a payé, j'estime que tu devrais être plus polie avec moi.
- Mais, oui, bien sur... et tu n'a pas répondu à ma question, je te signal !
Craque pas Gwizdo, craque pas............... et, trop tard !
- C'est plus très loin ! C'est même à 100 mètre d'ici et on peut carrément le voir ! Alors ne sois pas impolie avec moi, Gwizdo !!!
Sur mes paroles, ils restèrent tous sans voix. Surtout mon double :
- Comment connais tu mon nom ?
Oh non ! Que se que j'ai fait ?!
- Euh... on verra sa plus tard !
Je mis à marcher beaucoup plus vite, et j'arriva très vite sous le rocher que je leurs avez décris. Je ne pensait vraiment pas revoir sa un jour...
- C'est pas très grand, mais sa fera l'affaire...
J'ai bien cru que j'allait lui en mettre une, à celui là ! Comment je pouvais être aussi insupportable ?! Je m'assit sur une pierre, et remarqua le trous qu'il y avais au milieu de toute ces pierres. C'était un trous pour faire du feu. Je me releva aussitôt.
- Je vais chercher du bois...
Je mit plusieurs minutes à trouver du bois et en trouva enfin. Mais en observant le paysage, je vis une forêt. Elle était lugubre, sombre. Et je devina tout de suite. C'est l'endroit même où l'on va rencontrer Zoé, dans pas longtemps. Je revint aux camps presque en courant. Je ne voulais pas voir cette forêt une minute de plus ! A mon arrivé, je croisa Lian-chu, qui descendais la pente à grand pas.
- Hé, sa va ?
Il ne me répondit pas. Et je comprit aussitôt ce qui c'étais passé. Cette fois s'y, je courut jusqu'au camps. En arrivant, je vis Gwizdo assis sur une pierre, et Hector imitant les pas de Lian-chu :
- Que se que t'a fait ?
- Que se que sa peut de faire ?
Je lâcha les bûches dans le trous sans même regarder et m’approcha de Gwizdo en me mettant juste devant lui, les bras croisé :
- Qu'a tu fait à Lian-chu ?!
Je connaissait très bien la réponse, mais je voulais l'entendre le dire :
- Comment tu connais son nom ?
- Je t'ai posé une question !
- Je lui ait dit que le tricot était un truc de vieilles femmes.
- Et tu le pense vraiment ?
- ... non.
- Alors va t'excuser !
- Mais t'est qui d'abord, pour me donner des ordres ?!
Sur se coup là, je mettais vraiment mis en colère ! Alors, sans même m'en rendre compte, j'enleva ma capuche ! Je... on non... et puis zut fallais bien que sa arrive !
- ?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?!?..........................
Je crois qu'il à beugé...
- Tu... tu, tu ,tu ,tu tu est .... m...mo..moi ?!?!?!?!?!?!?
Il allait s'évanouir, alors je le rattrapa de justesse.
- Hé, sa va ?
- Tu me demande si sa va....
Je l'aida à se relever.
- Mais co... comment a tu...
- ... remonter le temps ? J'ai utilisé sa !
Je lui montra ma montre, puis, en me souvenant d'un truc, je la rangea aussitôt dans ma poche.
- Mais je ne t'en dis pas plus, pour la sécurité du futur...
- D'a... d'acore. Mais... comment j'ai put autant c... changer ?
- Mon apparence ? Mes vêtement ne m'allait plus, alors j'ai changer !
J'avais préféré lui mentir, de peur de changer le futur.
- Il... il faut... que j'aille... le dire... à Lian-chu...
- Non, non, non ! Reste ici, je vais m'en charger ! Faut bien que tu te repose après toutes ses émotions !
- Euh... ouais...merci...
Je lui fit un grand sourire et il eu un air choqué sur le visage (a mon avis, il est surpris par mon sourire, lui qui est toujours grincheux). Je m’approcher de l'endroit où était Lian-chu. Il était juste devant moi, ses aiguilles à tricoté dans les mains. Je le trouve bien mignon comme sa ! Comment allait il réagir ? Et puis...
- Tu peux t’approcher, Gwizdo...
Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression qu'il ne me confond pas avec mon double... je m’approche alors de lui et m'assois juste à coté de lui :
- Euh... je...
- Tu n'a pas besoin de t'expliquer, je sais déjà tout...
- De quoi ?!
- Je t'ai entendu avec Gwizdo...
- Oh... et alors ? Tu n'est pas... chamboulé ?
- Sa veut dire quoi ?
- Choqué...
- Oh... oui, un peu...
- Un peu ? Lian-chu, je vient du futur et toi tu me dit "un peu" ?
- (rire) !!!
- Non mais sérieux, moi si je te voyer du futur, j'aurai tout de suite penser que j'étais devenu complètement fou !!!
- (deuxième rire) !!!
- Aaah, mais j'te jure, des fois je me demande sur le monde tourne bien rond !
- (troisième rire) C'est... c'est la première fois que je te vois sortir autant de blague d'un coup !
- Tient, c'est exactement ce que ma répondu Hector, il y a quelque temps...
- Hector ?
- Ouais, il dit que je suis très expressif, en ce moment !
- Vous... vous entendez ?
- ... comment te dire... j'ai-beaucoup-changé ! BEAUCOUP !!! Mais je ne dis rien de plus, pour la sécurité du futur...
Il me regarda en sourient, puis il me regarda des pieds à la tète. Mais bizarrement, il bloquait... sur mes hanches ?!?!?
- Je peux.... savoir se qui t'arrive ?
Il se mit à rougir, puis j'entendis mon double arriver. Je me retourna et il se stoppa net :
- Salut ! lui dis-je.
- Euh... sa... salut !
Il s'assit à coté de moi, puis il se tourna vers Lian-chu :
- Ecoute, je suis désoler, mon grand... je ne voulais pas...
- Tu ne veux pas un autre associer ?
- Hé, l'autre ! Tu veux que je prenne qui ? Gros Jean du mal fourchu ?
Lian-chu se mit à rire, puis mon double lui sourit.
- Ouais, on fait une bonne équipe, tout les trois, euh, nous deux !
Puis j'entendu Hector rappliquer :
- Et moi moi moi ! On fait équipe, euh !
Lian-chu et mon double me regardèrent bizarrement car je venais de prendre Hector dans mes bras :
- Ouais ! On fait équipe, tout les quatre !!!
Je mis Hector sur mes genoux et regarder le coucher de soleil.
- J'aime bien Hector, moi maintenant ?
Je lui décocha un regard noir, et il en eu des sueurs froide. Lian-chu se mis à mimité en regardant le coucher de soleil. Soudain, quelque chose vint briser se fabuleux silence ! C'étais un crie de fillette ! Sans même m'en rendre compte, je me leva d'un bond et cria :
- ZOÉ !!!!