Chasseurs de dragons : Saison 2.
Chasseurs de dragons : Saison 2 :
Chapitre 5 :
La tapisserie :
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Mon double entra en premier, ouvrant les deux portes en même temps :
- Messires et gente dames ! Salut les gars ! Réjouissez vous, voici Gwizdo et Lian-chu, les plus grands chasseurs de dragons de...
Il ne put finir se phrase, le seigneur Arnold venait de lui couper la parole :
- Qui ose me déranger à l'heure de mon... (désolé, j'ai pas compris se qu'il à dit !) ?
Puis son majordome lui répondit :
- Sans vouloir vous importuner, mon seigneur, mais ce ont trois tréne misères ainsi que votre nièce !
Il nous a traité de quoi, l'autre andouille ?!
- Zoé ?!
- Pas du tout ! Ce sont des chevaliers errant, mon oncle ! Et ils m'on sauvé la vie...
- Toi, file dans ta chambre, petite gourgandine !
- Mais, mon oncle...
- Demain, dés l'aube, tu file chez les sœurs vieilles dents !
Quel sal### celui là ! Non mais je vous jure, heureusement qu'il est aveugle, parce que là, j'suis en train de lui faire un doigt ! Et personne ne m'a vu faire !!! Ensuite, Zoé repartit dans sa chambre en râlant. La pauvre... puis le seigneur Arnold s’adressa à nous :
- Vous ! Quel sont vos exploits ? A part vous coltinés ma nièce !
Mon double allait prendre la parole, mais je fus plus rapide que lui (marre de ses discours à la noix...) :
- Mon seigneur, nous avons appris de votre nièce qu'un dragon vous tourmentez. Pouvons nous en discutait ?
- Hum... oui. Les deux guerriers, un pas en avant !
J'y crois pas ! Il me désigne moi et Lian-chu ! Normalement, il ne devait désigner que Lian-chu, mais maintenant que je suis là... On fit tout les deux un pas en avant et le seigneur Arnold nous examina tout les deux. Lian-chu me dit tout bas :
- Tu dois t’être sacrement entraînez pour être aux même niveau que moi.
- M'en parle même pas...
- ... combien de temps ?
- Deux ans...
Lian-chu me regarda, surpris.
- Deux ans ?! Tu est sérieux ?!
- Ouais, jour et nuit, je m’entraîner... c'étais dur au début, mais je m'y suit fait.
Le seigneur Arnold fini de nous examiner, quand son majordome lui dit :
- Je vous assure, mon seigneur...
- La ferme, Gildas ! J'ai une mission pour vous deux.
Il nous conduisit ensuite jusqu'à une grande salle, remplit de tète de dragons ! Je n'en avais jamais vu autant (sauf quand je suis venu ici dans la passé, bien sur !) ! Je vis mon double totalement impressionné par le nombre de tète qu'il y avait.
- Alors,on a peur ?
- Quoi ?! Non !
- Je te connais, Gwizdo... je ressens se que tu ressens. Alors arrête un peu d'avoir peur, ils sont déjà tous mort.
Mon double et moi marchâmes cote à cote, sans vouloir se parler. Puis je demanda :
- Tu compte changer, un jour ?
- Quoi ?
- Arrête d’être tout le temps égoïste et laisse tes sentiment prendre le dessus. C'est la meilleurs chose à faire.
- Comment tu sais tout sa, toi ?
Je lui désigna Lian-chu.
- Je pense que le message est claire...
On arriva dans une grande salle, où un rideau était dressé. Et je sais exactement ce qu'il renferme...
- Toute les vingtaine de saisons, ce dragon s'éveille et sors de sa tanière. Au delà de la fin du monde, là où il se déchaîne, où il dévore les contrée, brûle des village par centaines et engloutis des forteresse entières avant de retourner dans son repaire, où il n'y reste que des cendre... GILDAS !
Le majordome ouvrit le rideau et je la découvrit de nouveaux : la tapisserie !!!
- Voici les signes annonciateur de son réveil...
- Oui, je sais... je connais déjà tout sa !
Tout le monde me regarda, stupéfait :
- J'ai pensé à voix haute ? Oh, je suis désolé, je voulais pas vous interrompre !
- Comment connaissais vous cette histoire ?
- Euh... je le connais, c'est tout.
- Pff... baliverne. dit Gildas.
- Ah oui ? Et bien, vous allez voir ! Ici, on a les créneaux qui s'arrache, ensuite les chevaliers qui fumes, puis la nuées rouges, les ponts qui s'envoles, les villages qui sombrent et les animaux qui parles !
Tout le monde fut surpris qu'il connaissent l'histoire par cœur, surtout Gildas.
- Et... connaissez vous la fin ? me demanda le seigneur Arnold.
- Malheureusement, oui. Quand tout c'est signes seront apparut, il reviendra... le dévoreur de vie... le BOUFFE MONDE !!!
Je vis ensuite Lian-chu regarder l'image du Bouffe Monde comme un vieux souvenir... un horrible souvenir...
- Je l'ai vu mon fils, j'ai porté l'épée contre lui et le seul spectacle de ses yeux de feu m'on retourné les yeux à l'intérieur du crane ! Depuis ce jour, je ne voix plus qu'une terre désolée sans âmes où il n’existe plus nul vie ni nul joie...
Ensuite mon double prit la parole :
- Euh... c'est quoi ce p'tit arbre, là, à coté du dragon ?
- Sa vous donne une idée de l'échelle, valeureux chevalier. lui dit Gildas.
En effet, ce dragon était vraiment, VRAIMENT gigantesque... et pourtant, nous somme bien obligé d'allait à sa rencontre...
- Trouvé le dans son sommeil, trouvé sa tanière à l'ouest, au delà de la fin du monde...
Pendant qu'il nous expliquer où le trouver, je remarqua une petite silhouette nous observant. Zoé ?! Elle croisa mon regard et je lui fit un sourire, qu'elle me rendit presque aussitôt.
- Et frapper le dans son sommeil avant qu'il ne soient trop tard !!
Plus facile à dire qu'à faire... puis mon double repris la parole :
- Oui, oui, mais là... non. On est pas vraiment disponible en ce moment...
- Mettait le à mort et le monde sera sauvé...
- Lian-chu, dis au revoir ! On dérange le messieurs !
- Je retrouverai alors ma rigueur et ma vue ! Et en échange, je vous couvrirai d'or !
A ce moment là, Gildas actionna un levier et une montagne de pièce d'or sortit d'une trappe et vinrent se verser dans un puits. Mon double était comme... hypnotiser, il n'y a pas d'autre mot...
- Cher client ! Vous pouvez faire une place pour la tète du Bouffe Monde dans votre galerie des horreurs !
Encore une question d'argent... il déroula ensuite un contrat devant le seigneur Arnold et lui expliqua tout.
- Méthode moderne ? Pourquoi pas ! GILDAS !
Le majordome prit une bonne poignée de pièce et les mis dans un petit sac. Une avance ? Fabuleux ! J'en connais un qui va être content ! Et tient, voilà mon double qui lui arrache le sac des mains, le gardant précieusement. Hector enroula ensuite le contrat et le rangea dans son sac quand on entendit une sorte de sonnerie :
- La nuée rouge, mon seigneur !
Oh non... j'avais oublié, tout sa ! Mon double prit une torche et Gildas nous ouvrit une trappe menant à l’extérieur.
- Toujours en direction de l'ouest, mes seigneurs, jusqu'à la fin du monde...
- Ouais ouais, c'est ça ! et à la revoyure, hein !
Gildas referma la trappe derrière nous avec un sourire mauvais dans ma direction. Pourquoi il m'a regardé comme sa ? J'ai vraiment un mauvais pressentiment, là...