How I met your sisters

Chapitre 4 : Buffy Summers ?

Chapitre final

3992 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 09/11/2016 22:36

BUFFY SUMMERS ?

Voilà. J'ai raconté tout ce que j'avais à lui dire, montré tout ce que j'avais à montrer.

Je parie qu'à vos yeux, nous n'avons fait que parler, pas vrai ? Erreur, les enfants ! En réalité, nous avons fait bien plus que ça. Bien plus. En une nuit, j'ai revécu tous les chapitres de ma sombre histoire et cette fois, et je l'ai emmenée pour la balade. Et ç'a été comme si elle avait tout vécu et ressenti intégralement elle aussi. Nous avons franchi tous les stades intermédiaires qui conduisent des ennemis aux amants. Je l'ai tuée mille fois et mille fois ramenée à la vie pour que nous poursuivions ensemble. Elle sait dorénavant intimement ma douleur, mon extase, mon cœur brisé et ma faim.

La Tueuse et moi, nous sommes bien plus semblables qu'elle ne se l'imagine. Pendant tout le temps où j'ai levé le voile sur moi, je n'ai fait que la révéler à elle-même également. Cette obscure facette dégoutante, qu'elle a si peur de reconnaître en elle, je l'ai forcée à la voir. Je l'ai obligée à regarder la mort dans les yeux. Et finalement conduite à admettre – même que si ce n'est qu'en son for intérieur – qu'elle en est aussi avide que moi.

Mais à présent la leçon est finie et il est temps pour moi de partir.

— Et je me demande juste si ça te fera autant d'effet qu'à elle.

— Hors de ma vue, Spike. Vite ! siffle-t-elle d'un ton glacial.

Je suis sur le point de m'en aller, mais ses mots me retiennent. Comment pourrais-je partir quand ils ont pratiquement l'air d'une invitation à rester ?

— Ouh ! Quoi ? Est-ce que je t'aurais fait peur ?

Je m'approche d'un pas téméraire et tentateur.

— Tu es la Tueuse... Tu as les moyens d'arranger ça... Cogne-moi. Allez, un bon crochet, je sais que ça te démange !

Comme d'habitude, en fait. Elle se contient et je peux voir cette flamme danser dans ses yeux : sa rage qui quémande le droit de sortir de sa boîte. Je sais pertinemment ce dont elle a vraiment envie. Elle veut mettre ses petites mains si chaudes sur mon corps si dur et me faire souffrir. Et gémir. Et crier. Elle veut me voir saigner. Il en faut bien moins que ça pour allumer un mec et lui donner envie, rien qu'à l'idée...

— Je ne plaisante pas, m'avertit-elle les yeux dangereusement étincelants.

— Moi non plus.

J'ai été un très vilain garçon. Je mérite une bonne correction. Si seulement je pouvais faire en sorte quelle me touche !…

— Allez ! Donne-moi ce que je mérite, Buffy. Fais-le.

Elle se crispe face à la pression tentatrice qui l'envahit. Je ressens son désir aussi puissamment que le mien.

— Spike !…

Je l'entends murmurer mon nom comme j'ai toujours rêvé qu'il franchisse la barrière de ses lèvres. Ses yeux où je me plonge sont gigantesques et profonds, d'un vert de jungle sauvage, et ils me retournent mon regard avec tant de désir inassouvi ! Je n'ai pas de reflet mais je peux me voir en eux. Je me vois moi-même en elle.

Je sais que c'est une erreur, mais je ne peux pas m'en empêcher. Sans réfléchir, je me penche vers elle.

.°.

Je n'escomptais rien d'autre qu'un simple effleurement léger, mais avant que mes lèvres ne touchent les siennes, elle réalise ce que je suis sur le point de faire et se recule en sursautant violemment, comme une enfant terrorisée.

Et alors ma première réaction viscérale est de la saisir par les bras et, sans plus lui laisser le choix cette fois, d'écraser ma bouche contre la sienne...

Mâchoires fermées, elle ne cède pas mais je la force à ouvrir avec ma langue, tandis que je l'emprisonne dans l'étau de mes bras. Je la tiens si serrée que je sais que je lui fais un petit peu mal, car je ressens un léger choc dans mon cerveau. C'est suffisamment faible pour que je puisse l'ignorer, et il finit par s'évanouir complètement, quand elle cesse graduellement de marteler mes épaules de ses poings, pour m'envelopper de ses bras et commencer à répondre lentement à mon baiser. Enfin, elle arque la nuque en arrière pour me laisser savourer son cou : sa peau est si délicieusement enivrante... Je détecte le parfum léger de sa lotion pour le corps qui titille mes narines. Ça sent le jasmin – sauvage et beau comme elle. Je sens qu'elle tremble légèrement sous ma caresse, et quand elle ferme les yeux, elle gémit quelque chose qui ressemble à peine à mon nom.

Après quelques minutes, je relève la tête en quittant sa gorge pour la regarder dans les yeux. C'est le moment qu'elle choisit pour se reculer brutalement. Elle me considère les yeux ronds. Pas de colère, croyez-le ou non, mais plus de surprise effrayée. Sa voix est faible et tremblante comme si elle avait peur de comprendre.

— Qu'est-ce que… qu'est-ce que c'était que ça... au juste ?

Je souris.

— C'était un petit avant-goût de ta mort, mon cœur. Tu en veux un autre ?

Je m'avance et la reprends contre moi avant qu'elle puisse protester, amenant une nouvelle fois ma bouche sur la sienne. Cette fois, elle ne me repousse pas. Elle reste inerte pendant un moment, me laissant l'embrasser mais sans participer, comme si elle hésitait sur la conduite à tenir… Puis elle se décide enfin et se laisse aller contre moi, m'embrassant encore plus avidement qu'avant pour me faire comprendre que je ne suis pas seul à le vouloir. Ses bras serpentent autour de mes épaules et de mon cou et ses doigts s'entremêlent à mes cheveux.

Elle entrouvre les lèvres, laissant ma langue s'immiscer, retrouver la sienne et danser, en reproduisant les mouvements de notre combat de tout à l'heure. Désireux de tout goûter d'elle, j'approfondis encore notre baiser, convulsivement agrippé au tissu de son vêtement. Je la presse si durement contre moi que je pourrais la briser si elle n'était pas si forte – je la serre au point que je sens son cœur battre dans sa poitrine comme s'il était le mien, et comme si à travers elle, j'étais vivant à nouveau.

J'ai le vertige. Je ne sais même pas ce que je suis en train de faire ni comment j'en suis arrivé là. Je n'avais jamais prévu de l'embrasser ! On était juste en train de se battre et d'un coup, voilà que sa langue est dans ma bouche !... La sensation est incroyable pourtant. Par l'Enfer, elle est si brûlante que j'ai l'impression d'embrasser la surface du soleil. Quand je la touche, j'ai l'impression d'être en feu et c'est d'une intensité si brutale que je pense qu'on pourrait en mourir si nous n'arrêtons pas. Ou peut-être que je mourrai mais... si nous nous arrêtons.

En tous cas, c'est le meilleur baiser de toute ma vie. J'arrive à peine à croire que je suis en train de le dire ça, mais il est même meilleur que ceux de Dru… Buffy est si vivante, si humaine, si loin de la froide caresse d'une vampiresse. Mais impossible de la comparer non plus avec les autres humaines que j'ai pu avoir. Buffy les surclasse toutes, et de loin. Pas une femme sur cette planète, vivante ou non, ne peut l'égaler. Elle dépasse tout ce qu'on peut imaginer. C'est un paradis.

Au moins, le plus proche que je connaîtrai jamais.

Tandis que mes mains suivent la courbe délicate de son corps, je réalise que les siennes se sont déjà glissées sous mon manteau. Je peux sentir la douce torture de ses doigts brûlants au travers de mon tee-shirt tandis qu'ils dessinent des motifs sur les muscles de mon dos, envoyant à chaque contact des décharges de plaisir étourdissantes. Sa bouche a un goût de fraise. C'est une chose étonnante que, même mort depuis plus de cent ans, il y ait des trucs dont je me souvienne toujours comme le goût de la fraise. Ça lui ressemble si furieusement : c'est sucré… acidulé… et incroyablement addictif.

Je pense que nous nous embrassons bien depuis dix minutes, minimum. Mais des heures ou une éternité, ce serait toujours trop court. Je n'aurai jamais assez d'elle. Elle finit par rompre notre baiser, à bout de souffle. J'avais presque oublié que contrairement à moi, elle avait besoin d'oxygène. Quand je la regarde, elle est troublée et totalement défaite.

— Spike, je…

Elle cherche encore son souffle et avant qu'elle puisse dire un mot, je saisis l'opportunité de lui décocher mon fameux sourire prétentieux qui énerve tant de monde.

— Bien meilleur que prévu, hein chaton ?

Elle n'a pas l'air bien sûre de ce qu'elle pourrait répondre à ça et j'ajoute :

— Personnellement, je dois avouer que ça laisse loin derrière tous mes plus grands fantasmes.

— Tu… tu fantasmes sur moi ? bredouille-t-elle nerveusement.

Je me penche encore sur elle et fais courir le bout de ma langue dans son cou avec une atroce lenteur, pendant qu'elle en tremble et que son souffle s'accélère aussitôt. Je m'arrête à son oreille pour murmurer suavement ma réponse :

— Je rêve de toi toutes les nuits, Buffy. Quel homme ne le ferait pas ?

Je sais que ma voix envoie des frissons le long de sa colonne vertébrale. Je ressens combien elle brûle de désir pour moi.

— Je… Je ne suis pas sûre que… tous les hommes que je rencontre finissent avec de dégoûtants petits fantasmes à mon sujet, proteste-t-elle faiblement, incapable de penser à quelque chose de mieux.

Ma bouche est tout juste à son oreille.

— Seul un fou ne te désirerait pas.

Je sais qu'elle ne peut pas lutter contre ce que je lui fais là. Comme je baisse à nouveau la tête pour butiner encore son cou, ses petits ongles acérés mordent dans ma peau au travers de mon tee-shirt, et me rendent fou en entremêlant mon plaisir de souffrance.

— Dis-moi que tu en as envie aussi, dis-je dans un murmure fiévreux contre sa peau.

J'ai besoin de l'entendre prononcer ces mots. Je ressens parfaitement son désir, mais je veux qu'elle l'admette à voix haute. Pour toute réponse, j'obtiens juste un gémissement étouffé. Je me détache légèrement d'elle.

— Dis-le.

C'est sorti presque comme un grondement. Mais je ne continuerai rien avant qu'elle ne me dise ce que je veux entendre.

— Quoi ?

— Que tu en crèves d'envie aussi. Tu n'en as pas envie, la Tueuse ?

— Si, répond-elle le souffle court.

— Alors dis-le.

— Spike, je…

Son visage se décompose aussitôt et elle se recule alors, semblant horrifiée de ce qui venait presque de franchir ses lèvres.

— …euh… je veux dire… Non !

.

Je la considère sans expression, pour le moins perdu par cette réponse imprévisible. Elle m'interrompt avant que j'aie le temps de dire ouf.

— Je ne peux pas… Nous ne pouvons pas faire ça, OK ? C'est mal !

Et cette satanée gamine qui me sort ça presque comme si c'était une grande révélation !

— Et bien oui ! Bien sûr que c'est sacrément mal, mon cœur, mais tu t'attendais à quoi ?

— Non Spike, écoute-moi ! Tout ça… C'est une terrible erreur ! Je ne sais pas à quoi je pensais mais nous devons nous arrêter immédiatement et oublier que c'est arrivé. Je vais rentrer chez moi, je vais prendre une douche froide, tu vas retourner à ta crypte et… et… je ne veux pas savoir ce que tu vas y faire, termine-t-elle avec un frisson. Simplement… Nous allons oublier ça, OK ? Ça n'est pas arrivé.

— Mais c'est arrivé, Buffy ! protesté-je en grondant de frustration.

C'était pour de bon, enfin, arrivé ! Elle ne peut pas m'enlever ça ! Pas maintenant !...

— Tu ne vas pas oser me dire que tu n'as pas envie de moi, alors tu viens juste de le reconnaître à l'instant…

Je fais un autre pas dans sa direction, mais elle tend le bras pour m'empêcher de m'approcher davantage.

— Je ne savais plus ce que je disais. Ou peut-être que si mais… Écoute, je ne peux pas faire une chose pareille. Et pas avec toi.

— Et pourquoi pas, enfin !

J'exige de le savoir. C'est complètement dingue à la fin ! Je la désire, elle me désire… Désolé si je ne vois pas où est le putain de problème !

— Parce que.

Parce que ?! Les bras m'en tombent. Mais qu'est-ce que c'est encore que ce genre d'excuse ?

— Parce que j'ai un petit-ami.

— Un petit-ami ? Ce chiot pathétique ?

Je suis sur le point de rire mais elle passe instantanément sur la défensive et enchaîne :

— C'est ça, un petit-ami. Un petit-ami qui est gentil, qui est normal, et qui est exactement ce dont j'ai besoin. Un qui n'est pas mort. Ou maléfique. Et qui n'a pas essayé de me tuer. Et pendant qu'on y est, un qui a le même âge que moi, au lieu d'un siècle de plus – ce qui pour ta gouverne, est au-delà de super malsain, ajoute-t-elle. Un qui n'a pas reçu de stupide malédiction, et sans un camion de culpabilité qu'il ne veut jamais lâcher. Un type normal, qui m'aime et qui ne mérite pas ça. Riley ne mérite pas ça !

— Et toi non plus, mon cœur, dis-je calmement avec une peine évidente. Tu ne mérites pas de rester en relation avec quelqu'un que tu n'aimes pas, simplement parce que tu as peur de lui faire de la peine en le quittant.

J'ai dû toucher un point sensible parce que ça la met en colère aussitôt.

— Et qu'est-ce qui te rend soudainement si certain que je ne l'aime pas, Spike ?

— Oh par pitié ! reprends-je avec une moue de mépris. Sérieusement, la Tueuse, Riley Finn ? Tu es en train de me dire que c'est lui, le grand amour de ta vie ?

Elle a l'air un peu déroutée par ma question directe. Elle ne s'attendait pas à ce que je la place aussi ouvertement que ça.

— Et bien, hésite-t-elle. Et bien peut-être que ce n'est pas lui mais… et après ? Tu crois peut-être que c'est toi ?

Là, c'est à mon tour d'être pris de court. Je m'arrête ne car je n'ai pas anticipé qu'elle me questionnerait sur ça. Jamais. Mais après un moment de réflexion, je sais que je dois le lui avouer et être honnête avec elle. Plus de moyen de reculer, je suis déjà allé trop loin.

— Je crois que ça se pourrait, réponds-je plus sérieusement que jamais. Si tu essayais, Buffy, je sais que tu pourrais m'aimer.

— Mais t'es malade !

Elle se recule en trébuchant légèrement, jusqu'à ce qu'elle se retrouve le dos au mur.

— Pas du tout. Je n'ai jamais été plus sain d'esprit de toute ma vie. Je t'aime, poursuis-je, en m'approchant plus près. Je t'ai toujours aimée Summers, tu ne le vois pas ? Quoi qu'il y ait entre nous, c'est réel. Je sais que tu le ressens toi aussi. Peut-être pas avec la même force que moi, mais tu le ressens.

Revenu tout près d'elle, je la prends dans mes bras à nouveau mais cette fois, ce n'est pas elle qui arrête mon mouvement, mais bien moi.

Parce que je viens juste de piger un truc. Le problème, ce n'est ni moi, ni nous, mais elle. C'est à propos d'elle et de Cap'tain Carton. Je suis sûr que le moindre petit orteil de ce qu'elle ressent pour moi est forcément cent fois plus fort que ce qu'elle a jamais éprouvé pour lui, mais vous voyez, le souci n'est pas là. Le truc, c'est qu'elle est trop noble pour le tromper. Elle considère que c'est mal parce qu'ils sont toujours ensemble : elle a besoin d'une rupture en bonne et due forme. Mais je ne peux pas le faire pour elle, c'est quelque chose que Buffy doit faire seule. Moi, j'ai fait ma part, je lui ai avoué mes sentiments. Il est temps de me retirer.

— Je vais te laisser maintenant, chaton. Réfléchis à tout ça.

.

Après un dernier baiser rapide sur ses lèvres, je tourne les talons et je m'éloigne sans attendre sa réponse. Voilà ce que je fais – je regarde droit devant et je marche. J'ai désespérément envie de me retourner, mais je ne peux pas. Je dois continuer à marcher, pour la laisser prendre sa propre décision. Ce n'est pas encore le moment pour nous, pas encore. C'est lorsqu'elle sera prête qu'elle elle reviendra vers moi d'elle-même.

C'est douloureux (ok, je ne trompe personne, c'est rien d'autre qu'une lente agonie) mais tant pis, je peux attendre. J'attendrais l'éternité pour elle. Vous voyez, c'est un drôle de truc, l'amour. Je n'étais pas du tout patient avant. Pour n'importe quelle autre fille, j'aurais dit que c'était du temps perdu. Mais elle est différente, elle le mérite. Parce que c'est elle. Parce qu'elle est... ma Buffy. Je l'aimerai toujours et toujours elle sera mienne, même si nous ne devions jamais être ensemble. Mais ça arrivera. Je n'ai aucune garantie cela dit, mais il y a de l'espoir. Après cette nuit, il y a beaucoup d'espoir.

Je sais que ça fait longtemps que je suis hors de vue maintenant alors je ralentis le pas.

Et pendant que je tourne au coin de la rue, je commence à sourire quand je comprends enfin. Je suis parti conscient qu'elle n'était pas prête mais ce qui s'est passé ce soir, ce n'était que le commencement. Buffy viendra à moi tôt ou tard, ce n'est qu'une question de temps.

Les rues que je remonte sont baignées de ténèbres. Les ombres longues murmurent à mon passage et la douce brise de minuit fait voler les pans de mon manteau de cuir après moi. La lune brille toujours au-dessus des toits et je réalise que je suis heureux. Plus heureux que je ne l'ai été depuis des semaines et des mois. Peut-être des années. Par l'Enfer, de quoi j'ai l'air, moi le mauvais samaritain devenu chamallow à cause d'une poulette ? Et puis la Tueuse, en prime, rien que ça ! Je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer.

Vous savez quoi ? Angelus m'aurait traité de fou. Et bien je l'emmerde. Et je les emmerde tous ! Peut-être que je ne suis qu'un fou, peut-être que je ne suis rien d'autre qu'un énième amoureux éconduit pathétique. Mais au moins, je sais ce que je veux, au contraire de ce crétin qui ne l'a jamais su. Et au moins, moi, je suis enfin heureux.

Presque arrivé chez moi, je franchis les portes du cimetière et tandis que je me dirige vers ma crypte, je me rappelle soudain que je n'ai pas eu le paquet de fric qu'elle m'avait promis en échange de l'histoire de la mort des deux Tueuses…

Peu importe, ce n'est pas son argent qui m'intéresse. Car j'ai déjà obtenu d'elle tout ce que je voulais vraiment.

 

 

FIN

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