Red-Bat Terre Prime.
Chapitre 11 : Restaurant ! Les recherches commencent à avancer !
1701 mots, Catégorie: T
Dernière mise à jour il y a 5 mois
Note de l’auteur : Notre procédé d’écriture sortant de l’ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d’éviter toute confusion dans la lecture.
Pour rappel :
Paragraphes en italique : Le narrateur est l’un des personnages. (Le plus souvent Alex)
Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S’applique aussi dans les dialogues.
Dans les dialogues :
Phrase entre des astérisque : exemple * J’ai l’impression qu’on m’observe * : Le personnage réfléchit ou pense.
Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé.
Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Alfred (téléphone) : Donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, Alfred parle au téléphone.
Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture. Nous vous souhaitons dès à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages.
L’équipe Brotherhood Corp.
Note Auteur @Leakee/Skymailleur : Cette Fanfiction se passe sur Terre Prime (Terre 1). Ce n’est pas une suite de Batboy Rise Of The Devil. ( N’hésité pas à y jeter un œil.) Qui se passe sur Terre 55. Vous allez voir peut-être des personnages de de cette univers (55) dans l’univers (1) Ils n’auront pas forcément la même histoire, le même caractère etc. Bonne lecture.
Costume porter par le Bat : Costume de Terry Mcginnis Batman Beyond prototype. Le costume possède une cape.
-Utilisation d'un personnage de la série Chicago Med : Sarah Reese.
Red-Bat. Terre Prime.
Restaurant ! Les Recherches Commencent à Avancer.
20 h 55. Restaurant L’Opaline, Centre-ville d’Harrisburg.
Le restaurant L’Opaline, perle gastronomique d’Harrisburg, était un lieu prisé par l’élite de la ville. À travers ses grandes baies vitrées, on pouvait apercevoir des tables finement dressées sous la lueur tamisée de lustres en cristal. Les murs, ornés de fresques rappelant l’art déco, reflétaient un charme intemporel, tandis que la douce mélodie d’un piano résonnait dans l’air.
La soirée battait son plein. Des philanthropes, hommes d’affaires et artistes se retrouvaient autour de plats raffinés, discutant de projets ambitieux et d’œuvres caritatives. C’est dans cette atmosphère feutrée qu’Alex Mason et Sarah Reese firent leur entrée.
Alex, toujours distingué, portait un costume sur mesure noir à fines rayures, confectionné par l’un des tailleurs les plus réputés de la ville. Sa chemise blanche immaculée contrastait avec une cravate bleu marine sobre, et des boutons de manchette argentés scintillaient discrètement à ses poignets. Son allure élégante était complétée par des chaussures en cuir noir parfaitement cirées. Sa barbe légèrement taillée et ses cheveux coiffés avec soin ajoutaient à son charme naturel.
Sarah Reese, quant à elle, incarnait la grâce et la sophistication. Elle avait opté pour une robe élégante en satin bleu nuit, qui épousait ses courbes avec délicatesse. Le décolleté en forme de cœur mettait en valeur son cou orné d’un fin collier en argent. Sa chevelure était relevée en un chignon décontracté, laissant s’échapper quelques mèches encadrant son visage. Un maquillage léger accentuait ses yeux noisette et son sourire sincère.
Les regards se tournèrent discrètement vers eux alors qu’ils avançaient vers leur table réservée près de la baie vitrée, offrant une vue imprenable sur la ville illuminée.
Un serveur s’approcha avec un sourire professionnel.
Serveur : Bonsoir, Monsieur Mason, Mademoiselle Reese. Votre table est prête. Permettez-moi de vous guider.
Ils le suivirent, Sarah jetant un regard amusé à Alex.
Sarah Reese : Je vois que vous êtes un habitué.
Alex Mason : Disons que quelques dîners d’affaires m’ont mené ici plus d’une fois.
Ils prirent place, et le serveur leur présenta les menus avant de s’éclipser discrètement.
Sarah observait la vue avec admiration.
Sarah Reese : Harrisburg est magnifique la nuit. Merci de m’avoir invitée ici.
Alex Mason : Le plaisir est pour moi. J’avais envie de mieux vous connaître, loin de l’agitation de nos journées.
Sarah Reese : « Sourit doucement. » Eh bien, c’est réciproque. Je dois avouer que j’étais curieuse d’en apprendre plus sur l’homme derrière Mason Corp.
Alex Mason : « Rigole. » Et moi, sur la brillante psychiatre qui a su m’impressionner en quelques mots.
Ils passèrent commande, choisissant des plats qui reflétaient leur goût. La conversation s’anima peu à peu, Alex partageant des anecdotes sur son parcours et ses défis, tandis que Sarah racontait avec passion son travail à l’hôpital et son intérêt pour la psychologie humaine.
Leur discussion fut interrompue par l’arrivée des entrées. Sarah, savourant une salade de homard, le taquina doucement.
Sarah Reese : Alors, Alex Mason, philanthrope et homme d’affaires, mais qu’en est-il de l’homme derrière tout cela ? Quels sont vos rêves ? Vos passions ?
Alex, pris au dépourvu, posa sa fourchette et la regarda avec un sourire pensif.
Alex Mason : C’est une question que peu de gens me posent. J’ai toujours été absorbé par mon travail, par mes responsabilités… Mais si je devais rêver, ce serait de trouver un équilibre. Construire quelque chose de durable, tout en trouvant du temps pour moi.
Sarah Reese : « Hocha la tête, compréhensive. » L’équilibre… C’est ce que nous cherchons tous, non ?
Le dîner se poursuivit, chaque moment renforçant leur complicité naissante. Lorsqu’ils partagèrent un dessert, Alex se permit une question plus personnelle.
Alex Mason : Et vous, Sarah ? Qu’est-ce qui vous motive chaque jour ?
Sarah Reese : Comprendre les gens. Chaque patient a une histoire unique. Pouvoir les aider à surmonter leurs démons, c’est une motivation.
Alex Mason : C’est admirable. Peut-être que parfois, même les héros ont besoin d’une personne comme vous.
Sarah Reese : Les héros ? Vous cachez quelque chose, Alex ?
Alex Mason : « Éclate de rire. » Rien d’aussi spectaculaire. Juste un homme qui tente de faire de son mieux.
Après un dîner raffiné ponctué de rires et de conversations, Alex et Sarah quittèrent le restaurant. La nuit était douce, éclairée par les lampadaires et les enseignes lumineuses des boutiques encore ouvertes. Ils décidèrent de marcher un peu, profitant du calme relatif de la ville.
Sarah Reese : C’était une belle soirée. « dit Sarah avec un sourire radieux. »
Alex Mason : Oui, vraiment. Ça faisait longtemps que je n’avais pas passé un moment aussi agréable, « Répondit jeune homme en ajustant sa veste sombre. »
Ils déambulèrent dans les rues, discutant de tout et de rien. Arrivés près de la voiture de Sarah, un silence s’installa. Un de ces silences qui n’a pas besoin d’être comblé.
Sarah Reese : … j’ai vraiment aimé cette soirée, « Murmura-t-elle. »
Alex Mason : Moi aussi, répondit Alex, légèrement hésitant.
Sarah Reese : On pourrait… recommencer ? « Elle sortit son téléphone » Donne-moi ton numéro.
Ils échangèrent leurs coordonnées, et Alex regarda Sarah s’éloigner.
22 H 10. Villa Mason, Bat-Cave.
De retour chez lui, Alex se dirigea directement vers la Bat-Cave. Thomas Abernaty, déjà plongé dans l’analyse des vidéos de surveillance, l’accueillit avec un regard grave.
Thomas Abernaty : Tu tombes bien. J’ai trouvé quelque chose d’étrange.
Alex Mason : Quoi donc ? « Demanda-t-il en s’approchant. »
Thomas pointa deux écrans : l’un montrait la réserve fédérale au moment de l’explosion, l’autre la réserve de matières premières de la Mason Corp.
Thomas Abernaty : Regarde bien cette personne… « Dit Thomas, zoomant sur une silhouette sombre qui apparaissait sur les deux vidéos. »
Alex Mason : « Fronça les sourcils. » C’est impossible. Cette personne est présente aux deux endroits en même temps. J’espère que ce n’est pas lui…
Thomas Abernaty : Tu penses à qui ?
Alex Mason : Avant d’en tirer des conclusions, laisse-moi te raconter quelque chose. Batman, à l’époque, faisait équipe avec Tim Drake. Une nuit, Tim rencontra une jeune fille, perdue, amnésique, sans nom. Il l’appela Annie.
Thomas hocha lentement la tête, accroché aux mots d’Alex.
Alex Mason : Annie avait peur… « Poursuivit Alex. » Elle fuyait quelqu’un… ou quelque chose. Robin, déterminé à l’aider, découvrit bientôt une vérité terrifiante : Annie n’était pas une fille ordinaire. Elle était une entité créée par… Clayface.
Thomas Abernaty : Clayface…
Alex Mason : Oui. Au début de cette histoire… Après un affrontement brutal, Clayface, affaibli, avait dérivé dans les eaux polluées de Gotham. Les produits chimiques lui ont permis de survivre… mais l’ont laissé trop faible. Dans un dernier effort désespéré, il a créé Annie et l’envoya patrouillé à Gotham à fin qu’il sache, si il pouvait revenir en sécurité. Mais comme je te le disais ce n’est qu’une hypothèse… Batwave analyse toutes les vidéos de surveillance d’Harrisburg.
Batwave : Recherche ?
Alex Mason : Recherche comportement suspect et analyse de criminels connues des fichiers du GCPD et du HPD.
Batwave : Recherche en cour…
Thomas Abernaty : Et je fais quoi moi Hum ? « Croise les bras. »
Alex Mason : Rentre chez toi repose toi. Moi je vais aller patrouiller.
Fin du chapitre 11 : Restaurant ! Les Recherches commencent à Avancer !