Red-Bat Terre Prime.

Chapitre 10 : L'entreprise remonte sur ses rails ! Une rencontre.

2624 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour il y a 5 mois

Note de l’auteur : Notre procédé d’écriture sortant de l’ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d’éviter toute confusion dans la lecture. 

Pour rappel : 

Paragraphes en italique : Le narrateur est l’un des personnages. (Le plus souvent Alex) 

Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S’applique aussi dans les dialogues. 

Dans les dialogues : 

Phrase entre des astérisque : exemple * J’ai l’impression qu’on m’observe * : Le personnage réfléchit ou pense. 

Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé. 

Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Alfred (téléphone) : Donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, Alfred parle au téléphone. 

Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture. Nous vous souhaitons dès à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages.  

L’équipe Brotherhood Corp. 

Note Auteur @Leakee/Skymailleur : Cette Fanfiction se passe sur Terre Prime (Terre 1). Ce n’est pas une suite de Batboy Rise Of The Devil. ( N’hésité pas à y jeter un œil.) Qui se passe sur Terre 55. Vous allez voir peut-être des personnages de de cette univers (55) dans l’univers (1) Ils n’auront pas forcément la même histoire, le même caractère etc. Bonne lecture.  

Costume porter par le Bat : Costume de Terry Mcginnis Batman Beyond prototype. Le costume possède une cape.

  • Utilisation d'un personnage de la série Chicago Med. 

 Red-Bat. Terre Prime.

L'entreprise remonte sur ses rails ! Une rencontre.


10 h 45 – Villa Mason, Proche d’Harrisburg, Pennsylvanie. 

Alex Mason, désirant changer d’air avant de reprendre le travail à la Mason Corp, il attrapa son manteau, enfila ses lunettes de soleil et se dirigea vers son garage où l’attendait sa voiture de sport noire. 

Il roula dans les rues d’Harrisburg encore calmes en cette matinée. Finalement, il s’arrêta devant un café discret, Le Cypress, réputé pour sa tranquillité. Il espérait y trouver un peu de répit. 

À l’intérieur, peu de clients. Il s’installa dans un coin, commandant un espresso. Mais son regard fut rapidement attiré par une jeune femme assise seule à une table non loin de la sienne. Elle lisait un livre sur la psychologie, un carnet de notes à côté d’elle. Ses cheveux bruns étaient soigneusement attachés en chignon, et ses lunettes carrées lui donnaient un air sérieux mais charmant. 

Lorsqu’elle leva les yeux, Alex détourna rapidement le regard, mais il était déjà trop tard. 

??? : Vous savez, fixer quelqu’un est rarement conseillé dans mon domaine. 

Alex Mason : « Surpris, esquissa un sourire amusé. » Oh ? Et dans quel domaine êtes-vous experte ? 

Elle referma son livre et se pencha légèrement vers lui. 

??? : Je suis psychiatre. « elle tendit la main. » Dr. Sarah Reese. 

Alex Mason : « Serra sa main, intrigué. » Alex Mason. Vous n’êtes pas d’ici, pas vrai ?  

Sarah Reese : « Rigole. » Bien vu. J’ai récemment accepté un poste à l’hôpital d’Harrisburg. Besoin de changement après Chicago. 

Alex Mason : Chicago ? Une grande ville pour une petite comme Harrisburg. Vous allez vous ennuyer ici. 

Sarah Reese : « Souriante. » Oh, je doute que je m’ennuie. Surtout avec les récents événements… Il paraît qu’un certain PDG a eu une très mauvaise nuit. 

Alex Mason : « Haussa un sourcil. » Je vois que ma réputation me précède. 

Sarah Reese : Difficile de passer à côté. Mais… « Elle le fixa, plus sérieuse. » Vous avez l’air d’avoir plus qu’une mauvaise nuit sur les épaules. 

Alex baissa les yeux. Il n’était pas du genre à se confier, mais il y avait quelque chose de désarmant chez elle. 

Alex Mason : Disons que… diriger une entreprise attire des ennemis. Parfois plus dangereux qu’on ne l’imagine. Et puis cela reste une entreprise familiale… mon entreprise. 

Sarah Reese : Vous savez, parler peut aider. Je suis plutôt douée pour écouter… même hors de mon cabinet. 

Alex Mason : Peut-être que je prendrai rendez-vous, alors… Docteur Reese. « Regarde sa montre d’un coin de l’œil. » Je suis désolé… mais je dois y allée.  

Sarah Reese : Eh bien bonne journée monsieur Mason… une seconde. « Lança-t-elle en fouillant dans son sac. Elle en sortit une carte professionnelle et la lui tendit avec un sourire chaleureux. Si vous avez besoin… « Ajoute-t-elle doucement. » 

Alex Mason : Merci. « Murmura-t-il, avant de quitter le café. » 

13 H 00. Salle de réunion, Mason Corp, Harrisburg. 

La vaste salle de conférence de la Mason Corp. Baignait dans une lumière tamisée, filtrée par les stores semi-ouverts des immenses baies vitrées donnant sur le centre d’Harrisburg. Une grande table en acajou occupait le centre de la pièce, autour de laquelle plusieurs responsables de l’entreprise étaient déjà installés, l’air grave. Des dossiers épais, des ordinateurs portables ouverts et des gobelets de café encore fumants témoignaient de l’urgence de la réunion. 

Alex Mason entra, son pas déterminé résonnant sur le parquet brillant. Il portait un costume anthracite parfaitement taillé, mais ses traits, tirés par le stress et la fatigue, trahissaient la nuit agitée qu’il venait de passer. Derrière lui, Thomas Abernaty, son fidèle ami et bras droit, referma la porte, les mains dans les poches, son regard scrutant la salle d’un air soucieux. 

Alex Mason : Messieurs, mesdames… « Lança Alex d’une voix ferme mais posée. » Merci d’être venus. 

Les murmures cessèrent instantanément. Tous les regards se fixèrent sur lui. 

Alex Mason : Comme vous le savez, l’explosion de notre réserve de matières premières n’a pas seulement causé des pertes matérielles. C’est une attaque directe contre notre entreprise. Capitaine Aaron Hunter m’a fourni ce matin un premier rapport. Nous devons maintenant comprendre qui est derrière cela et comment nous protéger à l’avenir. 

Il s’installa en bout de table, posant son téléphone et une tablette devant lui. Thomas s’assit à sa droite, croisant les bras. 

Thomas Abernaty : Le rapport du capitaine Hunter indique que l’explosion a été provoquée par un dispositif artisanal mais sophistiqué, « Commença Thomas, balayant l’assemblée du regard. » Aucun groupe n’a revendiqué l’attaque pour l’instant. Ce qui est… inquiétant. 

??? : Inquiétant ? « Intervint Dana Holtzman, directrice de la sécurité interne, en arquant un sourcil. » C’est un cauchemar. Si personne ne revendique, cela signifie que soit l’auteur est un professionnel payé pour agir discrètement, soit… 

Alex Mason : …soit c’est personnel… « Compléta le PDG. » Quelqu’un qui veut nous déstabiliser sans attirer l’attention. 

Un silence pesant s’installa. Puis, d’une voix calme mais incisive, Evelyn Park, directrice financière, prit la parole. 

Evelyn Park : Monsieur Mason, avons-nous envisagé la piste interne ? Un employé mécontent ? Un ancien collaborateur licencié ? 

Alex Mason : Toutes les pistes doivent être explorées. Je veux un audit complet de la sécurité, un contrôle des accès aux bâtiments et une vérification minutieuse des employés ayant eu connaissance des stocks de matières premières. 

Thomas Abernaty : « Se penche en avant, posant ses coudes sur la table. » Capitaine Hunter a également suggéré que des concurrents pourraient être derrière cela. La Mason Corp. Est devenue une cible de choix ces dernières années. 

Alex Mason : Nous ne pouvons pas nous permettre de pointer du doigt sans preuves, ce sont que des supposition. Concentrez-vous sur les faits. Dana, assurez-vous que toutes nos données internes soient sécurisées. Doublez les pare-feu. Je ne veux pas qu’on exploite cette crise pour nous voler des informations sensibles. 

Dana Holtzman : « Acquiesça immédiatement. » Considérez que c’est déjà fait. 

Alex Mason : Bien… nous avons du travail. Je veux un point complet d’ici ce soir. Merci à tous. 

Les responsables se levèrent, échangeant des murmures et des poignées de main rapides avant de quitter la salle. Seuls Alex et Thomas restèrent. 

Thomas Abernaty : Tu as bien joué le jeux Alex. Tu sais qui a fait ça hein ?  

Alex Mason : Bien sur… Exploser une réserve fédérale de la police plus un réserve de matière première de mon entreprise simultanément, c’est du travail bien préparé, ça va handicapé Harrisburg pour notre cas et les autres États pendant un petit moment. Une perte financière conséquente… que ce soit pour nous ou Harrisburg… Qui ils sont… ? Je dois regarder les vidéos de surveillance… toutes les vidéos que ce soit de l’entreprise ou de la ville dans sa totalité…

Thomas Abernaty : Tu te rends compte du travail que ça donne Alex… Les policiers sont en train de le faire…  

Alex Mason : « Se frotte le visage. » Thomas répond moi franchement. Si quelqu’un attaque et détruit la seul chose qui te reste de ta famille que ferais-tu ?  

Thomas Abernaty : Je chercherais partout… par tous les moyens… pour trouver le responsable, « Répondit-il sans hésitation. » 

Alex Mason : Exactement… bon j’y vais. Je vais passer des coups de fil aux diffèrent fournisseur pour nos stock et finit quelques dossiers. On se voit plus tard mon ami.  

Il quitta la salle d’un pas vif, laissant Thomas seul. Ce dernier resta assis un instant, fixant la porte par laquelle Alex était sorti. 

Thomas Abernaty : « Murmurant à lui-même inquiet. » Il va se tuer si il continue… 

16 h 25.Bureau d’Alex Mason, Mason Corp. 

Le bureau d’Alex Mason était un espace où le moderne rencontrait le classique. De larges fenêtres offraient une vue panoramique sur Harrisburg, baignant la pièce d’une lumière naturelle adoucie par des stores vénitiens en bois sombre. Les murs étaient ornés de quelques œuvres d’art contemporain, contrastant élégamment avec le mobilier en acajou massif. Sur le bureau impeccablement rangé trônaient un ordinateur portable ultramoderne, quelques dossiers soigneusement empilés, et un téléphone fixe au design épuré sans oublier la photo de la famille Mason qui trône sur le mur derrière le siège . 

Assis dans son fauteuil ergonomique, Alex terminait un appel important. Sa voix, bien que teintée de fatigue, restait ferme et professionnelle. 

Alex Mason : « Au téléphone. » Merci infiniment pour votre compréhension et votre réactivité. Oui, les nouveaux stocks dès demain, c’est parfait. Bien entendu, nous veillerons à ce que tout soit en ordre. Merci encore, monsieur. Au revoir. 

Il raccrocha délicatement le combiné, notant rapidement les détails de la conversation dans un carnet en cuir noir. Un léger sourire de satisfaction se dessina sur ses lèvres. 

Alex Mason : « Murmurant pour lui-même. » Un partenaire vraiment compréhensif. Voilà une bonne chose de faite. 

Alors qu’il refermait son carnet, son regard tomba sur une petite carte de visite posée à côté de son clavier. Il la prit entre ses doigts et l’examina pensivement. C’était celle du Dr Sarah Reese, psychiatre récemment arrivée à l’hôpital d’Harrisburg. Le souvenir de leur rencontre matinale au café Le Cypress lui revint en mémoire, apportant avec lui une sensation inattendue de chaleur et de curiosité. 

Tellement absorbé par ses pensées, Alex ne remarqua pas immédiatement la présence de Thomas Abernaty, qui venait d’entrer discrètement dans le bureau.  

Thomas Abernaty : Le grand justicier d’Harrisburg serait-il en train de rêvasser ? 

Alex sursauta légèrement, reposant précipitamment la carte sur le bureau. 

Alex Mason : Thomas ! Je ne t’avais pas entendu entrer. Oui, je viens de finaliser les appels. Nous aurons de nouveaux stocks dès demain et le reste de la semaine. 

Thomas Abernaty : « hocha la tête, visiblement satisfait. » Excellente nouvelle. « Aperçoit la carte sur le bureau. » Et cette petite carte ? Elle semble t’accaparer l’esprit. 

Alex Mason : « Suivit le regard de Thomas et esquissa un sourire légèrement gêné. » Oh, ça ? Ce matin, je suis aller au Cypress et j’ai rencontré quelqu’un. 

Thomas Abernaty : « S’approchant. »Vraiment ? Montre-moi cette fameuse carte. 

Alex Mason : Tiens, fais-toi plaisir. 

Thomas prit la carte et lut à voix haute. 

Thomas Abernaty : Dr Sarah Reese, psychiatre à l’hôpital d’Harrisburg. « Lève un sourcil. » Intéressant. Et alors, raconte-moi tout. 

Alex se leva, contournant son bureau pour s’appuyer contre le rebord, les bras croisés.

Alex Mason : Eh bien, elle est brillante, passionnée par son travail… et, je dois l’admettre, très charmante. 

Thomas Abernaty : Alex, tu es mon meilleur ami. Et tu sais ce qu’un meilleur ami te dirait dans cette situation ? 

Alex Mason : « Fait mine de réfléchir, jouant le jeu. » Hum… que je devrais me concentrer sur le travail ? 

Thomas Abernaty : « Éclata de rire, secouant la tête. » Pas du tout ! Je te dirais : fonce, mon pote. Appelle-la ! 

Alex Mason : Tu crois ? 

Thomas Abernaty : « Posa une main amicale sur l’épaule d’Alex. » Écoute, même le justicier d’Harrisburg a besoin de souffler de temps en temps. Ces derniers événements ont été éprouvants. Une soirée agréable en bonne compagnie te ferait le plus grand bien. 

Alex Mason : Peut-être que tu as raison… Merci, Thomas. 

Thomas Abernaty : « Lui donna une légère tape dans le dos, encourageant. » Bien sûr que j’ai raison. Allez, appelle-la et propose-lui de dîner ce soir. Tu ne le regretteras pas. 

Alex acquiesça, prenant une profonde inspiration. Il attrapa son téléphone portable, hésitant un instant, puis composa le numéro inscrit sur la carte. Thomas, satisfait, s’éloigna en direction de la porte. 

Thomas Abernaty : « Se retournant avant de sortir. » Je veux tous les détails demain matin ! 

Alex leva les yeux au ciel, amusé, tandis que le téléphone sonnait à l’autre bout du fil. Après quelques tonalités, une voix douce mais professionnelle répondit. 

Dr Sarah Reese : « Au téléphone. » Dr Sarah Reese à l’appareil. 

Alex Mason : Bonjour, Dr Reese. C’est Alex Mason. Nous nous sommes rencontrés ce matin au Cypress. 

Il y eut une légère pause, puis la voix de Sarah s’anima. 

Dr Sarah Reese : Oh, bonjour, Monsieur Mason ! Je me souviens très bien. Comment allez-vous ? 

Alex Mason : Je vais bien, merci. Écoutez, je me demandais si vous seriez disponible ce soir pour dîner. J’aimerais poursuivre notre conversation, si cela vous dit. 

Un bref silence suivit. 

Dr Sarah Reese : Ce serait avec plaisir. Où souhaitez-vous que nous nous retrouvions ? 

Fin du chapitre 10 : L'entreprise remonte sur ses rails ! Une rencontre.  

Laisser un commentaire ?