Red-Bat Terre Prime.

Chapitre 7 : Conséquences des actes.

1362 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour il y a 7 mois

Note de l’auteur : Notre procédé d’écriture sortant de l’ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d’éviter toute confusion dans la lecture. 

Pour rappel : 

Paragraphes en italique : Le narrateur est l’un des personnages. (Le plus souvent Alex) 

Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S’applique aussi dans les dialogues. 

Dans les dialogues : 

Phrase entre des astérisque : exemple * J’ai l’impression qu’on m’observe * : Le personnage réfléchit ou pense. 

Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé. 

Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Alfred (téléphone) : Donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, Alfred parle au téléphone. 

Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture. Nous vous souhaitons dès à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages.  

L’équipe Brotherhood Corp. 

Note Auteur @Leakee/Skymailleur : Cette Fanfiction se passe sur Terre Prime (Terre 1). Ce n’est pas une suite de Batboy Rise Of The Devil. ( N’hésité pas à y jeter un œil.) Qui se passe sur Terre 55. Vous allez voir peut-être des personnages de de cette univers (55) dans l’univers (1) Ils n’auront pas forcément la même histoire, le même caractère etc. Bonne lecture.  

Costume porter par le Bat : Costume de Terry Mcginnis Batman Beyond prototype. Le costume possède une cape. 

 Red-Bat. Terre Prime.

Conséquence des actes.

21 h 39. Deux Jours avant le reveil d'Alex Mason. Complexe souterrain, laboratoire. Zone inconnue, Pennsylvanie. 

Dans l’ombre d’un laboratoire aux murs métalliques et aux lumières vacillantes, le Comte Vertigo observait avec satisfaction une cuve imposante contenant un liquide scintillant. Le fluide semblait vivant, ses remous hypnotiques reflétant les lumières crues au-dessus. 

Vertigo passa lentement ses doigts gantés sur la surface froide de la cuve, un sourire perfide sur ses lèvres. Cette trouvaille, récupérée lors d’une opération audacieuse à la Mason Corp, représentait un potentiel illimité. Un liquide curatif, capable de régénérer les tissus humains à une vitesse incroyable. Mais pour Vertigo, ce n’était pas sa fonction originelle qui l’intéressait. 

Comte Vertigo : Alors ! Ce liquide a-t-il été modifié selon mes exigences, hum ? 

Un scientifique nerveux en blouse blanche s’avança, tenant une tablette numérique et évitant de croiser le regard perçant de Vertigo. 

Scientifique : Pas encore, monsieur. Hum… le liquide curatif est… très complexe. Le modifier prend plus de temps que prévu même avec l’aide de ma formule de base. 

Vertigo émit un rire bas, dédaigneux, tout en croisant les bras derrière son dos. 

Comte Vertigo : Cela ne m’étonne pas. Ah, ce cher Mason… Une famille de pharmaciens, de médecins, d’ingénieurs. Une lignée de génies dont la réputation n’est plus à prouver. Ils sont très doués… 

Il se détourna légèrement, plongeant dans ses pensées, son regard fixé sur la cuve. Mais sa rêverie fut brutalement interrompue. La porte du laboratoire s’ouvrit avec fracas, laissant entrer un homme en tenue de combat, visiblement essoufflé. 

Homme de main : Monsieur… Comte ! Ils sont là ! 

Vertigo se redressa, son expression se durcissant instantanément. 

Comte Vertigo : Cachez les recherches. Immédiatement ! Je ne veux pas qu’ils tombent entre leurs mains. 

Des scientifiques paniqués commencèrent à dissimuler les documents sensibles et les prototypes dans des compartiments secrets du laboratoire. À peine quelques secondes plus tard, un groupe pénétra dans la pièce. Cinq hommes lourdement armés encadraient une femme à l’aura imposante. Elle portait une tunique rouge frappée d’une ceinture noire, et ses cheveux noirs, encadrant un visage dur, arboraient une mèche blanche distinctive. Un tatouage rouge en forme de patte de félin ornait son épaule droite. 

Comte Vertigo : Ah, vous voilà enfin… Griffe Rouge.

La femme s’arrêta à quelques pas de lui, ses yeux brillant de méfiance et de détermination. 

Griffe Rouge : Ne sois pas si familier avec moi, Vertigo. Les plans de la cuve, maintenant. Notre contact est pressé. 

Vertigo esquissa un sourire, bien que ses muscles soient tendus. Il se tourna vers son scientifique, qui, d’une main tremblante, tendit un dossier à la femme. 

Comte Vertigo : Voilà ce que tu es venue chercher. 

Griffe Rouge attrapa le dossier, ses yeux scrutant rapidement les documents à l’intérieur. Mais au fur et à mesure qu’elle avançait dans sa lecture, son expression changea. Une colère froide s’empara d’elle. 

Griffe Rouge : Il manque quelque chose. Où est la formule du liquide ? 

Ses hommes levèrent leurs armes, les pointant directement sur le Comte Vertigo et ses subalternes. Une tension palpable envahit la pièce. 

Griffe Rouge : Ne joue pas avec moi, Vertigo. La formule, ou je te jure que cet endroit ne verra pas une autre aube. 

Vertigo haussa un sourcil, mais il ne perdit pas son calme. 

Comte Vertigo : Voyons, voyons… Pas besoin de précipiter les choses. Tu sais aussi bien que moi que ces informations ne peuvent être données à la légère. 

Griffe Rouge : « claquant le dossier sur une table. » Ne me teste pas. Je suis venue ici pour une transaction, pas pour une discussion philosophique ! La formule. Maintenant. 

Le Comte, sentant l’étau se resserrer, jeta un coup d'œil à ses hommes. Ces derniers étaient prêts à agir, mais Vertigo savait que la situation pouvait dégénérer en une seconde. 

Comte Vertigo : « Avec un sourire glacé. » Très bien. Mais tu sais, Griffe Rouge, la patience est une vertu… Une vertu que tu devrais peut-être apprendre. 

Le scientifique, sous pression, s’affaira à chercher une copie partielle de la formule dans l’un des compartiments secrets.  

Scientifique : Voici… voici le dossier de la vraie formule. 

Griffe Rouge saisit le dossier avec une assurance froide. Son regard passa brièvement sur les documents, puis elle se redressa, un sourire en coin. 

Griffe Rouge : « Froidement. » Merci. Ta mission est terminée. 

Vertigo fronça les sourcils, ses yeux passant rapidement entre le scientifique et Griffe Rouge, tentant de comprendre. 

Comte Vertigo : Hein ?! 

Avant qu’il ne puisse poser davantage de questions, le scientifique recula d’un pas, son expression nerveuse cédant la place à une attitude résolue et froide. 

Scientifique : Merci, madame. Je vais rentrer faire un rapport. 

Le choc fut palpable. Vertigo, d’habitude maître de lui-même, éclata soudainement de rage. 

Comte Vertigo : Tu…tu es… un traître !! 

Griffe Rouge croisa les bras, observant la scène avec une satisfaction évidente. 

Griffe Rouge : Ah, Vertigo… Toujours aussi naïf. Notre… mon contact, n’apprécie pas qu’on complote dans son dos. 

Elle fit un signe discret à ses hommes, qui resserrèrent leurs positions, leurs armes braquées sur Vertigo et ses subalternes. 

Griffe Rouge : Messieurs, vous savez ce qu’il reste à faire. 

Homme de Griffe Rouge : Oui, madame. 

Le bruit métallique des armes prêtes à tirer résonna dans la pièce. Vertigo recula instinctivement, son cerveau calculant fébrilement une issue possible. Ses propres hommes dégainèrent à leur tour, mais l’initiative semblait déjà perdue. 

Comte Vertigo : Attendez ! Vous ne comprenez pas… Je peux encore être utile à votre contact ! Ce liquide, cette formule, c’est moi qui l’ai rendue accessible ! 

Griffe Rouge : « Secoua la tête, dédaigneuse. » Utile ? Peut-être. Mais pas fiable. Et c’est là ton problème, Vertigo. 

Fin du chapitre 7 : Conséquences des actes. 


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