Alduin la dragonne piégée dans les Backrooms

Chapitre 6 : Longue "Nuit"

977 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 23/06/2023 00:35

Arsène visait le couloir sa mitrailleuse prête à tirer, les monstres se faisaient entendre de plus en plus fort, il réfléchissait et décidait de foncer prendre Alduin et la jetait dans la première porte qu'il trouvait et la refermait à clef, il décidait d'aller faire un repérage les cris de plus en plus fort alors qu'il marchait dans le couloir, quand soudain, il pouvait entendre le bruit d'une comptine d'enfants chantée, Arsène connaissait ces comptines, en fait il avait appris avec ses camarades à toujours les fuir s'il était seul, c'en était une, un partygoer.

-Putain de merde !

Il marchait dans un des autres couloirs gris quand il voyait un ballon de baudruche rouge flotter dans les airs se dirigeant vers lui doucement, Arsène savait que c'était là le signe, il avait moins d'une seconde pour agir et dans un réflexe il se baissait d'un coup.

IL a eu juste, en effet à ce moment là un bras avait essayé de lui attraper le bras, il sautait en arrière et voyait le partygoer, sa peau était d'un jaune foncé et d'une texture semblable a du carton mouillé", son visage semblait juste être des déchirures dans ce même carton formant des yeux et une bouche, l'ensemble de son corps était taché de sang ses bras n'avaient pas de main, mais des trous comme des bouches de lamproie.

-Oh la vache c'était pas très loin !

Arsène sait que si le partygoer le touche, il est fini, mais il était un exterminateur français et il ne pouvait laisser un partygoer en vie, ils étaient trop intelligents et dangereux pour les autres vagabonds des backrooms, si il se faisait toucher et "mordre" par les bras du partygoer, il se transformerait en un d'entre eux, il prenait son fusil. Le partygoer reprenait sa comptine et se mettait à chanter ce qui emplissait Arsène d'effroi, il s'empressa de prendre son arme et de tuer le partygoer mais lorsque le partygoer tombe au sol une nuée de comptines pouvaient être entendus, seulement des comptines, les autres cris avaient disparus, Arsène s'en rendait compte.

-Oh putain ils sont en pleine chasse de groupe, MERDE je dois revenir et me cacher là où j'ai mis Alduin.

Il se mettait à marcher lentement vers l'endroit où il avait caché Alduin qui devait encore dormir, il ne pouvait se permettre de courir pour une seule raison, les partygoers sont des entités intelligentes, capable de tendre des pièges, il se devait donc de vérifier chaque coins, chaque virages pour ne pas se faire attraper. il marchait avec la peur au ventre dans les couloirs et il entendait soudain une comptine commencer il se ruait se cacher sous une table et attendait que la bête passe, il était là sous cette misérable table dans ce couloir à prier qu'il ne le trouvasse point, alors qu'il faut sous la table le partygoer entrait dans son champ de vision et se rapprochait de sa position avec un cadavre dans les "bras", il marchait vers la table, l'angoisse, il s'approchait, mortifère, il s'arrêtait l'effroi. Il était sous la table lorsqu'il entendait un bruit lourd sur la table, le partygoer venait de poser le cadavre sur la table, il savait très bien ce que le partygoer s'apprêtait à faire, il allait faire un gâteau avec le cadavre, il entendait des bruits de déchirements, la chair s'entrouvrait, le sang coulait, il pouvait entendre le sang coagulé craqueler alors que les bruits de chairs se remuant dans les entrailles charnelles donnaient le concerto des horreurs, ce son, Arsène l'avait entendu alors que dans le niveau fun, il eut vu ses camarades de section se faire déchiqueter en live par ces partygoers, les souvenirs remontaient alors que quarante centimètres au dessus, sur la table, un cadavre était en train de se faire cuisiner en un gâteau par le partygoer. Les cris, les vies, les bras, les jambes, les têtes et le sang, il les revoyait couler et lorsqu'il vit du sang couler du haut de la table, le sang n'eu même pas le temps de toucher le sol que le cerveau d'Arsène lui faisait déjà entendre le bruit su sang tombant au sol, ce bruit, était si différent de celui de l'eau, le sang, plus épais, plus lourd fait un bruit plus épais lorsqu'il heurte le sol de ses macabres tâches. Arsène comme la dernière fois pleurait sous la table en silence, loin d'être un garçon émotif, sa plus grande peur étaient les partygoers et le macabre son le faisait trembler, une fois que le partygoer se fut acquitté de sa macabre besogne Arsène sortait de sa cachette et regardait la table où gisait un magnifique gâteau, qui allait roire que celui-ci était en fait un produit de chair humaine, il retenait ses vomissements et s'en retournait là où il l'avait caché, il ouvrait la porte et soupirait avec un grand soulagement à la vue de la dragonne endormie il s'asseyait mais soudainement un smiler apparaissait dans le coin sombre de la pièce, ses dents et ses yeux étant les seules choses visibles de son corps, son sourire tordu si ce n'est que chaotique, ces yeux le fixaient, Arsène savait comment faire avec eux il se mettait donc à fixer le smiler dans un long moment, il se sont regardés pendant des minutes entières avant que le smiler ne disparaisse à son tour. Arsène condamnait la porte et disposait des dispositifs éclairants dans la pièce et tombait de sommeil sur un coin de la pièce fusil en main, son uniforme taché de sang à cause de ses "rencontres" de cette Longue "Nuit".



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