Alduin la dragonne piégée dans les Backrooms

Chapitre 3 : Noir

1205 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 20/06/2023 23:34

Alduin continuait de marcher et se rapprochait d'un endroit de moins en éclairé, il y faisait de plus en plus sombre à mesure qu'elle avançait mais étant une dragonne elle voyait très bien dans le noir, elle continuait de marcher à mesure que la lumière se tarissait, elle se retrouvait soudain devant un mur avec écrit d'encre fluorescente "Vous qui venez là faîtes demi-tour cette zone est hors du champ d'action des exterminateurs français, pratiquement aucune régulation des entités n'est effectuée et le niveau de présence militaire est réduit à son strict minimum, vous êtes ici livré à vous mêmes, faites attention". Alduin ne sachant pas lire cette langue ne comprends pas, mais l'écriture manuscrite et l'alphabet du message lui laisse penser que des humains ou des êtres vivants on tenté de faire signaler quelque chose, un autre drapeau français était accroché au mur, le drapeau à un motif au milieu ressemblant à un cube. Elle avance et commence à marcher dans les ténèbres. Mais elle voit très bien dans la pénombre elle continue de marcher et ses yeux rouges commencent à émettre une lueur à mesure qu'elle avance, la pénombre est si totale que même sa vision nocturne n'est plus suffisante elle se retrouve obligée d'émettre une source de lumière pour avancer elle ne voit pas bien loin.


Alduin: J'ai l'impression d'être arrivée à une nouvelle zone de cet endroit, les lumières sont éteintes.


Elle continuait de marcher dans la pénombre et soudain elle voit au loin un sourire luisant et deux yeux blancs au loin, mais aucun corps juste un sourire, flottant dans les airs sans corps. Elle n'a jamais vu ça mais elle n'a toujours pas peur, la créature la plus puissante ici et non la proie de cette misérable créature, elle brûle donc cette créature qui agonise dans un cri de douleur extrêmement fort. Elle venait de tuer un smiler.


Alduin: Cette chose était bien plus faible qu'hideuse, si cet endroit veut m'effrayer, c'est en vain !


Elle rit avec arrogance, cette créature était si misérable, si faible, encore plus qu'un humain. Elle continuait d'avancer dans la pénombre et voyait des éléments glitchés des tables à moitié dans un mur, des chaises bugées des éléments physiquement impossibles comme si les lois de la réalité se distordaient et son cerveau n'arrivait pas à comprendre ces objets.


Alduin: Comment ? Quelles sont ces choses, c'est de la folie !


Elle décidait d'arrêter de chercher à comprendre ces objets et continuait de marcher et soudain elle entend des bruits qui viennent d'un couloir, elle s'y dirige et voit un Molosse, un vivant cette fois une espèce de mélange entre un chien et un humain, même pour une dragonne comme elle cette chose était déjà hideuse morte quand elle est arrivée ici mais alors vivante elle l'était d'encore plus. la chose la fixe dans les yeux et elle la brule.


Alduin: Encore une chose faible qui mérite de mourir.


Elle tente d'absorber l'âme de cette chose mais cela ne fonctionne pas, la chose, elle n'a pas d'âme, cela l'effraie.


Alduin: Comment, si cette chose n'a pas d'âme, cela veut dire qu'elle n'est issue d'aucun dieux, quel est cet endroit, dans quel pétrin ce fichu mage m'a-t-il mise ?


Elle continue d'avancer dans la pénombre. elle ne sait toujours pas où elle est, elle commence à se sentir seule, comment est-ce possible, comment une dragonne, une déesse, un être aussi parfait qu'elle soit dans un tel état, est-ce une faiblesse ? Non, impossible.


Alduin: Si seulement je pouvais voler, je veux voler, mes ailes sont repliées depuis trop longtemps ARGH j'en ai marre !


Ses cheveux gris émettent des cendres incandescentes résultant de sa colère et de sa frustration, elle veut voir le ciel, l'extérieur, elle refuse de se l'admettre. Alors qu'elle avançait elle arrivait dans une autre zone, où les néons du plafond sont cette fois allumés en rouge, et continue de marcher jusqu'à voir un ballon de baudruche rouge flotter dans une salle vide, elle commence à s'approcher du ballon.


Alduin: Bizarre ce truc est bizarre mais ça a l'air amusant, il flotte comme si il était plus léger que l'air.

Elle s'approchait du ballon mais soudain une voix lui crie dans une langue qu'elle ne connait pas mais qu'elle comprend tout de même quelle est cette magie ?


Arsène: NON FAIS PAS CA TU ES FOLLE


Avant même qu'elle ne se retourne un jeune homme portant un uniforme bleu foncé et une lampe torche, ainsi qu'un fusil à verrou militaire, et un casque avec dessus un sillon et à l'avant du casque métallique, un logo marqué "RF", il l'attrape et la tire en arrière de toute ses forces. Alduin hurle.


Alduin: Tu es fou comment oses-tu me toucher sale mortel ? Je vais te détruire, tu l'auras cherché.


Le jeune homme est surpris de sa réponse.


Arsène: Tu allais tout droit dans le piège d'un partygoer.........


Il s'arrête surpris commençant à voir ses ailes noires et sa queue ainsi que ses cornes, il se tourne et rougit un peu honteux d'avoir agi de la sorte.


Arsène: Tu sembles pas être humain comme moi, tu allais dans le piège d'un partygoer, et je t'assures que même si tu sembles très très puissante, tu devrais avoir peur des partygoers.


Il lui parle avec un sérieux d'acier mais aussi un indice de gène, Alduin le regarde curieuse. c'est quand même le premier être intelligent qu'elle croise ici, elle est énervée du fait qu'il soit humain mais elle se sent un peu gênée en le regardant, elle ignore ce sentiment et essaye de paraitre amicale, le fait qu'il ait fait ça pour la sauver lui plaît, même si elle est tellement puissante que rien ne puisse la tuer, elle sait parfaitement que ce jeune humain ignorait cela et avait agi en pensant à son bien, personne n'a jamais pensé à elle à Bordeciel, tout le monde essaie de la tuer, pour elle ce garçon est une bouffée d'air frais dans cet endroit si morose donc, un peu gênée elle tente de faire une approche amicale.


Alduin: Surveilles ta langue sinon je te brûles vif, insecte ! Je suis Alduin, la dévoreuse de monde, sois honoré de pouvoir voir ma beauté, tu ne verras nulle chose aussi parfaite que moi.


Elle souriait, elle venait de lui faire une salutation amicale de son point de vue mais voyant la réaction du jeune homme elle se rend compte que sa salutation est un fiasco total, elle regarde le sol un peu honteuse. Le jeune homme comprend quand même en la regardant qu'elle est pas "normale", il laisse échapper un rire nerveux sans oublier de ne pas quitter le ballon des yeux.


Arsène: Oui je la surveillerai, dans ce cas je suis honoré de me trouver en votre présence.

Les deux venaient de se rencontrer.


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