Histoires colorées de l'île Panorama

Chapitre 24 : Virus du rire

659 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 24/10/2020 23:35

Virus du rire

Combien de temps sa fait qu’ils sont contaminées ? J’ai oublié.

Mais je suis sur d’une chose : je suis le seul épargné.

L’épidémie a frappée d’un coup sans prévenir. Sa a touchée d’abord des gens d’autres îles, des gens qui vivent loin, avant de venir nous attaqués nous aussi. C’est un voyageur venu de l’île Mirage qui a amené avec lui la maladie. D’abord elle a contaminé Rodrigue et Morrisse, les dodo de l’aréoport. Et après, ça a été aux tours de ceux qui tiennent des boutiques, les hérissons et les neveux de Tom Nook. Et à force de faire du shopping, chaque habitants a finit contaminé.


A l’éxcéption de moi.

Pourquoi moi seul n’a pas été touché ? J’en sais rien. Mais même si je les ai cotoyé, même si je leur ai parlé avant qu’il ne deviennent des vrais zombies, jamais je ne suis devenu un monstre comme eux.

Leurs yeux devenaient rouge, injecté de sang, et leurs dents poussaient comme des crocs dangereux. Ceux qui ont des griffes les sortaient tout le temps et semblaient vouloir me dévorer dès qu’ils me voient. Leurs vêtements étaient tout déchirer, certain n’en portait même plus. C’était très dure de voir mes anciens amis devenir de vraie bête sauvage.

Je repense à mes amis. Même ma voisine, la plus gentille et adorable des animaux de cette île, est devenue une bête sauvage dangereuse qui ne mange plus que de la viande et boit du sang. Pourraient-elle croquer mes gros muscles avec son petit bec ? Je ne pense pas. Mais je préfèrerai qu’elle n’essai pas.

Est-ce qu’on aurrait pu voire sa venir ? Surement.

Le premiers symptome avaient était une grosse crise de rire. Ceux qui avaient été touchées ne faisait que rirent toute la journées. Sa ressemblait à ses histoires de crise de rire collective ou encore d’épidémies de danse que parlait des livres d’histoire. Sauf que c’était l’a vrai réalité véritables et que les livrent me servirait à rien ici.

Alors j’ai fabriqué mes haches et pelle et j’ai barricadé ma maison. Les bêtes ne sortent plus qu’à la nuit tomber. Je fais mes provision le jour et prie pour que mes planche ne cassent pas sous leur attaque. Et chaque jours je répare ce qu’il ont cassé et fait le pleins de nourritures.

Je ne sais pas faire voler d’avion alors je peux pas m’échappé de cette maudit île. Je fais des feu de camp, en espérant qu’un avion ou un bateau vient me trouvé. Je ne compte plus les jour, je me contente de les vivre les un après les autre.

Et ce que vous tenez dans vos patte ait l’histoire de ma survit.

Aurore reposa le manuscrit, un petit cahier à grands carreaux, petit format, dans lequel Reynald – qui se penchait vers elle avec excitation – avait écrit chacun de ces mots à l’encre, de sa patte hésitante et peu regardante sur les règles du français visiblement. Certains paragraphes avaient même été agrémentés de petits dessins, tout aussi maladroits que le récit en lui-même, d’ailleurs.

« Alors, demanda-t-il sans pouvoir contenir plus longtemps son enthousiasme, t’en as pensé quoi ? Pas mal pour un prologue, non ? Et je compte en écrire plein de chapitres, des tomes et des tomes !! Alors, répéta-t-il, c’est comment ? »

Face au silence de son amie, il renchérit.

« Je pense que je vais appeler la saga Virus du rire. Je suis sûr que ça se vendra super bien ! »

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