Le nouveau role de TK
Chapitre 4 : Le début des problèmes
1460 mots, Catégorie: G
Dernière mise à jour il y a environ 1 mois
Plusieurs semaines plus tard, TK fu réveiller par une caresse sur sa joue. Il ouvrit les yeux et malgré la pénombre encore présente dans la chambre, il vit Carlos devant son visage.
- Bonne journée mon cœur, dit-il la voix pateuse, devinant que son mari était prêt à quitter pour le travail.
- Jonah est déjà réveiller, expliqua Carlos en embrassant son oreille. Je l’entend babiller dans son lit.
TK grogna, encore engourdit par le sommeil, mais poussa tout de même les couverture et se leva. Il embrassa son mari et une fois la porte de l’appartement refermer sur lui, il rejoignit leur fils dans son lit.
- Il est encore tot bonhomme, dit-il en rabattant les couverture sur eux deux. Il serra Jonah contre lui et fit mine de s’endormir afin que l’enfant l’imite. Ce qui fonctionnait parfois. Mais TK senti un petit doigt tenter de lui ouvrir les yeux. Il souri malgré lui et embrassa son fils sur le front. Jonah se tortilla pour se débarasser des couverture ce qui fit pratiquement tomber TK du minuscule lit en forme de voiture.
- Alors ? Que veux tu faire aujourd’hui ? demanda TK au petit.
- Aller à la caserne, lanca Jonah
- Il est tot mon cœur. On irra plus tard, Judd et les autres doivent encore dormir. Que dirrait tu de pancakes pour le petit-déjeuner.
- Ouiii ! Avec du sirop et du chocolat !
- Du sirop et des fruits, ca irrait ?
Jonah fit oui de la tête, puis se leva et couru dans le coin du salon s’amuser avec ses jouets.
TK n’avais pas encore vu l’heure, et il aimais mieux ne pas regarder tout de suite. D’après la noirceur dehors, il ne devait pas encore etre 5h.
Plus tard dans la journée, il garra sa voiture dans le stationnement de la caserne. A l’arrière Jonah dormais paisiblement dans son siège enfant. Il ouvrit tranquilement la portière, craqua la fenêtre et s’adossa à la voiture le temps que le petit termine sa sieste. Il venait d’envoyer un texto à Carlos pour l’informer du planign de la journée quand l’ambulance arriva et recula dans la caserne. Tommy et Nancy vint immédiatement à sa rencontre.
- Ouff, ta vu ta tête, lanca Nancy en l’appercevant.
- Oui, ce matin dans le mirroir et j’ai fait la meme tête que toi, répondit TK
Tommy rigola
- Difficile matin, dit-elle
- Je ne peu même pas dire que c’était le matin quand je me suis lever. En fait je ne sais même pas si j’ai dormis. Entre une crise de larme pour une vingtième histoire, un verre d’eau à minuit et un réveil pipi à 2h. Mais, Carlos travail ce matin alors je me suis occuper de tout.
- Et c’est pourquoi ce p’tit bout de chou dors dans la voiture ce matin, rigola Tommy. C’est plus dure que tu ne le croyait ?
- Non, la fatigue je peu gérer. Le plus dur c’est de ne pas céder à tous ses caprices. Il me fait craquer à chaque fois avec ses petit yeux et il à tellement souffert… que j’ai peur de le décevoir.
- En attandant, je vais te chercher un café, lanca Tommy.
- Merci ! Tu me sauve la vie.
- Le petit monstre est réveiller, lanca Nancy en ouvrant la portière arrière.
Jonah, les yeux grand ouvert, se débattait avec sa ceinture pour sortir. A peine eu t’elle été détacher qu’il attrapa la main que Nancy lui tendait et gambada jusque dans la caserne.
Jonah, concentré sur son puzzle, tirait la langue en essayant de faire entrer une pièce qui ne rentrait pas.
— Celle-là, c’est pas la bonne, bonhomme, dit Judd avec un sourire.
— Si ! Je suis sûr que si ! répliqua Jonah, déterminé.
TK, adossé au mur, observait la scène avec tendresse. Voir son fils si à l’aise ici, entouré des gens qu’il considérait comme sa famille élargie, lui réchauffait le cœur.
— Papa, regarde ! J’ai fini le camion !
— Je suis impressionné ! Tu vas bientôt pouvoir remplacer Mateo sur les interventions !
Jonah éclata de rire. Puis son expression changea.
- Papa ! Dit-il en sautant de sa chaise.
Il courru vers Carlos qui arrivait avec une boite de beigne. Carlos déposa la boite sur un coin de table et attrapa son fils.
Il courut à toute vitesse vers l’entrée de la cuisine, où Carlos apparaissait, uniforme encore légèrement froissé, un sourire aux lèvres… et une boîte de beignes dans les bras.
— Hé, doucement ! Tu vas glisser, p’tit cascadeur, dit Carlos en posant la boîte sur un coin de table juste à temps pour attraper son fils lancé comme une fusée.
Il le souleva d’un bras assuré et le serra contre lui, l’autre main passant dans ses cheveux.
— Toi, tu m’as manqué aujourd’hui.
— Regarde ! On a fait un camion en puzzle avec Judd ! s’exclama Jonah en désignant fièrement la table.
— Waouh, tu progresses vite !
— Alors, qu’est-ce que j’ai raté ? demanda Carlos en rejoignant TK.
— Une tentative d’hypnose pour le rendormir à cinq heures du matin. Des pancakes négociés sans chocolat, un bricolage où j’ai eu à ramasser des paillettes partout sur le parquet, un bain qui à bien failli se terminer par un tsunamie et une sieste imporoviser dans la voiture…
Carlos grimaça en riant.
— T’as survécu sans moi. T’es un héros, toi aussi.
— Je le note. Et je réclame une médaille… ou un massage.
— On commence par un beigne, proposa Carlos en ouvrant la boîte.
TK s’en saisit d’un, pendant que Jonah en piquait discrètement un avec ses petites mains
— J’AI SENTI L’ODEUR DU SUCRE À L’ENTRÉE, s’écria Mateo, déjà en train de lorgner la boîte.
- Dépêche toit avant que Jonah ne les dévore toute.
Le reste de la bande approcha et dégusta la collation apportée par Carlos. Les conversations reprirent de plus belle
Et puis, soudain, une détonation.
Pas très forte… mais assez sèche. Assez proche.
Le silence s’abattit d’un coup. Tous se raidirent.
— C’était un pétard ? demanda Paul, fronçant les sourcils.
— Non… c’était trop grave, dit Carlos, déjà debout, ses instincts de policier en alerte.
— Ça venait de la rue, murmura Judd.
- Rester ici, lanca Carlos, la main déjà sur son arme de service.
TK se baissa instinctivement vers Jonah, qui s’était figé, la mâchoire serrée.
- On est tous en sécurité ici. Et papa Carlos sait ce qu’il fait.
Jonah hocha la tête, les yeux grands ouverts.
Judd attrapa sa radio
- Coup de feu possible, besoin de patrouille et possiblement de plusieur ambulance, dit-il.
Puis, la voix de Carlos se fit entendre dans la radio.
- Plusieurs victimes, le suspect c’est échapper. Je part à sa poursuite.
- Aller, lanca Judd. On à du boulot.
Judd attrapa sa radio d’une main ferme, son regard déjà tourné vers la sortie.
— Coup de feu possible, besoin de patrouille et possiblement de plusieurs ambulances, dit-il d’un ton grave.
La réponse ne tarda pas.
Carlos (à la radio) : Plusieurs victimes confirmées. Le suspect s’est échappé. Je pars à sa poursuite.
Un silence tendu s’abattit une fraction de seconde dans la caserne.
Puis Judd se tourna vers le groupe, les yeux acérés.
— Allez, on a du boulot !
Tommy attrapa son sac, Nancy déjà en train de faire tourner le moteur de l’ambulance. Les autres vers le camion de pompier.
TK sentit la montée d’adrénaline, mais son regard se posa immédiatement sur Jonah, toujours accroché à lui. Il l’attrapa dans ses bras et le serra un peu plus fort.
- Carlos court après un homme armé, et je suis coincé ici, dit TK en fixant la radio
- Ca va aller, lanca Judd en lui serrant l’épaule avant de grimper dans le camion
Jonah, les yeux ronds, leva la tête.
— Papa Carlos est parti attraper un méchant ?
TK baissa les yeux vers lui.
— Oui… mais il est très fort. Et il n’est pas seul. Les autres policiers sont en route aussi. Et nous, on garde la base.
Jonah hocha la tête avec sérieux.