Rien qu'une fois.

C'est décidé, je lui dirais tout ! Même si elle me rejette, je continuerais à l'aimer. D'un pas décidé, je pris la poignée de la porte, et l'ouvris.

-M. Kiryu nous fais l'honneur de sa présence, râla le professeur.

Je l'ignorais et cherchais de yeux, la seule personne que je désirais voir, Yuuki. Je la trouva, elle était confiné dans un coin de la pièce, les yeux rivés sur son cahier. Il n'y avait personne à côté d'elle, je pris donc la place à côté.

Je la regardais, elle m'ignorais.

-Yuuki, pourquoi me fuis-tu ? Ai-je fais du mal ? murmurai-je.

Elle me fixa puis répondis:

-Tu n'as rien fais Zero, mais je ne peux pas te révélé cette vérité.

-Je t'en prie, dis-moi tout.

Elle secoua la tête en signe de négation.

Nous fîmes semblant d'écoutés le professeur. Puis la clôche retentit, nous devions aller faire régner l'ordre pour la Night classe.

Aussitôt sur les lieux, Yuuki souffla dans son sifflet et s'exclamai:

-Du calme ! Veuillez laisser passer les élèves !

Les autres reculèrent, mais criaient toujours.

Je fis reculé quelques filles de première année et apperçu Kaname Kuran.

Je sentis la haine qui bouillonnais dans mes veine et remplir ma bouche. Je vis Yuuki, aller salué Kaname.

Celui-ci lui sourit puis me fixa. Je ne baissais pas le regard au contraire nous nous fixâmes un bon moment.

Le soir ne tarda pas à arriver. Le silence régnait à table.

-Arrêtez donc de vous faire la tête et mangez se que vous à preparé papa ! rouspeta le directeur.

Yuuki et moi fixâmes le bol de riz, chaud. je n'ai jamais protester mais là...

-Je n'ai pas faim, je vais faire une ronde.

Sur ce, je me levais et laissais en plan le directeur et la femme que j'aimais.

Je ne savais pas si elle aussi était parti mais j'entendis M.Kurosu s'exclamé.

J'arrivais à la fontaîne, j'eus un choc en découvrant Yuuki, assise.

-Je voulais te parler. dit-elle calmement. Je...

Sans réfléchir je me jetais dans ses bras. Je voyais déja son regard étonné.

-Ne dis rien. murmurai-je à son oreille.

Son coeur battait à la chamade, se doux son qu'emmetais son corps ne faisait que renforcer mon amour.

Doucement je fixais son visage, ses yeux brun, plongeaient dans les miens. Ses mains se placèrent sur mon visages à l'instar des miennes.

Lentement, ses lèvres s'approchèrent des miennes. Je posa mes lèvres sur les siennes. En cet instant, nos liens ne faisaient plus qu'un.

-Je t'aime, soufflai-je en rompant notre baiser.

-Je t'aime aussi Zero, et sa fait longtemps.

Je lui souris et replongea vers sa bouche.