Transformation

Chapitre 12 : Jane, Sylian et Alice, ou bien Edward et Bella (lemon lemon XD)

Catégorie: T

Dernière mise à jour il y a plus de 8 ans

Chapitre 11

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Jane, Sylian et Alice, ou bien Edward et Bella (lemon lemon XD)

(titre pourri, désolée ^^)

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P.O.V. Alice :

Bella me manquait. Bella me manquait horriblement. A peine dix heures qu'elle était partie loin, loin, loin, et elle me manquait déjà à en mourir (une seconde fois...) Mais je n’allais pas me laisser abattre ! J'observais Sylian du coin de l'œil. Ma jeune compagne était, comme toute vampire qui se respecte, époustouflante de beauté. Sa peau était aussi blanche que la mienne. Ses cheveux couleur ébène encadraient son magnifique visage en forme de cœur qui souriait sans arrêt. Une chose pourtant me dérangeait. La malice qu'on lisait dans ses yeux était comparable à la mienne, certes, mais on sentait également comme une aura de sagesse et de savoir émaner d'elle.

Je me reprenais et scrutai le couloir. Personne.

— Vite ! suppliai-je, elle va revenir.

Sylian posa un doigt pâle sur sa bouche avant de reprendre la poignée de la porte. Elle fronça les sourcils et un "clic !" retentit. Elle actionna la poignée sans que je ne sache comment elle avait fait pour la déverrouiller et entra dans la chambre de Jane. Je me rapprochai de la porte pour voir ce qu'elle allait faire. Elle observa la chambre un instant, mémorisant le moindre détail et passa à l'action. Les vampires, surtout les filles, ont toujours pris des douches, bien que cela leur soit inutile. Nous étions folles des douches et des bains qui adoucissaient notre peau et faisaient briller nos cheveux.

J'entrai à mon tour et je fis mon boulot : tourner en rond dans la chambre jusqu'à ce qu'une vision me vienne. Sylian s'attaqua à la trousse de toilette de la Volturi. Elle sentit plusieurs flacons, en choisit trois et en vida un dans l'une des bouteilles que nous avions prises. Puis, elle intervertit les contenus de deux autres : le dentifrice à la place de la crème hydratante à appliquer avant le fond de teint. Le shampooing dans le dentifrice, et de l'eau oxygénée pour décolorer ses magnifiques cheveux bruns. De toutes manières, cette gamine était bien trop odieuse pour mériter d'être belle !

Quand Sylian eut fini, elle me fit un clin d'œil.

— Voilà des centaines d'années que j’attends se moment de rabattre le caquet de cette oie, me confia-t-elle en murmurant. T'as une autre idée pour la faire enrager ?

Je réfléchis. Qu'est-ce qui pourrait faire enrager cette peste ?

— Tu as du film plastique ?

Sylian fis des yeux ronds.

— Quoi ? Ben... attends-moi, je reviens avec du matos.

Je tournai les talons avec la ravissante vision d'une Jane tremblante de colère. Dans notre grande cuisine, Esmée avait eu la très bonne idée d'installer tout un stock de matériel. Je m'emparai du rouleau complet, en plus d'une vieille banane toute noire. Puis, je fis un tour à la salle de bain et en ressortais avec le plus puissant dissolvant dont je disposai. Si Jane était telle que je le pensais, elle était plutôt du genre à ce mettre du vernis entre autres choses.

Je revenais dans la chambre ou Sylian continuait son affaire. La plupart des lattes du lit de la Volturi avaient été retirées et Sylian les empilait pour allé les cacher. Je m'occupai d'abord de tous les vernis de Jane. Le dissolvant que je mettais à l'intérieure empêcherai ses ongles de sécher. Puis, je trafiquai la lampe pour qu'elle ne fonctionne plus. Je tendis alors le film plastique devant la coiffeuse de la garce et plaçait plusieurs morceaux de ma peau de banane devant, histoire que la Volturi finisse dans la toile invisible.

— Bon boulot ! s'exclama Sylian quand nous eûmes fermé la porte.

Nous rigolâmes et nous enfermâmes dans ma chambre. Sylian déposa les lattes du lit de Jane par terre et sauta sur mon lit. Qui s'effondra.

— Merde !

Je l'aidai à se relever et soulevai le matelas : plus trace de mes lattes !

— Prises à notre propre jeu, maugréai-je.

Sylian haussa les épaules.

— Vérifie tes vernis et les murs invisibles, s'esclaffa-t-elle.

Heureusement, la malice de la vampire n'était pas allée jusque là.

— Arggg !!

La personne qui avait crié se trouvait de l'autre côté du couloir. Sylian et moi échangeâmes un regard. Jane était tombée dans notre piège. Nous éclatâmes de rire.

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P.O.V de Bella :

Notre chambre d'Hôtel était magnifique. A tel point que je soupçonnais Edward d'avoir prit la plus belle des chambres présidentielles.

— C'est le paradis, murmurai-je.

Edward colla sa bouche contre mon oreille.

— Si tu veux le paradis, Bella, c'est maintenant que tu décide, sinon, ce sera l'enfer par le damne.

Je lui jetai un regard noir, horripilée qu'il ait osé interrompre ma rêverie, par ce genre d'ignominies en plus !

Pour se faire excusé, il me vola un baiser. Ses bras enserraient ma taille, mais mon dos reposait contre sa poitrine. Sans me mettre face à lui, il cribla mon cou de baisers plus tendres les uns que les autres. Ses mains froides remontèrent sous mon T-shirt, caressèrent mon ventre, découvrirent mon nombril, s'y attarda, repartit à la chasse. Quand il atteignit ma poitrine, il hésita une fraction de seconde, une ! Ses mains habillent vinrent détacher mon soutien-gorge. Depuis le temps que j'attendais ça !

— Dis-moi si ça ne va pas, supplia-t-il presque.

Pour tout réponse, j'enlevai mon top, fis tomber mon soutif, et me retournai face à lui. Aucune expression sur son visage, juste un désir ardent qui rayonnait dans ces yeux, mêlé à l'amour profond qu'il me portait. Je détachai les boutons de sa chemise, la fis glisser à terre et me collai contre son torse nu. Edward me souleva de terre avec sa douceur accoutumée et me déposa sur le lit. Il s'assit sur mon ventre et me contempla avec amour. Il prit une de mes mains dans la sienne, plongea ses yeux dans les miens, et joua avec une mèche de mes cheveux. Il la trifouilla pendant plusieurs bonnes minutes, augmentant davantage mon impatience.

— Edward, suppliai-je.

Mon vampire approcha sa bouche de la mienne avec une lenteur mesurée. Lorsque j'approchai mes lèvres, les siennes reculaient bien loin. Il me fit son magnifique sourire en coin et approcha sa main de mes lèvres. Il en fit soigneusement le contour, puis y colla les siennes. Nous échangeâmes un baiser. Long et langoureux. Je ne le laissai s'éloigner qu'à regret. Nous n'échangeâmes aucun mots. Nos regards nous suffisaient. Edward m'embrassa à nouveau. avec encore plus de force, et plus d'amour, tellement que j'en perdis mon souffle. Il délaissa mes lèvres au profit de mon visage. Il ne manqua aucun centimètre de peau. Le front, les yeux, les joues... la gorge. Il y frotta le bout de son nez. Mes mains dans ses cheveux, je ne pensai à rien d'autres qu'à lui.

Ses mains se posèrent sur mes hanches nues, remontèrent jusqu'à mes seins. Ses mains froides les emprisonnèrent, sa bouche les attaqua sauvagement. Il continua son ascension. Tandis que ses mains se baladaient toujours sur ma poitrine, sa bouche descendait vers mon ventre et mon nombril. Il ne pesait rien sur moi. et bizarrement, bien que son corps soit pure glace, la sueur perlait à mon front. Edward s'attaqua à mon bouton de pantalon et me jeta un regard interrogatif. Je pris son visage dans mes mains et nous échangeâmes un regard plein de confiance, d'amour, de tendresse. Que j'étais heureuse d'être sa femme, de partager sa vie, et de rester avec lui jusqu'à ce que l'éternité finisse.

Edward retira mon jean en douceur...

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P.O.V. d'Edward :

... dévoilant les jambes de ma bien aimée. Nous attendions ce moment depuis si longtemps, mais aurais-je assez confiance en moi pour aller jusque là ? Aussi proche d'elle que je l'étais à ce moment, ma plus grande peur était de perdre le contrôle de moi-même, de m'enivrer de son sang, de céder à cette pulsion que je savais si meurtrière... Et elle ? Serait-elle assez forte pour supporter la souffrance du toucher d'un vampire... mêlée à ce plaisir ? Bella me regardait et je voyais dans son regard tout l'amour qu'elle me portait, celui là même qui brûlait à cet instant dans mon cœur glacé.

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P.O.V. de Bella :

Edward sembla hésiter une fraction de secondes. Je caressais ses cheveux, touchai sa peau marmoréenne, lui redonnai confiance et courage en lui, lui transmettant tout mon amour. Cette fois-ci était la première pour moi. Peut-être ma dernière, sûrement, même. Du moins en tant qu'humaine... Je ne pouvais laisser passer cette envie. Edward avait enlevé mon dernier vêtement, et s'était déshabillé. Quand il remonta jusqu'à mon visage, son corps glacé collé au mien, je ressenti un immense désir, incontrôlable, beaucoup plus fort que tout ce que j'avais jamais ressenti.

Edward commença a bouger au-dessus de moi. Il enchaîna baisers, va-et-vient et caresses. Son toucher me rendait brûlante de fièvre, la fièvre d´amour. Mon dos se couvrit de sueur, mon souffle s'accéléra, mes jambes se crispèrent. Dans un geste incontrôlable, mes mains parcoururent ses cheveux cuivrés, ses épaules musclées.

Edward aussi avait le souffle court. Ses lèvres ne cessaient de caresser les miennes, mon visage et mon cou, de murmurer mon prénom, de me dire qu'il m'aimait. Bientôt, ses mouvements s'accélérèrent, se firent plus violents. D'un geste doux, il fit en sorte que mes jambes s'écartent. Alors, je ne pus retenir un cri.

À cet instant ne subsista plus qu'une chose : Nous. Ce serait nous cette nuit, tout comme ce serait nous toute la vie, toute l'éternité, tant que subsisterait en nous une once d'amour inébranlable...

Mais il me maquait quelque chose. D'une pression de mes jambes enroulées à son torse, il tomba sur le dos, moi sur lui. Cette fois, j'entamais une sorte de danse au-dessus de son ventre. Danse qui dura l'éternité...

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