Wolfpup

La meute est en cours quand chacun de leurs téléphones se mettent à sonner. Ceux dans la même classe se regardent paniqués avant de sortir leurs portables sous les offuscations de leurs professeurs. Ils sortent presque tous en même temps de leurs salles de classe pour tous finir dans les voitures qui les ont amené le matin même.

Stiles, Danny, Jackson et Boyd sont les quatre conducteurs qui mènent la meute à l’ancienne maison des Hale.

Ils eurent à peine le temps de sortir de la voiture que Derek mis dans les bras d’Isaac Cassiopée et Ian dans ceux d’Erica avant de se mettre à courir, rapidement suivit par Boyd et Scott.

Puis ils se rendirent compte du feu. De la ruine entrain de terminer de brûler et de tomber en morceau.

Puis ils entendirent les sirènes des pompiers et des flics arrivant sur la scène.

Lydia donna trois ordres simples : Isaac et Erica partirent en voiture au loft ; Allison et Stiles allèrent parler aux flics, en espérant que John arrivent à faire partir rapidement les forces de l’ordre en voyant la meute sur place, ou du moins le plus gros ; elle, Jackson et Danny se mirent à fouiller les environs en essayant de trouver des traces du pourquoi du comment de ce feu.

Par chance, et surtout parce que John ne voulait pas mêler ses agents plus que ça au surnaturel, les policiers partirent rapidement hors le père de Stiles et son second, un certain Parrish qui était au courant du surnaturel depuis longtemps.

Les pompiers éteignirent le feu rapidement et firent leur propre tour pour vérifier d’où venait les flammes.

« On a pas besoin d’une déclaration d’incendie criminel. » grommela Stiles dans sa barbe, auquel son père lui donna une petite tape derrière la tête et Lydia une pichenette dans le bras.

« On fera dans les règles, comme toujours. » murmura-t-elle entre les dents, tout sourire quand une des pompiers lança un regard vers eux.

« Pas de nouvelles de Derek ? » reprit-elle, le reste de la meute secouèrent la tête en coeur.

Elle regarda Jackson en espérant qu’il entendait quelque chose mais il secoua également la tête. Elle poussa un soupir.

« Ok. Allichérie j’ai besoin que tu appelles ton père, Danny, j’ai besoin que tu entres dans le système des pompiers ce soir pour avoir leurs infos. Jackson, va trouver notre chef et ramène lui et les autres au loft. Stiles, tu vas à la maison prendre des affaires pour tous le monde et tu scelles la baraque, magiquement et pas magiquement. Je ne veux personne dans cette maison après ça tant qu’on a pas les coupables. Compris ? » ils acquiescèrent « Alors go. »

John et Parrish la regardèrent de manière ahuris et la meute aurait sûrement rit si le moment n’était pas à la crise et à la défense.

« Est-ce qu’on peut aider ? » demande tout de même le père de Stiles et la rousse lui sourit.

Un sourire qu’on donne aux enfants quand ils posent une question à un sujet auquel on ne leur donne pas de réponse. Il n’aime pas trop ça.

« Vous faites déjà tout votre possible pour ne pas ébruiter notre venue et notre lien avec cette maison, cela est suffisant. Les recherches qu’on vous a demandé non rien données n’est-ce pas ? »

Derek avait demandé au Sheriff de faire des recherches sur la meute d’origine des petits. Mais ni lui ni Chris n’avaient trouvé quelque chose. Que ce soit le nom, l’endroit de vie. Il n’y avait pas eu vent de massacre d’une grande famille ou d’un grand nombre de personne.

Les deux hommes en avaient conclus par une disparition d’une meute cachée dans les forêts. Voir même de personnes n’ayant jamais appartenu à n’importe quels registres, loi ou autre.

« Non, rien de nouveau de mon côté. »

Elle acquiesça avant de dire au revoir aux deux hommes, rejoignant Allison et Danny qui l’attendaient devant la voiture de Jackson. A peine ils rentrèrent dans la voiture que la brune appela son père et qu’ils disparurent dans la forêt.

« On est d’accord ce sont des gamins ? » demanda Parrish, toujours ahuris par la prestance de Lydia.

« Des gamins qui ont survécus à beaucoup de choses dont tu n’es pas au courant. Qui avaient enfin réussi à avoir un peu de paix avant de devoir retourner en guerre. »

John soupira, se frottant le front.

« Il est p’être temps que nous ayons une discussion à propos de ma ville ces dernières années Jordan. »