Équilibre

Chapitre 1 : La chute des étoiles

475 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour il y a 17 jours

(juste mon personnage, s'appelle Doremi Harukaze pour deux raisons, je suis nul a trouvé des nom original, et que j'aime bien appeler mes héroïnes de jeux vidéo Doremi)


La nuit tombait sur Tokyo. Un ciel zébré de gris, où les étoiles semblaient s’effacer derrière des voiles de fumée. Les sirènes hurlaient dans le lointain, une alarme d’urgence retentissait à intervalles réguliers, sinistre et froide. Le ciel était déchiré… littéralement.




Doremi Harukaze, dix ans à peine, courait dans les ruelles sombres, ses pieds nus frappant le béton sale, habillé d’un simple pyjama.


Autour d’elle, les immeubles tremblaient, certains s’effondraient dans un fracas de poussière et d’acier.


Elle n’était pas la seule à fuir : des familles entières couraient, se cachaient, pleuraient, mais aucune trace de sa famille a elle, elle était seule.



Seule depuis que ses parents avaient disparu dans la foule.


Seule depuis que ce vaisseau était apparu au-dessus de la ville, vomissant des machines étranges et des droïdes sans visage.



La Fédération du Commerce, apprendra-t-elle plus tard.



Ce n’était pas la guerre, c’était une extermination.



Doremi n’était pas une héroïne. Elle n’était qu’une fillette têtue, maladroite, rêveuse, qui rêvait de sorcière.



Elle trébucha et tomba à genoux sur l’asphalte. Le sang perla sur ses paumes écorchées.


Elle se redressa, haletante, et leva les yeux. Un vaisseau étrange, gigantesque, flottait au-dessus du quartier.


Des chasseurs volaient en formation serrée, les force de défense japonaise qui se battait encore, dans un combat perdu d’avance.



des soldats des forces de défense japonaise avait rejoint Doremi, elle regardait un soldat du nom d'Itami, se faire trancher en deux parties part un sabre de lumière aussi rouge que le sang.



Un éclair de lumière frappa une tour. L’explosion illumina brièvement le visage d’un homme vêtu d’une longue cape sombre.


Il descendait calmement, entouré de gardes, et Doremi sentit un frisson la parcourir.



Il s’arrêta, la regarda. Comme s’il avait trouver quelque chose de curieux.



— Intéressant, murmura le Comte Dooku.



Il n’y avait dans sa voix ni menace, ni pitié. Juste… de la curiosité.



Doremi ne bougea pas. Elle n’en avait pas la force. Il s’approcha et tendit la main, Doremi ne compris se qu’il a dit ensuite, juste que c’était une invitation.



— Tu es seule. Abandonnée par les tiens. Le monde que tu connais est détruit… mais tu peux apprendre à survivre. À être forte. Je peux t’y aider.



Elle voulait refuser. Elle voulait courir. Mais ses jambes refusaient d’obéir. Son cœur battait trop vite.

Alors, elle tendit la main.


Et tout changea.

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