J-2

Pour être honnête, je ne sais pas ce que j'ai en ce moment. Déjà que Takano-san occupait toute mes penser mais là, c'est pire,Je lui souris sans réfléchire,je le fixe sans m'en rendre compte.....c'est tous simplement une catastrophe.

Je suis en ce moment dans la salle de pause avec un café et je me casse la tête a penser à lui. Déjà que le Takano-san d'il y a dix ans hantait mes rêves mais maintenant, c'est celui d'aujourd'hui que je vois dans mes rêves, Pourquoi ? Je en veux pas penser a lui vingt-quatre heures sur vingt-quatre, je ne veux pas voir ses yeux noisette me fixer avec cet air toujours aussi sérieux, c'est tellement......embarrassant et puis sa voix.....:

-Onodera ?

Sa voix à la fois grave mais douce, qui me fait frissonner a chaque fois que je l'entends:

-hé...Onodera !

-.....!

Je reviens à la réalité en entendant des doigts claquer devant moi. je tourne la tête pour voir qui est la personne qui me dérange. Je découvre deux yeux noisette qui se sont posés sur moi avec un air très solennelle. Je ne peux réprimander le sourire qui s'affiche sur mes lèvre et dit gentiment:

-tien, Takano-san, c'est pourquoi ?

Les joues de Takano-san devinrent légèrement rouge, "il est trop adorable comme ça" pensai-je.

Un choc dans mon cerveau, me fit réaliser mes gestes et mes pensées.J'efface tout de suite mon sourire, dirige ma tête vers mon café et corrige mon ton:

-qu'est-ce que tu veux ? Dis-je avec un ton plus dur

-J-je voudrais que tu face des photocopies pour la réunion, me répondit-il un peu déstabilisé.

-d'accord, pas de problème, je finis vite mon café et j'y vais.

-je vais en profiter pour prende ma pause aussi.

Il partit vers le coter fumeur, surement pour fumer, je vois pas ce qu'il pourrait faire d'autre. Je finis vite mon café et vais tout de suite faire les photocopies sinon, j'en connais un qui vas me casser les pieds si je ne me dépêche pas.

Le soir arriver, je rentre, comme tous les soirs, avec Takano-san. On est voisin et il insiste pour que l'on rentre ensemble.

Je suis vraiment crever, il est vingt-deux heures du soir, j'ai travaillé comme un malade, parce que c'est la dernière ligne droite avant les fêtes de Noël donc, je suis vraiment exténuer, j'espère que Takano-san ne compte pas me faire passer une nuit de fou parce que je ne tiendrais pas et puis j'ai envie de me reposer. Une ambiance lourde flote au-dessus de nous alors que nous sommes assis, l'un a côté de l'autre, dans la rame du métro presque vide, les deux, trois, personnes qui sont là dorment:

-au faite, commence Takano-san, tes pas un peu bizarre en ce moment ?

-quoi ?

-je veux dire, tu me souris, tu me parle plus gentiment et répond moins quand je te taquine, il tes arriver auelaue chose ?

-c'est quoi ça? Il me faut  ta permission pour être gentil ? Dis-je agacer

-ou alors, t'as décider d'accepter tes sentiments pour moi mais t'as peur de faire ta confession.

-Pffff.....n'importe.....

J'allais dire qu'il se faisait des idées mais, quand on y réfléchi bien, sa expliquerais pourquoi je pense trè très souvent, et mêm trop a Takano-san:

-attend, j'ai raison?

-pas...p-pas du tout.....

-tu mens, je le vois, tes tout rouge.

-je te dis que c'est faux!! Alors arrête de me casser les pied !!

-chuuuuuuut! Parle moins fort, on t'entend a des kilomêtre.

Qu'est-ce qu'il m'énerve, faut toujours qu'il se la ramène, des fois j'aimerais aussi le rabaissé pour voir sa réaction. Je suis sûr qu'il rougirait autant que ce matin. Quand je revois son visage adorable, légèrement rouge, je sourie avec nostalgie, si sulement il était plus expressif, il serait plus souvent adorable:

-tien, tu vois, tu souris encore, me taquine Takano-san

-Hein ? tu disais ?

- alors tu était dans les nuages ? Tu pensais à quoi?

-à rien....je pensais à rien....

-allez, dis-moi ce que tu penses.

-je t'ai dit que je ne pensais a rien alors, arrête, t'es lourd.

Le métro s'arrêtre et ses porte souvre, ouf...sauver par le gong. je sors et prend la route qui mène jusqu'à chez moi. Takano-san, toujours derrière à me demander de lui dire à quoi je pense

Je suis rentré dans l'imeuble et Takano-san continue a me casser les oreilles:

-alors.....tu me dis a quoi tu penses.

-ça va !!! Tu m'énerve! à quoi sa te sert de savoir a quoi je pense ?

-c'est pour savoir si c'est a moi que tu penses, comme ça, sa comfirmeras mes doutes.

Je reougie violement a ses parole, il veut vraiment savoir ça, je ne peux pas lui dire. alors que je tourne la clé dans le serrure , je lui dis:

-tu le s'auras peut-être dans quelques jours.

Takano-san reste figé, j'ouvre et referme ma porte, a clé parce que si Takano-san a la bonne idée de me faire passer une de c'est nuit, disons...."HOT", je risque de ne pas pouvoir me lever et en plus je vais être crever.

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Voilà, c'était le premier chapitre, je compte en faire trois, voire quatre.

Je préfère Onodera comme ça, il est plus mignon, parce que, je vous jure que dans tous les personnages de Sekaiichi Hatsukoi, c'est celui que je déteste le plus, il c'est pas capable d'accepter ses sentiments, il est vraiment obstiner et j'ai qu'une envie, quand je le vois, c'est de le gifler enfin bref, j'espère que ça vous a plus.

Je m'excuse pour les fautes d'orthographe.