Amour Parallèle

Kriss avait passé plus d’une semaine à se morfondre. Pierre l’interdisait tout simplement de voire Yuya, elle avait toujours rêvé de pouvoir faire un duel avec ses héros préférés même si son favori était Yusei. Elle se sentait un peu mal mais décida pour ce changer les idées de sortie dehors pour prendre l’aire.

Pendant qu’elle se promenait elle vit encore cette étrange personne qui lui paressait tellement familière au coin d’une rue.

« Cette fois tu ne vas pas m’échapper » se disait-elle intérieurement.

Elle commença à le suivre discrètement pour pouvoir savoir qui c’était enfin. Elle le suivie un moment dans tout Méanville, puis il alla dans un café. Elle se dit que c’était le moment de l’accoster, elle s’approcha de sa table et se figea en voyant qui était cette personne…

« Non c’ c’est p pas possible… N ? » Elle n’en revenait pas, N était là… sous ses yeux… Ses yeux gris-bleu, ses cheveux vert clair, son teint pâle, oui c’était N sans au qu’un doute.

Elle hésita à aller le voir, après tout c’était la personne qu’elle aimait le plus au monde. Elle commença à devenir toute rouge, son rythme cardiaque accéléra et eu d’un coup mal à le tête. Son mal aise la fit s’évanouir en plein milieu de la rue devant N qui se précipita sur elle en la voyant tomber.

Quand elle se réveilla, elle se trouvait dans une grande chambre de style très moderne, elle n’était pas chez elle ou à l’hôpital. Quand elle se redressa pour mieux voire où elle se trouvait, elle vit N qui était à son chevet avec un grand sourire en la voyant se relever.

En le voyant tout sourire, elle crut qu’elle allait de nouveau s’évanouir mais N la rattrapa juste à temps :

« Oulà !… Est-ce que tout va bien ? Tu m’as fait une peur bleue tout à l’heure en t’écroulant dans la rue juste devant moi… si ta besoin de plus de temps pour te reposer tu peux rester ici encore un peu (avec un air reposé) »

« hheeeuuu… n-n-non non non N ca vas… vraiment j-j-je vais pouvoir r-r-renter c-c-chez moi ! Non vraiment merci ! (Je dis cela en bégayant tellement qu’on aurai dit qu’un train passait juste à côté de moi) »

 Il mit sa main sur mon front pour voire si je ne mentais pas, mais malheureusement je me sentais mal depuis ce matin et ce mal aise de tout à l’heure ne ma pas vraiment aidé.

« Mmmhhh… tu as un peu de fièvre, tu vas rester ici jusqu’à nouvelle ordre (me disant cela avec un petit sourire narquois) Ne t’inquiète pas, j’étudies un peu la médecine humaine. Mais sinon comment tu connais mon prénom ? »

Il y a eu un blanc pendant quelques secondes le temps que je trouve un réponse, car répondre « enfaite je te connais via un jeux, car je viens d’un autre monde où les pokémon n’existe que sous la forme d’un jeux et tu étais l’un de ces personnages et aussi je suis éperdument amoureuse de toi ! » non ce serai totalement ridicule.

Mais avant que je n’ouvre ma bouche il reprit la parole.

« Ce n’est pas grave, c’est peut-être ton intuition féminine qui sait ! On dit que ceci et plus puissant que l’univers haha (en disant cela avec un sourire moqueur et un petit rire)… Bon je vais allez préparer le déjeuner, si il y a le moindre problème appel moi, je serai dans la pièce d’à côté ! »  

Je répondis tout simplement avec un sourire, puis il sortit de la chambre. J’étais assez faible, je décidais donc de me reposer 5 secondes le temps de me remettre de toutes ces émotions.

Après 30 minutes, N m’apporta un plateau avec une cannette, un plat avec un steak carbonisé accompagné d’haricot vert mal cuit. La vue de ce plat raté me fit sourire et lâcher un petit rire, N, lui par contre était un peu gêné :

« Désolé ! C’est la première fois que je cuisinais (avec un air un peu déstabilisé) Il faut croire que je n’ai pas eu la chance du débutant (avec un rire gêné) j’espère au moins qu’il te plaira ! Mais sinon ton nom c’est Kriss ? Tu es le maitre de la ligue ! »

« Oui c’est bien moi (tout en mangeant son plat qui n’était pas si mauvais) je ne suis pas vraiment sur de mériter ce titre mais je fais mon maximum pour rendre heureux mes pokémons ! (Avec un air joyeux) Sinon ton plat n’est pas si mauvais il est même assez bon ! »

On discuta pendant un long moment de tout et de rien puis le soir venue, avant que je ne rentre chez moi on échangea nos numéros puis je rentrais chez moi encore toute retourné d’avoir parlé avec N.