Peter Pan, film de 2003 : Notre Histoire
Chapitre 2 : "Le Pays Imaginaire"
Pendant ce temps, près du ciel bleu marine remplis d'étoiles brilliantes, le temps traversa la deuxième et célèbre étoile à droite et tout droit jusqu'au matin dans un long et grand courant aérien, On pouvait aperçevoir la grande valée de Neverland. On raconte que à chaque fois qu'ont étaient présent sur cette 'ile toutes les mauvaises pensées disparaissaient, ce pays avais aussi des proportions magiques pour ça, et ils fesait oublier tous soucis extérieur à quiconque s'en approchait. Mais; une personne en particulier n'était pas épargné en ce qui concerne cette régle de l'imaginaire. L'ile était bien différente par rapport à la dernière fois ou les enfants Darling étaient venus, l'ile était moins agité qu'avant. Un silence régnait sur le Pays, recouvert petit à petit de ténèbres.
Dans un coin de la forét près du Lagon aux sirènes en observant les lieux la nature n'avait plus aucune connection avec le Pays de l'enfance, et méme si on pouvaient faire ce qu'on voulaient quant on avaient envie; le calme y régnait de plus en plus... Et méme chez les sirènes qui devrait étre normalent un endroit agité. En srcutant les environs du lac et de l'imense forét des colines, la mer était calme, trop clame... Il n'y avait méme pas de vague près des falaises, c'était désert. Les sirènes ne remontaient plus à la surface depuis quelques temps, elles restaient dans les profondeurs, et préféraient plutot y rester pour ne pas assister à ce qui se passait sur la terre ferme, c'est-à dire un bien triste spectacle. Néanmoins il y'vait une silhouette qui attirait quand méme l'attention, il y avait un jeune garçon au cheveux blonds couleur d'or; qui était assis sur un rocher du lac. Ont voyaient bien que sa fesait un moment qu'il était ici. Ce garçon était replié sur lui-méme et regardait avec mélancolie vers l'horizon... Ce jeune homme c'était Peter Pan !
Cela fesait déja 1 an que le calme régnais sur le Pays Imaginaire, l'ile variait en fonction de l'humeur de son maitre et Peter n'allait apparemant pas bien. Et plus rien ne l'intéressait dans son monde. Les pirates avait déja déserté l'ile depuis un moment, juste après la mort du Capitaine Crochet; dévoré par Le Crocodile. La petite fée Clochette était tombé malade, car Peter ne croyais plus rien, y compris à l'existence des fées et il fesait de son mieux pour soigner Clochette, mais ces efforts était en vain... Tant qu'il n'y croyait pas de tout son coeur rien ne fonctionnait. Peter Pan passait ces journées à réfléchir, il ne chasait plus, ne se battait plus et le pire c'est qu'il arrivait de moins en moins à volé, car dans sa téte il n'y avait plus trop de pensées heureuse. Son coeur était aussi vide que les journées à Neverland l'était devenus. Les indiens et les pirates croyaient méme plus en lui. La magie de ce pays commençais à faner tout doucement et gagnais en ténèbres mais ce n'étais qu'une question de temps. Peter Pan vivait maintenant reclus au fameux Rocher du Crane, quand il réfléchissait c'était comme çi son coeur souffrait. Les garçons perdus; ces fidèles compagons lui manquait beaucoup depuis qu'ils étaient partis vivre heureux chez les Darling. Il ne jouait plus car il n'y avait pratiquemement personne sur ile (en tout cas inactif) mais aussi parce-que il n'avais aussi envie de rien. Le grand Peter Pan était comme ça surtout depuis le départ de Wendy... Il aurait pus tous donner pour faire en sorte qu'elle et ses frères reste avec lui au Pays Imaginaire. Il fallut que sa Wendy s'en aille pour qu'il se rende compte qu'elle n'était pas seulement la "maman" qui racontais des histoires sur lui et c'est sa qui lui fesait mal, se fut un problème car en vérité il ne sais jamais remis du départ des autres et en particulier de Wendy... Il déprimait mais ne se doutait pas que à Londres au bout d'un an; Wendy Darling souffrait autant que lui (Voir chapitre 1 et précedent de la fanfic). Peter comprenait que méme si il quittait son Pays pour la revoir, et ceux au moins une fois les choses empiront au lieu de s'arranger car il ne pourront jamais étre ensemble. Mais le fait qu'elle ne peut pas étre auprès de lui il n'avait plus gout à rien, cela lui fesait souffrir aussi de penser que Wendy mais pas seulment, aussi tous les garçons on dus tirer une croix sur le Pays Imaginaire et tourner la page sur Peter au bout d'un an. Cela le dégoutais terriblement de penser qu'ils ont fais le choix de grandir. Il tenait de tous son coeur à l'endroit ou il viviait mais il ressentis pour la première fois un sentiment qu'il n'avait jamais éprouver auparavant un sentiment qu'il qualifiait d'adulte, il étais tomber amoreux de Wendy Darling...
Peter sortis de ces pensées et décida de s'envoler un peu histoire de s'aérer un peu la téte, il s'arréta près d'un coin de la forét du Lagon au sirènes, il observait les lieux et posa sa petite main sur un arbre et essaya de faire en sorte de se reconecter avec la nature du Pays Imaginaire. Il ressentis des sensations sur tout son corps, le jeune garçon ferma les yeux. Dans son esprit enfantin il eut des visions du visage pur de Wendy Darling... Il y'a quelques jours Peter Pan avait imaginé un poéme ou relatait tous ces sentiments qui l'avait à l'égard de Wendy, il espérait qu'un beau jour il le lui dirait en personne; droit dans les yeux ce qu'il ressentais, si il aurait la chance de la revoir un jour, à cet instant le jeune homme se rappela chaque mots qui l'avait écris :
"Si notre histoire d'amour n'avait jamais existé, dans mes rêves, nuit et jour, je t'aurais inventé. Et ma nuit avec ta nuit, brûleront jusqu'au petit jour, dans l'incendie de notre histoire d'amour.
Si notre histoire d'amour n'avait pas eu ton visage, j'aurais refermé les pages de ma vie pour toujours.
Mais ma vie et ta vie, comme un beau roman trop court, sont réunies dans notre histoire d'amour.
Pourtant nos jours sont remplis de soleil, nos nuits illuminées d'étoiles. Dans ton regard je vois briller une étincelle, qui fait vivre notre rêve d'idéal. Pourquoi l'amour parfois fait-il si mal ?
Mais notre histoire d'amour, même si le temps nous sépare,
Encore un peu plus chaque jour, je t'appelle toujours, en restant vers l'infini, avec l'espoir que tu m'attendes quelque part. Mon coeur qui s'enfuit... Dans notre histoire...
Pourtant nos jours sont remplis de soleil, nos nuits illuminées d'étoiles... Dans ton regard bleu comme le bleu du ciel, je vois briller mon idéal. Nos rêves de bonheur sont éternels.
Et si notre histoire d'amour, mais quel beau roman trop court. Nos coeurs l'ont écrit dans un même cri, Et pour toujours, c'est notre histoire d'amour"
En revenant peu à peu lui; il s'assit sur l'herbe séche et baissa la téte puis se mis à sanglotée, mais était quand méme consolé par une fée Clochette malade quand il le fallait.
A suivre...