CRONOS DARKSIDE - Héro malgré lui

Le lendemain, Chiron fit passer des test au deux jeunes, du tire à l’arc, des combats d’épées et de lances, travaille d’équipe, test de connaissance mythologique, et pour finir, visite du camps et présentation aux bungalow qu’ils allaient occupés.

Bien entendu, les tests avaient donner des résultat désastreux comme des très satisfaisants. Par exemple Cronos :

Tire à l’arc : Nul

Combat à l’épée : Excellent

Combat à la lance : Très bien

Travail d’équipe : Impossible

Connaissances : Nulles

Quand au cas de Serena :

Tire à l’arc : Bien

Combat à l’épée : Nulle

Combat à la lance : Nulle

Travail d’équipe : Excellente

Connaissances : Parfaites

Il y eu aussi l’accueil dans les bungalow. Serena fut accueillit comme une vieille ami perdue depuis longtemps, tendis que Cronos était rentrer dans le bungalow qui s’était tue sur le coup, personne n’oser bouger, tous le fixer comme pétrifier.

- Bon, tant que tout est calme, mettons les chose au point.

Il détacha la fau qu’il avait dans le dos et la laissa glissée dans sa main jusqu’à ce que le côté porteur de la lame touche le sol qui se brisa avec le choc.

- A partir de maintenant, je dirige ce bungalow. Celui qui a un problème avec ça, n’a qu’à me défier, nous réglerons ça à la loyale ! Une seule règle sera de vigueur, le combat dure jusqu’à la mort d’un des deux combattants !

Une ambiance peut amicale régnée sur le dortoir lorsque le noir s’arrêta de parler.

- Bon, y en a-t-il un qui a quelques chose à rajouter ?

- Cronos ? Viens, j’aimerais te présenter mes nouveaux amis.

/ Plus pot de colle qu’elle, tu crève./

Serena arrivait tranquillement vers le noir et celui-ci souleva sa fau. Tout les autres imaginaient déjà la jeune fille en train de se vider de son sang par le cou.

- Qu’est-ce qu’il se passe ici ? C’est bien silencieux.

- Laisse tomber. C’est pas tes oignons.

- Toujours aussi agréable, hein ?

- Oh, ferme la.

Il rapprocha le manche de son arme de son dos et des chaînes sombres se matérialisèrent pour la maintenir en place.

- Bon, qu’est-ce que tu voulais ?!

- Viens avec moi.

Serena attrapa le poignet de Cronos et elle l’entraîna dehors, puis elle le traîna jusqu’au bungalow qui lui avait était attribuer. Là se trouvaient beaucoup de jeune fille, et quelques garçons, en train de se recoiffées ou de s’admirer devant des miroirs.

- Et ?

- Voici ma nouvelle famille.

- Je risque peut être de me répéter, mais : Et ?

- Dis-moi, n’aimerais-tu pas te trouver une belle petite amie ?

- Ok, je me casse !

- Serena, qui est donc ce garçon ?

- Ah Yukina, je te présente Cronos. C’est l’ami dont je vous parler.

- Enchantée, Cronos.

Yukina avait une peau très clair, proche du blanc, ses cheveux attachés en une tresse dans son dos était d’un rose très pale et ses yeux étaient d’un violet tout aussi pale.

- Hé bien, dit quelques Cronos, on dirait que tu as vu un fantôme.

- Peut être te souviens tu de moi ?

- Non, pas du tout ! Je ne me rappelle pas avoir déjà rencontrer quelqu’un comme toi. Bon, c’est tout ou tu veux encore me montrer quelques chose de fabuleux ?!

Cronos n’attendis pas de réponse et il retourna au Bungalow des Hermès où le silence tomba à son entrée et il put prendre place sur un lit de libre.

Alors que la nuit était bien avancée, Cronos se trouvait assit face à Chiron qui était plus que surpris que ce jeune vienne pour se confier.

- Alors ? Que veux-tu exactement ?

- A l’instant, j’ai revécu mon passé.

- Hum…

- Ou plutôt deux passés.

- Tu souhaite me raconter ça ?

- Oui…

- Très bien, vas-y, je t’écoute.

- Tout commence à ma naissance. Mon père avait déjà quitte rma mère, cette dernière est morte de l’accouchement de deux jumeaux. Mais une étrange force à garder son corps en vie, du moins en apparence. Nous avons vécus dans un petit quartier, la chose qui habiter le corps de ma mère ne sortait jamais de la maison. Quand à moi, j’étais toujours seul dans le jardin. Puis un jour, j’ai vu la fille des voisins qui jouée toute seule dans leur jardin. Étrangement, je me suis senti attiré par elle et après cela, tous les jours suivant, on se retrouver dehors, on se regarder sans parler ni bouger, nos yeux parlaient entre eux.

- En quoi ça te dérange ?

- J’avais 5 ans ce jour là. Comme à notre habitude, on rester debout à se regarder, ses parents sont alors venus pour l’emmener avec eux. Mais je ne voulais pas que l’on soit séparer. Alors qu’ils n’étaient plus qu’à un mètre d’elle, ils ont étaient transpercer de toutes parts par une lame invisible. Au même moment, la chose qui manipuler le corps de ma mère est sortie de la maison et s’est écroulée sur le pas de la porte. La petite voisine s’est tournée vers les restes de ses parents et moi prit de panique j’ai fuit pendant qu’elle hurler d’horreur devant ce spectacle.

Chiron restait silencieux attendant calmement que Cronos finisse son récit.

- J’ai fini par m’installer dans un vieux bâtiment abandonner. À mes 7 ans, une créature semblable à un serpent m’a attaquer. Mais lorsque je l’ai menacer avec un couteau de collection en bronze, il a fui. De crainte qu’il ne se cache quelques part pour revenir me tuer, je l’ai poursuivi, il a quand même réussi à me semer devant un hôpital.

/ Un monstre à l’hôpital ? Serait-il possible que…/

- Je suis rentre dans le bâtiment et j’ai chercher la créature. Je l’ai trouvée dans une chambre sur le point de dévorer une personne hospitalisée j’ai lever la main en lui disant que son repas était là et lorsqu’il s’est retourner vers moi, il a été trancher comme mes anciens voisins 2 ans plutôt. Quand à la personne dans le lit, c’était elle, la fille. Lorsqu’elle m’a vue, elle s’est mise à crier. Je l’ai suppliée de se taire, mais elle crier toujours, comme une véritable alarme à incendie. J’ai tendu une main pour la plaquer devant sa bouche et comme pour le monstre, une lama invisible l’a tranchée au niveau du torse. Les cris se sont arrêtés, mais les infirmière arrivée en courrant. J’ai donc quitter les lieux en sautant pas la fenêtre.

Cette fois Cronos avait fini son récit et Chiron prit la parole.

- Pourquoi me raconte tu tous ça ?

- Parce que cette fille est ici. Yukina Wytdestin, du bungalow des Aphrodite.

- Et quel est le problème ?

- Il faut nous tenir loin de l’autre. Sinon il risque d’y avoir d’autres incidents de ce genre et elle pourrait mourir cette fois.

- Je ne crois pas.

- Comment ?

- Ce qui trancher ceux vers qui tu tendais la main, ce n’étais certainement que cette fau que tu as maintenant dans le dos.

- Tu crois ?

- Oui. Mais bon, tu parler d’un autre rêve, non ? De quoi parlait-il ?

- En fait, ça ressembler plus à une cassette qu’on passé en accélérer. D’abord je me suis vu en train de trancher un type du nom d’Ouranos avec cette même fau. Puis j’ais entendu de paroles du genre «ã€€tu seras vaincu par un de tes enfant. Après quoi un type m’a découpé avant de me jeter dans un gouffre sombre tendis que d’autres personnes se faisaient enfermées ailleurs.

- Ça c’est déjà plus préoccupant que le reste.

- …

Il était assez tard et la nuit était bien avancée. Mais Serena n’arrivait pas à dormir, elle n’arrêter pas de repenser à la tête de Cronos lorsqu’elle lui avait présentée Yukina.

/ Il cache quelques chose. Je suis prête à parier qu’il connaît Yukina./

La jeune fille se leva pour aller à la fenêtre. Là elle trouva sa nouvelle amie accoudée au rebord.

- Tu n’arrives pas à dormir ?

- Non, j’étais en train de repenser à ton ami le taciturne

- Cronos…dis-moi, tu ne le connais vraiment pas ?

- Pourquoi ça ?

- Son regard. Il était différent lorsqu’il t’a vue.

- Tu sais, c’es tune très longue histoire.

- Alors tu…

- A une époque il a été mon voisin.

- C’est tout ?

- Il a tuer mes parents d’une façon qui m’est encore inconnue.

- Que veux-tu dire ?

- Quelques chose les à proprement et nettement découper, Cronos à disparut après cet incident. Quand à moi, j’étais dans un tel état d Echoc que j’ai était incarcérée dans un hôpital spécial.

- Découpés, tu dis ? Serait-il possible que ce soit cette fau maudite ?

- Possible…j’ai revu Cronos à cet hôpital. Un monstre est entrer dans ma chambre, j’ai voulue crié, mais rien n’est sorti. La créature à alors été trancher de la même façon que me parents et elle a disparut en poussière. J’ai alors fu Cronos au pied de mon lit et un cri strident à retenti. Il a commencer à paniquer en me demandant de me calmée, il a tendue une main vers moi en s’approchant un peut pour me faire signe de me taire et quelques chose m’a entailler la poitrine, tendis que je perdais connaissance, il a sauté par la fenêtre de la chambre.

- Est-ce que tu le déteste ?

- Non…je ne sais pas pourquoi, mais je n’arrive pas à lui en vouloir. Je pense sans arrêt que si je l’avais suivi le jours de la mort de mes parents…non. Oublie ça.

- ?

- Et toi, comment l’as-tu connu ?

- On allait à la même école. Tout le monde l’éviter à cause de son sale caractère. Mais moi je sentais qu’il était différent des autres élèves, j’ai alors commence rà le suivr partout essayant de devenir amie avec lui. Bien sur, il n’était pas très content qu’une fille en béquilles le suive ainsi. Malgré tout, je voyais bien que quelques part il était content que quelqu’un se préoccupe de lui.

- Ne répète jamais ça devant lui, il t’écraserai pour t’égorger ensuite.

- Yukina, tu crois qu’il est aussi mauvais qu’il veut bien le laisser entendre ?

- Serena, sais-tu qui est Cronos dans la mythologie Grec ?

- Le Roi des Titans que Zeus a tué.

- Mr D et Chiron pensent qu’il serait la réincarnation de ce Titan assoiffé de pouvoir.

- Mais…

- Personnellement, je crois que son devenir dépend de ses amis.