Sasari Uchiwa

Chapitre 47 : Les flots problématiques

3104 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 04/08/2018 03:44

[Le chef de la fameuse organisation, Akatsuki, était maintenant en plein combat contre une nouvelle recrue nommée Hidan, pratiquant du Jashinisme et immortel. Croyant avoir tué le chef, maintenant, Hidan se retrouva à affronter six personnes portant le même nom.]


Hidan : Qu’est-ce que ça signifie, qui c’est ce type? Ces yeux… ils ont tous les mêmes, je n’en ai jamais vue de comme ça auparavant.


Tendô : Maintenant, laisse nous te montrer qu’elle est la vraie souffrance.


Hidan : Tss, vous plaisantez j’espère, j’ai bien hâte de voir ça.


Tendô : * Tend le bras * Benshô Tennin!

 

Involontairement, Hidan se souleva de sol et se dirigea tout droit vers le bras tendu du Pain qui venait de lancer la technique.

 

Hidan : Qu’est-ce qui ce passe, merde, mon corps!


Tendô attrapa par la gorge son adversaire et une barre, d’un métal noir, poussa du bras de Tendô! Dans l’instant, il transperça au ventre celui-ci et cassa la barre pour la laisser là.


Hidan (Rit): Tu crois vraiment que ça va fonctionner contre moi, enfoi…


Soudain, un courant de chakra le traversa! Une onde qu’il n’arriva pas à maitriser, elle était beaucoup trop grande pour lui. Paralysé par cette onde complètement inconnue, Hidan lâcha son pieu et sa faux, il ne contrôlait plus son corps.


Hidan : Qu’est-ce… qui m’arrive.


Tendô : Es-tu réellement immortel, dit moi? Qu’elle est le point faible de ta technique?


Tendô baissa d’altitude le corps de son adversaire, tout en le tenant toujours par son cou. Ningendô s’approcha tranquillement d’Hidan et posa sa main sur sa tête.


Tendô : Dit moi la vérité.


Hidan : Ne me touche pas, sale enfoiré.


Ningendô : Ce n’est que ça alors… je vois. Crois-tu que tu vailles la peine d’aborder nos manteaux, est-ce que ça en vaut la peine que tu restes en vie?


Hidan : Fait ce que tu veux! Jamais rien ne me tuera…


Les six Pains ne disaient rien, Ningendô regarda d’un air confiant dans le regard d’Hidan. Plus Hidan regarda son regard, plus il comprenait que celui qui le tenait à la gorge, celui qui avait une main sur sa tête, celui qui pouvait ressusciter les morts ainsi que les trois autres savaient comment le tuer. Son sourire de confiance changea en un regard angoissé à l’idée de mourir, il ne voulait pas mourir.


Deidara : Que vient-il de lui arriver?


Sasori : Il a perdu, tout simplement.


Ningendô : Crois-tu vraiment savoir ce qu’est la souffrance!?


Ningendô, d’une de ses tiges, transperça une seconde fois Hidan. Il cassa la barre pour la laisser à cet endroit.


Chikushôdô : Peux-tu vraiment comprendre ce qu’est la souffrance!?


Chikushôdô transperça Hidan à son tour.


Jigokudô : Crois-tu avoir vécu la vrai souffrance jusqu’à maintenant!?


Jigokudô fit de même que les deux autres Pain.


Gakidô : Penses-tu comprendre ce monde de souffrance!?


Gakidô transperça Hidan…


Shuradô: Sais-tu combien ce monde a souffert!?


Shuradô transperça Hidan…


Tendô : * Se penche vers l’oreille d’Hidan * Alors, crois-tu connaître la vrai souffrance?


Tendô transperça, pour finir, à la tête, Hidan et lâcha son cou.


[Hidan, toujours vivant, tomba au sol de douleur, agonisant par les multitudes de barres de chakra qui lui traversait le corps et le paralysait. Le chakra y passant l’envahissait, la pression est beaucoup trop énorme!]


Tendô : Nous allons finir cette cérémonie, approchez-vous.


[Mise à part Tendô, les autres corps de Pain s’en allèrent et les membres, un peu déstabilisé par le combat, s’approchèrent du corps gisant de Hidan. Ils l’entourèrent. Chacun des membres leva un bras ;

-         Deidara leva le bras droit, seul son index, portant l’anneau Sei, était levé pointant dans la direction d’Hidan.

-         Konan leva le bras droit, seul son majeur, portant l’anneau Haku, était levé pointant dans la direction d’Hidan.

-         Itachi leva le bras droit, seul son annulaire, portant l’anneau Shu, était levé pointant dans la direction d’Hidan.

-         Zetsu leva le bras droit, seul son auriculaire, portant l’anneau Kai, était levé pointant dans la direction d’Hidan.

-         Kisame leva le bras gauche, seul son annulaire, portant l’anneau Nan, était levé pointant dans la direction d’Hidan.

-         Kakuzu leva le bras gauche, seul son majeur, portant l’anneau Hoku, était levé pointant dans la direction d’Hidan

-         Sasori leva le bras gauche, seul son pouce, portant l’anneau Gyoku, était levé pointant dans la direction d’Hidan

-         Tendô leva le bras droit, seul son pouce, portant l’anneau Rei, était levé, celui-ci était placé à l’horizontal face à lui-même.]


Kisame : Je ne me souviens pas avoir vue autant de membre faire cette clôture de l’entrée à l’Akatsuki.


Kakuzu : Moi, je ne me souviens pas avoir vue un membre autant amoché après le test.


[Les membres attendaient maintenant. Qu’allait être la décision du chef ? Après quelque secondes d’attente où Tendô était en réflexion, il leva le pouce, Hidan était accepté dans l’organisation.]


Tendô : La rencontre est désormais finie, vous pouvez disposer. Kakuzu, je te laisse t’occuper de ton nouveau et… dernier partenaire.


Kakuzu : Tss…


Deidara, partant avec Sasori : Pour être honnête, j’aurais mieux aimé voir Tobi plutôt que ce type.


Sasori : Tobi n’est pas encore prêt, mais le jour viendra, ça ne fait pas de doute. C’est lui qui remplacera Orochimaru.


Itachi : Ne perdons plus de temps ici, Kisame.


Zetsu Blanc : Nous y allons aussi, bonne nuit à vous. * Sourit *


Tendô : Allons-y, Konan.


[Après un court moment, tous membres de l’organisation étaient déjà partit. Seul Hidan et Kakuzu étaient encore sur les lieux… Hidan agonisant toujours et Kakuzu qui attendait que ce soit fini. Ce qui était particulièrement et étonnement long.

 

Après une heure, le courant cessa enfin, Hidan revint à la normal.]


Kakuzu : Alors, t’as fini?


Hidan, encore au sol : Je n’avais encore jamais ressenti autant la douleur auparavant… quelle honte pour le seigneur Jashin…


Kakuzu : Enlève ses tiges de ton corps et enfile ça, on part.


Hidan, s’enlevant les tiges du corps : Alors, c’est toi mon partenaire? Tss, quelle tête tu as. Qui t’es d’abord, je pouvais pas choisir mon partenaire moi-même!?


Kakuzu : Ne me cherche pas, tu veux?!


Hidan : Oh, mais quel caractère, je comprends pourquoi personne ne veux être avec toi. * Rit moqueusement *


Kakuzu : …


Hidan, enfilant le manteau : Allons, ne soit pas si fâché. Alors, c’est quoi ton ptit nom, hein?


Kakuzu : …Kakuzu.

 

Hidan: Kakuzu, hein? Hé bien mon chère Kakuzu, je sens que toi et moi allons bien s’amuser ensemble. * Sourit malignement *


Kazuku : Ferme-là et on y va, pauvre cinglé.


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[L’aube se levait, nos trois ninjas étaient toujours en route pour la rive ouest de l’île de Kiri pour y trouver un bateau et ainsi se rendre sur le grand continent. Plus de la moitié du chemin était déjà fait, encore quelques heures et ils apercevraient enfin la mer.

 

Tout au long du chemin, ils n’avaient rencontré que très peu de village ou autres ninjas. Ça les étonna d’ailleurs. Ils avaient participé à plusieurs combats d’envergure mortels, mais cette fois, sur pratiquement tout le trajet, ce fut enfin le calme absolu.]


Mifuyi, courant dans les arbres (Fatiguée) : Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour le retrouver ce Sasuke. On se surmène là.


Kumiko (Cernée des yeux): On arrive bientôt, ne t’inquiète pas, tu ne sens pas ce vent fraie qui vient de la mer? * Sourit *


Mifuyi : Il y a autre chose qui me préoccupe qu’un vent fraie. J’ai faim, j’ai soiffe, j’ai sommeil, mon corps n’en peux plus! Pourquoi ne pas faire une petite pause pour repartir en pleine forme?


Sasari (Cerné) : Il ne faut pas perdre de temps dans ce pays hostile, si quelqu’un nous trouve par tout hasard, c’en sera … euuuuh * s’évanouie *


[Sasari s’évanouie en plein milieu de sa course et trébucha sur une branche. À la vitesse où ils allaient, il virevolta et tomba face première dans un arbre, il était complètement K.O.]


Kumiko : Sasari! * Descend des arbres *


Mifuyi (Découragé) : Mais quel idiot… * Descend * On va prendre une pause tout compte fait.


Kumiko : Il n’a rien, c’est bon… on n’a pas le choix, si on le transporte jusqu’à la rive, l’une de nous deux en sera morte de fatigue de le transporter.


Mifuyi : * Se couche sur l’herbe humide * Aaah, c’est ce que j’attendais enfin, un peu de sommeil. C’est toi qui monte la garde?


Kumiko (Sourit) : Oui, endort toi.


Mifuyi (Baye) : Merci, Kumiko. * Sourit en s’endormant rapidement *


[Le brouillard était d’une grosse épaisseur en cette journée, les rayons du soleil avaient du mal à passer, ce qui permit à Sasari et Mifuyi de dormir sans être gênés. Mais, pensant tenir le coup… Kumiko sombra elle aussi, peu à peu, dans un profond sommeil réparateur.

 

Quelques heures passèrent quand tout à coup un craquement fit réveiller Mifuyi de sursaut. Une ombre gigantesque ce tenait devant elle. En regardant mieux ce qui se tenait devant eux, à un moment, elle en sourit. Elle se leva pour en faire face.

 

Une autre heure passa avant qu’une autre personne ne se réveille.]


Kumiko (Confuse) : … Que … que ce passe-t-il? * Étonnement * Mifuyi !?


Mifuyi (Sourit) : Alors, t’en veux?


[À côté de Mifuyi se trouvait un immense ours qui était maintenant embroché tenant au-dessus d’un feu.]


Kumiko : Mais… où l’as-tu trouvé? T’es sûr que ça se mange ce truc? Que s’est-il passé …


Mifuyi : Je n’ai pas eu à chercher bien loin, il est venu de lui-même et oui, ne t’inquiète pas, cette bête est répertoriée comme comestible si on le cuit. On apprend ça à l’Académie, tu sais. Heureusement que je maîtrise le Katon.


Kumiko : Oui, en parlant de ça, tu n’as pas peur que quelqu’un voit ton feu?


Mifuyi : Il y a tellement de brouillard, ils ne feront sûrement pas la différence entre le peu de fumée que ça dégage et le nuage.


Kumiko : Espérons-le. * Prend un morceau de l’ours déjà coupé * C’est pas si mal en fait, je m’attendais à beaucoup plus amère. * Sourit *


Mifuyi : Mange dans ce cas, moi je vais réveiller l’autre, il ne faut pas perdre trop de temps ici.


Sasari : Pas la peine, je suis déjà réveillé. * Prend un morceau *


Mifuyi : Dans ce cas, mange vite, prenons le reste et partons.


[L’équipe Furûtsu se prépara, pour repartir à nouveau vers la rive ouest de Kiri. Il ne restait plus beaucoup de chemin à faire avant d’arriver au premier village. Le chemin ce déroula sans embûche, aucune attaque des ninjas de Kiri ou encore de membre de l’Akatsuki. Ils étaient enfin bel et bien rendus dans un petit village très semblable à celui qu’ils avaient trouvé à Konoha.]


Kumiko : On y est enfin, de nouveau devant cette mer maudite.


Sasari : Oui, espérons que nous n’ayons pas autant de problème que la dernière fois…


Kumiko : Faut avouer qu’on les avait un peu cherchés.


[L’équipe Furûtsu se dirigea vers le port. Cette fois, le seul bateau en vue était un navire de transport pour voyager tout simplement entre Kiri et Konoha, comme ils le souhaitèrent.]


Sasari, à un marin : Vous partez bien pour Konoha, n’est-ce pas?


Aizen, garde du bateau : Où veux-tu qu’on aille d’autres, idiot? Bien sûr qu’on va à Konoha! C’est écrit là-bas! Vous êtes des ninjas à ce que je vois, dites-moi vos nom!


Sasari : … Sas … hum


Aizen : Sas? Seulement Sas? Tu te souviens plus de ton nom? Ça arrive souvent aux idiots, crois-moi.


Sasari (Un peu contrarié) : Je me nomme Sasari … Nakajima!


Mifuyi : Mifuyi Nakajima…


Kumiko : Kumiko Nakajima.


Aizen : Eh bien, eh bien, nous en voilà une belle petite famille. Vous n’êtes pas des ninjas de Kiri, ça se voit. Enlevez vos manteaux et vos chapeaux! Et débarrassez-vous immédiatement de vos armes ninja! Si je trouve une seule arme sur vous, nous n’hésiterons pas à vous exécutez.


Mifuyi : Je crois qu’on n’aura pas le choix…


[Comme voulu, les trois ninjas durent se débarrasser de leurs équipements, probablement pour la durée du voyage. Ils durent payer avec ce qu’ils leur restaient de Ryo pour payer le voyage.

 

Ils durent également enlever leurs chapeaux et leurs manteaux étant vue trop suspects pour le navire. La plus part des personnes embarquant dans ce navire n’avaient pas très bonne mine. Le navire en lui-même n’inspirait pas la confiance… non pas par sa qualité à naviguer, mais par l’équipage et l’ambiance peu recommandable dans un monde normal.]


Aizen : Hé, hé, un instant, c’est quoi ça? * Pointe le cou de Sasari *


Mifuyi : Ce n’est que de simples colliers, vous voyez bien, non?


Aizen : Ne me prend pas pour un idiot la petite, je sais très bien ce que c’est. Mais il a des propriétés magique, je le sens. Enlève-le!


Sasari : Quoi? Mais pourquoi devrais-je l’enlever, ce n’est qu’un simple collier, que pourrait-il bien faire?


Aizen : Peu importe ce qu’il fait ou pas, ce collier contient du chakra. Je suis capable de le ressentir. Tu l’enlève où vous vous barrez!


Sasari : * Soupir * Vous l’aurez regretté dans ce cas …


[Sasari enleva délicatement son collier, puis, la tête basse, il le tendit au garde. Celui-ci le prit pour le jeter avec les autres affaires. Heureusement, mise à part eux, la caisse, où les armes ninja avaient été mises, ne comprenait que leurs équipements… pas d’autres ninjas sur le navire apparemment…]


Aizen : L’autre aussi!


Sasari (Impatient): Ça, jamais!


Aizen (Étonné) : Quoi!? Son visage, je le reconnais… Qui est-ce déjà!? Je l’ai déjà vue quelque part, mais qui!?


[Sasari ignora maintenant complètement le garde et ils embarquèrent sans dire un mot dans le bateau…]


Aizen : Sasari, hein? * Rit intérieurement * Il va regretter de s’être moqué de moi.

 

[C’était un bateau plutôt grand, mais ne disposant que de très peu d’espaces pour les voyageurs. Ces-derniers devaient carrément s’asseoir dans la grande cale, sans banc, au sol…

 

La plus part des autres voyageurs paraissait vraiment pauvre… ce n’était tout compte fait pas un transport de haute gamme, même que c’était tout le contraire. Était-ce officiel? Ils avaient dû certes donner ce qui leur restait en Ryo pour embarquer, mais ils étaient ninja et pouvait survivre sans. Par contre, pour les autres gens, ça semblait plus difficile.

 

Cependant, même à cela, ce transport était plus que satisfaisant pour l’équipe Furûtsu, il n’y avait pas de temps à perdre à trouver un bateau plus confortable.

 

Après quelques temps, le navire ce mit enfin en marche et se dirigeait vers le grand continent pour aller à Konoha. Plus que deux semaines avant que Kabuto ne se pointe le nez au pont du ciel et de la terre pour la rencontre avec Sasori et Deidara. Ce temps était précieux. Allez à Kusa n’allait pas être difficile, mais ils devaient absolument ne pas se tromper d’ici et être prêt à anticiper leur arriver.]


Après quelques heures de navigation


Mifuyi, se réveillant : On n’est toujours pas arrivé. Ah lala, que c’est long…


Sasari : T’es impatiente à ce que je vois.


Mifuyi : Et comment, il n’y a pas de temps à perdre. Je ne veux pas rater notre chance comme la dernière fois!


Sasari : Oui… on se sent comme dans un cauchemar où quand l’on croit avoir enfin ce que l’on veut… il disparaît sans prévenir.


Mifuyi : Cette fois, nous allons nous réveiller de ce cauchemar.


Sasari : Oui, bien dit. * Sourit *


Mifuyi : …Hé, mais c’est le journal qu’on a récupérer dans le quartier Uchiwa… * Pointe Kumiko tenant un livre *


Kumiko : Oui, c’est lui. Je regarde tous les informations ce passant entre l’année de mon enlèvement jusqu’à ce que j’ai eu 5 ans et que l’on me greffe de nouveaux yeux.


Mifuyi : Alors, t’as trouvé quelques choses?


Kumiko : Il n’y a vraiment rien qu’y n’en vaille la peine. Rien ne parle de Danzô lors de mon anniversaire et rien non plus à propos d’Orochimaru lorsque j’avais entre 4 et 5 ans…


Mifuyi : Ce Orochimaru et ce Danzô… comment de tels êtres peuvent exister. Dans quel intérêt il… euh * Perd l’équilibre assise * Qu’est-ce qui se passe?


Sasari (Méfiant) : Ils ont arrêté brusquement le bateau j’ai l’impression.


Kumiko : Oui, j’ai la même impression.


[Tout à coup, Aizen et d’autres ninjas descendirent dans la cale, pour une raison que personne n’arrivait à comprendre.]


Aizen : Lui! Là-bas, j’en suis certain maintenant, c’est Sasuke Uchiwa!

 

Fin du chapitre 46

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