rencontre dans le parc (ship AlyaXAdrien
Le père d'Adrien était un homme austère qui négligeait son fils. Il n'en avait pas toujours ainsi, mais depuis la mort de sa mère quatre ans auparavant son géniteur avait radicalement changer. Depuis ce jours funeste quant son père lui adressait la parole c'était soit pour le réprimander, soit pour lui donner ses instructions, même si ce dernier point, il déléguait généralement à Nathalie le soin d'organiser son emploie du temps et de le faire respecter.
Adrien ne comprenait pas pourquoi son père agissait aussi froidement avec lui. Bien sur, il pouvait comprendre que son père n'ai toujours pas fait son deuil de son grand amour. Seulement, ce que son père avait tendance à oublier c'est qu’Émilie Agreste n'était pas uniquement son épouse, mais également sa mère. Lui aussi avait du faire son deuil et au lieu d'être là pour lui son père l'avait abandonner.
Malgré son indifférence, cela ne l’empêchait pas d'exiger beaucoup de lui. Comme il avait un beau visage, il l'employa comme mannequin,. Faisant de lui l’égérie et le visage de son entreprise. Depuis ses quatorze ans il avait fait des défilé, publicité, des discours de promotion et des films. Tout cela lui prenait, énormément de temps. Vingt parfois trente heure de travail par semaine en plus du collège puis du lycée plus tard.
L’investissent personnelle était considérable, mais il n'avait jamais rechigner, car il espérait naïvement que cela lui permettrai de se rapprocher et peut-être même fendre ce mur d'indifférence qu'il avait ériger entre eux. Mais que néni, son père lui reprochait ses mauvaise notes à l'école. Lorsque Adrien lui avait fait remarquer qu'entre les shooting et ses études, il n'avait que peu de temps pour étudier.
Cette impertinence, lui avait valu .une gifles et un sermon. Comment osait-il se plaindre, lui qui vivait dans c luxe et l’opulence. Son père lui n'avait rien eu de tout ça durant sa jeunesse et avait travailler comme une bête de somme pour en arriver là tout ça pour se faire rabrouer par un fils feintant, idiot et ingrat qui faisait honte à son nom. Sa mère aurait honte de lui. Les mots l'avaient blessé et fait culpabiliser en demandait- il trop ? N'était-il qu'un enfant gâté ? Il voulait juste que son père lui accorde un peu d'attention, mais cela était peut-être trop demandé à cause de la mort de sa mère. Quoiqu’il en soit, il n'en avait plus jamais reparler et avait obéi à son père en tout sans que ce ne fut jamais suffisant pour le contenter.
Il avait vaguement caresser l'espoir tout amer de prendre ses distances en prenant un appartement lorsqu'il atteindrais sa majorité grâce à l'argent de ses revenus de mannequin et acteur de publicité. Hélas, le jour venu, il lui avait annoncer qu'il avait son argent dans un fond d'investissement sur et là termes relativement lucratif, mais que malheureusement, il ne pourrait toucher son argent que lors de ses vingt-cinq ans. Évidemment, son père n'allait pas le laisser prendre son indépendance et le laisser libre de choisir ce qu'il ferait de sa vie lui même. Non , non ce droit était la responsabilité du grand Gabriel Agreste de quel droit son fils s'arrogerait-il le droit de décider pour lui même.
Le pire, c'est que lorsqu'il avait dit cela, il avait affirmer que cela serait infiniment mieux pour lui, car s'il avait eu autant d'argent à sa disposition, il aurait forcément tout dépenser, il était tellement immature après tout. Et quand bien même se montrerait-il raisonnable l'argent qu'il avait gagner grâce à son entreprise était certes conséquente, mais insuffisante pour vivre jusqu’à la fin de ses jour. Que ferait-il pour gagner sa vie lui le bon à rien, l'éternel assisté pour gagner sa vie. Qu'il n'attende rien de lui s'il s'en allait, ni aumône ni emploi.
Voilà donc, le genre de personne qu'était le Gabriel Agreste homme d'affaire, self-made-man, philanthrope et artiste reconnu et admiré par toute la capitale.
« Adrien, demanda son père d'une voix pleine d'autorité, peut-on m'excuser affaler sur un banc.
Grâce à Nathalie qui l'avait informer de la situation, il avait anticiper cette fatidique question.
« La chaleur était étouffante cette nuit, cela m'a empêcher de dormir' alors je me suis dit qu'une petite balade nocturne et quitte à ne pas dormir autant occuper son temps intelligemment, j'ai donc pris mon pc pour réviser dans le parc.
Cette explication qui dissimulait une vérité derrière un mensonge avait été jugé par le jeune homme comme la meilleure façon de présenté les chose pour apaiser le courroux paternelle.
« Intelligemment, hein ? Ce n'est pas précisément le qualificatif que j'emploierai. Passons sur le fait que tu n'es pas censé aller ou que ce soit sans ton garde du corps. T'es tu seulement demander ce qu'il se passera si cette négresse qui t'as ramener venait à aller raconter qu'elle avait vu le fils de la famille Agreste en train de dormir dans un parc comme un clochard. Qu penserait ta mère si elle pouvait te voir
Le garçon serra ses poings à s'en serrer les phalanges. Que son père lui fasse des reproches pour son escapade de cette nuit, il pouvait le comprendre, même si à dix-huit ans révolu, la plupart des jeune de son age décidait librement de ce qu'il faisait de leur nuit.
En revanche, ce qu'il avait plus de mal à accepter c'était qu'il n'avait pas le moindre scrupule à mentionner sa mère pour lui faire intentionnellement du mal et le faire culpabiliser. C'est quelque chose qu'il faisait souvent et Adrien trouvait la méthode mesquine et cruel.
D'habitude Adrien ne s'opposait pas à son père, car c'était futile. Son père ne prenait en compte que les opinions allons dans son sens, certain qu'il était de savoir tout mieux que tout le monde. Cette fois ci, il en avait plus qu'assez.
« Je ne sais pas père que penserait ma mère en voyant la manière la manière dont vous vous occuper de votre enfant.
Peu habitué à ce que son fils le contredise, le styliste, le styliste se renfrogna.
« Ne sois pas impertinent Adrien. Tu ne manque de rien que je sache. Tu vis dans l’opulence. Tu n'est qu'un enfant gâté qui ne sais rien de la vie. Moi, quand j'avais ton age, je n'avais pas la moi...
« Je vous paie pour ça, l'interrompit-il brusquement. Je pense que quatre année passé à me pavaner sur les podium, à assister à des soirée barbante et à faire des discours pour faire la promotion de vos fibres s'en être rétribuer suffisent à payer le logis et le couvert.
Choqué Gabriel Agreste ne répondit pas immédiatement et un silence s'installa entre eux. Jamais son fils n'avait oser lui parler ainsi.
« Adrien, je suis ton père. Je t'interdis de me parler sur ce ton.
Je suis ton père, la phrase préférer de son père avant de mettre fin à une conversation, mais cette fois, il n'était pas d'humeur conciliante.
«Au risque de me répéter, j'estime que je vous paie largement pour la moindre chose que je consomme. Vous n'êtes donc pas mon père, mais un simple prestataire de service et je ne suis pas votre fils, mais votre client.
Le patriarche était mortifier de l'attitude de sa progéniture pourtant d'ordinaire si docile.
« Si cela ne te plais pas, tu peu toujours démissionner et puisque tu as dix-huit ans, je t'invite à quitter cette maison.
Si cela arrivait, chasser de chez lui et sans revenus, il ne pourrait pas subvenir à ses besoins. Une perspective fort déplaisante.
« Eh bien, Adrien, tu hésite toi qui vantait, il y a quelques minutes ton indépendance. Je t'offre ta liberté. Alors, va-t-en. Tu as changer d'avis ? Tu as perdu ton courage ? Très bien. Tant que tu vivra sous mon toit, tu ferra ce que je dit. Maintenant, excuse-toi pour tes propos ignoble.
C'était toujours ainsi avec son père. Tout se résumait toujours à un simple rapport de force. Son père n'avait cure de l'opinion des autres et n'avait bonne opinion que de lui. C'était un maniaque du contrôle pousser le narcissisme dans ses plus extrême retranchement.
Seulement, la médaille avait son revers qu'Adrien ne connaissait que trop. Le styliste comme tous ceux centré sur eux même accordait une attention exagéré au regard que les autres avait sur lui. L'image positive que les autres lui renvoyait nourrissait son ego qui était déjà d'une taille plus que démesuré.
C'était pour cette raison que la menace du géniteur n'était pas le moins du monde crédible au regard de sa progéniture. Il ne le laisserait jamais s'en aller. Pas en raison d'un quelconque amour paternelle, mais parce qu'il n’accepterait jamais qu'il échappe à son contrôle. De plus, il ne prendrait jamais le risque de retourner l'opinion publique contre lui le juge hautement en apprenant qu'il avait virer son fils de son entreprise avant de le mettre à la porte le condamnant par la même à la précarité. Il ne pouvait tolérer que la masse des anonymes qu'il méprisait ne le juge hautement de leur autorité privé. C'était tout simplement inacceptable pour le vaniteux qu'il était de cela Adrien en était certain.
C'est donc en confiance qu'il se résolut à le prendre au mots.
« Je suis désolé, Monsieur Agreste. J'ai porté atteinte à la bonne réputation de la friterie Agreste.
Le styliste blêmit de rage devant un tel affront. Il y a quelque année, bien avant de percer en tant que styliste avait été effectivement été propriétaire d'une petite baraque friture. Même si le notable aimait à rappeler qu'il s'était fait seul en partant de rien, il n'appréciait guère les allusions à ses modeste début professionnelle en dehors du petit monde glamour de la mode et de la haute couture.
Il ouvrit la bouche pour rappeler à l'ordre l’impertinent, mais son digne progéniture reprit :
« Bien que je doute que ce simple incident suffisse à détourné notre aimable clientèle, -Car après tout ne faisons-nous pas les meilleurs frites de tout paris ?- Je suis conscient de mon erreur, je m'en vais de ce pas rédiger et envoyer en recommandé ma lettre de démission. Pour ce qui est de ma présence ici, comme vous me l'avez demandé, je ne profiterais pas davantage de votre onéreuse hospitalité. Je m'en vais donc faire mes bagages de ce pas. Je vous souhaite une bonne journée.
Sur ses mots le jeune homme fit volte face. Son père le saisit par l'avant bras.
« Je ne t'ai pas autoriser à d'en aller.
« Bien sur que si. Et c'est d'ailleurs vous qui l'avez exiger, répondit calmement son fils appréciant d'ainsi retourner les propre mot de Gabriel contre lui. Mais peut-être parler vous de cette conversation. Avez-vous autres choses à me dire ?
« Déjà, tu ne me tournes pas le dos, commença-t-il avec atorité le regardant d'un œil sévère pour l'intimider. Ensuite, pourrais tu cesser cette comédie ridicule. Nous savons tous les deux que tu n'en à pas le courage. Un raté comme toi ne pourrait même pas survivre une journée s'il était livré à lui même.
C'était typique. Toujours à le rabaisser, à lui dire qu'il ne valait rien. Adrien en avait marre. Son père se conduisait avec lui depuis la mort de sa mère. C'était presque comme s'il lui reprochait sa mort. Adrien ne pouvais plus le supporter. Il avait besoin d'air, de s'en aller.
Il comprit alors que ce qui n'était qu'une provocation au d'épart devenait de plus en plus réelle Argent ou pas, il devait s'éloigner de cette maison ou régnait une atmosphère était toxique.
« Ce n'est plus votre problème. A supposer que cela l'ai jamais été, ce dont je doute étant donné le peu cas que vous faite de votre fils depuis la mort de sa mère. (Sa mère. Pas sa femme. Il espérait que son père saisisse la subtil nuance et ce qu'elle impliquait, mais il en doutait. L'introspection n'ayant jamais fait partie de l'ADN de son illustre géniteur) Et même à la rue, démunis, crevant de fin et dormant sous les pont et dans les parc comme un vulgaire chat de gouttière, je serais toujours plus heureux que dans cette grande et luxueuse demeure ou je suis le jouet des perversion narcissique d'un père indifférent à la souffrance des autres. Alors écouté moi bien, Monsieur Agreste, seigneur des petits esprits, aujourd'hui je prends mon envol. Je suis libre.
Ayant hurler ce derniers mot, il sorti d'un pas décider. Il vit Nathalie le regarder l'air inquiet. C'était on ne peu plus compréhensible il est vrai qu'elle n'avait pas l'habitude de le voir agir ainsi.
« Adrien, est ce que cela va bien.
Se sentait-il bien Étonnamment, oui. La dispute avec son père avait eut un effet cathartique sur lui. Il se sentait libérer et apaiser.
Il sourit à Nathalie.
« Mieux que jamais, Nathalie. En tout cas, mieux que je ne l'ai jamais été depuis la mort de ma mère. Je me sens comme un chat sauvage sur le point de faire une longue balade dans les rue de Paris.
Interloquer par cette réponse et le calme don faisait preuve le mannequin après les cris qu'elle avait entendu venant du bureau de son père. Reprenant son aplomb, elle lui dit :
« Je dois vous informer que vous avez un rendez-vous de dernière min...
D'un geste de la main, il la fit taire.
« Je vous arrête tout de suite, je ne fais plus partie de la société Agreste.
« Pardon ?
« Vous m'avez bien entendu.
« Votre Père et d'accord.
« C'est sa décision pas la mienne de même que celle de me chasser de cette maison.
« Vous savez que les paroles de votre père dépasse souvent sa penser.. J'irais lui parler dés qu'il sera un peu calmer.
Le jeune mannequin se retourna pour regarder l'assistante avec tout le sérieux du monde.
« Nathalie, mon père à invoquer le nom de ma mère à mauvais escient une fois de trop.
Tout était dit. L'assistante ne comprenait que trop bien la référence ayant été à plus d'une reprise le témoin impuissant de son patron torturant psychologiquement son fils avec le fantôme de sa mère.Il n'y avait rien à dire. Face au souffrance vécue par Adrien depuis la mort de sa mère toutes justification ne pouvait n'être que vaine et hypocrite.
Voyant que Nathalie ne répondait pas, il se détourna et monta dans sa chambre en sifflotant pour faire ses bagage.
Il avait vider ses tiroir sélectionnant avec soin ce dont il aurait besoin. Quand Nathalie vint avec un grand sac de randonner.
« Je pense qu'il est assez grand pour que vous puissiez y mettre le nécessaire.
« Merci. Et moi qui pensait que vous chercheriez à me retenir.
La jeune femme haussa les épaules.
« Je sais comment votre père vous traite. J'ai essayer plus d'une fois de le raisonner, mais il est si borner. Je pense que votre fugue pourrait lui faire entendre raison.
« Peut-on parler de fugue lorsque l'on est majeur ?
« Sans doute pas, mais vous serez contraint de revenir.
« S'il veux me récupérer, mon illustre géniteur devra d'abord me retrouver. De plus, il ne peu pas légalement me contrainte à revenir.
« Il peut toujours, vous ramener par la force.
« Et s'exposer à une plainte d’enlèvement et séquestration.
« Vous êtes bien naïf si vous pensez que cela l’arrêtera. N'oublie pas qu'il est ami avec le maire de Paris ce qui lui vaut une certaine immunité. Et de toute façon comment vivrez vous.
« Je ne suis pas aussi démuni que vous semblez l'imaginé grâce à mon cadeau d’anniversaire.
Gabriel ne se souciait pas d'offrir des cadeaux d’anniversaire à son fils et laissait son assistante le soins de s'en charger. Le jour de ses dix-huit ans, sachant que son rejeton était dégoutté en apprenant qu'il devrait attendre jusqu’à ses vingt-cinq ans avant d'avoir accès à son salaire de mannequin avait insister sur le fait de lui offrir un gros cadeau et de satisfaire toute les demandes matériels de son fils. Le styliste peu soucieux du bien être de son fils pensait ainsi avoir la paix.
Elle lui avait donc offert une carte de crédit avec un plafond illimité. En lui donnant, elle lui avait dit de faire bien attention, car ses achats serait directement débité du compte de son père. Son premier achat fut de s'offrir un PC Gamer d'une valeur de dix milles euro rien que ça. Les mois suivant, il avait remplacer sa télévision par le modèle le plus haute gamme qu'il avait trouver, puis cela avait été des bornes d'arcade et cela faisait six mois que cela durait.
Si Adrien avait fait cela dans l'espoir de se venger, il en fut pour ses frais. Nathalie n'était pas certaine que le patriarche ait remarquer quoi que ce soit. Gabriel dépensait sans compter et ne consultait jamais ses comptes. Aussi conséquent que furent les achats de son fils, ils étaient insuffisant pour faire passer les comptes du fils au rouge. Et quand bien même l'aurait-il remarquer, n'avait-il pas lui même demandé à Nathalie de satisfaire tous ses caprices.
« Il bloquera l’accès lorsqu'il réalisera l'existence de cette carte.
« Taratata... Vous oubliez que mon père est un maniaque du contrôle, il ne se privera pas d'un moyen de me pister.
« Vous avez sans doute raison. Mais cela veux aussi dire qu'il pourra vous retrouver à tout moment.
Un sourire mauvais apparu sur les lèvre du jeune homme.
« Vous savez quoi, Nathalie ? Je pense que j'ai été trop économe, jusqu'ici. Quel est la limite de cette carte.
«Il n'y en pas.
« Intéressant.
L'assistante poussa un long soupir.
« Je vais faire transférer tout ce que contient votre chambre dans un box qui nous sert d’entrepôt. Je pense qu'en vendant tout se fatras vous aurez assez d'argent pour tenir quelques mois.
Adrien était surpris, il ne s'attendait pas à une telle collaboration de la part de l'assistante de son père.Mais au fond ce n'était pas si surprenant, c'était elle qui avait convaincu son père de le laisser aller à l'école et de ne plus suivre des cours privé.
« Merci. Cela me sera utile.
« A ce propos, la jeune fille qui vous à ramener ma demander de vous donner son numéro. Elle à exiger que vous la rappeler pour décider de quand elle vous écrasera au bras de fer.
Adrien sourit.