Opération Perce-Neige
"-Salut, humm c'est toi Eva? "
Ce grand colosse m'avait l'air perdu ici. Je le regardais de mes grand yeux bleu. Alors c'était lui avec ses cheveux châtain bien coiffée. Il me regarde avec de petits yeux bleu ciel, plus claire que les miens. Voyant que je réponds pas il secoua la tête. Il s'assit sur la banquette blanche où j'étais déjà assise me faisant penché vers lui. Il semblait gêné, je le comprenais, je l'étais moi-même.
"-Oui, c'est moi Eva répondis-je d'une petite voie. Il tousse dans la manche de son pull bleu. Je n'avais pas envie de parler. Depuis que Flora est partie je fait la gueule à vrai dire. Je refuse de parler à qui que ce soit. Je tire la gueule constamment.
-Moi, c'est Steve. dit-il d'un ton hésitant
-Je sais. Dis-je d'un ton sec et cassant. Tu ne m'apprends rien.
-Écoute, je n'y suis pour rien pour ce qui c'est passé dans le bureau. Il regarde fixement le mur blanc devant nous, les lèvres pincées.
-Ils m'ont envoyé des décharges électriques de je ne sais combien de volt. J'ai dormis 2 jours entiers. Et quand je me suis réveiller Flora n'était plus là, je n'ai même pas pus lui dire au revoir alors tu captes que je n'ai pas envie de parler.
-Je sais ce que ça fait, crois moi. il décoche un petit sourire. J'ai dit quelque chose de drôle ?Je tourne ma petite tête vers lui et fronce les sourcils.
-Non tu ne sais pas. Répondis-je sans la moindre trace d'amitié. Je me décale de lui alors qu'il sourit toujours en me collant à l'accoudoir. Quoi? Ce n'est pas drôle.
-Je sais mais je pense que je suis le plus placé pour savoir ce que ça fait de ce réveiller et de ne pas pouvoir dire au revoir au personne que t'aime car ils sont déjà partie. "
Il a perdu son sourire, il avait un regard plein de nostalgie. Sur le coup ça ma touché. C'est vrai, il en a perdu des personne chère à son cœur. Il devait avoir des parents, peut-être des frères et sœurs ou encore une petite amie. Il y a eu un long silence où l'on pouvaient entendre les mouche volée. Je commencais à me calmer doucement en apprécient sa compagnie. Il pouvait me comprendre mieux que n'importe qui et cette idée me fit chaud au cœur de savoir que je n'étais pas seule à avoir des galères. Il tourna sa tête vers moi et se force à me sourire légèrement. Il soupira.
"-Bon, on m'a dit qu'on est pareil tout les deux, c'est vrai?
-Ouais, on est pareil."