MARVEL DC Comics Tome 1: Ultimate War

Chapitre 2 : Université de New York

3382 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 01/05/2023 17:04

Le matin se levait dans le quartier pauvre de New York où se trouvaient des centaines de petites maisons avec des petits jardins qui sont délimités par un grillage, toutes les maisons étaient identiques. Un jeune étudiant assez musclé sortit de son lit et se dirigea vers son bureau. Sur son bureau se trouvaient des cahiers et des manuels de maths et de sciences, dans sa chambre, il n'avait rien d'intéressant sauf peut-être quelques DVD et des étagères où il y' avait des vêtements empilés les uns sur les autres.

«-Peter, dépêche toi, tu vas être en retard.»

La voix venait d'en bas, une voix de personne âgée.

Peter mit ses chaussons et sortit de sa chambre, les cheveux châtains en bataille, ses yeux bleus à moitié endormis, des grandes cernes noirs, son visage rond mignon fatigué. Il sortit de sa chambre, s'enferme dans la salle de bain et se donne un petit coup.

«-J'arrive, tante May.»

Puis, il descendit l'escalier et arriva dans une petite cuisine où se trouvait une vieille femme pourtant en pleine santé pour son âge, ses longs cheveux gris décoiffés. Bien qu'elle avait quelques rides sur son visage, elle faisait un peu plus jeune que son véritable âge.

«-Tu as bien dormi, Peter ?

-Oui, si l'on veut, répondit Peter.»

Tante May sortit d'un placard deux bols, du chocolat en poudre et du lait. Elle les mit à coté de son neveu.

«-Merci tante May.

-De rien Peter. Alors dis moi, tu es prêt pour l'examen de math ?

-Oui, j'ai révisé toute la nuit.»

Peter prenait un couteau et commença à déjeuner, sa tante s'assit à coté de lui.

«-Comment va Mary-Jane ?» Demanda tante May.

Peter fut gêné, Mary-Jane Watson était l'amoureuse de Peter, ils se connaissaient depuis le lycée mais il n'a jamais su lui avouer ce qu'il ressentait pour elle.

Sa tante savait les sentiments de Peter pour Mary-Jane. En fait, elle connaissait tout de lui, comme une mère. Sauf son secret de super-héros.

«-Je ne sais pas, répondit Peter à moitié fatigué, ça fait deux jours que je ne l'ai pas vu.

-Elle doit réviser elle aussi, dit sa tante.

-Sans doute. Bon, c'est pas tout ça mais il faut que j'y aille.»

Peter se dépêcha de boire son chocolat chaud, mit son manteau, ses chaussures et prit son cartable, puis se dirige vers la porte d'entrée.

«-Peter, attends, n'oublies pas que nous allons au cimetière aujourd'hui, ne sois pas en retard.

-D'accord, à tout à l'heure tante May.»

Peter sortit de la maison, il vit une superbe jeune fille à la chevelure rouge, taille mannequin, un charme si puissant qu'aucun garçon ne résisterait: c'était Mary-Jane, la fille de ses rêves qui sortit de la maison voisine. Elle aussi habitait chez sa tante Watson depuis longtemps à cause d'une enfance malheureuse chez ses parents.

Peter voulait la rejoindre et lui parler, essayer de lui avouer ses sentiments pour elle alors que les autres tentatives pour le lui dire avaient échouées, car il était trop timide, mais cette fois, c'est la bonne se dit-il. Mais à peine avait-il fait un pas qu'une voiture de sport bleu se gara à coté d'elle. Dans cette voiture se trouvait un autre étudiant, blond, musclé, gilet de sport rouge:

«-Salut M J.

-Flash, c'est à toi cette voiture ?

-Évidemment, mon père me l'a acheté avant-hier.

-Elle est magnifique, dit M J.

-Tu viens ? je t'emmène à l'université si tu veux.

-Super.»

Mary-Jane monta immédiatement dans la voiture, sans avoir aperçu Peter qui regardait la scène avec un excès de colère. Flash démarra la voiture et roula à fond en laissant de la poussière que Peter se reçoit dans la figure.

Flash Thompson était une brute auparavant, il tenait ça de son père qui était boxeur. Au lycée, c'était l'ennemi de Peter Parker, il le martyrisait durant la période où Peter n'était pas encore Spider-Man.

Un jour, Peter gagna un combat de boxe contre lui grâce à ses pouvoirs d'araignée. Depuis, Flash apprit à respecter Peter et devint son ami à l'université. Mais malgré tout, Flash continue a se moquer de Peter, mais rarement.

Peter était en colère contre Flash, il voulait parler à M J, il sentait que c'était enfin l'occasion de tout lui avouer, mais Flash a tout gâché avec sa voiture. Lui aussi a des sentiments pour M J, mais secrètement.

En marchant dans la rue où se trouvaient les petits immeubles de New York, il oublia vite l'incident de Flash et pensa à ce que lui avait dit sa tante: « nous allons au cimetière aujourd'hui ».

Le cimetière, c'est l'endroit où la tombe se son oncle se trouve, son oncle Ben Parker. C'était l'oncle adoré de Peter qui s'est fait tuer par un voleur alors qu'il tentait de l'arrêter, mais ce voleur n'était autre qu'un bandit que Peter lui même a laissé filer, auparavant Peter s'est fait mordre par une araignée génétiquement modifiée au cours d'une excursion dans un laboratoire; l'araignée lui donna des pouvoirs fantastiques, il utilisait ses pouvoirs d'araignées pour gagner de l'argent de poche. La mort d'oncle Ben et l'arrestation de ce bandit ont fait réfléchir Peter sur ses pouvoirs et se rappelle de ce que lui a dit son oncle « à grand pouvoir, à grande responsabilité ». Désormais, Peter combat le mal et se fait de nombreux ennemis mais il continuera de lutter pour son oncle décédé. Tout le monde ignore que Peter est le responsable de la mort de son oncle, même sa tante, et ils ignorent aussi qu'il est Spider-Man.

Soudain, une explosion retentit et Peter cessa de marcher, il regarda derrière les immeubles de New York et vit une fumée qui s'éleva dans le ciel.

«-Oh non, pas maintenant ! Se disait Peter.»

L'examen de maths allait commencer dans vingt minutes et Peter est encore bien loin du campus, mais il se décida vite fait et court vers une petite ruelle déserte et se déshabille en jetant son manteau dans son cartable, son pull, tous ses habits, il y' avait assez de places dans son sac, vu qu'il y' avait qu'une trousse, car son examen dure quatre heures et qu'il n'a pas cours cet après midi. Sur son corps se trouve une combinaison moulante rouge et bleu avec un motif de toile noire sur le rouge du costume, comme si une araignée géante avait fait sa propre toile dessus. Le bleu se trouve sur les deux jambes, sur les deux cotés des hanches, sur les bras, et sur le dos, le reste est rouge: le torse, des bottes rouges et des gants rouges, deux symboles d'araignée: un petit de couleur noir sur la poitrine et l'autre plus grand, rouge sur le dos.. Peter mit son sac sur son dos et sortit d'une poche un masque rouge avec aussi une grande toile d'araignée, sur le masque se trouvent deux grands triangles blancs arrondis formant ainsi des gros yeux pour que Peter puisse voir à travers le masque.

Il mit son masque qui lui recouvre la tête, tend son bras, renferme ses deux doigts du milieu: le majeur et l'annulaire, tend l'index, l'auriculaire et le pouce, et sortit de son poignet (où se trouve les veines) une long fil blanc qui partait à l'infini: c'était une toile d'araignée, et qui se colla à un mur.

Peter, devenu Spider-Man, sauta haut, entraîné par la toile très solide, il se balança, lâcha la toile et en sortit une autre, puis se balança de nouveau. Il se balançait de plus en plus haut vers les plus hauts immeubles de la ville, à la façon de Tarzan.

Spider-Man se dirigea vers la fumée qui se rapproche de plus en plus, ce qui inquiète Peter, ce n'est pas seulement d'arriver en retard pour l'examen, c'est de voir combien sont ces bandits qui ont provoqués cette explosion car si ils sont nombreux, cela peut le retarder encore plus pour son interrogation.

Spider-Man arrêta de se balancer et atterrit sur le toit d'un immeuble assez haut pour voir la scène de l'explosion où ses craintes se confirment: environ douze hommes en tenue de militaire portant des cagoules noires, dont certains portaient des armes, se trouvaient à coté de l'explosion où les flammes continuaient de faire office. Le magasin que les bandits étaient en train de vider en prenant des sacs pour les mettre dans un camion était une banque, ce qui n'étonnait guère Peter.

D'un bond, il sauta du toit et se jeta sur la ruelle attaquée, il se retrouvait en plein milieu des bandits:

«-C'est Spider-Man, dit un des bandits.

-TUEZ LE ! Hurla un autre bandit.»

Six bandits se jetaient sur lui, mais d'un bond, il sauta si haut que tous les bandits se rentrèrent dedans. Il se jeta sur un des bandits portant une arme, lui donna deux coups de poings et se saisit de son fusil. Il s'en servit comme massue et frappa un bandit qui voulait l'attaquer sur sa gauche, puis il lança le fusil sur un autre bandit qui voulait tirer sur lui:

«-Bon, ça sera vite réglé, je vous immobilise et j'attends l'arrivée des vrais méchants, se moqua Spider-Man.

-Tu te crois drôle, tisseur, on se laissera pas avoir aussi facilement, dit un bandit qui se mit devant lui.

-Oh tais toi, j'en tremble dans mes bottes, ironise Spider-Man.»

Le bandit fonça sur lui et essaya de lui donner un coup de poing dans ses dents mais Spider-Man l'évita, il donna plusieurs coups de poings en vain car Spider-Man les évite tous en reculant ou en se baissant. À son tour, Spider-Man donna un coup de poing dans son ventre mais ce poing fut si rapide que le bandit n'a pas eu le temps de le contrer, un autre poing dans la tête suivi d'un formidable coup de tête, et le bandit resta à terre.

Un autre voulu attaquer Spider-Man par derrière, mais ses sens d'araignées capable de détecter le danger sont en alerte, et il se retourne immédiatement en donnant un coup de pied qui heurte directement la hanche droite du bandit, lui aussi resta à terre. Très vite, Spider-Man se dépêcha de combattre les autres bandits restants: il bondit en donnant un coup de pied sauté au bandit qui se dirigea vers lui, il enveloppa l'autre bandit qui voulu lui tirer dessus avec sa toile, bientôt, tout son corps (sauf sa tête) fut immobilisé par cette toile très difficile à casser. En quelques secondes, tous les bandits étaient assommés ou emprisonnés par la toile. Spider-Man avait enfin fini, il ne prenait pas le temps de demander au gens sortant de la banque à moitié en flammes si ça allait, il grimpa et rampa le long du mur, comme une araignée marchant sur les murs.

Peter fonça à toute allure vers l'université, il espère ne pas avoir d'autres confrontations avec des bandits, il a déjà perdu suffisamment de temps comme ça, se dit-il, et il espère arriver à l'heure.

Après plusieurs balancements de toiles en toiles, Peter arriva enfin à son université, un énorme bâtiment entouré de verdures et de quelques bâtiments un peu plus petits. Autour du grand bâtiment, plusieurs étudiants sont répartis en groupes, ou d'autres sont seul. Pour Peter, c'est bon signe, les cours n'ont pas encore commencés.

Il va sur le toit de l'immeuble voisin, le plus près du campus et se dépêcha de se changer, il remet son pantalon, ses chaussures,...

Une fois habillé, il descend en secret dans une petite impasse entre les deux immeubles et marche tranquillement vers l'université. Sur le parking à coté d'un établissement du campus se trouve la voiture bleu de Flash et d'autres voitures de différentes couleurs: rouge, noir, blanc,...

Peter ne peut s'empêcher de repenser à M J, il aurait tant voulu lui parler, lui avouer ses sentiments qu'il a pour elle.

Il entre dans le grand bâtiment, des couloirs aux murs blancs, un sol fait de marbres rouges et blancs, le long des murs était parsemé de casiers rouges dont certains avaient des cadenas. Peter marcha jusqu'à son casier, le sien avait également un cadenas. Il cherchait sa petite clé pour le cadenas mais ne la trouvait pas, il fouilla toutes les poches de son manteau, de son pantalon...mais rien, Peter ne voit qu'une explication: il l'a perdu quand il a enlevé son manteau.

«-T'as perdu quelque chose, monsieur qui a l'air perdu ? Ricane quelqu'un.

-Flash, arrête.»

Flash et Mary-Jane était au bout du couloir, ils arrivaient vers Peter, tout deux avaient leurs sac à dos.

«-Allez, quoi, dit Flash, on peut plus rigoler.

-Ton humour est un peu lourd, répondit Mary-Jane.»

Mary-Jane était dans le vrai, Flash a quelque fois des blagues qui ne font pas rire Peter. Il aimerait bien donner une leçon à Flash pour qu'il arrête ses moqueries mais il ne doit surtout pas se battre avec lui, car ses qualités de combattants pourraient le trahir et les étudiants verront tout de suite qu'il est Spider-Man.

«-Tu as perdu quelque chose, Peter ? Demanda M J.

-Oui, répondit Peter, j'ai fait tomber mes clés quelque part, mais je ne sais pas où.

-Mets ton super cerveau en action et rappelle-toi où est cet endroit, dit Flash.

-Oui, répondit Peter en souriant, je crois savoir à quel endroit elles sont.

-Bravo, rigolait Flash, même pas deux secondes pour retrouver ses clés, c'est fort pour quelqu'un qui perd tout.»

Peter ne peut s'empêcher de retenir sa colère, il tient alors son cadenas et le sert très fort dans sa main pendant que Flash continue à se moquer de lui.

-Gaffe, Parker, avec ta super-force, tu peux écraser le cadenas ! Ironisa Flash.»

Un CRACK retentit soudain, Peter avait serré le cadenas si fort dans sa main qu'il s'est brisé. Il pris le cadenas et regarda le casier à moitié ouvert, le cadenas était tout écrasé comme si on avait roulé dessus, la chaîne de fermeture du cadenas était à moitié ouverte elle aussi. Sa force surhumaine acquis grâce à l'araignée avait pris le dessus.

«-Ben...comment il a fait ça ? Demanda Flash qui n'en croyait pas ses yeux.»

Autour de lui, cinq autres personnes, dont Mary-Jane, restèrent bouche-bée, c'était la première fois qu'ils voyaient une personne casser un cadenas avec une simple main.

Mais avant qu'on puisse l'interroger, la sonnerie de L'université retentit et Peter fila, jetant son cadenas dans une poubelle et allant vers sa salle de classe. « sauvé par le gong » se disait Peter, il regarda derrière lui et les six personnes le suivait du regard, toujours étonnées.

Peter arriva dans sa classe où toutes les tables étaient séparées, un homme assit sur son bureau vérifia les copies, il les compta puis les distribua pendant que les étudiants de la classe de Peter prenaient place. Certains étaient angoissés, d'autres semblaient sûr d'eux.

«-Voici votre examen de maths, dit le professeur, vous avez quatre heures, sortez une calculette et une trousse, les feuilles de brouillon vous seront donnés.»

La porte était encore ouverte, Peter voyait Flash et M J passer devant la porte en train de discuter. En continuant de regarder la porte, Peter était inquiet, Flash et M J parleraient-ils de lui ? Cet accident les auraient-ils inquiétés ?

Il se posait ces questions, il se demanda même si les cinq étudiants penseraient qu'il pourrait être Spider-Man.

«-Monsieur Parker, au lieu de regarder la porte, regardez votre copie, dit le professeur qui passa à coté de lui.»

Tout de suite, Peter tourna la tête vers la copie que le professeur venait de lui donner. Il sortit ses affaires, mit son sac à coté de sa table et commença à lire le sujet. Il oublia très vite les questions qu'il se posait dans sa tête et se concentrait sur l'examen.

C'était maintenant le silence complet, aucun ne parlait ni ne chuchotait, tous étaient rivés sur leurs copies. Le professeur était assis à son bureau et regarda chaque personne en train de travailler.

Soudain, les sens d'araignées de Peter vibraient, ils sont en alerte, il leva la tête pour voir le danger mais il ne semblait pas venir de l'université. Il avait vu juste car un énorme bruit venant du ciel retentit et se fit entendre dans tout l'université. C'était un bruit tellement fort, plus fort qu'un avion de chasse, on aurait dit que l'engin vola à ras du sol tellement ce bruit était fort. Les étudiants commençaient à se parler entre eux, ils arrêtaient d'écrire et parlaient de ce bruit assourdissant. Le professeur a dû se lever pour faire taire les étudiants dont certains s'inquiétaient, en particulier Peter. Pourquoi ses sens se sont-ils mis en alerte pour un engin se demanda t-il, il réfléchit et se demanda si celui qui se trouvait à bord de cet engin n'était pas un vieil ennemi de Spider-Man, ce qui expliquerait l'alerte.

«-C'est bon, dit le professeur qui intervenait dans les discussions, vous n'avez jamais entendu un avion ou quoi ? L'incident est clos, maintenant reprenez votre travail car vous êtes en examen.

-C'était pas un avion, monsieur, c'est plus gros que ça, dit un étudiant.

-C'est vrai monsieur, dit un autre, ou alors cet avion volait bas.

-Vraiment très bas, alors.

-J'ai cru qu'il allait nous rentrer dedans. C'est dangereux de voler comme ça.

-Ça suffit maintenant, dit le professeur qui commença à s'énerver, oubliez cet avion et faites votre examen, vous perdez du temps.»

Finalement, le silence retomba dans la salle de classe, tout le monde travaille à nouveau. Seul Peter continuait de réfléchir sur ce soi-disant avion, quel ennemi de Spider-Man pourrait piloter un avion et pour quel raison ? Peter avait décidé qu'une fois son examen fini, il irait à la recherche du mystérieux avion et surtout, il ira à la recherche de celui qui pilotait cet avion.

Pendant ce temps, le mystérieux avion continuait de voler au dessus de New York, ou plutôt le mystérieux vaisseau dans lequel se trouvaient Wilson Fisk alias le Caïd et Lex Luthor, l'ennemi de Superman ainsi qu'un soldat de Loki qui était le pilote.

«-Vous voyez la tour la-bas, dit Fisk, atterrissez sur le toit.

-Ça marche, répondit le pilote.»

Le vaisseau se dirigea vers l'une des tours de New York, sur le toit, il y' a un héliport assez grand pour que le vaisseau puisse se poser.

«-Et voilà, dit le pilote, nous voici arrivés.

-Merci beaucoup, répondit Fisk.»

La porte s'ouvre et les deux hommes descendirent.

«-Soldat, va dire à ton maître que nous prendrons du temps pour ce projet. Ce n'est pas la peine qu'il attende, autant qu'il commence ses plans tout de suite.

-Entendu, monsieur Fisk.»

La porte se referme et le vaisseau décolla, il quitta le toit et se dirigea vers le ciel.

«-Alors, Fisk, et la suite ?

-Comme convenu, je vais appeler mes chercheurs et vous les vôtres, tenez, mon adresse.»

Il tendit à Luthor une petite carte blanche sur laquelle était inscrite son adresse.

«-Venez, la tour entière est ma maison, il y' a un laboratoire, des chambres et toute sortes de choses. Vous serez à l'aise ici.

-Loki héberge des bandits dans son temple et vous, vous hébergez un bandit dans votre tour, c'est le jour de chance des bandits aujourd'hui, ricane Luthor.»

Le Caïd ricane aussi et tous deux marchaient vers une porte qui se trouve sur le toit pour descendre et aller dans le laboratoire de la tour pour préparer le fameux projet des cristaux.




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