une parenthèse magique
Il est bien connu, les gardes Français ont toujours été juger comme des brutes épaisses et des rustres car les soldats sont tous des roturiers. A ce moment où le combat entre la noblesse et le tiers-état était de plus en plus important, la garde Française et la garde Royale ne cessaient de chercher à prouver qui de l'une ou l'autre des deux institutions était la meilleurs. La noblesse ? Le tiers ? Pour mettre fin au querelle, qui risquait de nuire au bon déroulement de la sécurité de la France, Marie-Antoinette avait décidé que les différents régiments se battrait en décorant leur caserne. Ceux qui gagnerais serais déclaré comme les meilleurs.
Vous vous doutez bien alors que les hommes d'Oscar avait hâte de prouver que le peuple valait mieux que ces privilégie qu'il haissait tant. Chacuns des grenadiers avait sa mission : André devait s'occuper de trouver la plus belle buche de noel, Alain quant à lui devait demandé à sa chère sœur de préparer un superbe gâteau au chocolat, car même si ce n'est qu'un concours de décoration pourquoi se priver de manger de la bonne nourriture, Lassale avait pour mission de chercher des santons pour faire la plus fabuleuses des crèches de noel. Il avait été très dur de convaincre les autres de chercher des guirlandes et des boules pour le restant de la décoration, et personne n'avait envie de sortir dehors par se temps de chien pour aller trouver un sapin, alors il fut décidé de mettre dans une casquette les noms de chaque soldat restant et de procéder à un tirage au sort. Bien sur il aurait put y avoir un départage différents, par duel ou grâce aux mais la colonelle de Jarjaie ne le souhaitait pas.
De leur côté les gardes royal ne chaumait pas non plus, certains pestaient des idée loufoques de la reine, bien trop souvent ils leurs arrivé de devoir chercher une chaussure ou tous autres choses sans réel importances de la capricieuse monarque. Beaucoup pensaient que réglé cela grâce à un bon vieux duel serais beaucoup plus simple mais que voulais vous on ne contredit pas une reine. Girodelle n'était, quant à lui, pas si mécontent de ce concours qui lui changerais les idées, bien sombre depuis le départ de son Oscar, et casserais la routine qui s'installait à Versaille. Tous comme la colonelle, Victor avait répartit les tâches entre ses hommes, et il compter sur son bon goût, limite féminin, pour décorer la caserne de Versaille.
Alors que les grenadiers chercher des décorations masculines mais néamoins jolie, chez les soldats de la garde royale tous n'était que dentelle et froufrou. Lassale réussit à trouver des pièces magnifique et très grande pour la crèche que l'on mis sur une table dans la cantine, cela l'égaya un peu, en attendant les guirlandes qui tardèrent à arriver. Alain après avoir prévu plusieurs gâteaux aux chocolats et à la poires et qu'André ait apporté la contribution de grand mère pour deux tartes aux pommes, décida de lui même trouver des guirlandes, laisser gagner ces satanés nobles, comme le faisaient la plupart de ses camarades par mauvaise foi, et puis quoi encore. Il obligea ses camarades de chambre à créer avec du papier, qu'il trouva dans une corbeille, des napperons. Cela va sans dire que quand Oscar vit ce que cela donna sur les tables elle trouva cela de plûtot mauvais goût, cela ne risquait pas de rivaliser avec son ancien lientenant. Mais néamoins elle décida après cela de chercher des vrai napperons, en dentelle fine, une petite touche de féminité pour l'unique caserne commander par une femme. Girodelle quant à lui demanda à l'un de ses serviteurs de lui couper un sapin pour qu'il puisse ensuite y mettre des rubans dorée et argenté dessus, après tous un noble n'allait pas lui même prendre une scie pour abbatre un arbre. André qui avait de son côté trouver des jolies buches pour mettre sur les tables de la caserne à noel, se décida à les décorer avec des bouts de trois guirelandes qu'il avait volé juste avant à celle raporté part Alain, le mettant un peu en rogne, et de petits santon de la Vierge, de l'enfant Jésus ou de Josef, cela fut du plus belle effet. Alain punaisa des guirelandes dorées sur les murs de la cantine et y fit suspendre des boules de couleurs. Boules, qui lors de leur recherche, ont entrainé bien des blagues salaces et peu délicates de la part des soldats, très habitué à parler de choses paillardes de manière lourde dans les bars et les chambres. En parallèle André, qui ne souhaitait pas abbandonné sa très chère amie à cause d'un concours, décida de trouver un magnifique cadeau pour son anniversaire, qui ne l'oublions pas se trouvait être le jour de noel. Lassale fait suspendre du houx dans les autres pièces, se qui donna l'idée à Alain de mettre du gui, il avait en tête l'idée de pousser Oscar et André à s'embrasser dessous, en ayant marre d'entendre son ami se plaindre sans cesse, si André ne le fesais pas alors le soldat au foulard rouge prendrais sa place. De leur coté les gardes royale avancé bien aussi, deux sapins avait été mis en place, un dans la cours et un dans la salle à manger, et avait été décorer avec un goût plûtot féminin mais qui sié parfaitement à Girodelle et à Versaille, parfaitement en accord avec les robes des dames. Pour le sapin des gardes Française cela eut beaucoup de mal à avancer et quant enfin quelqu'un se décida à en apporter un, celui ci fut déformé et ne conviendrait pas du tous un la jolie décoration que les grenadiers avait mis en place, et les bonbons qu'Oscar avait déniché pour mettre dessus risquait de ne pas tenir. Car oui la colonnelle s'activait beaucoup dans sa mission de faire la caserne la mieux décoré, pour faire plaisir à ses hommes, qui pourrait avoir un beau noel et être dans l'ambiance et surtout gagner, mais surtout pour se venger de Girodelle et de sa demande en mariage qui n'était toujours pas passer.Entrez votre texte ici