une parenthèse magique
Oscar décida donc de le jeter, et pour contraindre ses soldats de trouver un sapin qui vaille le coût, de lancer elle aussi un petit défis qui ravirais tous les hommes présent à la caserne, qui pour beaucoup craquer sur elle, elle offrirais un baiser à celui qui aurais le plus beau sapin. Le top départ fut donner et tous les hommes se lancèrent pendant leur permission, car bien sur cela ne se ferais pas pendant les entrainements, que la colonnelle de Jarjaie avait souhaité conservé du moins le matin, dans la forêt, avec en tête de dénicher le plus beau des sapins. André lui, plus habituer à couper le sapin de noel pour le mettre dans le salon du domaine des Jarjaie s'avait où se procurer la perle rare, il en profita pour en couper un et pour l'amener à sa grand mère pour qu'elle le décore. Bien sur il aurait put se désigner pour trouver le sapin pour la caserne, mais en couper deux cela fait beaucoup, mais avec la promesse d'un baiser consentant de son Oscar il ne pouvait résister. Alain de son côté hésiter, il voulait réunir ses deux amis, mais en même temps il avait peur de louper peut être sa seul chance de pouvoir poser ses lèvres sur la douce et appétissante bouche de sa colonnelle.
Dans les bois on pouvait entendre les hommes grogné leur labeur et le bois grincer sous les coups de hache. Au final les cinquantes grenadiers du régiment d'Oscar on ramener un arbre dans la cours de la caserne, empéchant en passant les soldats de s'entrainer, mais malgré tous mademoiselle de Jarjaie fut contente car ses hommes c'étaient impliqué dans la chose. « Ah que ne faut il pas faire pour obliger les fainéants à travailler !!! » put ce dire Oscar en voyant le nombre de sapin ne ceser d'augmenter.
Chaque combattant avait inscrit, plus ou moins lisiblement sont nom, car certain étant peu lettré ou pas du tous cela fut assez difficile pour la plupart d'entre eux d'écrire même simplement son prénom, sur un papier retourner sous une pierre, pour ne pas qu'il vole et pour être sur que la colonelle ne choisirais pas l'arbre en fonction de la personne même si cela n'est pas dans le caractère d'Oscar. Vint le moment de choisir, la travestie faisait donc le tour de la cours, en essayant de se faufler de son mieux entre chaque arbre de noel sans que ses habits n'en patissent, c'est que la cinquantaine de sapin entreposé prenaient vraiment beaucoup de place et étaient en plus de cela assez peu répartit. Après avoir fait le tours une fois, puis deux elle refit un début de tour qui la mena devant un grand conifère, peu être même trop grand pour mettre dans la cantine, assez toufu, qu'elle choisit. Elle félicita tous ses hommes pour avoir participer à cette quête de l'arbre parfait et regarda le nom inscrit sur le papier : « Alain ». Finalement se cher Alain avait décidé de passer les probables dernier moment d'amour qu'il pouvait se permettre avec sa colonnelle bien aimé en jouant le jeu à fond et en le gagnant. Ensuite elle appartiendrait définitivement à André.
Le moment juste après fut un moment de gène attroce pour Oscar qui ne savait pas comment s'y prendre, après tous elle n'a pas été élever pour utiliser ses charmes, mais les Jarjaie ont toujours eut comme qualité le courage, et en tant que l'hériter de cette illustre famille, elle ne se découragea pas et se dirigea vers Alain et posa ses lèvres sur celle de son compagnon d'un baiser, avant de les mouvoir avec élégance et timidité. Jamais Alain, ni les autre n'avais jamais put voir leur colonnelle si réservé auparavant, mais de voir cette qualité si féminine transparaitre d'elle leur plus beaucoup.
Ensuite André et un de ses camarades portèrent le sapin gagnant dans la cantine et espérant ne pas l'abimer en route, se serais dommage. Alain, quant à lui, eut beaucoup de mal à retourner sur terre. Tous les hommes ont ensuite sortit les cannes à sucre de leur boite et les ont disposé sur le l'arbre, ils y mirent aussi des pains d'épice en forme de maison et de bonhomme, tous cela donna un charme certain, et une convivialité à la salle. Bien sur il fut normal qu'avec des garnements si gourmand, certaines surcrerie finirent par être manger.
La question qui se posa après fut que faire des autres conifères qui avait envahit le lieu. Lassale proposa de mettre des sapins ailleurs pour faire une décoration de font en comble et non pas seulement superficiel en ne décorant que le lieu des festivités. On choisit donc le plus beau sapin suivant, celui d'André cette fois, pour le mettre dehors, et on pris les plus petit pour décorer les chambres des soldats, y mettant un peu de gaieté, et une très bonne et délicate odeur de sève, qui rappelle tant noel et qui parfuma les lieux qui sentait légèrement trop le male viril et pas forcément bien lavé. Alain réussit à dégotait quelques, assez tous de même pour en mettre une par arbre, guirelandes, et Oscar et André suplière grand mère de leur faire du pain d'épice. Il y eut finalement assez de décorations pour paufiner le tous et ne laisser aucun arbre nu. La caserne devint à ce moment l'endroit le plus familiale qui existe, avec des joyeux lurons, un peu enfant sur les bord, qui ne faisait que s'amuser, et un colonnelle qui server d'autorité qui trouvait cela amusant, du moment que tous redevenait normal après les fêtes de fin d'année, des bons feu qui crépitait dans chaque cheminées, pour chasser ce froid de Décembre, et bien sur la décoration qu'ils avaient mis tant de temps à faire . L'ambiance était donc des plus chaleureuse, au final qu'ils gagnent ou qu'ils perdent le plus important a été qu'ils se sont beaucoup amuser et qu'ils pouvait tous passer les fêtes avec leur famille dans ce lieux qui respirer la joie et la bonne humeur, même Alain, et son esprit de compétition doublé de sa haine pour la plupart des noble, était d'accord avec cela, après tous le baiser du colonnelle ne valais t'il pas toutes les victoires contre cette foutu garde royal du monde. C'est aussi cela la magie de noel, savoir mettre sa fierté de côté pour profiter des petits moments entre amis.