Rise Of The Snow Queen

La porte s’ouvrit dans un grincement. Elsa plissa les yeux pour mieux voir, mais elle ne voyait rien. Un animal à 4 pattes arriva. Il se dirigeai vers Elsa.

E : Un loup ! Jack !!!

Elsa monta sur la table et essaya de se servir de ses pouvoirs, mais rien ne se passa. Le loup s’assit, comme s’il comprenait la peur qu’Elsa éprouvait envers lui. Il ne la quittait pas des yeux. Elsa regarda tout autour d’elle, mais pas de Jack, ses yeux croisèrent ceux du loup, il la regarda dans les yeux. Elle plissa les yeux et regardai le loup. Un flash lui apparut soudainement, ces yeux, elle les reconnaissait, il s’agissait de ceux de Jack, et quand elle regarda le loup, au fond d’elle-même, elle voyait Jack. Elle redescendit de la table et se dirigea lentement vers lui. Il se leva et alla voir Elsa, elle avait la main qui tremblait. Le loup posa sa tête sous la main d’Elsa, qui commença à le caresser doucement. Le loup se leva et commença à chercher des odeurs qui lui étaient familières. Il avait reniflé partout mais aucune trace d’eux, ils s’étaient volatilisés. Jack repris alors forme humaine.

J : aucune trace d’eux…

E : je, je ne savais pas que tu pouvais te transformer en loup…

J : ça date d’il n’y à pas longtemps, j’ai acquis cette apparence peut après le message que l’homme de la lune ma délivré, à propos de toi, quand il m’a dit qu’ils t’avaient enfermé dans les cachots de ton propre palais, la rage est montée en moi comme une douleur. L’homme de la lune m’a dit que je pouvais exploiter cette rage sous une autre apparence, celle du loup. Il m’a donc expliqué comment me transformer et il m’a expliqué les bases.

E : c’est, ce que tu as ressentis quand tu as su que j’étais enfermé ?

J : oui, je, comment ont-ils pu ?! il ne se souviennent même pas que tu étais là avant lui, que le trône, il t’était destiné, et pas à lui.

E : je sais parfaitement ce que ça fait Jack mais je ne crois pas qu’il soit lui-même…

J : Hans ? mais il a toujours été comme ça.

E : non, au début, je lui en voulais énormément mais il a été très compréhensif. Il a été très attentionné et gentil. Et puis tout à changer quand Jamie à voulu commencer à partir, il avait compris que son père changeait, et en mal. Je crois que Hans n’a pas toujours su que tu étais emprisonné depuis si longtemps. C’est quand il l’a appris qu’il à changer. J’avais finit pas m’habituer à sa présence, c’est quand il à changer que j’ai voulu me détacher de lui.

A ces mots, Jack compris alors que la femme qu’il avait toujours aimée, éprouvait des sentiments envers l’homme qui les avaient séparés, cette nouvelle le déchira de l’intérieur, mais il ne dit rien à Elsa.

La nuit tombât très vite, pendant tout le repas Jack se trouvait gêné d’être au côté d’Elsa après avoir su qu’elle avait des sentiments pour l’homme qui les avaient séparés, il voulait lui demander pourquoi, si elle aimait Hans plus que lui. Jack se sentit jaloux.

E : je vais me coucher

J : très bien…tu n’as qu’à emprunter la chambre de ta sœur.

Il la sentait distante. Bien qu’ils s’apprécient, Jack et Elsa dormirent dans des chambres séparées. De son côté, Elsa sentait que quelque chose tracassait le gardien, elle ne voulut dormir avec lui parce qu’elle avait besoin de se retrouver, de savoir où elle en était et surtout de savoir si Jack ressentait toujours la même chose pour elle. Après le repas, elle en douta énormément. Mais pour qu’ils puissent se retrouver, ils avaient d’abord besoin de retrouver les autres, c’était leur mission n°1. Bien qu’ils soient dans des chambres différentes, Jack et Elsa eurent du mal à dormir car chacun pensait aux propos de l’autre.

Le lever du soleil éclaira la chambre d’Elsa qui se réveilla tranquillement en pensant que tous ces problèmes n’étaient que des cauchemars, c’est lorsqu’elle traversa la chambre entière, qui appartient à ça sœur, pour aller dans la salle de bain, qu’elle ressentit encore une fois à quel point sa sœur lui manquait. Elle s’assit sur le lit de sa petite sœur, caressa les draps et pris son oreiller dans ses mains. Elle le sentit, l’odeur et la présence de sa sœur lui manquait terriblement. Une larme coula sur la joue de la jeune femme, qui reposa l’oreiller à sa place. Elle essuya la trace de la larme laissée sur sa joue et sortie de la chambre pour aller chercher un quelconque indice laissé par leurs amis. Elle chercha toute la matinée mais rien. Quand à Jack, il continuait de dormir. Elsa abandonna la recherche d’indice car elle commençait à perdre tout espoir de retrouvé sa sœur ou même son fils. Elle se retrouva dans une grande salle éloignée des chambres. Cette pièce lui était inconnue, elle était complètement vide, elle remarqua cependant les marques de combats sur les piliers, les murs et le sol. Se trouvant seule, elle en profitât pour essayer de faire revenir ses pouvoirs. Plus elle essayait, moins les morceaux de glace était gros. Vue de haut, la pièce était remplie de pics de glace jetées par la reine, mais aucun ne correspondaient aux attentes de la reine, alors elle recommençait. Le premier fut petit, le second faisait le double mais elle s’épuisait plus vite que la glace ne sortait de ses mains. Elsa se sentait tellement inutile qu’elle voulait retrouvée ses pouvoirs pour pouvoir au moins se défendre elle-même. En un mouvement de bras, toute la glace se transforma en poussière. Elle tenta quelque chose de moins compliqué que des attaques, comme faire tomber de la neige ou encore geler le sol. Elle posa violemment son pied au sol, le contact entre son pied et le sol gela la pièce. Puis la reine rapprocha ses mains l’une de l’autre et commença à faire des rotations. Une boule de neige apparu, plus elle tournait plus elle grandissait, elle leva ses bras vers le haut comme pour jeter la boule qui explosa en millier de petit flocon dans la salle. La reine sourit de nouveau à la vue de tout ce qu’elle venait de faire, d’avoir retrouvé une partie de ses pouvoirs. La reine s’assit dans un tas de neige qu’elle avait créée, elle s’allongea dedans, ne ressentant pas le froid de sa glace et de sa neige, elle pouvait faire ce qu’elle voulait dedans. Allongée, elle ne ressentait qu’une chose, un énorme vide en elle. Se vide venait de l’absence de sa sœur, de ses amis, de son fils et de la distance entre elle et Jack. Elle avait beau réfléchir à différente excuses que Jack pourrait lui donner pour cette distance, aucune d’elles n’étaient vraiment juste et possible. Se pourrait-il que le jeune immortel ait changé ? L’aimait ’-il encore ? tellement de question tournaient dans sa tête, mais sans réponses… Elsa se leva soudainement, prise d’une grande curiosité et colère. Elle marcha vers la sortit et d’un mouvement sec du bras, les deux immenses portes s’ouvrirent dans un immense courant d’air frais. Elle fit disparaître la neige laissée d’un autre mouvement sec du bras. Elle se dirigea avec détermination dans la chambre de sa sœur et commença à fouiller chaque tiroir pour trouver un objet qu’elle lui avait offert il y a quelques années. Elle chercha avec détermination et ne se rendit pas compte que Jack était sur le seuil de la porte, se frottant l’œil. Il se racla la gorge pour annoncer sa présence.

E : oh Jack c’est toi, que veut tu ?

J : tout va bien ?

E : oui pourquoi cette question ?

J : tu sembles préoccupée, tu cherches quelque chose ?

E : oui, je cherche un collier que j’ai offert à Anna il y a quelques années…

J : je peux t’aider ? à quoi ressemble-t-il ?

E : c’est un collier en argent, avec un pendentif en forme de flocon. Oh et il y à… euh… un diamant incrusté au centre.

J : je peux te demander pourquoi tu le cherche ?

E : j’aimerais lancer un sors de localisation sur son collier, comme ça, il me mènera à elle.

J : ton flocon ne marche pas ?

E : non, parce que… il y a longtemps, mes parents ont demandés à un grand sorcier qui vivait au havre des brumes de jeter un sors à Anna. Le sors la rendue impossible à localiser, même avec les pouvoirs les plus puissant, pour la protéger. Et le seul moyen possible, c’est le collier… Mais je ne le trouve pas, et ça commence à m’énerver !!

J : tu ne t’es pas dit qu’elle pourrait le porter sur elle ?

E : pourquoi est-ce qu’elle le porterait, si c’est le seul moyen de la localiser ?

J : peut-être que sa grande sœur lui manquait terriblement et que du coup elle a voulu porter quelque chose que tu lui as offert…

E : je ne sais pas…je…elle me manque tellement…

J : attends une seconde…

E : qui y à t-il ?

J : tu as bien dit le havre des brumes ?

E : euh…oui…oui je l’ai dit, mais pourquoi cette question ?

J : je connais cet endroit ! c’est la forêt enchantée !! je connais quelques personnes haut placée… mais ça fait un sacré bout de temps, ils ne sont peut-être même plus en vie…

E : oui mais ça ne me dit pas pourquoi le havre des brumes revient dans la conversation ?

J : tu as dit que tu étais allé voir un grand sorcier…

E : je crois qu’il s’appelait Rupel je ne sais pas quoi…ça fait tellement longtemps tu sais, je ne me souviens plus…

J : mais je ne t’ai pas demandé de t’en rappelée, ce n’est pas grave…

E : mmm…

J : tu as l’air exténuée, as-tu dormi cette nuit ?

Demanda-t-il avec un ton si doux

E : très peu, comme je n’arrivai pas à dormir je suis descendu dans la grande salle pour m’entrainer, mais ça n’a rien donné…

J : ce qui t’a fait perdre encore plus d’énergie…

E : sans parler du stress dû à l’absence d’Anna et les autres dont on à aucune nouvelles…

J : peut-être qu’on devrait aller voir ce sorcier…

E : oui c’est une excellente idée !

J : alors c’est décidé ! nous partirons dans 3 jours !

E : tu sais très bien qu’on à pas de temps à perdre, on doit partir maintenant !

J : mais tu es complètement exténuée !

E : ce n’est pas moi qui vole, c’est toi !

J : très bien allons-y…

E : on à pas de temps à perdre !

Jack attrapa Elsa par la main et couru vers la sortie que Nord empreinte habituellement avec son traineau. Ils s’envolèrent alors en direction du terrier du lapin de paques. Gardien des portails qui mènent aux 4 coins du monde et d’autres qui mènent dans d’autres monde tel que la forêt enchantée.

E : on est presque arrivée ?

J : oui on y est !

Une fois dans le terrier :

E : oh mon dieu !

J : mais que s’est-il passé ici ?!