Tu resteras toujours ma soeur

Chapitre 9 : Le cours de Levi

736 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 29/05/2017 04:07

Je partis en direction de ma chambre. Je pris une douche froide, car je trouvais qu'il commençait à faire chaud. Je m'habilla, enfila ma veste puis me dirigea vers mon cours. Quand Eren me vit entrer dans la classe, il avait l'air de me regarder bizarrement. Il m'assaillit alors de question parce que je n'étais pas présente au déjeuner. C'est avec surprise que j'appris par Armin que c'était le caporal du Major Erwin qui allait faire le cours d'aujourd'hui.


« C'est donc pour ça qu'il était là, pensais-je, »


- Bon, je vais aller m’asseoir, on se reparle après le cours, dis-je.


- Parfait ! À tout à l'heure, me dit Armin en souriant.


Je décida d'aller m'asseoire au fond de la classe, car je ne me sentais pas bien. Eren me regarda avec un regard étonné puisque normalement, j'étais toujours en avant. Marco vint s'asseoire à coté de moi. Je lui souris et il me rendit mon sourire.



- Ça va bien Marco ? Lui demandais-je.


- Oui et toi Jaëlle ? Fit-il en souriant.


- Oh... Ça pourrait aller mieux, riais-je.


- Qu'est-ce qu'il y a ?! S'inquiéta Marco.


- Ce n'est rien de grave, le rassurai-je, je crois avoir attrapé un rhume ou quelque chose du genre.


- Ah d'accord, dit-il en lâchant un soupir de soulagement, pense à te soigner pour ne pas que ça s'aggrave.


- Oui c'est promis ! Lui dis-je en souriant.


Marco tourna la tête et je crus le voir rougir par la même occasion. J'aimais bien Marco, il est facile à parler et il a toujours les mots justes pour rassurer les gens. Il était le garçon avec qui je m'étais le plus rapproché avec Jean car, ils sont toujours ensemble. Mikasa me regardait toujours avec un sourire en coin quand lui et moi discutions ensemble, car elle s'était rendu compte qu'il en pinçait pour moi. Je ne savais pas trop quoi en penser, oui ça allait bientôt faire trois ans qu'on se connaissait, mais je n'avais jamais pris le temps de réfléchir à si j'avais peut-être des sentiments pour lui...


Après notre brève conversation, le Caporal entra dans la classer qui se tue immédiatement. On aurait pu entendre une mouche voler tellement c'était silencieux. Il parcouru du regard toute la classe. Quand son regard s'arrêta sur moi, ma respiration cessa. Il avait un de ces regard à vous tuez sur place, je sentis son regard gris acier me transpercer. Je commençais à me sentir mal à l'aise, est-ce que j'avais une tête si horrible que ça ou quoi ?


Je baissa les yeux pour finalement me rendre compte du pourquoi Levi me regardait... Je portais sa veste ! Je devint aussi rouge que mes cheveux et me dépêcha d'enlever sa veste. Il se retourna finalement vers le tableau en lâchant un simple «Tch».


Je me sentais vraiment stupide et j'avais honte de moi, je comprenais pourquoi tout à l'heure mon frère qui avait un regard bizarre quand il m'avait vu, car je portais la veste du bataillon d'exploration. Je me m'étais pas rendu compte quand j'ai pris ma douche que je l'avais déposée sur mes vêtements de rechange...


Le sujet du cours d'aujourd'hui, allait porter sur la manoeuvre tridimensionnelle, génial ! Je détestais ce cours, je savais déja tout ce qu'il fallait faire, car Erwin m'avait déja tout enseigné quelques années auparavant. Les heures passait et plus je commençais à me sentir mal. J'avais de grosses bouffées de chaleur, je me sentais étourdie et j'avais des nausées. Sentant que j'allais être malade, je me leva et sortis à la course du local pour me précipiter à l'infirmerie.


- Oi morveuse ! Qu'est-ce qui te prends à te lever comme ça de mon cours ? Dit Levi d'un ton sec.


Je ne l'écouta pas et partis voir Hansi. Arrivée à l'infirmerie, Hansi fut étonnée de me voir revenir. Vu mon teint blanchâtre elle s'asbtint de me chicaner et s'inquiéta plutôt de savoir comment je me sentais. Elle m'aida à m'asseoire sur un des lits mais je me releva aussi vite que j'étais arrivée ici, je me précipita ou l'évier pour recracher le peu de nouriture qu'il me restait dans l'estomac et par la suite se fut le néan.


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