Jojo's Bizarre Adventure The Revenge Of The Accused.

Note de l’auteur : Notre procédé d'écriture sortant de l'ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d'éviter toute confusion dans la lecture.

Pour rappel :

Paragraphes en italique : Le narrateur est l'un des personnages. (le plus souvent Joe)

Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S'applique aussi dans les dialogues.

Dans les dialogues :

Phrase entre des astérisque : exemple * J'ai l'impression qu'on m'observe * : Le personnage réfléchit ou pense.

Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé.

Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Petra Windelize (téléphone) : donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, Petra parle au téléphone.

Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture. Nous vous souhaitons des à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages.

L’équipe Brotherhood Corp.

Jojo's Bizarre Adventure The Revenge Of The Accused. 2ème partie.

Chapitre XVI. Cannonball. 1er partie.

Pendant le combat de Joe Joestar et Desmond Black. 

Les rues de Salem baignaient dans une atmosphère oppressante. Les barrières de sécurité érigées par les autorités se dressaient comme des remparts, cloisonnant la ville sous un couvre-feu imposé par le chaos.  

Pourtant, au milieu de ce climat de tension, un homme avançait d’un pas résolu. Amadeus Davies, son manteau battant sous le vent frais, il parcourait la ville avec un seul objectif en tête : retrouver Joe Joestar. 

Amadeus, une main sur son arme de poing bien dissimulée sous sa veste, arpentait les ruelles désertes, ses yeux scrutant chaque coin d’ombre, chaque mouvement suspect. 

Amadeus Davies : Il ne peut jamais rester en place, celui-là ! « Soupira-t-il d'exaspération ». C'est incroyable... 

Soudain, une série d’explosions retentit au loin. Le sol vibra sous ses pieds, les fenêtres tremblèrent sous l’onde de choc. Une brève seconde de silence s’installa avant que l’air ne soit de nouveau déchiré par une autre détonation, plus violente encore. 

Amadeus Davies : Qu'est-ce que... des explosions ?! « Dégaine rapidement son arme de poing, ses sens en éveil.». Ce n'est pas bon du tout... La dernière fois que j'ai vu de telles explosions, ça a mal tourné pour Joe. Je dois découvrir ce qui se passe, même si la maladie sévit dans les rues. 

Amadeus franchit les cordons de sécurité érigés par les autorités et pénètre dans Salem.  

Sur ses gardes, il longe les murs des bâtiments, s'aventurant dans les rues de la ville. Arrivé sur le lieu de l'explosion, il est frappé par le spectacle qui s'offre à lui.  

D’un coin du mur, il aperçoit une scène de combat titanesque et de désolation. Les bâtiments sont détruits de toutes parts, réduits à des amas de débris fumants. La route est déchirée, marquée par des cratères d'impact. Des voitures brûlées jonchent les rues, témoins silencieux du chaos qui règne.  

Amadeus Davies : C’est quoi ce champ de ruine !  

D'autres explosions retentissent, secouant la terre sous ses pieds. 

Amadeus Davies : Nom de...! 

Perfect Crime : Olya Olya Olya ! 

Amadeus Davies : * Joe !* 

Desmond Black apparaît, arborant un sourire. 

Desmond Black : Ohohoho. Je te l’ai pourtant répété, Joestar. Tu n’arriveras pas à venir jusqu’à moi ! 

Joe Joestar, couvert de blessures, pose un genou au sol, épuisé par le combat qu’il mène. 

Joe Joestar : C'est de pire en pire… Je… je ne sais pas quoi faire… ! Ces projectiles sont beaucoup trop rapides et imprévisibles… 

Desmond Black : Deadly Bomber ! 

Joe Joestar : Encore des projectiles ! « Murmura à lui-même d’un ton désespéré. » 

Une pluie de gravats explosifs provenant des bâtiments en ruine s’abat sur Joe, qui tente désespérément de fuir. 

Grâce aux jambes agiles de Perfect Crime, Joe parvient à esquiver de justesse les gravats, puis se cache dans une ruelle pour reprendre son souffle, le corps tremblant d'épuisement. 

Joe Joestar : « Reprend son souffle ».  

Amadeus Davies : Joestar !  

Joe Joestar : Amadeus ! Qu’est-ce que vous faites ici ?!  

Amadeus Davies : Je suis te chercher Joe ! Tu as disparu sans rien dire ! 

Joe Joestar : « Regarde d’un coin de l’œil son adversaire ». Ce type m’a attiré ici. Et je lui dois ma premier mort… « Il marqua une pause, une ombre de culpabilité traversant son visage avant de reprendre. » Mais pas la seconde… seulement… je n’arrive pas à le toucher… 

Amadeus Davies : Le fameux Joe Joestar n’arrive pas à le battre !  

Joe Joestar : Eh bien oui ! Je n'y arrive pas…je n’ai pas le temps de réfléchir, d’élaboré une stratégie. 

Desmond Black (Au loin) : Joestar ! Pas la peine de te cacher ! « s’écria-t-il, d’un ton moqueur. » Joestar !! Ouhouh ! « Claque sa langue sur son palet ». Ah ce n’est pas grave, il suffit que j’explose cette ville Ohohoho !  

Joe Joestar : « Jette un œil au coin du mur ». Hein ?! Il n’est plus là ! 

Le sol sous ses pieds commença alors à trembler légèrement, et des fissures se propagèrent dans le mur contre lequel il s’appuyait. Un pressentiment lui fit lever les yeux. 

Joe Joestar : Ce n’est pas vrai ! Perfect Crime ! 

Le stand de Joe saisit le bras d’Amadeus, qui est pris au dépourvu. 

Amadeus Davies : Tu ne comptes pas faire… çaaaaaaaaa ! 

Perfect Crime éjecte violemment le directeur loin du mur juste avant que celui-ci ne cède sous l’impact d’une explosion.

La poussière et les débris de mur volent dans toutes les directions, révélant le stand de Desmond, Cannonball, qui se dresse au milieu des ruines. 

Joe Joestar : Parfait, il est à portée ! 

Perfect Crime : Olya ! 

Desmond Black : Tu crois vraiment pouvoir m’atteindre ? « ricana Desmond, levant les yeux vers le ciel. » Regarde au-dessus de toi, ohoho. 

Une pluie de cailloux tombe du ciel, frappant le sol avec force avant d'émettre une lueur étrange. Soudain, ils explosent comme des pétards de fête de village, libérant des éclats lumineux et assourdissants, dont une qui c’est logé dans une poche de Joe.  

La force des explosions est suffisante pour forcer Joe à fuir la zone, ses yeux fixés sur Desmond, sachant que la menace n'a pas encore été écartée. 

 Joe, toujours méfiant, jeta un rapide coup d’œil par la fenêtre du bar. Ses yeux balayaient les ruelles extérieures, cherchant la moindre trace de Desmond Black, prêt à surgir de nouveau.

Ses nerfs étaient à vif, mais il essayait de garder son calme. 

Amadeus Davies : Vous m'avez fichu une sacrée trouille à me projeter comme ça, Joe ! « Grogna-t-il, se massant l’épaule endolorie. » 

Joe, toujours méfiant, jeta un rapide coup d’œil par la fenêtre du bar. Ses yeux balayaient les ruelles extérieures, cherchant la moindre trace de Desmond Black, prêt à surgir de nouveau. Ses nerfs étaient à vif, mais il essayait de garder son calme. 

Joe Joestar : C’était pour vous sauver la vie ! « Répondit Joe d’un ton sec. » Sans mon intervention, vous seriez en miettes à l’heure qu’il est ! 

Le silence se fit lourd, Amadeus baissa légèrement la tête en signe d’acquiescement, bien que son ego en prenne un coup. 

Amadeus Davies : Certes… certes. « Finit-il par murmurer à contrecœur, reconnaissant malgré lui l’importance du geste de Joe. » 

Le bar semblait être figé dans le temps, mais Joe savait que cet instant de répit était éphémère. Il devait trouver une solution pour affronter Desmond, et vite. Il pivota légèrement sur son tabouret, faisant face à Amadeus avec un air grave. 

Joe Joestar : Amadeus… pourquoi ne pas sortir votre stand, Cult of Personality ? « demanda Joe, avec une note d’urgence dans la voix. » J’ai besoin de vous pour le battre. Vous savez que seul, je n’y arriverai pas. 

L’évocation du stand d’Amadeus fit naître une ombre dans son regard. Il resta silencieux pendant un instant, le regard perdu dans le vide, avant de secouer doucement la tête. 

Amadeus Davies : Non… ! 

Joe Joestar : Pourquoi ?! « Insista Joe, la frustration montant. Il désigna la rue dévastée à travers la vitre. » Regardez par vous-même ! Je ne peux pas affronter ce type au corps à corps ! Son stand, Cannonball, est trop puissant, trop imprévisible. J’ai besoin de votre aide, Chef. 

Amadeus leva la main pour interrompre Joe, ses traits soudainement fermés, presque sévères. 

Amadeus Davies : Non, Joe. Je vous l’ai déjà dit. « Sa voix, pourtant basse. » Je ne peux pas… J’ai déjà brisé ma promesse deux fois lors de la dernière mission, et je m’en suis mordu les doigts. Non, Joe, je suis navré. 

Joe, se tournant à nouveau vers la fenêtre, surveillait les alentours avec une attention accrue, mais ses pensées étaient ailleurs. Il ne comprenait pas pourquoi Amadeus refusait catégoriquement d’utiliser son stand, surtout dans une situation aussi critique. Il réfléchit quelques instants avant de se retourner une nouvelle fois, son regard perçant fixant celui de son supérieur. 

Joe Joestar : Dites-moi Amadeus... « lança Joe, décidant d’aller droit au but. » Pourquoi ? Il doit y avoir une raison. 

Amadeus, jusque-là tendu et sur la défensive, sembla soudain se relâcher. Son visage se durcit, non pas par colère, mais par une douleur ancienne, bien plus profonde que Joe ne l’avait imaginée. Le silence se fit pesant. 

Amadeus Davies : J’ai perdu ma femme… il y a vingt ans… « dit-il finalement, sa voix plus basse, presque étranglée. »  

Joe fronça les sourcils, pris de court par cette révélation. 

Amadeus Davies : Elle a été assassinée par un serial killer… « Poursuivit-il, sa mâchoire se crispant à chaque mot. » Un monstre que vous, Joe, avez fini par arrêter il y a quelques années. Mais à l’époque… j’étais impuissant. 

Il s’interrompit, la gorge nouée, les souvenirs remontant à la surface avec une violence inattendue. Le jeune homme resta silencieux, conscient que ces mots coûtaient à Amadeus plus qu’il ne pouvait l’imaginer. 

Amadeus Davies : C’est à ce moment-là que mon stand s’est réveillé. « Continua Amadeus. » Je me suis tenu au-dessus de son corps… J’ai vu toute la scène de sa mort à travers Cult of Personality. Chaque détail, chaque seconde. C’était comme si j’y étais, incapable d’agir, forcé de regarder… 

Ses poings se serrèrent, blancs sous la pression. Joe, malgré son désir de l’interrompre, de lui demander pourquoi il ne voulait pas user de cette puissance désormais, se retint. Il comprenait maintenant que ce refus n’était pas simplement un caprice. C’était une question de douleur, de promesses faites à soi-même, et de cicatrices qui n’avaient jamais vraiment guéri. 

Amadeus Davies : Depuis ce jour… « Reprit Amadeus, la voix tremblante. » Je me suis juré de ne plus jamais utiliser mon stand. Peu importe les circonstances. J’ai déjà brisé cette promesse deux fois, et à chaque fois… ça m’a rappelé que je ne méritais pas ce pouvoir. Pas après avoir échoué à protéger celle que j’aimais. 

Un silence de plomb s’installa entre eux. Joe le brisa après un moment, plus calme cette fois, presque compatissant. 

Joe Joestar : Mais vous avez changé. Vous avez trouvé un autre but, un autre combat à mener. « Il chercha le regard d’Amadeus, mais ce dernier gardait les yeux baissés. » Ce n’est pas un fardeau que vous portez seul. Vous m’avez recruté, et aujourd’hui… aujourd’hui, j’ai besoin de vous. Nous devons arrêter ces types afin d’en finir avec cette affaire ! 

Amadeus resta figé. Le poids de son passé semblait l’écraser, mais Joe savait qu’au fond de lui, le désir de se racheter, de tourner la page, existait encore. C’était peut-être l’unique chance qu’ils avaient de vaincre Desmond, et il espérait que son supérieur le comprendrait avant qu’il ne soit trop tard. 

Finalement, son regard se levant lentement vers Joe. Dans ses yeux, une lueur hésitante brillait, une étincelle de détermination à peine perceptible, mais présente. 

Amadeus Davies : Peut-être… peut-être qu’il est temps… « murmura-t-il enfin. » 

Fin du chapitre XVI. Cannonball 1er partie. 

Message auteur @Leakee/Skymailleur : Cette fanfiction est en Standby pour une durée indéterminé.