Annastasia et le pouvoir ancien

Chapitre 6 : Miranda Hunt

3186 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour il y a plus d’un an

Anna se sentit perdre l'équilibre mais réussi à rester debout. Sa tête tournait un peu et elle dû prendre un moment avant d'ouvrir les yeux. Lorsqu'elle le fit, elle constata qu'elle était dans une petite pièce. Les murs étaient moisi et il y avait une odeur de pourriture. Un vieux divan était placé dans le coin et un tapis miteux gisait sur le sol. Anna se tourna vers la porte et tourna la poignée avec détermination.


Elle était tombé lamentablement dans un piège. Cette folle avait forcément quelque chose derrière la tête en lui donnant la bague. La bague était trop évidente alors elle a ensorcelé le contenant... Elle n'était peut-être pas si folle que ça, finalement.


Anna jura en se rappelant qu'elle avait laissé sa baguette magique à la maison. Heureusement, elle était capable de faire de la magie sans baguette. Elle avait bien sûr son don qui pouvait lui être utile. En fait, elle avait hâte de se servir de l'imperium. Ce qui bouillait en elle semblait avide de sortir.


Elle sortit de la petite pièce pour constater que le reste n'était guère mieux. C'était un petit appartement en très mauvais état. Il ne semblait pas y avoir signe de vie.


L'adolescente sursauta lorsqu'elle aperçut ce qu'elle croyait être un tas de vêtement bouger. Quelqu'un était assis sur le divan crasseux du salon. C'était la femme qui lui avait donné la bague. Elle se leva en riant à pleine dent.


- Annastasia, enfin, lâcha-t'elle avec un grand sourire un peu fou.

- Toi, cracha Anna. Tu m'as bien eu... ensorceler la boîte. Bonne idée.

- Merci, répondit la femme en penchant légèrement la tête. Je voulais te déstabiliser avec la bague et ça a bien marché. Il avait raison ! Il avait raison !

- Qui avait raison ?! Et tu m'as pas déstabilisé ! se fâcha Anna.

- Ah, non ? fit la femme. Pourquoi as-tu gardé la boîte, alors ?


Anna ne répondit pas et la fixait d'un air mauvais. La femme éclata de rire.


- Il sait tout sur toi, dit-elle avec joie. Je sais tout. J'ai ensorcelé la boîte pour qu'elle agisse en portoloin plusieurs heures après que tu l'ai eu. Je savais que tu y toucherais le moment venu.

- Bon, d'accord, je vais pas te donner une médaille pour ça ! fit Anna, agacé.


La femme éclata de rire et sautilla sur place.


- Il sait tout ! glapit-elle. L'humour même dans les moments dramatiques !

- J'ai pas peur de toi, lâcha Anna. Il n'y a rien de dramatique à mon avis.

- Ah, tu crois ? fit la femme d'un air mauvais.

- Tu es folle, déclara Anna. Tu te comportait pourtant presque normalement au parc du chemin de traverse.

- Il fallait que tu prennes la boîte, déclara la femme. C'était le seul défi que j'avais. Et évidemment, naïve et émotive comme tu es, tu as pris mon cadeau et tu as gardé la boite. C'était presque trop facile !


Anna sentit son sang bouillir. Cette femme se moquait d'elle en plus.


- Qu'est-ce que tu me veux ? Je sais même pas ton nom ! lâcha Anna, embêté.

- Je m'appelle Miranda, dit la femme en s'inclinant. Et je vais te tuer.

- Me tuer ? répéta Anna. Bonne chance, dit-elle avec défi.

- Tu n'as même pas de baguette, ria Miranda d'un air moqueur.

- J'en ai pas besoin, rétorqua Anna d'un air menaçant.


De leur côté, Padfoot et Moony étaient arrivé au château des Hawell. Padfoot se sentit étrange d'y pénétrer. Anna, petite, détestait tellement cette endroit. Pourtant, à seulement neuf ans, elle y était retourné tête baissé pour récupérer sa baguette magique. Anna n'avait pas peur et c'était bien souvent un problème. Sauf qu'elle était forte. Elle pourrait se sortir du pétrin dans lequel elle était. Padfoot y croyait mais il ferait tout pour la retrouver.


Padfoot et Moony parcoururent les corridors et les pièces du château en silence. Le coeur de Padfoot palpitait dans sa poitrine à chaque fois qu'il ouvrait une porte. Retrouverait-il sa fille morte ?


C'est finalement au sous-sol qu'ils eurent de l'espoir. Ils entendirent un bruit sourd et sortir leur baguette d'un même mouvement. Ils se rendirent vers la source du bruit et aperçurent une femme, simplement assise sur un canapé en cuir noir et buvant un verre de vain. Elle était brune, pas très grande et un peu ridé. C'est lorsqu'elle sourit en les apercevant que Padfoot en fut certain : c'était cette Miranda Hunt. Ses dents étaient jaunes et pourri exactement comme Anna le lui avait décrit.


Padfoot pointa sa baguette vers elle d'un air menaçant.


- Où est ma fille ? s'exclama-t-il brusquement.


Miranda perdit son sourire.


- Pas de bonjour ? siffla-t-elle. Quelle impolitesse.


Elle but une gorgée de son verre de vin.


- Vous êtes Miranda Hunt ? demanda Moony, les sourcils froncés.

- Oui, c'est bien moi, répondit la femme en se levant.


Elle mit sa main dans ses poches et en ressortit un petit object rectangulaire. Elle le montra aux deux hommes.


- Ceci est un dispositif à distance, déclara-t-elle. Moi qui haïs les moldus, je peux vous dire que c'est une de leur idée les plus brillantes. Je n'ai qu'à appuyer sur ce petit bouton et boom, la belle Annastasia explose.

- Quoi ? dit Padfoot d'une voix blanche.

- Une bombe... lâcha Moony. Pourquoi vous faites ça ?

- Une bombe ? répéta Padfoot, noir de rage.


Il fit un pas vers Miranda mais Moony lui retenu le bras brusquement.


- Sirius ! Fais pas le con ! Si tu la touche, elle va appuyer ! s'écria-t-il.

- Bordel de merde ! lâcha Padfoot avec rage.


Miranda éclata d'un grand rire.


- Alors, on va gentiment s'asseoir ici et on va discuter, dit-elle en s'assoyant elle-même.


Moony regarda Padfoot, impuissant. Depuis quand les adeptes de magie noir utilisait des armes moldus ? Padfoot n'avait qu'une envie : tuer cette fichue folle. De ses propres mains. Elle tenait entre ses doigts aigris la vie de sa fille. Anna était quelque part, tout près d'une bombe. Seule. Padfoot dû faire un effort immense pour ne pas exploser lui-même. Il détestait se sentir impuissant à ce point. Cette émotion, cette peur de perdre sa fille était insupportable.


Anna fixait la baguette de Miranda qui était pointé vers elle. Elle n'avait pas peur. Elle l'a défia du regard.


- Alors, tu es une mangemort ? demanda Anna.

- Non, malheureusement, répondit Miranda.

- Tu veux quoi ?!

- Je veux venger l'amour de ma vie... tu l'a tué... c'est toi qui l'a tué... tu mérites de souffrir. Je vais te tuer, oui, mais pas avant que tu souffres !

- T'inquiète, je souffre bien assez, siffla Anna.

- C'est pas suffisant ! cracha la femme, en colère. Tu m'as enlevé ma raison de vivre, pétasse !

- Woah, lâcha Anna, surprise de se faire insulter de la sorte.

- Le seigneur des ténèbres.... était parfait. Il représentait tout pour moi. Depuis qu'il est mort... je survi... j'ai survécu jusqu'à ce que je retrouve une raison de vivre. J'ai fais sa quête, j'ai suivi son chemin... et je l'ai trouvé, oui.

- Je comprend rien à ton charabia, lança Anna avec insolence.

- Tu oublie que j'ai ma baguette pointé sur toi ! cria Miranda d'un air hystérique. Alors, tu vas écouter ce que j'ai à dire !


Il y eut un instant de silence dans lequel elles se regardèrent dans les yeux.


- J'ai suivi le chemin et j'ai trouvé sa lettre, continuait Miranda. Il sait tout sur toi. Il te connaît par coeur. Pauvre enfant. Je sais comment te tuer.

- Et si c'est moi qui te tuait ? claqua Anna. Pourquoi pas maintenant ?


Miranda éclata de rire et Anna aperçut ses dents jaunes.


- Tu ne peux pas faire ça, lâcha Miranda. Je te connais autant que lui, maintenant. Il m'a donné tout son savoir.

- Alors, tu étais obsédé par Voldemort et maintenant, tu es obsédé par moi ? fit Anna.


Un rayon lumineux sortit de la baguette de Miranda et Anna le reçu en plein visage. Elle sentit sa peau se déchirer sur sa joue et un liquide s'en échapper. Elle releva des yeux furieux vers Miranda qui l'a menaçait toujours avec sa baguette.


- Comment oses-tu prononcer son nom ? chuchota Miranda, les yeux exhorbité.

- Je l'ai tué, dit alors Anna avec un sourire, je n'ai pas peur de lui.


Miranda se jeta sur elle et lui attrapa les cheveux. Anna se concentra alors et elle sentit une décharge électrique dans tout son corps. Miranda aussi sembla la sentir car elle la lâcha aussitôt. Anna se tourna vers la femme avec un regard noir.


- Impero, murmura-t-elle.


Miranda se mit à trembler et lâcha sa baguette magique.


- Tu n'as aucune volonté, se moqua alors Anna.


Miranda fut prise de violent tremblement et Anna sentit un violent mal de tête soudainement. Son emprise sur Miranda flancha et celle-ci se jeta sur sa baguette. Anna se retrouva les mains liés de façon plus serré que nécessaire. La femme se jeta ensuite sur elle et la prit par le cou.


- Qu'est-ce que ça t'a fais, de revoir cette belle petite bague ? demanda-t'elle d'une voix frénétique. Qu'est-ce que ça t'a fait, quand ton petit ami est mort ? Le beau Taylor, mort, sous tes yeux. À cause de toi, en plus...

- Ferme-là, grinça Anna entre ses dents.

- Ça fais trois ans qu'il est mort, cria soudainement Miranda. Trois ans que je ne vis plus et que ma vie est un vrai cauchemars. Trois ans que tu fais la belle vie avec tout tes petits amis, comme si de rien était. TU LA TUÉ !

- Tu es folle... lâcha Anna avec haine. Quelqu'un de normal ne peut pas aimer un type comme Voldemort.


Clac ! Anna reçut la plus grosse gifle de sa vie. Même la gifle que Rogue lui avait donné en troisième année n'avait pas fait aussi mal. Cette femme était une cinglé et Anna en avait marre. Elle était tellement en colère en fixant Miranda. Elle était capable de déjouer l'imperium, apparemment. Anna n'avait plus pratiqué depuis la mort de Voldemort. Mais elle voulait tout de même essayer.


Les recherches de Maugrey, Kingsley, Tonks et Rogue n'avaient rien donné. Miranda n'était ni au cimetière, ni dans la forêt interdite. Maugrey, Kingsley et Tonks se rendirent donc au château des Hawell.


Au château, Sirius et Remus n'en menait pas large. La cinglé avait toujours le bouton en main et Sirius était angoissé comme jamais.


- Où est Anna ? demanda Remus dans un moment de silence.

- Elle est très loin, répondit Miranda en souriant. Ligoter, bien sûr.

- Comment l'avez-vous ligoté ? demanda Remus.


Sirius ne semblait pas en état de réfléchir mais lui, il se posait des questions. Pourquoi utiliser une bombe moldu ? Pourquoi rester ici et la tuer à distance ? Ne voulait-elle pas se venger pour son amour perdu ? Cela ne collait pas et Remus allait tenter de découvrir la vérité. De plus, Anna savait se défendre et il était surpris qu'elle se soit laisser attraper ainsi.


- Pourquoi tu demandes ça ? demanda alors Miranda. Tu es surpris que j'y sois arrivé ?

- Un peu, oui, répondit honnêtement Remus. Mais je suis encore plus surpris par le fait que vous ne vouliez pas la tuer de vos mains ?

- Qu'est-ce que tu veux dire ? grinça Miranda.

- Pourquoi utiliser une bombe moldu à distance en plus ? demanda Remus.


Sirius semblait enfin réaliser lui aussi que quelque chose clochait. Il fronça les sourcils. Miranda secoua la tête et agita le bouton dans sa main.


- Arrête avec tes questions ! s'exclama-t-elle. Tu sembles oublier ce que j'ai dans la main.

- Je pense que vous voulez nous retenir ici... murmura alors Remus. La bombe, c'est un mensonge. C'est insensé comme procédé.

- Tu veux que j'appuie pour qu'on voit si c'est un mensonge ? dit alors Miranda d'un air menaçant.

- Non ! glapit alors Sirius.

- C'est un mensonge ! s'exclama Remus. Où est Annastasia ?!

- Je te l'ai dis, très loin d'ici ! répondit Miranda avant de rire comme une damnée.


Remus échangea un regard avec Sirius. L'instinct de Remus ne s'était jamais trompé. Il avait vraiment l'impression que tout ceci n'était qu'une mise en scène. Une façon de les envoyer sur une mauvaise piste pour lui faire gagner du temps. Alors qu'ils se regardaient tous les trois avec défi, Miranda se mit à gémir.


Elle eut des spasmes incontrôlable puis son corps commençait à changer. Elle échappa le précieux bouton et Padfoot se jeta dessus. Il le donna à Remus qui l'examina.


- C'est même pas un vrai, déclara-t-il.

- Espèce de connasse, lâcha Padfoot avec haine.


Mais Miranda s'était transformé : elle était devenu un homme.


- Polynectar, lâcha Remus.

- Où est ma fille ?! cria Sirius.


Mais l'homme disparu au moment même où le reste de l'ordre débarqua dans la pièce. Rogue n'était pas là, cependant.


- Bordel de merde ! s'écria Sirius.

- Vous l'avez trouvé ? demanda Remus.

- Non... dit Tonks d'un air triste.

- On s'est fait avoir, claqua Remus. Elle voulait gagner du temps. Elle n'agit pas seule... Où peut être Anna, à la fin ?


Il était rare de voir Remus à bout de nerfs. Sirius n'en menait pas large non plus.


- Elle a laissé quelque chose, dit soudainement Maugrey.


Son oeil magique fixait un point précis. Il se dirigea vers le buffet et prit quelque chose dans le deuxième tiroir.


- Une carte postale... dit-il. Avec une adresse. Une note est inscrite... si tu as besoin, tu peux te rendre là-bas.

- Pourquoi elle aurait laissé ça ici ? demanda Sirius.

- Personne n'est parfait, cingla Maugrey. Elle n'a pas dû se douter une seule seconde que quelqu'un viendrait fouiller ici.

- Bien joué, Alastor, dit Remus.


Sirius prit la carte postale et l'observa. Il y avait une image d'une petite maison au milieu d'une forêt. Il mémorisa l'adresse.


Anna tenta de se libérer de ses liens mais il n'y avait rien à faire. Cela lui coupait la circulation sanguine. Elle commençait à respirer de plus en plus vite. Elle ressentait une grande puissance mais elle ne savait pas comment l'exploiter... Que devait-elle faire ?


- Tu vas regretter d'être née, cracha Miranda d'un air mauvais. Ton idiot de père ne viendra pas te sauver.

- Ne le traite pas d'idiot, répliqua Anna.

- Idiot, débile et tout ce que tu voudras ! Il ne t'aime pas ! Il se sert de toi parce que tu as le pouvoir de l'imperium en toi.

- Tu ne sais rien du tout ! répliqua Anna.

- J'en sais beaucoup plus que tu penses, lança Miranda. Tu vas finir par le tuer lui aussi. Tu sais, comme tous les autres... quel était le premier, déjà ? Ah, oui... Axel.

- Tais-toi, dit Anna entre ses dents.


Elle sentait la haine l'envahir. Ça y était, quelque chose allait jaillir d'elle. Elle sentit effectivement une grande masse de magie sortir de tout son corps. Une multitude de rayon blanc partirent dans tous les sens. Le plafond et les murs fut atteint de plein fouet. Le bois moisi du plafond s'effondra soudainement. Les liens qui maintenait ses mains se brisa.


Au même moment, Padfoot, Moony et les autres débarquèrent dans la petite maison. Miranda, sous les débris, disparu dans une fumée noire.


Padfoot repéra Anna et alla enlever les morceaux de bois qui l'a recouvrait. Elle gémit quelque peu. Padfoot et Moony s'accroupirent près d'elle.


- Anna ! dit Padfoot avec soulagement. Qu'est-ce qui s'est passé ?

- La boîte... c'était un portoloin, soupira Anna.


Elle se leva avec l'aide de son père.


- Est-ce que tu vas bien ? demanda Padfoot en l'examinant.


Il constata qu'elle avait la joue rouge comme si elle avait été frappé. Le plafond qui s'était effondré sur elle l'avait grafigné un peu partout.


- Oui, répondit Anna. Elle veut venger Voldemort. Elle était amoureuse de lui... c'est une vrai cinglé.

- Elle est plus intelligente qu'on pensait, lâcha Padfoot. Elle a tout manigancé. Elle a un complice, il avait bu du polynectar et s'était transformé en elle. Il nous a retenu au château.

- Vous êtes aller au château ? dit Anna.

- Oui, répondit son père. On t'a cherché partout.

- Je suis désolée, dit Anna d'un air triste.


Padfoot la serra dans ses bras en murmurant que ce n'était pas de sa faute. Il était simplement heureux de la retrouver saine et sauve.


- Elle a dit qu'elle savait tout sur moi grâce à Voldemort, dit Anna. Elle connaît mes points faibles.

- Il n'y a aucune raison pour qu'elle réussisse à t'avoir de nouveau, dit Padfoot. On sait à quoi s'attendre, maintenant.

- C'est toi qui a fais ça ? demanda Maugrey en se joignant à eux.


Il pointa la pièce du doigt. Elle était ravagé. Anna hocha la tête d'un air penaud.


- Et tu n'avais pas ta baguette, constata Maugrey.

- Non, dit Anna. J'aurais dû la garder sur moi.

- On devrait rentrer, maintenant, déclara Moony. Elle pourrait revenir avec du renfort.


Padfoot hocha la tête. Il rentrait avec sa fille en vie. Il n'aurait plus le choix, maintenant. Il devra surveiller Anna plus sérieusement. Cette Miranda n'en resterait pas là, il le savait. Et Anna aimait un peu trop les risques à son goût.


Padfoot, Moony et Anna rentrèrent chez eux. Harry sauta au cou d'Anna en la traitant d'idiote. Ashley fut choqué par les blessures d'Anna mais celle-ci refusa fermement qu'elle la soigne. Padfoot finit par demander à Ashley de rentrer chez elle. Il n'avait pas envie de vivre un autre drame ce soir.


Anna poussa un profond soupir de soulagement lorsqu'elle se coucha dans son lit ce soir là. Elle était soulagé d'être revenu à la maison. Padfoot, Moony, Harry et Tonks ne l'avaient pas lâché de la soirée. Padfoot et Moony avait fait un grand sermon sur la vigilance. Anna avait écouté docilement mais cela avait fini en bataille de coussin lorsqu'elle leur avait rappelé qu'ils s'étaient fait avoir par le polynectar.



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