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Chapitre 6 : Tomber des nues, enquêtes révélatrices en cours, deuxième partie (2)

9473 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour 21/09/2024 03:21

Simultanément chez l'espion Chasseur,

Chasseur appelle Élie James et Charles Young de venir dans le parc de la ville pour leur donner leur prochaine mission. Le professeur de psychologie et l'étudiant en économie arrivent immédiatement. Chasseur les amènent jusqu'à une maison luxueuse, puis les amènent dans une salle et leur explique leur mission, pour Élie James, il doit essayer de dresser un portait psychologique de Carl Neely et de Marion Buonaparte, en plus d'essayer de le manipuler à distance, au moins pour savoir s'il y a une infime possibilité que le tsar puisse collaborer avec eux, pour Charles Young, il a pour mission de se glisser dans le lit de Marion Buonaparte et de se faire explorer par Richard Payne. Élie James a compris le fantasme sexuel de son collègue Richard Payne à sa réaction de certains de ses mots à double sens, alors qu'il a bu quelques verres de vodka en trop, et il doit l'amener jusqu'à Marion Buonaparte et Charles Young pour qu'il sodomise le policier-détective (et ainsi pour que le professeur des sciences occultes réalise son fantasme et ne puisse échapper, plus tard, d'être sodomisé par l'un de ses collègues, puisqu'il y a toujours le chantage d'informer sa femme, et de profiter du chantage pour avoir sa collaboration avec ses connaissances des sciences occultes). Après qu'Élie James et Chasseur ont profité des services sexuels de Charles Young, l'espion congédie ses deux collaborateurs.


Simultanément chez Jacques Christopoulos,

Jacques Christopoulos, ayant congé aujourd'hui, s'occupe du repas principal pour sa femme et lui. Une fois que Jacques Christopoulos et Mélinda Gordon-Christopoulos ont mangé, puis lavé la vaisselle, ils partent se promener, main dans la main, dans les rues de la ville et dans le parc. De retour à la maison, le mari soulève son épouse du sol pour la transporter dans leur chambre, la chatouiller et, surtout, pour essayer de la convaincre, par des mots doux et des câlins, d'avoir des enfants... Mélinda Gordon-Christopoulos ne résiste pas trop longtemps à son mari puisqu'elle le trouve très attirant, très sexy, très convaincant. Après les préliminaires et l'activité sexuelle, les deux s'endorment pour se réveiller quelques minutes plus tard, réveillés par la sonnerie du téléphone. Jacques Christopoulos, mécontent d'être sorti de son petit somme après les plaisirs de l'amour, se lève rapidement, s'habillant en hâte, ayant même habillé de travers sa chemise, sans même la boutonner, dans sa hâte de ne plus entendre le téléphone sonné, et répond au téléphone lorsqu'il voit le numéro de Paul Eastman :

— Bonjour, Monsieur le policier Paul Eastman. Pour quelle raison m'appelez-vous ?

— J'ai reçu les résultats du test de paternité ce matin, je n'ai pas encore regarder les papiers, puisque j'aimerai bien que votre épouse soit présente. Bien sûr, vous pouvez aussi venir, Monsieur Christopoulos. Je m'excuse de vous déranger.

— Non, c'est correct... Très bien, alors dans deux jours, Monsieur Eastman.

« Heureusement que vous ne nous avez pas dérangé plus tôt, je n'aurai pas envie de recommencer les préliminaires ou de jouir dans Αγαπητέ μου [ma chérie en grec] alors que le téléphone sonne, ce n'est pas romantique comme musique. Heureusement que vous avez appelé lorsque nous avons terminé nos devoirs conjugaux. », pense-t-il.

Sur ces mots, les téléphones sont raccrochés, et Jacques Christopoulos, rejoignant son épouse dans leur lit, informe Mélinda Gordon de la conversation téléphonique. Elle se réjouit d'enfin avoir le cœur net sur l'histoire de sa mère concernant son père. Elle affirme, avec un sourire malin dans le coin des lèvres, à son mari :

— Mon Jim, au moins avec toi, lui faisant un clin d'œil rempli de sous-entendu, c'est certain que tu es le père de nos enfants... Je ne pourrai supporter de vivre dans le mensonge.

Jim Christopoulos embrasse tendrement son épouse et la soulève pour l'assoir sur ses genoux et la bercer tendrement contre lui, profitant de la douce chaleur de son épouse. Après quelques minutes à goûter le contact de l'autre, Mélinda Gordon-Christopoulos se lève, embrasse son mari et le couple s'occupe dans la cuisine à préparer un dessert grec, le ravani.


Simultanément à l'appel téléphonique au bureau de Paul Eastman,

Le policier-détective appelle Élizabeth Cherchasky-Gordon pour lui demander de venir à son bureau dans deux jours. Une fois le téléphone raccroché, il voit Hélène Platonovna Doubinskaia à sa droite. Elle lui ordonne :

— Donnez l'icône à votre fille.

Et l'esprit errant s'évapore, laissant le détective perplexe, puisque sa seule fille est Marie, de son premier mariage, et elle a déjà une icône de l'Архангел Михаил [Archange Michel]. Il a une icône portative de Saint Georges, le saint protecteur de Moscou à la maison et à une icône de l'Archange protecteur des policiers sur lui.

« Sauf », pense le policier, « si l'icône de Saint Georges doit aussi être remise à Marie... Je la lui donnera lors de ma prochaine visite... Si je ne l'oublie pas bien sûr. »

Sur cette pensée, le détective continue son travail de recherche.


Deux jours plus tard, Élie James, grâce à des informations des espions avec lesquels il travaille, il parvient à dresser le portrait psychologique de Carl Neely et de Marion Buonaparte, Carl Neely, celui qui est surnommé par les espions « le tsar des détectives », est un homme intègre, très professionnel, très familial, aucun délit mineur ou majeur à son dossier. Aucune faute professionnelle à signaler ou un vice caché qu'il veut que sa femme ne le sache pas, apparemment, il n'a pas de fantasme sexuel inavouable trop bizarre ou pervers, il consomme uniquement un peu de vin et parfois des digestifs pour mieux digérer des repas, mais jamais des excès et jamais au travail. Pieux orthodoxe et tenant sérieusement au lien du mariage, il n'a pas trompé sa femme, même si qu'Andrea Marino avait essayé de le séduire. Il a un fort caractère qui empêche tout espoir de l'avoir dans leur rang. Son seul point faible, il aime trop son épouse et veut protéger sa femme et ses enfants de tout mal qui pourrait leur arriver, très sentimental pour eux. Carl Neely a attiré l'attention des espions par sa capacité à interagir avec les esprits. Marion Buonaparte est professionnel au travail, aucun délit majeur ou mineur, hormis la consommation d'alcool au travail pour le bien de l'enquête, il est célibataire, mais avait eu plusieurs petite-copines, et est pieux catholique. Son point faible est sa volonté à préserver à tout prix sa position, son emploi et surtout sa vie, il lui manque de caractère pour s'opposer... en plus, depuis qu'il travaille pour les espions et qu'il a été initié par Chasseur, il y a du matériel pour du chantage et il cédera facilement. Le professeur de psychologie est content de son travail et pense au fond de son cœur :

« Il serait bien intéressant que Carl Neely se joint à nos rangs... Pour que ce soit possible, il faut qu'il perde épouse et enfants... Une fois qu'il est déprimé, il est possible de le recruter... mais j'espère surtout l'explorer en profondeur... Bon! Je devrais arrêter de m'exciter à l'image qui se crée dans mon esprit... Il faut que je me prépare pour mon cours. »


Simultanément, au bureau de Paul Eastman,

Paul Eastman attend la venue de sa première épouse et de Mélinda Gordon-Christopoulos. La première à venir est Élizabeth Cherchasky. Elle salue son ancien mari et s'assoit à la place que lui désigne le détective. Quelques minutes plus tard, Mélinda Gordon-Christopoulos et son mari arrivent au bureau. Une fois que tout le monde est assis, Paul Eastman annonce :

— Comme je vous l'ai dit par téléphone il y a deux jours, j'ai reçu le résultat du test de paternité et je n'ai pas encore lu le résultat du test préférant attendre que vous soyez également présentes, Mesdames.

— Et quel est le résultat ?, dit la jeune femme avec son plus beau sourire, très impatiente.

— Je connais déjà le résultat, mais je vais écouter, commente la mère de Mélinda.

— Alors pourquoi ne nous le dis-tu pas mère ?, s'offusque Mélinda Gordon-Christopoulos.

— SVP, Mesdames, ajoute d'un ton sévère le détective, je vais ouvrir la lettre devant vous et je vous lirais le résultat... Ainsi, la lettre nous informe qu'avec les échantillons de sang, il est possible d'affirmer à 90% que Paul Eastman et Mélinda Gordon... ont un rapport de famille! Et que je suis son père! Belle jeune dame que vous êtes Mélinda, vous êtes ainsi ma fille de sang.

Sur ces mots, Mélinda Gordon-Christopoulos ne pouvait cacher son étonnement; le détective, heureusement qu'il était assis sur son fauteuil, sinon il aurait tombé par terre d'étonnement et de joie, lance un regard noir à sa première épouse pour lui avoir caché l'existence de sa fille pendant vingt-huit ans; Jacques Christopoulos est déçu que sa belle-mère ait menti à son épouse et est content que la vérité soit connue; seule Élizabeth Cherchasky demeure imperturbable, droite comme une statue sur son siège. Une fois les premières émotions passées, Paul Eastman se tourne vers son ancienne épouse et lui demande sur un ton amer, ne parvenant à cacher sa déception envers elle :

— Élizabeth, pour quelle raison m'avez-vous laisser dans l'ignorance de ma propre fille ? Sache qu'il n'y avait aucun problème de mon côté pour te verser la pension alimentaire pour Marie et pour Mélinda... Sans oublier que j'aurai bien aimé voir ma fille grandir... D'ailleurs, je n'aurais jamais accepté que ma fille soit prénommée Mélinda, c'est porte-malheur comme prénom! Est-ce exact mon gendre ?

— Oui, confirme Jacques Christopoulos.

— Mère, s'insurge Mélinda Gordon [ou plutôt Eastman]-Christopoulos, pourquoi ne pas m'avoir dit la vérité plus tôt ? À mes seize ans, j'étais suffisamment raisonnable pour comprendre que Thomas Gordon est ton second mari et jamais mon père!

— Ma fille, SVP, je comprends votre état d'âme, mais laissez-moi faire calmement, ajoute Paul Eastman. Je ne suis pas détective pour rien.

Il se tourne pour faire face à sa première épouse et l'interroge :

— Alors Élizabeth, une réponse claire ?

— Je ne t'ai pas informé de notre seconde fille, parce que j'avais, dans un premier temps, des doutes sur le père même de Mélinda, si c'est toi ou Thomas. Dans un second temps, une fois que je ne pouvais douter du père de Mélinda, je voulais t'alléger la pension alimentaire, pour une fille, c'est moins élevé que pour deux. J'avais pensé t'informer plus tard, Paul, mais je ne voulais pas que Mélinda soit perturbée si tu la salue lorsque tu la vois. Je ne voulais que protéger au maximum notre fille, comme tout bonne mère. Et je pensais qu'il était meilleur qu'elle pense que son père est Thomas Gordon.

— Ta réponse est appréciée, Élizabeth, commente avec une pointe d'ironie le détective.

Sur ces mots, leur fille est fâchée sur sa mère de lui avoir cachée pendant autant d'années son père et comprend mieux la raison du mépris et du peu d'attention de Thomas Gordon envers elle lorsqu'elle était petite. Jacques Christopoulos enlace tendrement sa femme et commente à son beau-père, avec un petit sourire aux lèvres :

— Alors, beau-père, je dois vous avouer que vous m'êtes beaucoup plus sympathique que Thomas Gordon. Celui-là, je l'aurais jeté par la fenêtre de la mairie le jour de notre mariage!

— Merci, Élizabeth, ma fille et mon gendre d'être venu... conclut Paul Eastman.

— ... Et, Ma fille, voudrez-vous rester un peu à mon bureau ? Je n'aurais que quelques détails à régler avec vous.

Élizabeth Cherchasky-Gordon se lève et sort du bureau.

Une fois que sa mère est sortie, Mélinda Eastman-Christopoulos demande à son père la raison de rester encore à son bureau. Il lui affirme :

— Ma fille, je comprends que je dois vous donner mon autre icône portative, celle de Saint Georges, le protecteur de Moscou. Je vous la donnerais demain matin... J'ai oublié de vous préciser, mais je suis chrétien orthodoxe de Russie. Vous êtes, je pense, certainement catholique ou protestante, d'où votre mariage à la mairie ?

— Oui, très exactement... père. Officiellement, je suis catholique, mais je n'ai jamais été une stricte pratiquante. Thomas Gordon est, officiellement, protestant, ma mère, comme vous le saviez, est catholique. Je n'avais aucune envie de me convertir avant mon mariage. J'aime mon mari, mon Jim, qu'il soit Grec et orthodoxe m'importe peu... même s'il est exact que les icônes sont toujours fascinantes à contempler... L'essentiel est que je l'aime et qu'il m'aime. Mais pourquoi tenez-vous à me donner cette icône ?

— C'est l'un de mes ancêtres qui me l'a demandé. D'ailleurs, ne riez pas SVP, je vois les âmes errantes et je peux interagir avec elles. Votre sœur est voyante. Au début, j'avais pensé qu'il fallait que je donne cette icône à votre sœur, Marie, malgré qu'elle possède déjà sa propre icône portative que je lui ai donné à ses douze ans pour qu'elle prie et soit protégée par l'archange Michel. Maintenant, je comprends que c'est à vous que je dois la remettre.

Sur ces mots, le jeune couple quitte le bureau du père de la jeune femme en lui promettant de venir demain matin récupérer l'icône.


Le lendemain matin, la seconde fille de Paul Eastman, accompagnée de son mari, attend le policier-détective devant la station de police. Paul Eastman les invite à son bureau et leur donne l'icône de Saint Georges. Puis le père demande à sa fille :

— Ma fille, vous et moi sommes comiquement proches. Vous êtes mariée à Jacques Christopoulos et je suis marié, en secondes noces, à la tante de Jacques Christopoulos, Aglaé Christopoulos. D'ailleurs le prénom sied bien à mon épouse. Laissons la blague de côté... Mélinda, dites-moi, sérieusement, si vous avez été capable ou êtes capable d'avoir des perceptions hors de l'ordinaire ? De voir les esprits ?

— Pour répondre à votre question, père, je ne pense pas avoir des perceptions hors de l'ordinaire, sauf, exceptionnellement des visions.

— Vous pensez sérieusement, Paul Eastman, commente Thésée Christopoulos, qu'en donnant une icône portative à votre fille que vous allez m'empêcher de venir m'amuser un peu et d'influencer le fils de mon neveu ? Vous me faites rire. Ah! Ah!

— Huuuum, ajoute le détective en ignorant l'esprit errant, ... Bizarre que vous et Marie n'ayant pas plus de capacités surnaturelles... Bon! Peu importe, j'ai fait de mon mieux en vous donnant l'icône portative. J'espère que je deviendrais bientôt grand-père. Allez-y mon gendre, en lui faisant un clin d'œil sympathique, ne manquez pas à vos devoirs conjugaux. Vous êtes tellement un joli couple!

Sur ces mots, le couple rougit un peu et quitte le bureau du détective main dans la main. Et Arkadiusz Cherchasky apparaît à la gauche du détective, sourire ironique aux lèvres pour immédiatement disparaître.


Deux jours plus tard,

Marion Buonaparte, alors qu'il a terminé son travail en aidant Paul Eastman qui enquête sur sa famille, revient à son appartement. Devant la porte, l'attendait Charles Young. Le policier-détective lui dit :

— Jeune homme que faites-vous devant ma porte ? Je ne vous connais pas.

— Je veux vous consoler et vous montrer le plaisir que vous pouvez tirer de la relation que vous avez eu avec le Chasseur.

— Que racontez-vous ? Vous vous êtes trompé de porte...

« J'espère qu'il n'est pas un autre espion qui veut faire du chantage... »

— ...Non, s'approchant du détective pour lui montrer, sur son cellulaire, la vidéo que l'amphitryon a filmé de l'initiation de l'Italien avec l'espion Chasseur, puisque l'homme passif, c'est bien vous.

— Oui... Très bien, venez à l'intérieur est faite comme vous me le dites.

Dès qu'ils sont rentrés dans l'appartement, Charles Young se montre très docile dans le rôle féminin, et comme il s'est bien exercé avec les professeurs et Élie James, Marion Buonaparte a bien profité des services, sans qu'il ait à en subir la douleur. Le détective, ivre et drogué par ce que lui a donné l'étudiant avant de commencer leur jeu, s'est tellement emporté à jouir dans l'étudiant passif qu'il n'a pas remarqué qu'Élie James, possédé par Guido Romano, était rentré dans l'appartement (la porte n'était pas barrée) et filme discrètement leur petit jeu, s'excitant en voyant la scène, mais se retient de se joindre au jeu. Le professeur de psychologie sort et rejoint Richard Payne dans un bar non loin de l'appartement.

Élie James pousse le professeur des sciences occultes à boire beaucoup plus que d'habitude. Une fois bien ivre, en plus d'avoir payé le barman pour glisser un peu de drogue dans son verre de vodka, il le demande de le suivre. Intrigué, Richard Payne lui dit d'une voix affectée par ses consommations d'alcool :

— Collègue Élie, où voulez-vous m'entraîner ?

— Je vous amène auprès d'une femme pour élargir votre cercle de connaissance. Je pense d'ailleurs qu'elle est à votre goût. « D'ailleurs, Charles, dans son rôle de Charlie, est très habile et sera certainement au goût de mon collègue », pense Élie James, « Surtout qu'il est très expérimenté... une vraie salope. »

— J'ai hâte alors de la voir!

Une fois arrivé devant l'appartement de Marion Buonaparte, Élie James fait un signe à son collègue de patienter un peu devant la porte. Il rentre silencieusement et voit que le détective a fini de profiter des services de l'étudiant. Il dit au détective :

— Monsieur Marion Buonaparte, reconnaissez que l'étudiant était bien docile et vous a fait jouir... Et n'essayez pas de nier, j'ai une preuve vidéo, et lui présente la vidéo qu'il a fait à partir de son cellulaire, alors, pour ne pas ruiner votre réputation et surtout pour ne pas être obligé de vous tuer trop tôt ou de vous rendre fou, je vous propose une connaissance qui est tout aussi novice que vous, mais avant, vous pouvez vous réchauffer avec l'étudiant.

Marion Buonaparte ravale sa salive de peur et hoche la tête, pensant :

« S'il est novice, alors je pourrai le maîtriser et faire comme bon me semble avec lui... »

Élie James revient à l'entrée et fait rentrer son collègue dans l'appartement, non pas sans lui faire comprendre qu'il est au courant de son sombre fantasme. Élie James laisse son collègue avec le détective et l'étudiant. Ce dernier propose ses services aux deux autres. Marion Buonaparte, malgré sa fatigue, ne pouvait pas lui refuser un certain service... Et Richard Payne, trop excité sexuellement à voir l'interaction entre l'étudiant et le détective, en plus de l'effet de la drogue qui se manifeste, réalise son fantasme obscur sur l'étudiant, puis sur le détective, alors que ce dernier profitait des services de l'étudiant.

Finalement, le détective, l'étudiant et le professeur ont finis par se connaître de toutes les manières possibles, dans tous les rôles possibles, sauf Charles Young qui demeure dans son rôle féminin. Élie James filmait toute leur activité sexuelle pour l'utiliser comme chantage surtout pour Marion Buonaparte et Richard Payne. Une fois que les trois hommes se sont fatigués de leur orgie, l'étudiant et le professeur sortent de l'appartement. Élie James raccompagne son collègue chez lui.


Simultanément chez Carl Neely,

Carl Neely est revenu à la maison, fatigué de son enquête, embrasse tendrement sa Hélène sur les lèvres et lui explique ses conclusions et surtout l'intrigante remarque de sa mère à propos de son collègue Marion Buonaparte. Son épouse lui répond en serbe :

— Mon Carl, ta mère voulait certainement te suggérer que ton collègue, malgré ses bonnes apparences travaille derrière ton dos, travaille pour les espions et le Mal, et que tu ne doutes de rien. De toute manière, il peut très bien être un agent double sans que tu ne doutes de rien. Tout simplement, ne sois par trop naïf envers ton collègue.

Sur ces mots, le détective embrasse sa femme. Hélène Popović-Neely prépare le repas du soir et la famille, avec leur trois enfants, mangent, tous de très bonne humeur. Carl Neely, pour se changer les idées, s'occupe de laver et d'essuyer la vaisselle. Une fois que tout est propre et que tout est rangé, le détective n'avait rien de mieux à penser qu'à sa femme. Hélène Popović-Neely, en tricotant, ne cesse de penser à son mari, au début de leur mariage. Elle sourit au détective lorsqu'elle le voit, une fois que les enfants ont été envoyés au lit, commencer à se déshabiller pour aller se laver et s'habiller dans des vêtements approprier pour dormir. L'épouse dépose son tricot et part de même se préparer à dormir, sauf qu'avant d'aller dormir, elle avait une autre idée en tête, de nature plus érotique avec son mari. Son mari, chemise de nuit négligemment boutonnée, l'attendait pour qu'elle le rejoint dans leur lit. Dès qu'elle est arrivée, elle s'allonge avec toute son élégance féminine sur Carl Neely, lui déboutonne sa chemise, lui câline amoureusement le torse, les épaules et les bras, et embrasse doucement son torse.

« Un vrai homme, tellement masculin, viril, sexy... mon Carl bien-aimé... D'ailleurs, j'apprécie son odeur, tellement masculin... », pense Hélène Popović-Neely.

Ses caresses sortent le détective de sa somnolence, protestant un peu au début, mais se laisse faire et profite du contact des mains et des lèvres de son épouse sur lui, s'étant pleinement réveillé et éveillé. Il lui murmure des mots doux à l'oreille et glisse ses mains en-dessous de sa robe de nuit, l'enlace tendrement et lui câline amoureusement le dos... et après quelques petits préliminaires qui éveillent encore plus le désir sexuel de Carl Neely et d'Hélène Popović-Neely, le couple finisse par faire l'acte sexuel, et s'endorme peu après, trop fatigué par l'effort, le plaisir mutuel et leur journée. Mais Carl Neely n'eut pas une nuit tranquille, des cauchemars arrivent.


Le lendemain matin, chez Carl Neely,

Le détective, malgré son manque de sommeil à cause des cauchemars, s'est levé tôt. Pour réveiller son épouse qui s'est endormie sur lui, il la chatouille et lui câline tendrement le dos. Hélène Popović-Neely se réveille rapidement, embrasse son mari et s'habille. Carl Neely ne se pressant pas pour s'habiller, observe sa femme s'habiller et, un petit sourire aux lèvres en souvenir de leur nuit d'hier s'habille en vitesse, même s'il n'a pas fermé tous les boutons de son pantalon et de sa chemise, uniquement pour prouver à sa femme qu'il est plus rapide qu'elle à s'habiller le matin, ce qui la fait rire de son comportement enfantin.

Une fois le petit-déjeuner pris, le détective part au travail. Lorsqu'il arrive à son bureau, il est étonné de rencontrer Marion Buonaparte extrêmement fatigué et lent, mais Carl Neely ne dit rien. Il commence son enquête sur les Cherchasky. Élizabeth Cherchasky, née en 1957, est la fille d'Arthur Cherchasky (1930) et de Boleslawa Kłosiński (1935), sœur d'Hanna (1958) et de Lucjan (1959). Hanna est mariée depuis 1983 avec Jan Langowski qui est de trois ans son aîné, et a deux enfants, Robert, né en 1983 et Barbara, née en 1985. Lucjan est marié à Mariana Vasilieva, née en 1966, depuis 1987, père de Mila Cherchasky (1989), de Sofiana Cherchasky (1990) et de Marc Cherchasky (1991). Arthur Cherchasky est le fils d'Adam Cherchasky et d'Aurélie Bergmann, frère de Wera et d'Oliwia. À ce moment Aurélie Bergmann-Cherchasky apparaît à la droite du détective. Ce dernier demande à l'esprit errant :

— Madame Aurélie Bergmann-Cherchasly, je n'ai pas oubli que Lucjan-Jozef Cherchasky est un sorcier et loup-garou et qu'Adam Cherchasky est adepte de l'occulte et est un vampire. Sinon, qu'avez-vous à me dire ?

— Monsieur le policier-détective Carl Neely, je vais vous dire tout ce que je sais et tout ce que j'ai vu sur mes descendants. Au moins un avantage d'être esprit errant pendant 27 ans, j'ai vu beaucoup de choses, parfois même des horreurs... Mais avant de parler de mes descendants, j'aimerais vous apporter une précision concernant Arcadiusz Cherchasky. Ce dernier est le père de mon beau-père, marié à Katarzyna Halpérine depuis 1879 et est père de trois enfants avec son épouse. Il a aussi, disent les rumeurs, un enfant illégitime avec sa servante Zuzanna Hoffmann, en 1890.

— Taisez-vous, s'insurge Arcadiusz Cherchasky qui vient de se manifester proche du chuchoteur d'esprits, de quoi vous mêlez-vous ? La Juive est trop bavarde.

— Laissez mes origines juives tranquilles, réplique l'esprit errant féminin, je suis franco-polonaise, du côté paternel, j'ai des Juifs, du côté maternel des catholiques. Et vous, votre père est un Polonais catholique, votre mère est descendante de Juifs convertis.

— SVP, somme le chuchoteur d'esprits, Madame et Monsieur Cherchasky, veuillez bien cesser de vous disputer.

Sur ces mots, les deux esprits errants se taisent et se lancent l'un à l'autre un regard noir avant de disparaître.


Deux jours plus tard, dans le parc de la ville de Grandview,

Marion Buonaparte attend l'espion Chasseur depuis quelques minutes, intrigué de la raison du rendez-vous. Dès que Chasseur arrive dans le parc, il amène le détective dans la même maison luxueuse que leur première visite, dans la même salle d'initiation. L'espion lui affirme sérieusement :

— L'Italien, vous avez une mission.

— Laquelle ?

— Ne me coupez pas la parole, écoutez-moi! ...

Chasseur commence à s'énerver.

— ... Votre mission consiste à espionner les habitudes d'Ahmed Barak et de Tricia Barak, née al Hariri, pendant un mois, notez tous leurs déplacements et toutes leurs habitudes. Et vous me rapportez vos observations en rédigeant un rapport codé. Compris ?

— Oui. Mais où habitent-ils ?

— Vous trouverez facilement l'information, le policier. Ne jouez pas l'idiot! Maintenant, commente l'espion avec un sourire de psychopathe sadique aux lèvres, passons à des activités plus ludiques, mon cher...

Sur ces mots, Marion Buonaparte ravale sa salive, comprenant l'allusion sexuelle et se plie à ses activités ludiques. Censures sur l'activité entre les deux hommes. Après « les activités ludiques » avec l'espion, le détective italien revient dans son appartement, très fatigué, et vide quelques verres de vin et de vodka pour oublier sa douleur.


Simultanément chez Carl Neely,

Le détective est allongé dans le salon, réfléchissant à la prochaine étape de son enquête qui se termine bientôt, puisqu'il ne lui rester que quelques détails à régler et qu'il n'a plus à continuer son enquête sur les Gordon. Le soir, une fois que la vaisselle est propre et rangée, Carl Neely informe sa femme :

— Hélène, je pense que je dois aller à Belview, ville où habite Hanna Cherchasky-Langowski et sa famille pour mieux observer et enquêter sur le terrain.

— Si tu penses que l'enquête de terrain t'es indispensable, alors fait très attention à toi, mon amour. Je ne veux pas te perdre, j'ai l'intuition que tu dois faire attention, Carl, c'est une question de vie ou de mort.

— Ne t'inquiètes pas, je fais toujours attention.

Sur ces mots, le détective embrasse son épouse et l'enlace tout en la berçant sur sa virile poitrine, n'ayant pas vu derrière lui Arcadiusz Cherchasky, un méchant sourire aux lèvres, et Aurélie Bergmann-Cherchasky, un sourire ironique aux lèvres, puis les deux esprits errants disparaissent. Carl Neely soulève sa femme et l'amène dans leur lit pour l'embrasser, la câliner et essayer d'éveiller son désir sexuel pour lui, mais il a abandonné cette dernière idée, puisque son épouse, malgré qu'elle trouve son mari très charmant, très sexy, très adorable, n'avait pas envie au jeu de l'amour alors que son intuition lui dit que la vie de son mari est en danger lorsqu'il ira à Belview pour son enquête.


Le lendemain matin, sur la route pour aller à Belview,

Carl Neely, en route pour la ville de Belview, avec Marion Buonaparte et Paul Eastman, est assis au siège du co-conducteur. Il entend l'émetteur-récepteur grésiller, il l'ouvre et entend la voix de son frère, Paul. Il lui demande d'être prudent, parce que cinq hommes le guettent dans la ville pour le tuer. Carl Neely est inquiet, mais garde un visage imperturbable et affirme d'un ton ferme à ses collègues :

— Allons-y quand même, je ferais attention et nous sommes trois.

Les deux autres hochent la tête pour toute réponse.


Simultanément, chez l'espion Chasseur,

Il appelle Mort, un collègue espion, qui n'est nul autre que le surnom de Gabriel Lawrence qui peut voir et interagir avec les âmes des défunts et qui a le projet machiavélique d'accumuler le plus d'âmes dans une demeure, tout en aidant Chasseur à se débarrasser des âmes de ceux qu'il a froidement tué, et lui demande de le seconder lorsqu'il ira tuer quelqu'un à Belview. Gabriel Lawrence accepte et arrive. Les deux espions se rendent à Belview et guettent les policiers-détectives de Grandview, dans l'intention de tuer Carl Neely. Dès que les trois détectives arrivent dans la ville, ils se rendent proche de la demeure d'Hanna Cherchasky-Langowski pour observer les environs. Aurélie Bergmann-Cherchasky apparaît à la droite de Carl Neely et lui dit :

— Vous savez que le couple a, officiellement trois enfants, deux fils et une fille, l'aîné, Robert, vit à Grandview, l'autre fils, Tadeusz, âgé de vingt ans, vit encore chez ses parents, mais ce fils est un bâtard, issu de la relation d'Hanna Cherchasky avec son beau-père. La fille, Barbara, âgée de dix-neuf ans, a été violée par son père à ses dix-sept ans.

Carl Neely prend en note les informations dites par l'esprit. Paul Eastman est près de Carl Neely, observant l'entourage immédiat, alors que Marion Buonaparte, informé la veille par Chasseur, s'éloigne de ses collègues pour explorer un autre endroit... Un coup de feu se fait entendre et la balle atteint Carl Neely. L'âme de ce dernier est sorti de son corps, s'étonnant de ne plus tenir son dossier, ses papiers et son stylo, se retourne pour voir son corps blessé mortellement, tombé par terre, les feuilles de dossier éparpillées et salies de sang et de poussière. Paul Eastman, choqué, hurle à son collègue :

— Carl, je vous en prie, revenez immédiatement, IMMÉDIATEMENT, dans votre corps.

L'âme de Carl Neely, hésitant à revenir, entend Aurélie Bergmann-Cherchasky qui s'excuse faussement à lui en ces termes :

— Je m'excuse de ne pas vous avoir informé de la balle, tout était trop rapide. Au moins, maintenant, vous pouvez vous rendre rapidement en n'importe quel endroit sans que quelqu'un vous remarque.

Sur ces mots, Aurélie Bergmann-Cherchasky disparaît de la vue de Paul Eastman pour apparaître devant l'espion Chasseur et l'informe :

— Un ennemi de moins. Et désolé d'avoir tout dit, ou presque des Cherchasky, mais il fallait que je gagne leur confiance.

— Attendez, Madame, commente froidement Gabriel Lawrence, ne criez pas trop tôt victoire.

— Très bien, se renfrogne l'esprit errant féminin.

Aurélie Bergmann-Cherchasky disparaît, alors que Gabriel Lawrence rapporte à Chasseur la conversation avec l'esprit.

L'âme de Carl Neely finit par revenir dans son corps sous l'action des tentatives de réanimation de son collègue qui a appelé les urgences et surtout à la demande des archanges Gabriel et Michel qui lui ont sommé de revenir dans son corps, parce qu'il n'a pas encore terminé avec les vivants, son temps n'est pas encore venu et qu'il peut encore vivre sans séquelle importante de cette tentative d'assassinat. Carl Neely est rapidement amené aux urgences pour être opéré et soigné. Son épouse est rapidement informée de la situation. Paul Eastman, se sentant fautif, est demeuré au chevet de son collègue. Marion Buonaparte, feignant l'inquiétude, est aussi présent au chevet de son collègue.

Deux semaines plus tard, Carl Neely s'est rétabli et peut revenir chez lui, mais il veut absolument continuer son enquête qui l'a poussé à venir à Belview. Une semaine avant le rétablissement de Carl Neely, Chasseur et Gabriel Lawrence sont revenus à Grandview, mécontents de l'insuccès de leur plan, mais, Chasseur a une autre idée. Gabriel Lawrence le seconde dans son plan, à savoir d'éliminer Hélène Popović-Neely parmi les vivants pour avertir Carl Neely de ne plus continuer son enquête.


Deux jours plus tard, les trois policiers-détectives reviennent à Grandview, ayant recueillis toutes les informations qui les intéressent. Sur le chemin du retour, Carl Neely qui conduit la voiture de fonction, lorsqu'il voit Aurélie Bergmann-Cherchasky à sa droite, lui éructe, fâché :

— Allez-vous en! Que le Diable vous emporte! Vous n'êtes guère meilleure que le reste de la famille, malgré votre aide, vous m'avez attirer dans un piège.Parce que vous ne voulez pas que vos vices se connaissent! Je vais vous les dire! Vous avez trompé votre mari plusieurs fois et vous n'avez pas voulu vous divorcer parce qu'il vous procurait une aisance matérielle. Partez dans la Lumière et c'est tout. Que Dieu juge pour le reste.

Il parle ainsi et l'esprit errant disparaît sans avoir dit un mot. Le retour se fait sans incident.

Dès que Carl Neely est revenu à la maison, il est accueilli par sa femme et ses enfants, inquiets et rassurés. Le détective embrasse sa femme et rassure ses enfants et Hélène de son état de santé.


Simultanément à l'arrivée de Carl Neely à la maison,

Marion Buonaparte, devant son appartement, reçoit la visite de l'espion Chasseur. Ce dernier est très fâché de l'insuccès de son coup et lui dit :

— Vous connaissez vos trois idiots de collègues, je pense qu'ils s'appellent Erick Holmes, Cyrus Garcia et Norbert Smith.

— Oui.

— Très bien. Alors vous devez les contacter et collaborer avec eux. Bien sûr, ne leur mentionnez pas votre affiliation avec moi et avec les services secrets. Travaillez ensemble pour éliminer Hélène Neely et Mélinda Christopoulos. Ensuite, donnez-moi un rapport très détaillé des habitudes de Tricia Barak.

Sur ces mots, Chasseur rentre dans l'appartement du détective, laisse un dossier sur sa table et sort. Mais avant de sortir l'espion lui ordonne :

— Avant de partir, vous m'avez manqué, l'Italien. Allez, soyez un bon garçon donnez-vous à moi, il faut que je vérifie votre état de santé...

Marion Buonaparte ravale sa salive, ayant compris l'allusion sexuelle, et s'exécute. Une fois l'activité sexuelle terminée, Chasseur sort de l'appartement et revient chez lui. Le détective s'allonge dans son lit, réfléchissant à la manière de s'approcher de ses trois collègues pour collaborer avec eux sans qu'ils doutent de ses intentions.


Paul Eastman, lui, est revenu chez lui, sérieusement inquiet pour sa fille. Malgré l'heure tardive, il appelle Mélinda Christopoulos. Il attend qu'elle répond. Sa fille soulève le téléphone et lui affirme d'un air très sérieux :

— Père, j'espère que rien de grave ne t'es arrivé.

— Ma fille, ne vous inquiétez pas pour moi. Rien ne m'est arrivé. C'est plutôt moi qui suis inquiet pour vous et pour mon gendre.

— Qu'y-a-t-il de si grave ?

— Carl Neely, un autre collègue et moi-même venons de terminer la dernière étape de l'enquête. Nous avons toutes les informations concernant les Cherchasky, les Eastman, les Christopoulos et les Mavromichalis, en plus d'une partie des Gordon..... Et j'ai sérieusement des craintes pour votre vie et surtout pour votre postérité. Venez maintenant chez moi ou demain matin, s'il est trop tard, mais je dois vous communiquer ces informations de première importance.

— Très bien. À demain, père.

Sur ces mots, chacun raccroche le téléphone, mais Mélinda Christopoulos a une vague intuition que quelque chose de mauvais se trame derrière son dos. Elle part s'endormir dans son lit, alors que son mari travaille jusqu'à minuit.


Le lendemain matin, Mélinda Christopoulos embrasse tendrement son mari sur les lèvres et le réveille doucement. Comme il dormait encore, son épouse le menace de boire son café s'il ne se lève pas. Effet immédiat, Jim Christopoulos s'est levé et s'est rapidement habillé. Son épouse rit à l'effet quasi immédiat de sa menace et le rejoint pour prendre le petit-déjeuner. L'épouse de l'ambulancier informe son mari de l'appel téléphonique de son père et de sa visite ce matin. Jim Christopoulos, pour toute réponse, embrasse son épouse, lui donne une icône portative du Christ Pantocrator et l'embrasse à nouveau. Mélinda Christopoulos se rend à pied jusqu'à la maison où vit son père. Sur le chemin, elle n'a pas vu, derrière son dos, Gabriel Lawrence, possédé, qui la fixe, avec un sourire aux lèvres, et l'âme de Thomas Gordon qui la regarde et rit diaboliquement. Le bâtard de Thomas Gordon fait un geste menaçant à la femme et murmure de vague parole incompréhensible et voit l'âme de Chasseur posséder Erick Holmes qui conduit sa voiture de fonction, avec, comme co-conducteur, Norbert Smith. En le possédant, l'espion fait tourner le volant pour diriger la voiture sur Mélinda Christopoulos et la frappe de dos, en plus de tirer de l'arme à feu de fonction sur la femme, la blessant. Gabriel Lawrence, possédé, regarde la scène un peu plus loin et rit comme un dément. Erick Holmes, qui n'est plus possédé, est étonné d'avoir frappé un piéton, appelle ses collègues. Carl Neely est immédiatement arrivé et appelle les urgences, en plus d'informer son ami Jacques Christopoulos de l'état critique de son épouse. L'ambulancier est immédiatement arrivé avec son équipe, inquiet pour son épouse. Son inquiétude grandit encore plus lorsqu'il entend l'état critique dans lequel est sa femme. Carl Neely, près de Jacques Christopoulos, lui informe que l'âme de Mélinda Gordon-Christopoulos est sortie de son corps, mais, heureusement, elle est vite revenue. L'ambulancier, dès qu'il a entendu que l'âme de son épouse est sortie, il se dépêche de la réanimer. L'épouse de l'ambulancier est amenée à l'hôpital Mercy et est rapidement prise en charge. Depuis, sa mort clinique, une partie de son don, que sa mère lui a sciemment volé lorsqu'elle était petite, est revenue et elle présente une capacité surnaturelle, outre ses visions, elle a une expérience olfactive des esprits errants.

Après cinq jours, Mélinda Christopoulos revient chez elle. Paul Eastman l'attendait devant sa maison avec son épouse, Aglaé, et Jacques Christopoulos. Le policier s'excuse auprès de sa fille d'être à l'origine de son temps passé à l'hôpital. Mélinda Christopoulos demande à son père :

— Père, sentez-vous cette odeur immonde ?

— Quelle odeur ? Je ne sens rien, mais je ne vois qu'un esprit à ta gauche, c'est Arkadiusz Cherchasky, votre arrière-arrière-arrière-grand-père maternelle, un adepte de l'occulte et un vampire, en plus d'être infidèle à sa femme.

— Ce peut être son odeur, une vraie pestilence! J'ai envie de vomir.

— Ma arrière-arrière-arrière-petite-fille, vous avez une carence dans votre éducation pour parler ainsi des odeurs, commente Arkadiusz Cherchasky, puis il s'en va, offusqué.

— Maintenant l'odeur a disparu, commente Mélinda Christopoulos.

— Ma fille, vous venez de vivre une expérience olfactive des esprits. Avez-vous entendu ce qu'il a dit ?

— Vous voulez dire que mon ancêtre maternel adit « Ma arrière-arrière-arrière-petite-fille, vous avez une carence dans votre éducation pour parler ainsi des odeurs » ?

— Oui. Vous pouvez les entendre. Génial!

— Effectivement, et je l'ai entendu comme s'il me parlait dans ma tête, dans ma pensée, mais je sais que ce n'est pas ma pensée, ma parole, puisque la voix, l'intonation ne correspond pas.

Sur ces mots, le père donne une accolade paternelle à sa fille et lui dit :

— Ma fille. Je peux t'aider avec les cas des esprits errants et t'expliquer la manière de procéder avec eux pour les amener dans la Lumière, une manière laïcisée de les amener à comparaître devant Dieu sans peur, mais avant, je dois te communiquer le résultat de l'enquête sur la famille, autant ma famille, que celle de ta mère que celle de mon gendre. Les résultats sont consignés dans ce volumineux dossier. Voulez-vous, ma fille et mon gendre, que je vous synthétise les informations les plus importantes concernant vos familles ?

— Oui, répond à l'unisson le couple.

— Très bien. Pour les Cherchasky, la fascination pour l'occultisme est très présent, en plus d'une tendance à l'infidélité, à l'inceste et à travailler pour les espions (certains de la famille présentent des capacités surnaturelles, mais mal utilisées). Pour les Eastman, de l'occulte, des infidélités et des alcooliques, en plus des capacités surnaturelles, généralement utilisées pour le Mal. Pour les Christopoulos, l'occulte, le néo-paganisme, l'infidélité, l'alcoolisme et des mercenaires sont présents en plus qu'Anaximène Christopoulos est un prénom et un nom changés d'Abraham Vukman, un Serbe adepte de l'occulte et polyglotte, lorsqu'il arrive en Grèce. Aussi, il était un loup-garou et un vampire. Pour les Mavromichalis, famille très connue et influente, très présente dans la politique locale et nationale, l'inceste, la bisexualité et l'infidélité sont présents. Vous avez des cousins, des cousines, des tantes et des oncles qui ne vous veulent aucun bien. Ils veulent uniquement pousser leur faute et celles de leur ancêtre sur vous, pour que vous n'ayez pas de descendance. Et, ma fille, ta mère, Élizabeth, n'est guère meilleure que le reste de sa famille. Elle voit les esprits, mais elle les utilise à ses fins, je l'avais remarqué un peu avant mon divorce. Je l'ai critiqué et je pense qu'elle t'a volé ton don par des voies occultes... Je m'excuse ma fille de ne pas t'aider plus tôt... Au moins, tu as l'icône que je t'ai donnée et que Dieu et les anges vous protège, toi et mon gendre. Protégez-vous de la malédiction familiale en évitant la famille, surtout certains individus, d'autres sont tout à fait correct et de confiance, et en suivant le conseil de la défunte mère de Carl Neely, Katarina Dimitrievna Baranovskaia-Neely, en plaçant des branches d'aubépines et de l'hellébore à la porte de votre chambre et en priant Dieu et les saints et en ayant sur vous vos icônes portatives.

— Merci, père.

— Aussi, les Gordon sont très sombres, très occultes, incestueux, débauchés et bisexuels. Et Thomas Gordon, le second mari de ta mère, est possédé en quasi permanence. Aussi, Thomas Gordon a un bâtard, un certain Gabriel Lawrence... Ce bâtard, je l'ai vu et entendu une fois, peut interagir avec les esprits, mais il a un sombre projet. Méfie-toi d'eux aussi. Dans deux jours, ma fille, je ne travaille pas. J'aurais le temps pour t'aider à comprendre les esprits errants la gestion des esprits errants. Au revoir mon gendre.

Sur cette remarque, le policier part au travail. Jacques Christopoulos embrasse sa femme et part au travail, alors que son épouse lit plus en détail le dossier d'enquête, puisqu'elle travaille en après-midi, et est étonnée de ce qu'elle lit. Arkadiusz Cherchasky et Amélie Bergmann-Cherchasky, qui sont apparus à la droite de leur descendante, lui chantent ironiquement :

— Maintenant que vous savez, vous ne nous échapperez pas.

La jeune femme sent immédiatement leur odeur nauséabonde et soupire dès qu'ils sont partis.


À l'arrivée de Paul Eastman à la station de police, au bureau de Carl Neely,

Carl Neely, content que la grande enquête sur la famille de Mélinda Gordon-Christopoulos et de Jacques Christopoulos soit terminée, commence une petite enquête locale qu'il voit sa mère et son aïeul paternel se présenter à sa droite, observant le détective. Ce dernier se retourne et dit aux esprits errants :

— Quelle raison vous pousse à m'observer ? Une information importante à me dire ?

— Mon fils, les démons se sont réveillés, fait attention à ta femme. Et enquête sur ma mort... Essaie de comprendre le schème avant qu'il soit trop tard... Je suis de plus en plus inquiète.

— Oui, mère, je n'ai pas oublié.

— Mon descendant, enquêtez sur votre propre famille, vos proches, pour ne pas placer votre confiance dans un traître ou se méfier de quelqu'un de confiance.

— Très bien. C'est noté.

Sur ces mots, les deux esprits disparaissent.


Simultanément au bureau de Marion Buonaparte,

Le détective reçoit la visite de Matthias Gordon qui lui demande de donner son rapport sur Carl Neely, aussitôt dit, aussitôt fait, l'ami du détective s'éclipse. Marion Buonaparte part au bureau Cyrus Garcia, frappe à la porte, mais, personne n'ouvre la porte, il colle l'oreille à la porte, et n'entend que des bruits confus, un son primitif de jouissance. Il vérifie la porte et constate qu'elle n'est pas barrée. Il rentre, referme la porte immédiatement derrière lui et s'étonne de ce qui se présente sous ses yeux, à savoir un Cyrus Garcia qui pénètre Norbert Smith. Cyrus Garcia annonce à Marion Buonaparte :

— Marion, tu peux te joindre à nous. Norbert est dans la phase féminine de son prénom, profite-en! »

Marion Buonaparte demande sérieusement à son collègue :

— Après le travail, puis-je discuter avec toi au sujet d'une petite collaboration ?

— Oui, commente Cyrus Garcia, mais tu veux pas un peu profiter de notre fille ?

— Pas maintenant.

— Sauf si, Marion, tu veux toi aussi prendre le côté féminin de ton prénom ?

— Non, non... Cyrus, soit dit en passant, tu n'as pas barré ta porte de bureau.

— Alors barre-la, lance l'interpellé en lançant les clés à son collègue, trop occupé à explorer en profondeur Norbert.

— Voilà! C'est fait!... Je pense que je vais aussi profiter de Norbert, finalement... C'est trop excitant à te regarder... et il y a l'autre orifice qui est libre... Je rêve de combler le vide...

Sur ces mots, Marion Buonaparte prend quelques verres de vin d'une bouteille qui était sur la table et se joint à un ménage à trois homosexuel. Une fois que Marion Buonaparte et Cyrus Garcia ont terminé de jouir dans leur collègue, ils entendent la porte se débarrer... Panique totale pour les trois homosexuels qui sont encore nus avec des traces de leur petit jeu encore frais sur leur « fille »... Et Frederick Wellington, leur chef, rentre dans le bureau et dit aux trois policiers, camouflant mal son étonnement sous de l'ironie :

— Je vois que vous travaillez très sérieusement sur vos enquêtes... des enquêtes très profondes, trop profondes... Euh, j'étais venu pour vous donner votre prochaine enquête, Monsieur Cyrus Garcia... Et le plaisir de l'amour, ce n'est pas au travail, mais en privé. Je ne m'accouple pas avec ma femme au travail, pas même avec ma secrétaire... alors un peu de retenue. Je vous avertis, sinon, je vous renvoie tous les trois.

— Il n'y a pas un moyen de ne pas être renvoyé ?, demande Marion Buonaparte, effrayé.

— Tout dépend de certains détails que nous discuterons en temps et lieux. Mais, pour l'instant, vous trois, Marion Buonaparte, Cyrus Gracia et Norbert Smith, vous n'avez qu'un avertissement.

Le chef dépose un dossier sur le bureau et sort. Les trois collègues se rhabillent et Marion Buonaparte demande à Cyrus Gracia de l'attendre dans le parc après le travail et revient à son bureau faire son travail. L'Italien espionne Carl Neely pour la première moitié de son temps de travail, la seconde moitié, il file Tricia Barak.


Après le temps de travail des policiers-détectives,

Carl Neely est rentré chez lui, embrasse son épouse et lui explique son inquiétude. Paul Eastman rentre chez lui, salue son épouse et lui explique son inquiétude pour sa fille benjamine du premier mariage. Marion Buonaparte est parti dans le parc de la ville, attendant à la venue de Cyrus Gracia. Il a repéré Chasseur qui l'observe de loin, mais l'espion s'éclipse. Cyrus Gracia, avec Norbert Smith et Erick Holmes arrivent dans le parc, rejoignent Marion Buonaparte. L'Italien explique sa demande de collaboration à éliminer Hélène Popović-Neely pour avertir Carl Neely et espérer qu'il se joindra à leur cercle. Les trois collègues ont accepté, sans plus s'interroger et Erick Holmes demande :

— Marion, pour Hélène Neely, c'est facile, nous pouvons te régler le cas dans trois jours, mais maintenant, il faut bien se connaître un peu plus en profondeur, non ?

L'interpellé hoche la tête et invite ses trois collègues dans son appartement pour une petite séance d'orgie homosexuelle entre eux. Les quatre collègues se sont connus dans tous les rôles et orifices possibles... Après les jeux, les trois collègues quittent l'appartement de Marion Buonaparte.


Appartement de Marion Buonaparte, après le départ des collègues,

Le détective, fatigué et ayant mal partout, se traîne jusqu'à la cuisine et boit quelques verres de vodka et, après un verre de trop, chante Ivre de Serge Reggiani

Voici le texte de la chanson :

Ivre 

Du mal de vivre 

En équilibre 

Entre deux rives, 

Deux tentations 

L'une 

Où je m'allume 

Et me consume 

L'autre où j'assume 

La dérision... 


Ivre 

De fleurs, de livres, 

De pleurs, de givre, 

De pures plaintes, 

D'absurde absinthe, 

De vin de messe 

De vin païen. 

Tomber par terre et comme un oiseau ivre, 

Voler, revivre émerveillé, 

Dans l'air plus libre, 

Dans l'innocence réveillée, 

La joie furtive 

D'avoir volé au temps, dictateur infini, 

Un peu d'oubli... 


Ivre 

De ces dérives 

Qui me délivrent, 

Qui me dérident 

Et me défont 

Ivre 

Jusqu'au vertige, 

L'avant suicide 

Le plus splendide, 

Le plus profond. 

Ivre, 

Le cœur liquide 

La tête vide 

Mais pour mieux faire 

Bondir la terre 

Après l'ivresse 

Comme un ballon 

Être cassé, KO et me survivre 

Me décupler dans ce décor 

Sans récidive, 

Prison provisoire de mon corps 

Et que s'écrive 

En lettres saoules, en pleurs d'alcool que j'ai toujours 

Un manqu'd'amour 


Ivre 

Quoi qu'il arrive, 

J'ai soif de vivre, 

Entre deux rives, 

Deux dérisions


À la fin de la chanson, il s'endort ivre mort.


Le lendemain matin, Marion Buonaparte se rend au travail, comme ses autres collègues, autant ceux qu'il connaît intimement (Cyrus Gracia, Norbert Smith et Erick Holmes) que ceux qu'il connaît professionnellement (Carl Neely et Paul Eastman). Chacun fait son travail, ses enquêtes. Les trois amis policiers très intimes de Marion Buonaparte réfléchissent au moyen d'éliminer Hélène Popović-Neely et trouvent une idée. Marion Buonaparte, lors de sa patrouille dans la ville, voit Chasseur qui l'attendait. L'espion lui affirme froidement :

— Si vos amis ratent le coup, vous devez les tuer. Je vous aiderais.

Sur ces mots, l'espion disparaît aussi rapidement et mystérieusement qu'il est venu. Carl Neely est informé par sa mère, son père et son ancêtre paternel du mauvais coup que trame les trois homosexuels pour sa femme. Le soir, le détective informe sa Hélène de faire attention.


Deux jours plus tard, les trois « amis » de Marion Buonaparte guettent la sortie de la maison de l'épouse de Carl Neely pour mettre en action leur plan. Ils l'attendent dans un cul-de-sac pour tirer sur elle, de dos. Et Hélène Popović-Neely est passée devant le cul-de-sac, tout en prenant soin de ne pas avoir le dos complètement tourné au cul-de-sac, mais elle est sérieusement blessée, puisque Norbert Smith a tiré. Carl Neely, qui la filait pour sa sécurité, n'ayant pas vu le collègue qui a tiré, appelle immédiatement Jacques Christopoulos, alors qu'il s'avance vers sa femme, pour empêcher une autre balle qui pourrait être fatale. Les trois homosexuels de collègues, apeurés que Carl Neely les aient vus, se cachent derrière les ordures, mais aucun n'a vu Chasseur et Marion Buonaparte postés à une fenêtre de l'immeuble, l'arme prête à tirer sur eux. Chasseur vise en direction de l'épouse du détective, mais ne l'atteint pas, ayant atteint Carl Neely au bras. Puis les deux espions tirent sur les trois homosexuels cachés. Ils sont morts immédiatement. Jacques Christopoulos arrive rapidement sur place et le policier blêmit en voyant l'âme de son épouse proche de son corps et est aussi étonné de voir les âmes de ses trois collègues qui disparaissent aussitôt qu'il les ait vu. Il hurle, paniqué et attristé, malgré la douleur lancinante à son bras, à son ami :

— Jacques, dépêche-toi de réanimer ma femme, je viens de voir son âme.

L'ambulancier, avant même que le détective termine sa phrase, court pour réanimer l'épouse du détective. Heureusement, sous l'effort sans relâche de l'ambulancier, l'âme d'Hélène Popović-Neely est vite revenue dans son corps. Les époux sont amenés à l'hôpital pour être soigner rapidement.

Un peu plus tard, Paul Eastman trouve les corps sans vie de Cyrus Gracia, de Norbert Smith et d'Erick Holmes. Les âmes des trois défunts ne veulent pas partir dans la Lumière, mais préfèrent hanter Marion Buonaparte, n'osant pas hanter le Chasseur, parce que lorsqu'ils ont essayé, il a fait appel à Gabriel Lawrence pour se débarrasser d'eux, alors les trois esprits errants se sont enfuis, ne voulant pas habiter dans la demeure suggérée par le méchant chuchoteur d'esprits. Chasseur, lui, a trouvé, grâce à ses amis espions, la meilleure solution pour éliminer Hélène Popović-Neely pour faire regretter à Carl Neely d'avoir trop fouillé dans les histoires de famille, parce que Chasseur n'est nul autre que le pseudonyme de Robert Langowski.


Trois jours plus tard, Carl Neely est sorti de l'hôpital et son épouse sort de l'hôpital une semaine plus tard. Le détective est sérieusement inquiet pour sa famille. Helene Platonovna Eastman est partie dans la Lumière, alors que la mère de Carl Neely est encore parmi les vivants, ainsi que son aïeul paternel, tous deux très inquiets pour Carl Neely. Aurélie Bergmann-Cherchasky est partie dans la Lumière deux jours après le rétablissement de Carl Neely, puisqu'elle n'avait plus aucune raison de rester parmi les vivants, Nathalie Douglas-Gordon est partie dans la Lumière une fois qu'elle s'est amusée à faire peur à son mari, Arkadiusz Cherchasky n'est pas parti dans la Lumière, mais à rejoint Guido Romano pour posséder Paul Neely et parfois, pour posséder Thomas Gordon.



À suivre

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