Au-delà de ton corps
Chapitre 3 : Chapitre 3-Une rencontre mouvementé
3183 mots, Catégorie: G
Dernière mise à jour il y a presque 2 ans
Bonjour à toutes et à tous, je vous propose aujourd'hui le chapitre 3 de notre histoire, celui-ci est plus court que les précédents mais j'espère que vous allez l'apprécier.
Bonne lecture
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Chapitre 3-Une rencontre mouvementé
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Aujourd'hui j'avais sortie ma plus belle tenue, je portait une chemise noir assez classieuse avec un jean de la même couleur, pour accompagner tous cela j'avais acheté une paire de chaussures de ville. Pourquoi je me suis mis sur mon 31? La raison était très simple, j'allais bientôt rencontrer les parents de ma récente petite amie.
Honnêtement, je stressais énormément à cette idée, les choses s'étaient soudainement accélérées bien rapidement. Nous n'avions même pas eu le temps d'avoir un vrai rendez-vous en amoureux. Mais maintenant il était trop tard, je ne pouvais plus reculer.
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J'étais là, debout en face de la maison d'Audrey, le stress qui était en moi était indescriptible, il me contrôlait, il m'obstinait, je ne ressentait qu'une seul envie, celle de partir, mais je savais que ce n'était pas ce que je devais faire, je devais faire face à ce que je ressentais, je devais faire face pour Audrey, je devais faire face pour moi, Il fallait que je combat cette peur, pour me donne la force d'avancer avec mon âme-sœur.
Je m'approchai alors doucement du portails de la maison, pour appuyer sur la sonnettes qui se trouvait à droite de l'entrée. En pressant le boutons, je pouvais entendre le tintement de cette dernière à travers les murs de la maison. Quelques minutes plus tard, je vis la porte d'entrée commencer à s'ouvrir dans un grincement strident avant de laisser apparaître ma magnifique petite amie gothique.
Aujourd'hui elle avait retrouvé un style vestimentaire qui lui était propre, bien que je puisse dire que c'était des habits décontractés. En effet elle portait un ensemble d'un jogging assez large et un sweet à capuche noir, avec justement sa capuche rabattu sur laquelle avais été coussue des oreille de chat à son somme.
En la voyant arriver comme ça. Je ne l'avais pas exprimé, mais au moment de la voir arriver, la première pensée qui m'était venue à l'esprit, était qu'elle était mignonne, j'avais sans m'en rendre affiché un immense sourire car j'étais heureux de la revoir. J'ai pu voir le même genre d'expression sur son visage. Alors qu'elle descendait de petite marche pour arriver à ma position.
Elle était maintenant devant moi, de l'autre côté du portail. J'affichait toujours mon sourire idiot au moment où je commençait à lui parlé.
J:"Tu es…magnifique. "
Mes mots étaient sortis tout seuls. Quand je regardais Audrey après cette petite déclaration, j'avais pu voir que mes paroles avaient été suffisantes pour la faire rougir. Sûrement par politesse elle avait répondu à mon compliment, s'était à son tour jouée moi.
A:"Tu es plutôt pas mal toi aussi habillé comme ça, j'aurai presque envie de t'embrasser. "
C'était maintenant à moi de sentir une chaleur monter le long de mes joues qui transforma rapidement mon visage en une tomate cramoisi.
Quand je relevai le visage je pu voir qu'Audrey venait de réaliser ce qu'elle venait de dire et avait maintenant honte de ses propres mots.
Pour la taquiner un peu plus je suivais le courant de la conversation.
J:"Tu veux m'embrasser ? Va-y je suis partant." Lui dis-je en passant mon visage par-dessus le portail.
En me voyant d'accord avec sa taquineries, Audrey panique à l'idée de m'embrasser et très vite elle ne s'y plus où se mettre.
C'est au bout d'une minute, que je jugeais que je m'était assez joué d'elle.
J:"c'est bon, je rigolais, nous le ferons à temps vou…"
Le choc et la panique me gagna, au moment où Audrey avait posé ses délicat lèvre non pas sur ma bouche mais sur ma joue, mais si ce n'était pas un baisers comme nous l'imagination, à se moment j'avais recentis comme un électrochoc, me foudroyer des pieds à la tête.
Ce geste d'affection nous fit perdre la notion du temps, il du bien se passe 2 à 3 minutes depuis le début du geste d'affection, nous en profitons le plus longtemps possible mais malheureusement la réalité nous avait rattrapés, ce doux moment de complicité devait toucher à sa fin car j'étais attendue.
J'agrippai les épaules d'Audrey par-dessus la porte et l'écarta doucement de ma joue, nous avions maintenant les yeux rivés l'un vers l'autre.
J:"Tes parents nous attendent, on devrait y aller."
Après mon geste et mes paroles, Audrey réalisa ce qu'elle avait sans s'en rendre compte, elle s'écarta un petit peu plus et agrippa son bras pour montrer sa timidité, ça lui arrivait très fréquemment et me permettait de comprendre un peu ses émotions. Elle ouvrit doucement et lentement le portillon qui nous séparait avant de me laisser entrer, puis de la suivre jusqu'à la porte d'entrée de sa maison. Avant de rentrer, je senti le regard de ma copine se poser sur moi, avant de l'entendre prononcer quelques mots. Tout en regardant sa main, hésité avant de me la tendre sa main
A:"Tu es prêt ?"
Après ses mots, la peur grandissait à nouveau au fond de moi alors que j'avais pu l'oublier un moment grâce à ma copine, mais cette fois si, j'étais prêt à rencontrer les parents de ma copine, prêt à avancer. Je saisis alors sa jolie main pâle et senti la confiance me regagner.
J:"Oui je suis prêt"
Audrey prit une grand respiration avant de saisir la poignée de la porte avec sa main libre, et l'ouvrit laissent apparaît le séjour de la maison, mais avant même de pouvoir si attardé, mon regard s'était posé sur les personne qui était entrain de patienter derrière celle-ci.
Trois personnes étaient désormais face à moi. Tout d'abord, il y avait une première fille blonde aux cheveux blonds qui semblait avoir à peu près mon âge, elle avait un visage similaire à Audrey, mais son style vestimentaire était nettement différent, elle était…..éblouissante, fringante avec des vêtements chic de marque. Ensuite il y avais une seconde femme qui comme la fille précédente avais une chevelure d'or, cependant elle était plus âgée, c'était sûrement la mère de ma copine, elle avais un ensemble rose qui était presque aveuglant, mais en la regardant de plus prêt je pouvais distinguerun sourire de bienvenue. Enfin la dernière personne que je pouvais voir était un homme au cheveux bruns,une grande barbe taillée et pare d'un costard avec un air renfrogné. A première vue il n'avait pas l'air très bavard et tirait plutôt un tête passive sans émotion. Après avoir découvert toutes ces nouvelles personnes, l'heure était venue, il était temps de commencer les présentations, c'est Audrey qui les lança.
A:"Je vous présente Jimmy, il est" Audrey marqua un petit pose, c'était la première fois qu'elle s'apprêtait à le dire, il lui fallait certainement un petit temps de préparation avant de se lancer "mon petit ami"
Ma copine se retourna ensuite vers moi pour me parler directement.
A:"Jimmy je te présente, Éloïse ma grande sœur"
A peine présentée, la fille aux cheveux blonds sauta toute existé vers nous avec impatience.
E:"Bonjour, j'ai tellement entendue parlé de toi, Audrey ne me parle que de toi !"
Eloïse, m'avait surpris, elle avait une voix assez calme et rassurante, même si à se moment là, je pouvais entendre l'excitation dans sa voix. Rapidement, Audrey était intervenue pour couper court aux paroles de sa sœur.
A:"Oui enfin elle exagéré un peu, je ne parle pas aussi souvent que ça de toi, je t'ai sûrement mentionné de ou trois fois, pas plus. Bref."
C'était la première fois que je voyais ma copine ainsi, elle essayait tant bien que mal de justifier ses propos par une justification bancale mais amusante pour moi. Cependant je devais la rassurer car elle vivait notre relation à 100%, elle devait avoir peur que je trouve la situation bizarre. Pour la détendre, la voyant tourner en boucle avec ses explications, je me rapprocha un peu plus d'elle et de sa sœur, pour réintégrer la conversation.
J:"Elle parle de moi si souvent que ça! C'était un honneur, mais elle est aussi importante à mes yeux, donc je te prierai d'arrêter de la taquiner, regarde là, elle est désemparé."
Eloïse constata ensuite les dégâts de ses paroles, pour voir le visage de sa sœur, et la elle remarqua.
E:"Ooooh, Audrey, je ne t'avais jamais vue aussi rouge."
La sœur de ma copine retourna ensuite son regard sur moi, avant de me faire un clin d'œil et me chuchote quelque mot avant de retourner auprès de ses parents.
E:"(chuchotements) je te remercie d'avoir offert le bonheur, dont Audrey avait été privée toute sa vie."
Elle tourna les talons et retourna sur le palier de la porte.
Voyant sa soeur repartir, Audrey était redevenu plus calme avant de remarqué qu'elle avais coupé court au présentation et n'avais toujours pas présenté le reste de sa famille, elle se retourna ensuite vers la second femme, qui avais regardé la scène de ménage avec attention et affichait maintenant un sourire béant.
A:"Voici, Pénélope, ma mère
Après avoir été annoncé, la femme la plus âgée, approcha de nous.
P:"Enchanté, merci de prendre soin de notre fi…enfant, depuis que tu la rencontré, Audrey paraît chaque jour plus joyeuse, et ça me comble de bonheur"
Pendant qu'elle prononçait ce qu'elle avait sur le cœur, la mère de ma copine avait commencé à verser quelques larmes de joie,incontrôlable qui la rendait heureuse.
D'avant cette réaction, je ne savais pas, je ne savais pas quoi dire devant, cette femme ému devant mes yeux. Cherchant une solution, j'avais détourné mon regard sur Audrey qui semblait toute autant confuse que moi.
Embarrassé, je répondis à la déclaration de Pénélope, en me gardant la tête avec un peu de gêne.
J:"Ce…..ce n'est rien je lui doit aussi beaucoup….Grâce à elle….j'ai" avant de prononcer la fin de ma phrase, j'avais détourné une nouvelle fois le regard en direction de ma petite amie. "J'ai découvert ce qu'était le véritable amour."
J'entendis à ce moment, Audrey à côté de moi retenir sa voix, je n'avais pas eu besoin de regarder pour comprendre ce qu'elle ressentait. En ce qui concerne la mère de la fille à mes côtés, je l'avais vue, essuyer ses larmes et me regardé avec compassion et compréhension, elle savait que j'étais sincère. Elle s'approcha alors un petit peu plus de nous.
Soudainement elle se positionna face à sa fille et la serra fort dans ses bras.
P:"Je suis fier de toi, je suis heureuse de voir que tu a enfin trouvé la bonne personne"
Les deux femme était maintenant blottie l'une contre l'autre, Pénélope me regarda ensuite avant de m'invité par un geste de la main, à les rejoindre.
Ne voulant pas m'immiscer, je m'étais rapprochée d'elle, mais j'avais simplement posé ma main sur le dos d' Audrey pour lui montrer que j'était là et que je la soutenait.
Quelques minutes s'était écoulée, les deux femme s'était maintenant écarté, quand à moi, ma main était toujours en soutien dans le dos d'Audrey. Pénélope, une fois le geste terminé, s'était mise à me regarder avant de prononcer quelques mots du plus profond de son cœur.
P:"Jimmy, Merci infiniment"
Elle s'était ensuite écartée sur le côté, laissant apparaître devant mon regard la dernière personne qui ne m'avait pas encore été présentée. Audrey, l'avait aussi remarquée, s'apprêtait maintenant à présenter les derniers membres de sa famille mais quand je posa mon regard sur cette dernière je pu distinguer de léger tremblement parcourir son corps, je ne connaissais pas leurs signification, mais bientôt, j'allais les découvrir.
A:"Bien, je t'ai présenté ma sœur et ma mère, maintenant laisse moi te présenter ("gloup" sans s'en rendre compte elle avait déglutit) mon père, je te présente Bertrand"
A cet instant je pu voir un regard sévère se poser sur moi, des frissons m'avaient immédiatement envahie, bien que j'étais terrifié il ne fallait pas reculer, je pris mon courage à deux mains et je m'étais approché de lui pour me présenter convenablement. Je voulais lui serrer la main, alors je lui avais tendu la mienne, mais soudainement, j'ai pu distinguer un léger bruit d'agacement venant de se dernier.
B":Pffff"
il tourna ensuite les talons et partit sans dire un mot de plus. Dans l'incompréhension la plus totale, j'avais pu constater autour de moi les visages en décomposition devant la scène qui s'était produite autant sur le visage de Audrey qui semblait avoir deviné à l'avance sur ce qui allait se produire, que des autres membres de sa famille.C'est finalement Pénélope était venu une nouvel fois à ma rencontre et brisa qui brisa la glace avec une voix coupable pour expliquer l'action de son mari.
P:" Je te prit de bien vouloir l'excuser.." (je pu voir ses yeux se détourner de moi pour se concentrer sur sa fille) il….il n'a jamais voulu accepté le changement d'Audrey, et la situation et devenu aujourd'hui de plus en plus compliquée.(je pu maintenant voir son regard se fixe sur ses pied) "j'espérai sincèrement qu'il changerait d'avis et qu'il arriverait à changer d'avis en te voyant, finalement, ça a été inutile, et je suis désolé, je t'ai utilisé."
Après cette dure réalité, Pénélope baissa la tête avant de retourner avec un pas lourd à l'intérieur de la maison, me laissant seul sur les palier extérieurs avec Audrey.
Tout prit sens pour moi, s'était donc pour cela, que la famille d'Audrey avais voulu me rencontrer si vite, je me suis senti vexé que notre rencontre ait finalement eu lieu avec un enjeu derrière. j'avais après cette découverte regardé ma copine, et le visage qu'elle avait pu voir était un regard déçu de ma part.
De son côté, après avoir subi la réaction de son père et d'avoir constaté la mienne, je vis son visage devenir embarrassé par la situation, elle fuyait mon regard. Au fond, je savais que je ne pouvais pas lui en vouloir tout cela n'était en aucun cas sa faute, mais elle aurait pu au moins me prévenir en ce qui concernait ma réel présence ici. Cependant je ne voulais pas cacher ma déception à Audrey, car je voulais qu'elle comprenne son erreur pour éviter qu'elle ne la refuse un jour.
Avec mon regard toujours fixé sur elle, je me suis positionnée devant elle. J'avais ensuite posé mes mains sur ses deux petites épaules pour lui montrer que j'étais ici et qu'elle devait me regarder.
En premier lieux elle fut hésitante cherchant à fuire ses responsabilités et à chercher un échappatoire, mais elle se rendit compte bien vite qu'elle n'en avais pas, alors elle avais décidé de m'affronter et avais lever les yeux vers moi, à se moment la je pu voir son regard fuyard, apeurée et désolé au bord des larmes me faire face. Essayant de s'exprimer par une voix à peine audible.
A:"Jimmy, je…..je……je suis désolé, j'aurai dû te dire que mon père ne m'accepte pas, et qu'il ne l'accepte pas, je le savais c'était une erreur, notre relation n'est pas bonne pour toi."
Nous en avions déjà parlé mais les craintes d' Audrey était bien réelle, elle avait peur et je ne pense pas qu'elle le pensait vraiment, elle voulait juste me protéger.
J:"Écoute, Audrey ce n'est pas ta faute, tu est la raison de ma présence ici, car je t'aime, alors ne t'en veux pas, je ne te lâcherai pas aussi facilement, même s' il faut affronter vent et marré."
Après mes paroles, Audrey resta silencieuse, mais je crois bien que mon message était passé car je pouvais sentir sa petite main serré contre mon poignet. Sentant ça, j'avais fini par l'enlacer pour lui montrer mon affection, très vite elle répondit à mon geste en déposant ses bras derrière mon dos.Le moment que nous avions partagé était magique, mais bientôt, nous devrions revenir à la réalité car il y avait des personnes qui nous attendaient encore.
Une fois la preuve de confiance brisée, afin de ne pas dégrader davantage la situation, j'avais décidé de passer outre cette manipulation, car j'avais pu voir que le père d'Audrey à été l'une des raison de ses tourments.
J'avais donc une nouvelle fois saisi la main de ma copine et l'avait dirigé vers l'entrée de sa maison, quand mon premier pied fut posé dans l'habitation, je me retournai à nouveau vers Audrey qui me suivait de prêt, en lui faisait un regard significative qui lui montrais que je ne lui en voulais pas.
Je vis son regard se redresser et un léger sourire apparaît sur son visage.
A:"Merci, de pardonner ce qu'à fait ma mère, je t'aime, je t'adore Jimmy"
Nous entrons alors tous les deux dans la demeure. Nous voyant approcher la mère d'Audrey, s'excusa à nouveau avant de me proposer l'hospitalité.
P:"Encore une fois, je suis désolé, mais fait comme cher toi, tu veux quelque chose à boire ?"
Ne voulant blâmer personne j'acceptais sa proposition.
J:" Ne vous excusez pas, je ne vous en veux pas, mais je prendrais volontiers un verre d'eau"
J'ai pu voir un soulagement dans le regard de Pénélope, elle avait du avoir peur de me contrarier et d'indirectement briser la relation que j'avais construite avec Audrey.
De lourde épreuve resterait sûrement encore à affronter mais t'en que je serai avec Audrey, je les affrontraient pour elle, car je l'aime.
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C'est ici que se finit ce chapitre, j'espère qu'il vous a plus et n'hésitez pas à me donner votre avis en commentaire