Au-delà de ton corps

Chapitre 1 : Chapitre 1-Le jour où j'ai découvert sa vérité

7090 mots, Catégorie: M

Dernière mise à jour il y a presque 2 ans

Bonjour, à toute et à tous,


Aujourd'hui je vous propose de découvrir une nouvelle histoire. Cette histoire sera une histoire originale et donc pas une fanfiction. 


Elle traitera de sujet important, les deux personnages principaux seront un hétero qui va découvrir la réalité cachée derrière la fille qu'il aime. Cette histoire parlera du sujet LGBTQ+ le personnage féminin sera une fille transsexuels.


Disclaimer️:Les propos choquants qui pourront apparaître dans cette histoire ne reflètent en rien à ma façon de pensé, mais son présent pour avoir des élément choquant montrant, la difficulté de s'intégrer dans une société qui rejeté votre propre genre,. Car il ne correspond pas aux normes. 


Second Disclaimer: je suis sensible à la cause LGBTQ+, cependant je ne serai peut être pas toujours juste dans les informations que je donnerai, car j'ignore beaucoup de choses sur cette cause, étant hétero.


De plus, si vous repéré des erreurs comme des erreurs de correction qui déforme les phrases ou des erreurs du à mon ignorance sur certains sujets, il serait sympa de les notifié, merci d'avance 


J'espère que les personnes qui prendront le temps de lire cette histoire y passeront un bon moment 


Bonne lecture.


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Chapitre 1-Le jour où j'ai découvert sa vérité.

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Comme à son habitude, Audrey était seule sur une table de pique-nique à l'extérieur, en train de gribouiller sur son cahier. 


Pourquoi était-elle seule me direz-vous, la réponse était assez simple, elle était d'une timidité maladive, incapable de fixer trop longtemps une personne dans les yeux, n'y de trouver le courage d'aller vers les autres. C'est ce que j'avais fini par supposer en l'observant.


Pour ne pas arranger les choses, elle était aussi plutôt marginale. D'une part, par son style gothique, teinté d'une peau laiteuse, qui faisait ressortir les traits sombres de son rouge à lèvres violette, de son highliner qui entourait ses yeux et de ses cheveux teint en noir profond, Pour contraster avec son maquillage, elle portait une robe noire assorti à ses grandes bottines orné de chaîne montantes jusqu'à la moitié de ses tibias des quels s'echappait de longue chaussettes montante à rayures noir et blanche. Enfin la touche finale de sa tenue était ses nombreux bijoux qui couvraient une grande partie de son corps, tels que des bagues, des colliers, plusieurs piercings aux oreilles et à son nez. Enfin une chose avait retenu mon attention, je crois bien qu'elle était un petit peu plus grande que moi, je ne l'avais jamais approché de prêt mais elle semblait grande et je crois que je trouvais ça intrigant. Mais son style vestimentaire original et sa taille ne devaient pas être la raison principale de sa mise à l'écart ? 


C'était dans ce cadre-là, que je la regardais à travers la grande baie vitrée de la cantine qui donnait sur la cour. Elle était incroyable, magnifique. J'étais tombé sous son charme en arrivant dans ce lycée. 


En effet, j'avais débuté cette année scolaire dans un nouvel établissement, à cause de la mutation de mon père dans cette nouvelle ville, j'avais donc bien évidemment intégré le lycée de son secteur. J'avais donc dû partir laissant mes amies et mon ancienne vie derrière moi. 


Aujourd'hui au milieu de l'année scolaire, bien qu'il me semblait mettre intègre dans un groupe, je n'avais encore jamais osé lui parler, je ne connaissais pas grand chose de cette fille, hormis son prénom, qui m'avait été révélé par mes amies. 


Dans la lune, mon regard fixé sur Audrey, tel un prédateurs observant sa proie, je n'avais pas entendue mon groupe de pote me parler


A:"Ouhou, Jimmy !"


Devant ce premier appel, je ne répondis pas, toujours absorbé par le spectacle.


B:"Allo la terre ici Jimmy !"


Le deuxième appel échoua comme le premier.


Soudainement, je ressentis une douleur dans mes côtes, suite un coup de coude, qui m'avait percuté.


J:"Aiii! Putain Éric qu'est-ce que tu fous, pourquoi tu m'a frappé"


E:"Mec, ça va faire 5 minutes que tu restes là sans bouger."


En sortant de ma torpeur, j'ai balayé tous mes amis du regard. Tout d'abord à ma droite, il y avait Éric, un garçon métisse assez musclé, il aimait le foot, et rigolait souvent aux blagues. Il n'était pas méchant, mais il avait tendances à suivre facilement Bryan dans ses blagues et ainsi blesser les gens sans s'en apercevoir. 


Ensuite en face de lui, il y avait Amandine, une fille rousse aux yeux bleus, nous étions dans la même classe, c'était la première personne qui était venu me parler à mon arrivée dans ce nouvel environnement et c'était elle qui m'avait introduit dans ce groupe. 


Enfin en face de moi, il y avait Bryan, se n'était pas un mauvais gars, mais il avait tendance à être limité dans ses propos et ça j'avais du mal à l'accepter.


Après être sorti de ma transes, j'ai répondu à mes potes


J:"Les gars, je suis désolé, j'ai perdu le fil de la conversation


Éric, me regarda après ma déclaration et ricana, 


E:"NON ! tu crois ? on l'avais pas remarqué mec, t'es vraiment absorbé par elle, tu devrais aller lui parler avant que ce ne soit trop tard"


Après se qu'il venait de me dire Éric me fit un clin d'œil pour me faire signe de foncé.

Cependant j'hésitais, je ne savais pas vraiment comment l'aborder. J'avais bien déjà essayé mais, la malchance était de mon côté à chaque fois que j'ai failli sauter le pas quelque chose m'en empêchait. Par exemple, la dernière fois que j'ai essayé, je suis sortie le plus vite possible à l'extérieur, mais au moment de me retrouver dehors elle n'était déjà plus là. 


Après se que venait de dire Éric je soupira


J:"Éric, c'est pas drôle tu sais bien, que j'ai déjà essayé."


É:"Bah, réessaye, tu a quoi a perdre" il rigola une nouvelle fois me laissent accord plus embêté"


Les paroles rassurantes d'Amandine arrivent soudainement pour couper, c'est moqueries amicale. 


A:"Allez, ressaisis toi, tu y arriveras bien à un moment, persévère."


Les paroles d'Amandine, bien que bref, m'avaient légèrement remonté le moral. 


J:"Merci, Amandine, heureusement que tu es là."


Après mes deux amies, c'était autour de Bryan de parler, il était en train de regarder par la fenêtre, quand il interpella tout le monde. 


B:"Hey, Jimmy regarde on dirait de ta meuf cherche quelque chose."


Je regardais par la fenêtre, pour m'assurer moi même de la situation en regardant par la vitre. 


C'était vrai, Audrey semblait embêter et agité dans tous les sens, regardant à droite et à gauche, comme si elle avait perdu un truc.


A ce moment la, je sentie que c'était peut être ma chance, je me levai en annonçant à gars que je revenais avant de courir pour la rejoindre. 


Derrière moi j'entendis Éric et Amandine me souhaiter bon courage alors que je partais. 


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Petit passage à la troisième personne 

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Pendant que Jimmy, était partie, Bryan partagea quelques chose qui venait de lui revenir au groupe 


B:"Les gars je vien de me souvenir j'ai entendue un truc sur Audrey"


Il fit signe à ses deux amies de se rapprocher. 


B:"(Chuchotements)"


Après la bombe que venait de lâche Bryan, Éric éclata de rire


E:"Jure, Mdr, j'aimerais trop voir la tête de Jimmy quand il va l'apprendre."


Amandine, elle resta silencieuse, elle afficha un mine concerné, mais elle n'était cependant pas triste pour son amie qui se jetait dans la gueule du loup, non, elle ne s'en était pas rendue compte mais en entendant cela, elle avait affiché un petite sourire de satisfaction.


Enfin Bryan rajouta une dernière parole. 


B:"Personnellement, à la place de Jimmy, je ne la toucherait même pas avec un bâton"


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J'étais désormais à l'extérieur du bâtiment, la première chose que je fit était de regarder si Audrey était toujours là, à mon grand soulagement, elle était toujours là bas autour de la table, en train de chercher quelque chose. 


Avant de faire tout geste, je prenais une grande respiration, j'en avais besoin, je sentais des crampes venir au fond de mon ventre, j'étais stressé. Il me fallut quelques minutes pour me calmer, après avoir retrouvé une certaine stabilité, bien que j'étais toujours dérangé par les réactions de mon corps, je décidais de me lancer et de marcher droit vers mon but. A la moitié de la distance qui nous séparait, j'ai buté dans un truc qui était au sol. En dirigeant mon regard sur l'objet que j'avais percuté, j'aperçu une carte d'étudiants, je pris la décision de la ramasser pour l'apporter plus tard à la vie scolaire. Je me suis alors penché pour la ramasser, une fois la carte en main je décidai de la retourner pour voir à qui elle appartenait.Au moment où mes yeux se sont posés sur la photo de la carte, je n'en revenais pas, c'était sûrement un coup de pouce du destin. En effet, la propriétaire de cette carte n'était autre que Audrey, d'un coup je fit le rapprochement, évidemment ce qu'elle était en train de chercher c'était sûrement cette carte. Maintenant motivée, et avec un petit bonus en main, je m'approchai d'elle avec plus d'assurance que quand j'avais quitté la cantine. 


J'étais maintenant à son niveau, et je décidai de lancer la conversation. 


J:"Hey, Audrey c'est ça ?" dis-je en levant la main droite pour la saluer. 


Quand elle entendit le son de ma voix, Audrey, se retourna, en me voyant m'approcher, elle recula avec méfiance, sans prononcer un seul mot. 


Devant, sa panique j'enchaîne rapidement mes mots, pour éviter de lui faire peur inutilement. 


J:"Attends, je ne voulais pas te faire peurs, en faite, j'ai trouvé ça par terre, c'est à toi non, c'est se que tu était en train de chercher ?"


Je sortis alors la carte que j'avais rangée dans ma poche par précaution, et lui montrais directement. A la vue de son bien, Audrey se reprochait maintenant timidement de moi, pas par pas. Une fois, à ma hauteur elle attrapa la carte et je cru entendre un merci à peine audible. Sa carte récupérée, la jeune fille gothique, alla ranger rapidement c'est affaire, pour parti précipitamment, sans me laisser le temps de lui parler d'avantage. La voyant faire, je sentais mes chances se volatiliser sous mon nez une nouvelle fois.


J:"Attends ! "


c'est alors que dans un élan incontrôlable de ma part, je l'avais saisi au poignet la stoppant avant sa fuite. La première chose qui m'était venu en tête quand j'avais sa peau pâle dans le creux de ma main était, "woah elle a la peau si douce". Mais bientôt je suis revenue à la réalité, en remontant le regard vers son visage, je vis une expression qui me serra le cœur quand je vis, qu'elle était terrifiée, au bord des larmes, et que la personne qui venait de lui faire ressentir ça, n'était autre que moi. 


J:"(penser) MERDE, MERDE,MERDE Jimmy qu'est-ce que tu à fait, dit quelque chose"


Mon regard scanna rapidement la zone espèrent découvrir un sujet de conversation, j'avais d'abord passé mon regard par déçu son épaule, je pouvais directement voir plusieurs badges tous différents accroché à son sac, le seule point commun que je pouvais leurs trouver, était qu'il était plutôt sombre, certains avec de tête de mort, d'autre avec des insultes, rien qui me permettrait de lancer une conversation, car j'ignorais tout de ses goûts. Ensuite je posa mes yeux sur son cahiers toujours sur la table, en me concentrant sur celui-ci je pu voir une inversion a son style étonnant, en effet elle avait dessinée un licornes, son dessin était merveilleux, mais jamais je n'aurais jamais cru qu'elle dessinait ça, à chaque fois que je l'admirait.


C'est à se moment la, que ma stupidité me termina, au lieux de m'excuser convenablement de mon geste, et d'amorcer la conversation sur ses dessins, la seul chose que je trouvais a dire était un truc stupide. 


J:"Je m'appelle Jimmy, et tu me plaît beaucoup"


Il me fallut un temps pour me rendre compte de ce que je venais de déclarer, très vite je sentie, le poignet d'Audrey essayé libérer de ma main, je prit conscience que je la tenais toujours, en levant un nouvelle fois mon regard sur la personne chère à mon cœur, je vit que son expression avait changé, elle était maintenant en train de pleurer, mais ce qui m'interpella surtout, était c'est joue rouge qui dansais en accord avec la pâleur de son teint. 


Sous cette scène je fus choqué, je ne comprenais pas, sa réaction était ambiguë, j'aurai presque cru que ses pleurs étaient des larmes de joie, cela me fit lâcher prise, à cet instant Audrey en profita pour s'échapper comme un petite hamster. Je la voyais maintenant disparaître au loin dans l'angle d'une porte toujours choquée par moi même.


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Une semaine s'était écoulée depuis ma déclaration, depuis ce moment j'étais resté assez végétatif. Toute cette semaine, je l'avais passé à me noyer dans mes passions pour oublier, j'avais passé deux tiers de mon temps libre à jouer à la PlayStation, jouant rapidement à MTA (Massif Theft Auto), a Meca Punk 7702, ou encore à Missiles League. Le dernier tiers de mon t'en libre je la passait à regarder les show de catch qui passait à la télé, voit Roman reigns perdre son titre de champion universel aurait pu me remonter le moral, mais ce ne fut pas le cas. 


Malheureusement, malgré mes occupations je ne pouvais définitivement pas oublier, je repensant sans cesse à mon erreur, et à ce qui s'était passé après.


Ce jour-là, quand je suis retourné auprès de mes amies, ils avaient rigolé quand je leur ai raconté se qui c'était passé et m'avait tout conseillé d'abandonner et de passer à autre chose pour mon bien, personnellement je savais que je ne pourrais pas, forcé a qu'elle m'accepte. Déplus pendant la conversation Éric avait eu une parole qui m'avait interpelé


E:"Tu sais, tu a peut être de la chance mdr"


Le ton qu'il avait mis dans sa phrase cachait quelque chose, on aurait dit qu'il jugeait Audrey, mais de quoi ?


En ce qui concerne Audrey, après m'être déclarée à elle, j'avais plusieurs fois essayé de la trouver du regard, afin de pouvoir m'excuser au prêt d'elle, mais je crois bien que je lui ai fait peur, elle ne se posait plus sur sa table de pique-nique. Je m'en voulais pour ce que j'ai fait, je l'avais mis mal à l'aise et l'avait privé de sa place, j'avais sûrement raté un grand chose à cause de ma maladresse.


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1 mois plus tard, j'avais commencé à m'obligé à l'oubli comme elle n'apparaissait plus devant moi, du moins c'est ce que je croyais, ce que je me forçait à croire, le mois qui s'était écoulée fut chronophage, passant de heure sur des nouveaux jeux, me feintant  de la vérité, et me persuadent que j'allais bien.


Mais un jour comme les autres, allait être marqué par plusieurs changements, pour moi, tout allait basculer, mais je n'allait pas être seule Audrey allait m'accompagner dans ce voyage.


En entrant dans le lycée, je sentis mon téléphone vibré dans ma poche, en le sortant je remarquais que j'avais reçu un message de Amandine. Elle m'avait envoyé un lien et me disait de l'ouvrir. Curieux j'appuyai sur ce lien qui me redirigea vers une publication Tweeter. Le titre de celui-ci était "Regardé se Trans qui se fait passer pour une meuf" en lisant ce titre je me demandais pourquoi Amandine m'avais envoyé ça, je continuait a regardé la publication qui était accompagnée de deux photos, c'est la que je percuta, la première photo était une photo de Audrey prise furtivement, à ce moment je commençait à comprendre ce qui se passait, en scrollant sur la seconde, qui était la photo d'un jeune ado, c'est la que tout était devenue claire, bien que certains traits était différent, j'avais bien assez regardé Audrey pour reconnaître son visage sur cette photo. Alors que j'ouvrais les yeux sur qui était vraiment Audrey, je sentie mon esprit se tiraillé sur cette révélation, Je m'était mis à me torture de questions et ne savais plus quoi penser, j'étais tomber amoureux d'elle, mais j'avais maintenant peur de mes propre sentiments, peut être que ce fut mieux que rien de ne passe entre nous. Mais parallèlement à ses pensées je crois que je regrettait de l'avoir appris, mais surtout je me dégoûtait de penser comme ça.



La journée s'était ensuite déroulée sans accroc jusqu'à l'heure du déjeuner, nous nous sommes retrouvés avec Amandine et Éric, nous avons jusqu'à présent discuté tranquillement sans mentionner cet incident qui m'avait affecté dans la matinée. 


É:"Oui, tu a vue Jimmy, quand Bryan danielson est arrivé sur final countdown, la pop de malade qui l'a eu"


J:"Oui mais, c'est dommage pour Okada, qui a Tap Out a la fin du match"


Soudainement, pendant que nous discutions tranquillement de Catch avec Éric, Bryan arriva au loin. Vous vous souvenez quand je vous ai dit que Bryan avait parfois des propos limites, et bien ce moment fut un parfait exemple. 


B:"Hey, Jimmy ça fait quoi de se dire que tu voulais sortir avec un mec, hien"


Sans m'en rendre compte je sentie une colère monter en moi, étrangement ce n'était pas à cause de la honte de tomber amoureux de Audrey ou quoi que ce soit, je sentais que je devais la défendre, sans raison particulière, même moi je ne savais pas que je ressentait à propos d'elle. 


Quand je passa mon regard sur Amandine je vis qu'elle détourne le regard comme si elle semblait vouloir éviter la blague douteuse de Bryan. Ses définitivement Éric qui me fit craqué quand je posais mes yeux sur lui je vit qu'il était à de doigts d'éclater de rire, se moment était m'as limite. 


Je me levai brusquement, me dirigeant vers Bryan, je l'ai bousculé, et il s'est retrouvé au sol très rapidement. Je vis l'incompréhension dans ses yeux 


B:"Quoi ? Tu va pas me dire que tu t'intéresse toujours à cet erreurs de la nature" Demanda t il 


Sans maîtriser mes paroles, j'éclata.


J:"Tu sais quoi, vas te faire foutre" 


Je quittais ensuite le groupe marchand aléatoirement dans les couloirs sans savoir où aller.


Pendant que j'errais sans grand but, je repensais à tout ce qui était arrivé aujourd'hui, commençais à me remettre en question, pourquoi est-ce que j'avais agit comme ça ? Pourquoi les moqueries faites sur Audrey m'avait mis en rogne ? Était-ce vraiment si grave, qu'elle aille était garçon? Après cette questions je me rends compte de ce que je venais de me dire à moi même. Je clôturais alors mes doutes avec ma colère persistante envers Bryan, en frappant avec un coup de pied un cartons vide qui était resté traîner ici. Mes doute avait persisté encore longtemps, mais je fit sortir de cette réflexion quand je regardaient autour de moi pour me rendre compte que je ne savais plus où j'étais, j'avais tellement marché à l'aveugle que je m'étais perdu dans mon propre lycée, j'aurais bien rebrousser chemin mais en me retournant, je me rendit compte que je ne savais pas si je venais de droite au de gauche. 


J:"Merde, Jimmy tes con" 


Je regardai les deux couloirs est je tirait au hasard la route que j'allais prendre. Je pris alors le couloir de droite, le grand vainqueur de mon hasard. En prenant ce chemin je marchais pendant 5 min dans un long couloir sans fin qui me mena a un cul de sac. 


J:"Putain lycée de merde"


Je m'apprêtais à rebrousser chemin quand j'entendis un bruit provenant d'une pièce. Je me suis donc dit que quelqu'un pourrait peut-être me renseigner pour revenir dans les endroits que je connaissais.  Je m'approchai alors de la pièce de laquelle provenait le bruit, puis me rendis compte bien vite que les bruits que j'entendais étaient en réalité des sanglots.


J:"Merde, je devrais peut être pas entre en fait"


Je m'étais donc résigné à partir sans entrer dans la salle. Quand un bruit haletant plus aigu était venu me titiller les oreilles, je me suis rendue compte que j'avais déjà entendu des pleurs similaires, curieux je me suis approché de la porte et je l'ai entrouverte. C'est là que je l'ai vue, Audrey en larme au fond de la pièce. En la voyant dans une telle détresse, j'ai senti quelque chose se briser en moi quand j'avais enfin réalisé que ma propre torturé étais sûrement minime par rapport à ce que devait vivre Audrey, ses elle qui devait en souffrir le plus.


Je me recula après se choque, m'adosent à un mur en sentent ma colère atteindre son paroxysme, face à Bryan qui rigolais d'elle si facilement, de moi, d'avoir laissé faire et ne pas l'avoir retrouvé après ma déclaration, en abandonnant presque mes sentiments après sa fuite et surtout contre se connard qui avait publié cette putain de photo, j'etait tellement en colère que seul une douleur dans la main était venu m'interompre. Je regardais la cause de cette douleur quand je remarquai, que je venais de m'auto couper avec mes ongles à force de serrer le poing. 


Cet évènement venait de me faire retrouver ma lucidité, ce n'était pas le moment de m'énerver inutilement. Je fermais alors les yeux respirant calmement et réfléchissant avec moi-même. 


J:"Bon, calme toi, je ne peux pas la laisser, maintenant que je l'ai vue, mais comment je pourrais l'aborder sans lui faire peur"


Cette réflexion me fit entrevoir l'étendu de mon impuissant et mon ignorance devant cette situation. 


1 minutes plus tard je me suis rendu compte que rester là, à ne rien faire ne servirait à rien.


Je me reprochais à nouveau de la porte est cette fois je l'ouvrit complètement. Audrey fut rapidement alertée par le grincement, et très vite elle me regardait, avec un visage terrifié à moitié en larmes, avant de chercher un moyen de s'échapper, malheureusement pour elle, la seule sortie était là où je me trouvais. Maintenant que je savais qu'elle m'avait remarqué, j'ai décidé de me lancer.


J:"Audrey, je….."


Rien ne pouvait me préparer à ce qui allait se passe, on avait à peine parlé, mais je savais qu'elle avait du mal à hausser la voix, mais je me trompait 


A:"Casse- toi… laisse moi seule!!"


Je fut dans un premier temps choquée par son haussement de ton, mais malgré ce qu'elle m'avait demandé je refusais de la laisser comme ça. 


J:"Audrey, je veux seulement t'aider"


Elle me regarda alors avec un air agacé, toujours avec ses yeux humides. 


A:"Pourquoi tu voudrais que tu m'aides, tu vas encore me dire que c'est parce que tu m'aime, me fait pas rire tu a bien dû voir se que je suis, je doit te dégoûter, alors laisse moi."


Les parole que venait d'avoir Audrey ma fit mal, effectivement je pense que je voulais l'aide à cause de mes sentiments, et sincèrement je ne savais plus ce que je ressentait pour elle à cause de cette situation, Mais une chose était sûr c'était toujours la fille pour lequel j'avais flashé, et au fond de moi je ne sentais pas la moindre once de dégoût pour elle. J'avais enfin compris certaines choses sur moi grâce à ses paroles, je savais que si je voulais l'aide je devais être sincère. 


J:"Je peux m'asseoir à côté de toi, j'aimerais te dire se que je ressens à propos de tout ça"


Je pense que ma tête était pitoyable à ce moment-là, car quand Audrey avait relevé la tête, je pense qu'elle était prête à en rajouter une couche, mais quand elle a vu ma tête, elle changea d'attitude. Pour me répondre elle ne fit pas une grande phrase, elle ne lâcha qu'un simple mot.


A:"ok"


Avant de replonger sa tête entre ses genoux 


De mon côté, après son approbation, je me suis dirigé calmement vers elle, en arrivant à son niveau je sentais le stress monter, je savais que se moment était crucial et que je devais bien choisir mes mots.Je m'assi ensuite, laissant une distance de 15 cm entre nous. J'ai pris une grande inspiration et j'ai déballé ce que j'avais sur mon cœur.


J:"Tu sais, la première fois que je t'ai vue, je l'ai trouvé magnifique, tu avais quelques chose de plus que les autres, ça vas faire 7 mois que je suis arrivé et durant tout ce temps j'ai essayé de venir te parler, mais je n'y arrivait jamais, le jour où j'ai enfin réussi, j'ai paniquer et je t'ai dévoilé ce que je ressentait, je me suis senti bête, après chaque jour je pensais que j'avais tout gâcher, je m'en voulait pour ça car tu est la première personne donc je suis tombé amoureux."


Pendant que je dévoilait mon cœur, je vis le regard d'Audrey percé à travers un petit trou entre ses jambes. Je crois que j'avais réussi à susciter son intérêt, même si je ne savais pas si dériver la conversation sur moi lui permettait de se changer un petit peu les idées. 


J:"Comme tu peux t'en doute tous ses accélérée en moi, quand j'ai découvert que "


En regardant une nouvelle fois sur ma gauche, je la vit se rétracter quand j'ai commencé à parler de ma découverte, et très vite je l'entendit à nouveau trembler et gémir. 


Je savais que ce que j'allais dire ensuite allait être définitif, pour elle comme pour moi. 


J:"Bref, depuis ce matin je me suis torturé l'esprit, tu sais je n'ai pas vraiment pensé que c'était un problème, en faite ses moi même qui m'a fait paniquer, en l'apprenant j'ai remis en cause mon orientation sexuel, plus que de me convaincre que tu jouais un rôle, et puis tout à leurs j'ai bousculé un amie qui se moquait de toi, je ne sais plus ce que je ressens pour toi à l'heure actuelle, mais je suis sur d'une chose tu est toujours la même personne que celle dont je suis tombé amoureux"


J'avais terminé, les dé étaient jetées, je lui avais dit se que recensait mon cœur, j'espérai seulement que se soi suffisant pour la convaincre de mes bonne attention. Après la fin de mon monologue, je la regardais avec un peu d' appréhension, ce qui se confirmait quand je pouvais la voir toujours apeurée, j'avais bien peur d'avoir échoué. 


Au moment où je croyais que tout était fini et perdu, elle avait relevé la tête, et me regardait à présent, je pouvais voir son maquillage qui coulait totalement couler le long de ses joues. Je m'apprêtais au pire quand j'entendis le son de sa voix. Je pouvais voir qu'elle hésitait sur les mots qu'elle voulait sortir.


A:"(snif) sincèrement, comment tu me vois ?"


Cette question me laissait sans voix je savais qu'elle attendait quelque chose de moi, j'ignorais vraiment se quel voulait alors j'ai une nouvelle fois laissé mes sentiments décider de mes paroles. 


J:"Comment je te vois ? Pour moi tu es la première fille que j'ai aimé."


En prononçant ces paroles je prit conscience, du chose parmi mes nombreuses questions, dans ma tête il ne faisait aucun doute que Audrey était une femme. Avec cette nouvelle découverte ancrée dans mon corps, je priait en espérant avoir répondu à ses attentes. Soudainement je la vue agripper sa bouche avec une main en essayant d'étouffer son sanglot. Même si je n'étais pas sûr à cent pourcent de ce qu'elle avait ressenti par mes propos, je crois que ses pleurs était cette fois plus dû à une sorte de soulagement. Pendant que je la regardait éclater, elle avait pris une initiative qui me convainquit que j'avais fait le bon choix, sans crier gare, elle avait posé son front sur mon épaules, laissait mon gilet essuyer sa tristesse. Pour répondre à son geste, instinctivement j'était venu appuyer ma main gauche sur son crâne lui caressant légèrement la tête, pour la consoler.


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Les heures avaient défilé, à un tel point que la journée de cours touchait à sa fin, j'avais maintenant séché toute l'après-midi de cours, durant ce temps j'avais reçu plusieurs messages d'Amandine qui me demandait où j'étais, mais je les avais ignorés. Je préfère que ma présence soit utile à quelqu'un, même si à se moment même je me sentais plus comme un meuble. En effet après avoir versé ce qui m'a semblé des tonnes de larmes, Audrey était maintenant endormie depuis, 1 heure et demie sur mon épaules, et je préférai la laisser faire. 


Tout ce temps m'avait permis de réfléchir, sur moi et sur Audrey,qui ne me permettait malheureusement pas de répondre à tous mes tourments je ne pouvais pas encore dire se que je recensait pour Audrey, mais j'avais quand même réussi à faire émerger une envie, j'avais envie d'apprendre à mieux la connaître, je voulais la soutenir même si la situation était étrange pour moi. 


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Audrey avait finalement fini par se réveiller, quand je l'entendis émerger, j'avais regardé ma montre et il était 17h. Audrey ouvrit ses yeux gonflés par le chagrin et constata se qui c'était passé, je la vit regardé tous la salle, puis tourné sa tête vers moi, et enfin posé ses yeux sur mon épaule encore humidifié par sa tristesse. Elle percuta alors sur se qui c'était passé. 


A:"OH merde! Je me suis endormie, je suis désolé, quelle heure est-il ?"


Ce que je pouvais voir me rassurait, elle semblait plus naturelle et moins perturbé désormais.


J:" il est 17 heures" dit-je répondant à sa question.


Dès que je lui ai annoncé l'heure, elle semblait étonnée. 


A:"Quoi, on est resté là toute l'après-midi, pourquoi tu est resté, tu aurai pu partir"


Je la regardais en lui faisant alors un léger sourire pour la rassurer. 


J:"Je devrai rester avec toi car j'en avais envie."


Avec cette déclaration j'ai pu constater une légère teinte rosé apparaître sur ses joues, pendant qu'elle était en train de replacer une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Je savais que ce que je lui avais dit lui avais sûrement fait un petite effet, mais je ne voulais pas vraiment la dragées, pas t'en que je n'étais pas en accords avec moi même, pour éviter qu'un malaise s'installe, je me suis relevé tendant la main à Audrey l'invitant à se relever. 


J:"On devrait se préparer à rentrer, tu ne crois pas"


Audrey acquiesça et attrapa ma main pour que je la relève.


Nous étions maintenant tous les deux debout, après nous être regardé avec un malaise montant, nous avons commencé notre chemin vers la sortie. 


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Arrivé devant la porte de la salle, je vis Audrey qui avait l'aire, d'à nouveaux paniquer à l'idée de sortir, c'était compressible elle devrait sûrement affronter le regard de tous les personnes qui avais vue la publication, je ne pouvais pas y faire grand chose malheureusement, mais j'avais cependant pensé à une idée qui pouvait au moins apaiser ses tensions. Je me plaçait alors devant la sortie face à Audrey 


J:"Audrey, je peux te proposer un truc si tu veux, je vois bien que tu a peur que les autre te regarde, ça je ne pourrai rien y faire, mais je peux au moins atténuer leurs regard sur toi"


Après cela je lui tendis la main pour lui faire signe de me l'attraper, je pense qu'elle comprit vite l'attention, car sans un mot elle attrapa ma main et me laissa la guider. Nous étions maintenant dehors en direction du portails de la sortie, je pouvais sentir les regardé jugée autour de moi et entendre le murmure qui était en train de fuser. Tout cela me fit prendre conscience du calvaire qu'avait dû affronter Audrey toute la matinée, ce qui avait dû la faire s'effondrer. 


Durant notre marche je pouvais sentir la main tremblotante, et les pas hésitants de la fille à côté de moi, qui me faisait prendre de l'avance sur elle. Je dû donc ralentir mon allure pour me caler sur la sienne. Nous étions deux doigts de sortir, quand un murmur plus fort que les autre se fit entendre


"Regarde ce mec, je comprends pas comment il fait pour lui tenir la main à l'autre Pédé"


Ce propos me fit sortir de mes gonds, la colère qui m'animait était si forte que j'étais prêt à leurs cracher toutes les insultes qui me passait par là tête. Je me retouna brusquement et ouvrit la bouche, mais avant même qu'un seul mot ne sorte de moi, je sentit un pression sur ma main, c'était Audrey qui voulait m'empêcher d'éclater. 


A:"Arrêté, ce n'est pas la peine, ce que tu fais me touche déjà beaucoup"


La rage que je ressentais ne se calma pas quand j'entendis ses paroles provenir d'une voix tremblotante et que je voyais qu'il était incohérences à son visage, je pouvais la voir se mordiller les lèvres essayant tant bien que mal de s'empêcher de pleurer. Je me suis alors forcé à me contenir  pour m'empêcher de créer un nouveau scandale pendant que nous nous éloignons enfin du lycée. 


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Une fois à l'extérieur de l'établissement, nous nous étions enfin mis à l'écart, dans un ruelle où personne ne pourrait nous interrompre. 


J:"Tu es sûr que tu ne veux pas que je t'accompagne jusqu'à chez toi." 


Audrey me fit enfin un petit sourire pour me rassurer


A:" Non, ne temps fait pas, tu ma déjà, suffisamment aidé aujourd'hui, Merci "


Je ne savais pas si je pouvais vraiment être redevable après les pensées contradictoires avec mon affection pour elle plus tôt, mais je supposais que la forcé ne mènerait à rien, cependant avant de la quitter je voulais,m'assurer d'une chose. 


J:"avant de te laissé je peux te proposer quelque chose"


Audrey me regarda alors avec intrigue 


J:"Tu voudrais bien, me donner ton numéro, je…je voudrais rester en contact avec toi, si tu le veux bien j'aimerai que nous soyons amies"


Les parole qui venait d'être prononcé bouleversa Audrey, elle avait tant souffert aujourd'hui, qu'elle replongea an larme un toute dernière fois, essayent de s'essuyer le visage elle répondit un timide "oui"


Nous échangeons alors nos numéros, finalement j'était passé par beaucoup d'émotions aujourd'hui et au moins je la finirai avec une nouvelle amie. Je m'apprêtais a la quitter quand Audrey, me retenu maladroitement


A:"Eux attendent!"


Je me retournai ensuite vers elle et vit qu'elle semblait embarrassée.


J:"Oui, qu'est-ce qu'il y a"


Honteusement elle plaça son visage caché derrière ses mains et s'exprima. 


A:"Tu pourrais…me redire ton prénom….je l'ai oublié."


Cette situation m'amusa mais je ne la fit pas attendre. 


J:"Je m'appelle Jimmy, ne l'oublie pas cette fois."


Je la quittais alors retournant en direction du lycée pendant qu'elle me tournait le dos, cependant le temps de faire quelques pas, je me suis fait interrompre par Amandine. 


En effet, j'avais profité de notre sortie du lycée pour demander à Amandine si elle pouvait m'apporter mon sac que j'avais laissé quand j'étais partie, dans le message je lui avais souligné de ne pas amener Éric ou Bryan avec elle. 


Elle me lança brusquement mon sac avant de s'énerver contre moi. 


Am:" Mais putain tu était passé ou, on te vois pas de toute l'après-midi et je vois Quoi ! Que tu prend du bon temps et que tu te promènes main dans la main avec l'autre putain trans."


Peut être avais t'elle dit ça sur le coup de la colère, mais une nouvelle chose se brisa en moi à se moment, c'était peut être le son de notre amitié qui se volatilisait sous l'assaut transphobe que venait de cracher sur Audrey, de tous les personnes qui m'entourait, elle était là dernière qui selon moi qui pourrait se moquer comme ça d'autrui, Je tourna les talons essayant de me maîtriser une dernière fois pour l'amitié que j'avais entretenu avec elle.


J:"Tu sais quoi, je me casse, et accessoirement, je veux plus vous voir Brian, Éric et toi, adieux Amandine."


J'étais en colère contre tous mes amis, j'avais sûrement plus perdu que gagné en confiant mon amitié à Audrey mais une chose était sûr pour moi, je préfère mille fois lui confiée m'as confiance que de continuer de traîner avec ses soi-disant amies. 



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Le soir était arrivé, j'avais par précaution demandé à Audrey si elle était belle est bien rentré chez elle, et la réponse fut positive, quand j'avais reçu son message je sentie une sorte de satisfaction qui le rechaufa le cœur, était soulagé qu'elle me fasse confiance. de plus dans la foulée j'avais fait le ménage dans mes contacts en supprimant tous mes "Amie" de m'ont téléphone, mais surtout directement après être rentré je suis allez me créé 20 compte Twitter, avec les quelques j'avais signalé cette putain de photo, dans l'espoir qu'elle soi supprimé.


Finalement vers 22 heure ma journée toucha à sa fin, durant une bonne partie de la soirée je m'étais surpris à chercher des informations sur les personne transsexuels, j'appris beaucoup de chose que j'ignorais, à leur sujet notamment un problème appel dysphorie de genre, ce problème était un trouble, une association d'anxiété, de dépression, d'irritabilité et du sentiment omniprésent de ne pas se sentir à l'aise dans son corps. Ce problème semblait important et je pensais que peut-être, Audrey en souffrait, après mes recherches sur ses sujet, je me suis renseigné aussi sur des séminaires LGBTQ+ dans lesquels j'aurai pu aller dans l'espoire de trouver une réponse à mes interrogations, même si je ne savais pas si j'en avais vraiment le droit me considérant comme hetero. Finalement la dernière recherche sur laquelle je me renseignais était sur des forums pour en savoir plus sur mon orientation sexuel qui avait été bouleversé après cette journée riche en émotions, c'était un sujet qui me préoccupait désormais.


Finalement en m'enfonce de plus en plus dans les forum plus douteux les un de les autres et en associant mes recherches au personne transsexuels, je me suis retrouvée malgré moi sur un site pour adultes, sur le quel je pouvais voir de femme avec la même particularités que Audrey, et sans m'en rendre compte très vite, je sentie une légère chaleur provenir du fond de mon entrejambe, j'etait maintenant dresse devant c'est vidéo, au fond de moi d'après se que j'avais lu cela ne prouvait rien par rapport à mon orientation, mais deux chose était désormais claire, je pouvais me retrouver attiré par les personne comme Audrey et donc je pouvais être attiré par elle, mais surtout pour son bien, je savais que c'était une magnifique femme. 


Avant que je laisse mon intrigue, sur les femme que je voyais me mener à l'extase, je fut interrompue par plus de 20 notification Twitter, qui disait toute la même chose, votre signalement à bien été pris en compte etc l'utilisateur avais été banni.


Cette action bien que pleine de bonne attention, je sais qu'elle ne servirait à rien, puisque les photos était déjà entrain de se balader sur tout internet, il était déjà trop tard pour cela, je n'osais même pas imaginé toute les horreurs qui devait être dite et faite à propos de cette photo. 


Ses pensées m'avaient refroidi dans mon excitation à un point que mon renflement avait disparu.


Mes pensées, ses recherches et ma sexualité toujours flou me faisaient me poser beaucoup de questions sur moi même, mais je pouvais peut être entrevoir une lumière, j'étais maintenant épuisée, je décidai d'aller finir simplement cette journée dans mon lit en m'endormant paisiblement. 


Cette nuit-là, j'avais rêvé et une image était restée gravée dans mon esprit, Audrey était heureuse.


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Alors, ici s'arrête le premier chapitre, j'adorais connaître votre appréciation sur ce premier chapitre. 


A l'avenir je pense intégrer de scène de sexe car il serai intéressant de connaître certains problèmes lier à cela dans la relation de nos protagonists. 

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