Arya Seed Tome 1 ( Réécriture total )

Chapitre 1

3658 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 28/06/2021 21:22

J'étais assise contre un arbre, il était tard le soleil se couchait laissant apparaitre des reflet doré a travers les montagne, un vent froid soufflait parmi les arbres m'arrachant quelques frissons au passage alors je remettais correctement ma veste autour de moi. Je savais qu'il était temps de rentrer, sinon ils enverraient des personnes à ma recherche, je souffla bruyamment je me posais encore la même question en boucle dans ma tête en écho, comment j'avais fais pour en arrivée là ? Je ferma un instant les yeux, me détendant légèrement mon arme à la main, je laissais mes souvenirs ressurgir puissamment, me rappelant de la jeune fille que j'étais en arrivant ici, comment aurais pu je savoir ce qui allait m'arrivée ?


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3 ans auparavant


Je regardais par la fenêtre de la voiture, un paysage de plus en plus sauvage défilait sous mes yeux, des forêt immense qui s'étendait à perte de vue, il fallait dire que de déménager de l'état de Géorgie, jusqu'au fin fond du Montana était très dépaysant. Je n'avais jamais voyagé auparavant, c'était le trajet le plus long et désagréable que j'avais pu vivre depuis mon premier placement dans ma famille d'accueil, oui la vie d'une orpheline n'était jamais exaltant mais plutôt semée de troubles et d'embuches. Mais ma famille d'accueil actuelle était pire que toutes celles auparavant, comme beaucoup d'autres ils ne souhaitaient pas particulièrement d'enfant juste une femme de ménage, une servante, traité comme un chien qu'ils avaient hésité à abandonné sur le bord de la route.


Ceux ci discutaient froidement sans se jeter un regard, Vera et Caleb Brook étaient un couple d'âge mûr, sans doute en pleine séparation, qui n'avaient rien de parents gentils et idéaux, ils étaient dur, violents et hyper strictes avec moi, ils agissaient comme ça avec tout le monde à vue d'oeil alors on pouvait dire qu'ils s'étaient bien trouvés, bienvenue dans la famille des antipathiques. Vera Brook était une femme ronde, blonde avec deux grands yeux bleu aussi glaciale que son coeur, elle fait un physique typiquement européen, celle ci s'était reposée sur le côté de son siège laissant échapper un petit ronflement désagréable.


Puis il y avait Caleb Brook, son mari n'était pas très différent de sa femme physiquement à part sa tignasse brune et grasse au dessus de son crâne et ses deux yeux noirs sans émotion il était tout aussi dodu qu'elle mais il était le pire des deux, il était sans cesse derrière mon dos à me hurler dessus dés que je faisais un pas de travers et à me frapper dés qu'il en avait l'occasion, à l'abris des regards indiscret. Il conduisait depuis des heures maintenant, sans s'arrêter, je me demandais d'où lui venait cette force de résistance à la fatigue, était ce les ronflements persistant de sa femme ou bien les tonnes de cafés qu'il avait avalé à la station service il y a quelques heures qui pourrait le maintenir aussi éveillé. Je le voyais encore affalé dans son canapé dans notre ancien appartement, la bouche ouverte, une bière à la main devant un de ces match de baseball qu'il laissait tourné en boucle, le son au maximum, pendant ce temps là je devais me taire et lui apporté son diner sur la table du salon si je ne voulais pas connaitre sa fureur qui abimais un peu plus à chaque fois mon corps quand je me regardais dans le miroir.


Au bout de quelques minutes nous dépassèrent le panneau qui nous annonçait que nous venions d'arriver dans notre nouvelles maison, le comté de Hope, un trou perdu au milieu des montagnes, il y avait peu d'habitant et je savais que peu de choses de cet endroit, j'avais vu les Brook se consulté plusieurs fois dans le salon, par dessus mon épaule en passant le balais je les voyait, repassant en détail les annonces de maison à vendre sur leurs ordinateurs se disputant quand ils n'étaient pas d'accord des avantages des maisons de campagne, jusqu'a ce qu'ils tombent par hasard sur un village calme dans le nord du Montana, tout ce dont ils rêvaient pour échappé au vacarme de la ville, moi j'aspirais seulement à... m'évadée. Du coin de l'oeil alors que la voiture passa à toute allure, un détail m'interpella, sur le panneau d'accueil, en bois quelqu'un avait marqué quelques mots par dessus le nom "Welcome to Hope County" mais je n'eu pas le temps de lire ce qui était écrit que je pensais déjà à autre chose.


Ma nouvelle maison si je pouvais la nommée ainsi, se trouvait dans une petite ville à l'ouest du comté, nommé Fall's End, au milieu de champs et des vaches, d'apparence cette ville semblait quasiment déserte lorsque la voiture passa et se gara devant la petite maison. Je descendis du véhicule les jambes encore engourdis, soulagée de pouvoir enfin respirer de l'air frais en m'étirant de tout mon long, la petite maison était identique à toutes celles qui s'alignaient tout le long de l'allée, elles ressemblaient aux petits bungalow qu'on retrouvait dans les camping en été. J'avais été étonnée de voir qu'ils avaient choisi une habitation avec n'importe quels individus aux alentours, d'habitudes ils n'auraient pas supporté l'idée d'avoir ne serait ce qu'une présence à moins de trois cent mètres.


- Eh toi aboya Caleb Brook, descend nos valises et ne traine pas.


Lorsqu'il s'adressait à moi il ne m'appelait jamais par mon prénom, juste par le premier pronom qui lui passait par la tête, comme si il voulait me faire ressentir que je n'étais rien, pas plus importante qu'un objet quelconque mais seulement utile que lorsqu'il voulait me faire faire les tâches qu'il ne voulait pas faire lui même.


- Oui monsieur répondis je sans discuter en contournant Vera qui me regarda des pieds à la tête d'un air malveillant


- Estime toi heureuse qu'on t'ai emmené avec nous lança t-elle, Caleb m'a dissuadé de ne pas te renvoyer directement dans les bras des assistantes sociales, tu serais repartis dans des familles qui t'auront rejeter les unes après les autres car ils auront vus la sale peste que tu es, tu aurais terminer ta vie dans la rue, seule et pauvre, alors soit reconnaissante et monte les valises dans notre chambre.


- Estime toi heureuse qu'on t'ai emmené avec nous lança t-elle, Caleb m'a dissuadé de ne pas te renvoyer directement dans les bras des assistantes sociales, tu serais repartis dans des familles qui t'auront rejeter les unes après les autres car il...


J'ignora son avertissement, les yeux baissées au sol et la rage au coeur j'ouvris le coffre avant de descendre les valises une à une, et de les montées dans la chambre la plus grande, les déménageurs étaient déjà passé et avaient laissé la plupart des cartons collés contre les murs de la maison, le reste des meubles étaient déjà présent dans la maison lors de l'achat. J'avais passé le reste de la journée à ranger les affaires à leurs places dans la petite maison, dirigés par les ordres aboyé de Vera, qui me toisais, assise dans son siège au milieu de la pièce, l'endroit était très simple composé d'une cuisine d'un petit salon et de deux chambres à l'étage, toute la maison grinçait constamment et semblait remplis de poussière et de toiles d'araignées comme si il avait été abandonné depuis des années. 


Étonnant qu'ils aient trouvé quelque chose d'aussi banal et médiocre après avoir passé autant de temps à jugés et étudiés toutes les maison du nord des États du nord. Le soir venue, la nuit venait de tombé et le couple c'était affalé dans le canapé, m'autorisant une bonne fois pour toute à me reposer, je monta les marches en bois jusqu'à la salle de bain, grinçant sous mon passage, épuisée je me lava après cette journée épuisante, en passant devant le miroir j'observa mon visage, je ressemblais à un mort vivant, mon regard passa sur mon teint blanc comme un linge puis par mes yeux cernée par la fatigue, seule le bleu de mes iris, mes lèvres fines et mon visage carré semblait ressortir un semblant de beauté à travers tout ça, à la fin mon regard descendis jusqu'à mes épaules squelettiques et c'est sans surprise que je redécouvris mon corps remplis d'hématomes et autres cicatrices.


Caleb Brook était souvent violent lorsque les choses n'étaient pas faites comme il le souhaitait, alors les fins de journée pour moi étaient les plus douloureuse lorsque je redécouvrais de nouvelles marques chaque jour


Caleb Brook était souvent violent lorsque les choses n'étaient pas faites comme il le souhaitait, alors les fins de journée pour moi étaient les plus douloureuse lorsque je redécouvrais de nouvelles marques chaque jour. Agée de 16 ans, j'avais un corps maigre, sans forme et de long cheveux brun emmêlés, sans surprise on pourrait dire qu'il n'avait pas grand chose à envié à quiconque, je ne l'observa pas plus longtemps et fila dans la douche pour détendre toutes ces tensions. Avant de m'endormir dans la pièce qui m'étais destinée, comblé uniquement avec un une vieille commode à vêtement même si il en comportait très peu et un vieux lit par dessus un matelas, sales sur lequel comme tout les soirs, allongée, cachée dans le noir, je tripota le médaillon attaché autour de mon cou, il était simple en or avec un pendentif orné d'une rose, d'après les services sociaux il avait appartenus à ma mère, elle était morte il y a des années dans un accident de voiture, j'avais été sauvée de justesse, je n'étais même pas née au moment de l'accident, c'était sûrement le seul héritage que j'avais hérité d'elle, je balaya ces vieux souvenirs d'un coup en lâchant le petit pendentif et en fermant les yeux. 


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Le lendemain, je me leva à l'aube pour visité curieusement la ville de Fall's End, à cette heure ci Caleb Brook commençait son premier jour de travail au garage US auto en ville, c'était le seul travail qu'il avait pu trouvé dans le coin et il se souciait guère de ce que je faisais tant que quand il rentrait tout était en ordre et qu'il y avait un repas sur la table. Vera elle dormirait sûrement jusqu'à l'heure de déjeuner, elle ne travaillait pas et passait ces journée à ne rien faire, elle ne quittait quasiment jamais la maison donc je serais tranquille au moins pour ce matin.


Je traversa les rues désertes à cette heure ci, en observant le levé de soleil, capuche sur la tête, tel une ombre passante j'observais d'un pas rapide les alentours sans vraiment y prêter attention, je passa devant une petite église de campagne, les gens restaient croyant même dans le fin fond du Montana en passant je remarqua que de nombreux commerces avaient fermé leurs portes, remplissant les vitres de papier journal et d'un gros panneau "À vendre" sur la devanture, dans un petit comté comme celui ci ce n'était pas étonnant qu'ils ne fassent pas vite affaire. Je finis ma visite sur un bar à la frontière de la ville, même à cette heure ci il semblait ouvert un néon d'affichage représentant une femme et un aigle attira mon attention, Fall's End avait tout l'air d'être ce qu'elle avait l'air, une petite ville ennuyeuse avec peu d'habitant, je sentais que la vie ici ne sera pas très palpitante.


Quand je revins le soleil était déjà haut dans le ciel, mais alors que je marchais dans l'allée pour rentrer, une voix m'interpella, sur le coup je sursauta, m'attendant à avoir Vera Brook débarqué en beuglant, sur le faite que son déjeuner n'était pas encore prêt mais enfaite ce n'était qu'un garçon, il semblait plus âgé que moi et était penché contre la barrière du jardin d'à coté en me regardant de ces yeux vert malicieux. 


- Salut dit il, tu es nouvelle ?


Sur le coup j'hésita à répondre, je n'avais pas l'habitude que les gens soit si sociable, en ville les gens se fichent bien de qui tu es et de ce que tu fais tant que tu ne dérange en rien leur quotidien, mais ici ça devait être différent.


-Euh... oui répondis je sans conviction


- Cool et bas alors bienvenue au comté de Hope dit il d'une voix joyeuse, tu viens d'où ?


- De l'état de Géorgie répondis je en essayant de lui rendre son sourire sans paraitre impolie


- Vraiment ? demanda t-il d'une voix intéressé


Je hocha de la tête pour répondre vérifiant du coin de l'oeil que personne n'observait la scène par la fenêtre sous peine d'une conséquence douloureuse.


- Excuse moi mais je n'ai pas trop le temps de bavarder je dois rentrer expliquais je pour écourté cette conversation


- Oh oui excuse moi, tu dois être pressée dit il, mais je me suis même pas présentée, mon nom est Alex.


- Arya répondis je avant de disparaitre au plus vite derrière la porte


Et alors que je refermais doucement la porte derrière moi, une grosse main m'attrapa l'épaule et me poussa quelques mètres plus loin, sur le coup mon coeur s'affola et mon sang se glaça lorsque j'aperçus le visage rouge de colère de Caleb Brook. Sonnée, je ne compris pas tout ce qu'il m'avait crié ensuite, d'ailleurs cela m'importais peu, il était sûr qu'il était porté d'insulte en tout genre à mon égard. La suite me parut flou, il s'était emparé d'un objet et l'avait abattu sur moi, je me souvenais juste avoir souffert plus que d'habitude cette fois ci et avoir criée à m'en crevé les tympans, ensuite je m'étais levée, le coeur battant, la vue flou alors qu'on m'ordonnais de préparé à mangé sous plusieurs menaces, j'avais ouvert le frigo, retenant mes sanglots et commença ma préparation encore sonnée.


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Les jours suivant je n'avais pas réessayer de sortir sans autorisation, soignant toujours les blessures qu'on m'avait infligée, mes bras et mon dos était remplis de marque ensanglanté que j'avais recouvert de bandages comme toujours le temps que ça cicatrise. Mais cette fois ci c'était différent, Caleb Brook ne m'avais pas infligé autant en une fois, j'avais l'impression que plus le temps passait moins il me supportait, quoi que je fasse, plus les coups étaient violent. Au fond de moi je le savais, je devais faire en sorte que tout cela cesse, d'une manière ou d'une autre, sinon un jour prochain il allait finir par me tuée, ça j'en était certaine.


En pleine après midi, alors que je passais le balais tandis que Vera Brook, s'était endormis, j'observais les rayons du soleil qui passaient à travers les vitres en réfléchissant à une solution, une solution pour mettre fin à cette vie misérable, sur le coup j'avais privilégiée la fuite, après tout c'était l'idée la plus simple d'entre toutes, en tout cas dans mon esprit, bien qu'elle m'est déjà passé par la tête, les Brook avaient à l'époque tout mis en oeuvre en terme de sécurité pour m'ôter sans ménagement cette idée de la tête. Je passais auparavant toutes mes journée dans ma chambre, enfermée à double tour de la porte jusqu'à la fenêtre, je n'avais aucune possibilité d'échappatoire, mes seules sortis consistaient à m'occuper de la maison comme aujourd'hui et à me nourrir avec le peu qu'on me donnais, même un prisonnier aurait été sûrement mieux traité. Mais désormais nous venions tout juste d'emménager, et ils n'avaient apparemment pas eu l'idée de m'enfermer une nouvelle fois, ça serait donc très simple de m'enfuir une bonne fois pour toute, en espérant que mon escapade de la dernière fois ne gâche pas toutes mes chances et leurs rappèleraient pourquoi ils m'avaient mise sous bonne garde la dernière fois.


Seulement j'avais revu Alex plusieurs fois depuis notre première rencontre, heureusement pour moi et ma santé mentale, Vera Brook m'ordonnais quasiment chaque semaines d'effectuée une tache pour elle même, à l'épicerie le plus souvent. Alex était réapparu alors que je revenais les bras chargé de courses, l'allure fine, les cheveux châtains court, les yeux vert et une joie de vivre débordante qui semblait portée avec lui chaque jour, il m'avait aidée à porter les courses jusqu'à chez moi, n'arrêtant pas de me posée des questions.


Depuis toutes ces semaines je pense qu'on pourrait qualifié notre relation d'amical, je n'avais pas eu d'amis depuis des années, enfin de compte depuis que les Brook avaient arrêter de m'inscrire au lycée, ils avaient prétextés qu'ils ne voulaient plus payés des études pour une fille aussi bonne à rien que moi. Alex n'était pas originaire d'ici, il s'était installé il y a quelques années avec sa famille et la communauté dont il faisait partie, il ne cessait de parler de celle ci, lui donnant l'image d'une vie idyllique qui m'exaspérais un peu, cela ne m'étonnais pas, beaucoup de communauté du genre venaient s'installer dans les recoins reculés des États Unis pour exercer sans les regards indiscret des foules et des autorités.


Il me racontait que sa communauté ou sa "famille" comme il se plaisait à le dire, se nommait "Eden's Gate", son dirigeant le "Père" d'après lui l'avait sauvé de la ruine et de la pauvreté, lui et ses parents lorsque il vivait dans le Colorado. Il expliquait qu'il les avaient accueillis lorsqu'ils l'avait entendu sermonné par hasard au bord d'une scène improvisé dans la rue, à propos de la vérité sur le monde qui nous entourait, sur la fin qui approchait ou je ne sais pas quoi, je n'avais pas vraiment écouté attentivement, à vrai dire je n'étais pas une fille très croyante. Les seules rares fois où j'avais été à l'église c'était quand le père de Caleb Brook était décédé d'une crise cardiaque, je n'avais pas bien compris à l'époque, j'étais bien trop jeune pour comprendre lorsque le prêtre avait parlé de repos et de vie après la mort. Mais aujourd'hui quand je suis rentrée chez les Brook, les pas crissant sur le sol encore humide et après avoir rangé toutes les courses dans le frigo, ignorant les commentaire de Vera sur le temps que je mettais à faire l'aller retour, je suis monté dans ma chambre et je suis restée assise, bouleversée et pensive, quelques minutes plus tôt, Alex m'avais confié qu'il m'avais entendu hurler de douleur lors de notre première rencontre et qu'il avait vite fait la conclusion.


Et pour la première fois depuis des années je m'étais effondrée en larme devant quelqu'un, avant de lui est racontée tout ce que je subissais au quotidien et depuis des années à travers des sanglots, je n'avais pas réfléchie, les mots étaient sorties tout seuls à travers ma bouche, assis contre un mur, je lui parla aussi de mes projets pour me sortir de cet enfer, c'était difficile de racontée des années de maltraitance en seulement un instant j'avais tout déverser sur son épaule, mais cela m'avais fait un bien fou. Et pendant tout ce temps il m'avait écouté comme jamais quelqu'un ne l'avait fait auparavant, il m'avait réconforté du mieux qu'il avait pu et m'a fait une proposition.


- "Écoute demain tu peux passée par chez moi, je serais ravis de t'aidé, nous sommes dans une communauté où tout le monde à un passé tortueux mais nous avons tous trouvé le salut grâce à Eden's Gate et depuis nous guidons de nombreuses âmes égarés à faire de même, moi j'ai trouvé une famille aimante et toi aussi tu peux être aidé expliqua t-il d'une voix passionné, alors voilà ce je te propose demain nous nous rendons au sermon du Père, vois si ces paroles t'inspire puis je te présente et tu pourras rester ou partir selon ton choix cela te va ?"



Sur le coup je n'avais pas su quoi lui répondre, j'étais perdue, seule, le visage en pleure et brisée, j'ai reniflé sans élégance en réfléchissante très vite, je n'avais nulle part où aller, je ne connaissais pas ce comté, ni personne ici qui pourrait m'accueillir et si je fuguais pour me réfugiées dans la nature je ne tiendrais sûrement pas 2 jours, après tout qu'est ce que j'avais à perdre. J'avais hochée lentement de la tête lui souriant faiblement, ma réponse l'avait tellement enchanté qu'il m'avait soudainement prise dans ses bras, son contact m'avais tellement surprise que mon coeur fit un bond, j'étais restée tendu, un peu gênée et plantée comme une idiote, à ne savoir quoi faire, mes joues s'était enflammées face à ce geste d'affection, espérons juste que je ne le regretterais pas.


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