La dernière des Guerrières

Chapitre 1

Catégorie: T

Dernière mise à jour 10/11/2016 03:40

La musique résonnait dans la cité des Vardens. Les Vardens, les nains et les elfes dansaient en rythme.  Arya regardait discrétement un jeune garçon qui venait d'arriver en compagnis de sa magnifique dragonnne, Saphira. Eragon passa une main dans ses cheveux blond en bataille. Aujourd'hui il allait avoir 19 ans. AUjourd'hui il avait remporter la bataille contre le roi Galbatorix. La belle Princesse eut un sourir doux avant de se perdre dans la foule. Eragon la vit se déplacer entre les gens puis disparaitre. Il sourit à sa dragonne et alla boire du visnato. Soudain la ciel étoilé s'assombrit, des cris retentirent, la musique s'arréta et le vent se leva, violent. Une pierre s'écarta et un cheval pénétra dans la ville. Lorsqu'il s'arréta devant Eragon et Saphira, quelqu'un tomba par terre, inconsient.

Elle devait fuir. Fuir le danger qui la poursuivait. La menace qui pesait sur elle était terrible. Si elle tombait entre leurs mains, elle mourrait et avec elle, tout un monde. Elle devait survivre, trouver quelqu'un. Quelqu'un qui l'aiderait. Il le fallait. Elle fit accelerer son cheval d'un coup de talon. Derrière elle des cris resonnaient. Elle regarda autour d'elle. Il n'y avait que des roches. Elle vit une grotte dissimuler par des buissons. Avec un peu de chance, ses poursuivants ne la verront pas. Elle tallona son fidèle destriet qui s'engagea dans la caverna. Au même instant, un sifflement retentie. Une flèche se planta dans sa main droite, elle etouffa un cri de douleur et quand elle voulut se retourner, elle se cogna la tête contre le haut de la grotte qui devenait de plus en plus petite. Un filet de sang coula. Elle perdit connaisance. Le cheval continua sa route, savant ce qu'il devait faire. Il s'arréta devans un mur de pierre, frappa violament avec son sabot et s'engouffra dans l'ouverture qui se fit dans un grand bruit. Il était épuise. Il stoppa sa course devans un beau garçon blond. A l'instant même où il s'arréta, sa cavalière tomba par terre.

Eragon regardait cette jeune fille si belle. Ses long cheveux couleur miel encadrait un magnifique visage qui malheureusement était très pale. Ses joues légèrement plus coloré que le reste était creusé, ses lèvres rose pale tremblaient légèrement. Sur son front parfaitement bien fait tombaient quelque mèches. Il tendit la main et les mit derrière ses oreilles. Soudain le corps divin de la demoiselle se cambra et elle lacha un cri de douleur. Il sursauta de surprise et esseya de la calmer. Il lui prit les épaules et la plaqua contre le lit avec délicatesse et puissance. Elle se débattit. Elle roula et tomba par terre. Elle lâcha un plainte. Elle ouvrit ses yeux vert émeraude.

_Aie ! lacha-t-elle
Elle fit la grimace et posa une main sur son crane. La tête d'un garçon au cheveux blond et aux yeux bleu apparut. SOn visage au trait réguliers montrait son inquiètude. Il lui demanda d'une voix chaude si elle allait bien. Elle lui répondie et sa voix de cristal resonna dans la salle. Elle fut captivé par son regard. Elle ne les quittait plus des yeux. Il lui sourit et passa derrière le lit pour venir s'agenouiller devant elle. Il posa une main sur son front et eu un soupir de soulagement. Il se releva et lui tendit une main pour qu'elle en face autant. Elle la prit avec reconnaisance, et d'un bond se remit sur ses pieds. Il se dirigea vers une chaise en bois et en paille et lui dit :
_Une robe est là, habille-toi et rejoind-moi dehors.
Et il sortie. La jeune fille attrapa la robe et l'enfila. Une bassine d'eau se trouvait sur une pierre. Elle s'en approcha, s'arrosa le visage avec et coiffa ses cheveux avec une brosse en argent. Elle s'étudia rapidement. La robe était de couleure verte et mettait agréablement ses yeux en valeur, ses cheveux avait quelque mèche mouillées. ELle chercha des yeux ses propres vêtements et les vit dans un coin, parfaitement pliés. Elle alla s'agenouiller devant et attrapa une chaine en argent et une épée. Elle mit la ceinture argentée et placa correctement l'épée placée dans son fourreau. Cela donnait un drôle d'effet mais allait parfaitement bien à la demoiselle. Elle se dirigea vers la sortie.

Eragon attendait dehors et lorsqu'il entendit des pas arriver, il se retourna. Il sourit à la jeune fille et lui presenta son bras. Elle le prit avec méfiance et il la conduisit dans une maison construite grossièrement mais qui avait l'air de tenir debout. La demoiselle avait tout de même peur qu'elle s'écroule. La maison était vide, ni meuble, ni de gens. Elle regarda le beau guerrier qui lui fit un sourir rassurant. Il disparut derrière une porte et revint avec deux chaises. Il les posa par terre et ordonna à la demoiselle de s'installer. Elle s'assit lentement, craignant que la chaise soit aussi fragile que la maison. Eragon s'installa en face d'elle et l'observa en silence.
_Qui es-tu demanda-t-il calmement.
Arrétant de regarder le toit, elle tourna son regard vers lui. Elle fronça les sourcils, se demandant si elle devait lui répondre. Après tout elle ne le connaisait pas. Mais il l'avait soigner. Elle soupira puis répondie avec un ton royal :
_Je suis Jun, Reine des Guerrières. Enfin, ancienne Reine des Guerrière.
_Sais-tu qui je suis ?
_Non mais tu vas bientôt me le dire.
_Je suis Eragon, Dragonnier.
_Alors c'est toi Eragon. Tu es plus beau que ce que dit les rumeurs sur toi.
Eragon ouvrit la bouche pour parler mais aucun son ne sortir de sa gorge. Il était surpris. Elliana éclata de rire. Elle riait tellement qu'elle tomba de sa chaise en bois pour se retrouver par terre, sur les fesses.
_Qu'es-ce qui tu fais rire comme cela demanda le dragonnier reprenant ses esprits.
_Si tu voyais ta tête réussi-t-elle à répondre alors qu'elle riait encore.
Elle prit une grande inspiration et reprit son serieux. Elle se rassit, sans avoir au paravant enlever la poussière de ses vêtements.
_Je ne te connais pas, même de nom. Ce que j'ai dit c'était simplement pour rire. Je ne pensais pas que tu ferais une tête pareille.
Elle pouffa. Eragon haussa un sourcil et secoua la tête.
_Tu ne ressembles pas vraiment à une reine.
La jeune femme s'offusqua et posa ses poings sur ses hanches en se levant :
_Et qu'est-ce que ca peu bien te faire de toute façon ? Tu n'es pas un de mes sujets à ce que je sache.
Eragon se leva à son tour et posa ses mains sur les épaules de la jeune femme en la calmant :
_Désoler, je ne voulais pas te vexer. Rassis-toi s'il-te-plait.
L'étrangère obéit et se rassit lentement, ses yeux rivés sur ceux du Dragonnier.
_Je crois que tu as dit que tu étais une ancienne reine.
_Oui.
_Tu es jeune, alors pourquoi t'es-tu fait remplacer si vite ?
_Je ne me suis pas fait remplacer s'écria la jeune femme.
_Et bien explique alors.

_Je viens d'un pays lointain, le pays des Oubliées. Là-bas, il n'y a que des femmes. Une fois par an, les femmes vont dans d'autres pays pour coucher avec un homme et tenter de revenir enceinte. Pour celles qui le sont, si elles ont des garçons, elle devronts les remettres aux pères. Et si elles ont une fille, elles devront les envoyés au Palais pour que nous puissions y faire leurs éducations.
Comme mon pays est petit, les Empires cherchent à s'en emparer. Alors, nous sommes devenus des guerrières. Mais avec le temps, la magie naissait avec nos filles. Alors, bien des années plus tard, toute les femmes du pays possédèrent de la magie en elle. Pour protéger le pays, les Anciens désignèrent la plus puissante de tout le pays pour gouverner.
_Je ne vois pas le rapport coupa Eragon.
_Laisse-moi donc continuer. Avec la magie et notre combativités, nous avons su protéger notre pays.
Je suis montée sur le trône il ya quelque années. Alors que je gouvernais en tentant de calmer les conflies avec les autres pays, un homme est apparu. Un homme et une armée de créatures magiques. Il réussit à s'emparer de mon pays. Il tua la moitié des femmes et envoya le reste dans ses camps pour servir d'esclaves à ses "soldats". Il savait que pour nous, la pire chose qui pouvait nous arriver, ce n'était pas de mourir, c'était d'être réduite à obéir à des hommes.
Mes trois garde du corps m'ont forcés à quitter le pays pour que je sois en sécurité. Mais l'homme envoya à ma poursuite ses sbires.
_L'homme. L'homme. Ne peux-tu pas lui donner un nom ?
_Tu veux savoir comment il s'appelle ?
_Oui
_Tu aurais pu le dire directement au lieu de dévier ta question.
_Alors ?
_Cet homme...c'est Zarang. Zarang, l'Epieur.

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