Dragon Ball The Demon's Legacy
Chapitre 13 : Le Piège prévisible.
1261 mots, Catégorie: G
Dernière mise à jour il y a environ 2 mois
Note de l’auteur : Notre procédé d’écriture sortant de l’ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d’éviter toute confusion dans la lecture.
Pour rappel :
Paragraphes en italique : Le narrateur est l’un des personnages.
Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S’applique aussi dans les dialogues.
Dans les dialogues :
Phrase entre des astérisque : exemple * J’ai l’impression qu’on m’observe * : Le personnage réfléchit ou pense.
Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé.
Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Serviteur (téléphone) : Donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, le Serviteur parle au téléphone.
Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture. Nous vous souhaitons dès à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages.
Leakee/Skymailleur.
Dragon Ball The Demon's Legacy.
Chapitre 13 : Le Piège Prévisible.
Janvier 753. Oasis Luxuriante, Désert des Mille Morts
La chaleur accablante du Désert des Mille Morts s’estompa progressivement lorsque Lute et Ackman pénétrèrent dans une oasis luxuriante. L’air y était plus frais, chargé du parfum des palmiers et des fleurs exotiques. Une vaste étendue d’eau cristalline miroitait sous le soleil, reflétant un petit palais au dôme doré, dont l’architecture contrastait avec la rudesse du désert environnant.
Ackman, flottant légèrement au-dessus du sol, étendit les bras en désignant le palais avec un large sourire.
Ackman : Eh voilà, on est arrivés ! L’oasis et le palais de Baba la voyante ! Sympa, non ?!
Lute plissa les yeux en observant l’endroit. Malgré son apparence paisible, quelque chose dans cette oasis lui semblait… étrange. Trop parfaite, trop isolée. Son instinct lui soufflait qu’il devait rester sur ses gardes.
Lute : Baba la voyante ? C’est elle qui peut m’aider, comme tu me l’as dit ?
Ackman : « Ricana en croisant les bras. » Ouais, ouais ! Baba a des dons incroyables, elle peut voir l’avenir, connaître ton destin et peut-être même te dire comment devenir plus fort pour ton petit tournoi.
Lute : « Arqua un sourcil. » Hmph… Pourquoi je sens que je vais me faire arnaquer ?
Avant qu’Ackman ne réponde, une voix aiguë et moqueuse s’éleva soudain dans les airs.
??? : Arnaquer ? Quelle impolitesse ! Moi, la grande Baba, je ne fais que des affaires honnêtes !
Lute tourna la tête pour voir une vieille femme flotter au-dessus d’une boule de cristal. Son regard perçant et malicieux lui donnait un air aussi effrayant que fascinant. Son kimono violet flottait légèrement sous l’effet d’une brise inexistante.
Baba la voyante : Ackman, tu ne m’amènes jamais de clients sérieux. Celui-là a au moins un peu de potentiel… Mais il manque de politesse !
Lute : Tch… J’imagine que vous êtes Baba la voyante ?
Baba la voyante : En effet, jeune homme. Je peux te révéler ton avenir, mais cela a un prix… Un service de qualité n’est jamais gratuit !
Lute : … Combien ?
Baba la voyante : 10.000.000 zennys.
Un silence s’abattit. Lute ouvrit la bouche… puis la referma.
Lute : … Combien ?
Baba la voyante : 10.000.000 zennys, tu as bien entendu !
Lute : « Croisa les bras, son expression devenant plus dure. » Je n’ai pas un sou.
Baba la voyante : « Son sourire disparut aussitôt. » Pas un sou ?! Tsss… Encore un misérable qui pense pouvoir bénéficier de mes talents gratuitement ! Les jeunes d’aujourd’hui n’ont aucune notion des affaires !
Elle tapota sa boule de cristal du bout des doigts, réfléchissant. Ackman, lui, flottait à côté avec un sourire sournois.
Ackman : Hé Baba, si ce gamin n’a pas d’argent, pourquoi ne pas lui proposer un marché ?
Baba la voyante : Hmm… Une idée intéressante, Ackman. Voilà ce que je te propose, jeune homme : si tu veux connaître ton avenir sans payer, tu vas devoir affronter Ackman dans un duel… et le vaincre.
Lute fronça les sourcils. Il tourna la tête vers Ackman, qui le fixait avec un sourire amusé.
Lute : … C’était ton plan depuis le début, hein ?
Ackman : Qui, moi ? Mais non, voyons. J’ai juste pensé que ce serait plus… divertissant. Et puis, un peu d’entraînement, ça ne fait jamais de mal.
Le disciple de Tao comprit immédiatement que c’était un piège. Ackman n’était pas un adversaire ordinaire, et Baba devait très bien savoir à quel point il était dangereux. Mais… l’opportunité était là. S’il gagnait, il obtiendrait peut-être des informations cruciales pour sa quête de puissance.
Lute : D’accord. J’accepte le défi.
Ackman : « Ricana et fit craquer ses phalanges. » C’est ce que je voulais entendre ! Allons-y, gamin, voyons si t’es aussi fort que tu le prétends !
Baba agita la main, et en un instant, une large arène de pierre surgit du sol, entourée d’une fine brume.
Baba la voyante : Les règles sont simples : pas d’armes mortelles, pas de fuite. Le premier qui ne peut plus se battre perd.
Lute posa son sac bandoulière plus loin et laissa entrevoir la boule de cristal puis s’avança vers son adversaire.
Baba la voyante : Attends, gamin ! Tu as une boule de cristal ?!
Ackman : Il possède une boule de cristal !
Lute : « Tourne son regard vers elle. » Oui pourquoi ?
Baba la voyante : Attends… tu ne sais pas ce que c’est ? »
Lute : Non je ne sais pas, je suis justement à la recherche de réponse pour cet objet.
Baba la voyante : Un objet… « Rigole dans sa barbe. » Ah, changement de règles ! Si Ackman gagne, non seulement tu paies, mais je récupère aussi la boule ! Es-tu d’accord ?
Lute : Je m’en fiche, je vais gagner de toute façon.
Ackman : Ne sois pas si sûr de toi gamin !
Baba la voyante : Si tu gagnes petit, Je te dirais ton avenir gratuitement en plus du savoir des boules de cristal.
Lute : C’est d’accord la vieille.
Baba la voyante : Hein ! Soit respectueux gamin !
Ackman : « Flottant toujours légèrement au-dessus du sol. » D’ailleurs avant que tu perdes, c’est quoi ton nom ?
Lute : « Adoptant une posture de combat. » Je m’appelle Lute, disciple de mon maître Tao Pai Pai.
La réaction d’Ackman fut immédiate. Il recula d’un coup, la bouche entrouverte, un frisson d’effroi traversant son visage.
Ackman : Qu-Quoi ?! Tao… Tao Pai Pai ?!
Lute : Qu’est-ce qu’il y a ?
Ackman : Non… rien… Allons-y, gamin
Baba la voyante : * Ce gamin… disciple de Tao Pai Pai… En vue de sa réaction, il doit ignorer quel point son maître est redouté… *
Fin du chapitre 13 : Le Piège Prévisible.