Dragon Ball The Demon's Legacy

Note de l’auteur : Notre procédé d’écriture sortant de l’ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d’éviter toute confusion dans la lecture. 

Pour rappel : 

Paragraphes en italique : Le narrateur est l’un des personnages.

Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S’applique aussi dans les dialogues. 

Dans les dialogues : 

Phrase entre des astérisque : exemple * J’ai l’impression qu’on m’observe * : Le personnage réfléchit ou pense. 

Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé. 

Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Serviteur (téléphone) : Donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, le Serviteur parle au téléphone. 

Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture. Nous vous souhaitons dès à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages.  

Leakee/Skymailleur. 

Dragon Ball The Demon's Legacy.

Chapitre 6 : Le Désert Des Mille Morts.

Janvier 753 – Désert des Mille Morts. 

Un vent fort frappait les dunes, projetant des vagues de sable doré à travers l’immensité aride. Une silhouette fendit le ciel en une trajectoire fulgurante, avant de s’écraser brutalement au sol dans un impact sourd. 

BOUM ! 

Lute ouvrit lentement les yeux, son corps enseveli sous une fine couche de sable brûlant. L’air était sec, étouffant, chaque respiration lui donnant l’impression d’inhaler des braises. Il se redressa péniblement, son regard balayant l’horizon infini. 

Des dunes s’étendaient à perte de vue, sous un soleil impitoyable. Au loin, d’étranges formations rocheuses dressaient leurs silhouettes menaçantes, vestiges d’un ancien monde oublié. 

Lute : « Se masse la nuque, grimaçant sous la douleur du choc. » Outch… 

À peine avait-il repris ses esprits qu’un frisson parcourut son échine. Un craquement sec, suivi d’un bruissement sourd, lui fit tourner la tête. À quelques mètres de lui, une ombre massive se mouvait dans le sable. 

Un gigantesque scorpion noir, haut comme un cheval, avançait lentement, ses pinces luisant sous la lumière écrasante du désert. Ses yeux rouges le fixaient avec une lueur prédatrice. 

Lute : « Serra les poings, un sourire nerveux naissant sur son visage. » Héhé… c’est une blague, hein ? 

Puis, dans un mouvement synchronisé, trois autres émergèrent des dunes environnantes. 

Son sourire disparut aussitôt. 

Lute : Oh non… 

Le terrible entraînement de Tao Pai Pai commençait. 

Lute bondit en arrière, esquivant de justesse un coup de pince qui s’abattit là où il se tenait un instant plus tôt. Il pivota sur lui-même et s’élança à toute vitesse, soulevant des gerbes de sable à chacun de ses pas. 

Derrière lui, les scorpions géants le poursuivaient, leurs dards s’élevant dans les airs avant de s’abattre violemment sur le sol, manquant à plusieurs reprises de l’empaler. 

Lute : C’est dans ces moments-là que j’aimerais bien savoir me déplacer comme le maître, avec son poteau…

Il zigzagua entre les dunes, son endurance mise à rude épreuve. Soudain, il aperçut des ruines à flanc de falaise, à quelques centaines de mètres. Un ancien temple, en partie englouti par le sable. 

Sans hésiter, il changea de trajectoire, sprintant vers les vestiges. 

Lute : Si je peux me réfugier là-dedans, je pourrai peut-être les semer ! 

À peine avait-il atteint l’entrée béante du temple qu’un des scorpions projeta son dard vers lui. Lute se jeta en avant dans une roulade désespérée. 

Un craquement sourd résonna dans le silence du désert. 

Il sentit une douleur fulgurante envahir son bras droit. Son corps s’engourdit instantanément. Le poison faisait effet. 

Ses muscles se figèrent, et il continua sa course en roulé-boulé incontrôlé, finissant par percuter violemment un mur de pierre. Sa vision se troubla. Son souffle était court. Il ne pouvait plus bouger. 

Quelques minutes s’écoulèrent. 

Lute cligna des yeux, sa tête bourdonnante. Il tenta de bouger ses doigts, puis son bras valide. Lentement, la paralysie s’atténuait. 

Lute : Aïe, aïe… « Grogna-t-il en se redressant avec difficulté. »  

Il toucha son bras blessé. Une douleur vive le transperça. Le poison s’était dissipé, mais les séquelles étaient bien présentes. Son bras droit pendait mollement, disloqué. 

Lute : Bon… je dois le remettre en place. 

Il prit une grande inspiration, posant sa main valide sur son épaule. Il hésita une seconde, puis… 

CRAC ! 

Il tira brusquement vers le bas. Son bras s’allongea subitement. 

Lute : « Écarquilla les yeux. » Quoi ?! 

Son bras ne s’était pas seulement remis en place… il s’était étiré comme du caoutchouc ! Il le secoua, observant avec stupeur cette anomalie. 

Lute : Mais ça ne s’arrête jamais ! 

Il saisit son épaule et, d’un mouvement sec, son bras revint à sa taille normale. Il cligna des yeux, choqué. 

Lute : C’était quoi, ça ? « Fixa sa main, intrigué. Comment avait-il fait ça ? » Est-ce que… c’est une capacité liée à ma race ?

Jusqu’à présent, il n’avait jamais manifesté un tel pouvoir. Le disciple de Tao prit une grande inspiration et tenta volontairement d’allonger son bras. Son bras s’allonge de nouveau. Il essaye avec l’autre bras et cette curieuse capacité fonctionne sur l’autre bras. 

Lute : Incroyable ! Je pourrais surprendre mes adversaire avec ça et même mon maître. Mais… Je vais devoir creuser ça plus tard. Je dois sortir d’ici. 

Il jeta un œil aux ruines autour de lui. Il faisait sombre, mais un rayon de lumière s’infiltrait à travers les fissures du plafond, révélant d’antiques gravures sur les murs. 

Un détail attira son attention. Un squelette gisait non loin, recroquevillé contre la pierre, un sac en bandoulière pendant à son épaule. 

Lute : « S’approcha prudemment et s’accroupit à ses côtés. » Un explorateur, sûrement… « murmura-t-il. » Pas de chance pour lui… 

Il tendit les mains hésitant un instant, puis attrapa le sac. S’il voulait survivre, il devait exploiter toutes les ressources à sa disposition. 

À l’intérieur, il trouva une lampe à dynamo, une carte partiellement déchirée, marquée d’inscriptions énigmatiques et un livre poussiéreux. 

Lute : Curieux cette lampe il y a une manivelle dessus. « Fait tourner la manivelle et par miracle la lumière fonctionne toujours. » À génial cet objet ! Alors, une ancienne carte du temple ? Ça pourrait m’être utile… et un livre.  

L’élève ouvre le livre et constate que se squelette était autrefois un chercheur ou un scientifique avec ces notes incompréhensible pour Lute. Mais, il voit des dessins. Ces dessins représentent des sphères avec des étoiles dedans de un à sept sphères. 

Lute : « Lis le livre lampe à la main » Celui qui ressemblera les sept boules de… ah mince la lumière… « Tourne la manivelle à nouveau. » Alors…cristal pourra exaucer un vœu… mais ce n’est qu’une légende… « Ferme le livre. » Cette carte du temple conduit à l’une d’elle… « Regarde le squelette. » Eh bien, je vais continuer ce que tu n'as pas réussi qui que tu sois squelette. 

Fin du chapitre 6 : Le Désert Des Mille Morts.