Demain nous appartient, la LOVING FICTION

Chapitre 28 : Chapitre 28 de la Loving Fiction

1249 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 05/02/2020 13:14

Chapitre 28 :

[Dans la tête de Leïla]

LEÏLA SORTAIT DE LA MAISON SUIVI DE SAMUEL PUIS SORAYA

[Ça en était trop pour moi, je voulais être seule pour vraiment réaliser ce qui venait de se passer, plus rien l'aller, je ne pouvais plus faire confiance à personne, surtout pas à Samuel, il m'avait pourtant promis de faire des efforts.]

Samuel : Leïla attend, je suis désolé...

Leïla : Sois pas désolé Samuel va... Et laisse moi.

Samuel : Nan je te laisserais pas parce que tu es celle que j'aime et que je veux prendre soins de toi.

Leïla : Tu te fou de moi là ? Parce que tu appelles ça prendre soins de moi en te battant avec le père de mes filles en criant et en disant des choses horribles à mes filles et à moi ?

Samuel : Ok j'aurais jamais du faire ça mais ...

Leïla (lui coupa la parole et se mettant à pleurer) : Arrêtes, arrêtes j'en peux plus là, c'est trop simple !

Samuel : Chérie attend ...

Leïla : CASSE TOI ! JE VEUX PLUS TE VOIR !

(Samuel était choqué par ce que l'amour de sa vie venait de lui dire, il resta planté là, face à elle. Soraya qui avait entendu toute la conversation mais qui c'était faite discrète jusqu'à présent décida de rompre le silence.)

Soraya : Elle t'a dit de partir.

(Samuel partit le long de l'étang, il réfléchissait aux conséquences de ces actes, si il n'avait jamais rien dit à Leïla, elle aurait avorter, cela leur aurait fait du mal mais elle ne se serait jamais disputer avec ça famille et ce moment n'aurait jamais eu lieu. Il avait peur... peur que Leïla le quitte... peur de perdre son enfant.)

Soraya : Maman je suis désolé...

Leïla (tout en sanglot) : Ce n'est pas de ta faute ne t'inquiète pas.

Soraya : Tu veux que je restes avec toi ce soir.

Leïla : Ne t'inquiète pas mais je préfère être seule.

Soraya : Si il y a ne serait ce qu'un problème tu m'appelles, même si c'est au milieu de la nuit d'accord ?

Leïla : Oui ne t'inquiète pas. Tu peux dire à ta soeur Rémy et ton père de me laisser s'il te plait.

Soraya : Oui j'y vais.

(Tout le monde était repartit, la soirée c'était passée, après une dizaines d'appelles de la part de Samuel, Leïla s'était enfin endormi.)

(Le lendemain Samuel se rendit à l'hôpital, il était persuadé d'y trouver Leïla car il savait qu'ils travaillaient tous les deux.)

Samuel (à son père) : Tu n' as pas vu Leïla ?

Renaud : À justement Samuel je te cherchais. J'allais t'appeller, Leïla n'est pas venu travaillait ce matin, elle aurait dû commencer il y a une heure mais elle n'est pas venue. Elle n'est jamais en retard, elle ne répond pas à mes appelles.

Samuel : Je ne sais pas, j'en sais rien. Je vais la voir, je prendrais mon service plus tard.

Renaud : Attend, attend, attend ! Il s'est passé quoi Samuel ?

Samuel : Je t'expliquerai plus tard le plus important c'est Leïla.

Renaud : Je viens avec toi !

Samuel : ... ok je t'expliquerai sur le trajet.

(Après le trajet qui paru une éternité à Samuel, les deux hommes étaient sur place, pleins d'angoisses.)

Samuel : Reste ici s'il te plait papa, j'aimerais lui parler seul à seul.

Renaud : Je t'attend mais si ça ne va pas tu viens me voir tour de suite.

Samuel (Qui venait d'entré sans frapper car il ne voulait plus attendre, il trouva Leïla en pleure sur son canapé.) Leïla ! J'ai eu tellement peur !

Leïla :Quesque tu fais là ?

Samuel : On s'inquiétait avec mon père, on est venu à 2 parce que tu n'as pas pris ton post.

Leïla : Pourquoi il est quel heure ?

Samuel : 10h06

Leïla : Mer*e tu diras désolé à ton père je vais travailler plus longtemps ce soir.

Samuel : Leïla c'est pas le soucis on s'inquiétait pour toi.

Leïla : Plutôt ton père.

Samuel : Pourquoi tu dis ça, je m'inquiétais pour toi j'ai eu peur qu'il te sois arrivé quelque chose, à toi ou au bébé.

Leïla : Ba j'ai pas l'impression que tu t'inquiètes beaucoup.

Samuel : Arrête de dire ça, tu sais très bien que quand tu n'étais pas bien j'étais le premier à m'inquiéter.

Leïla : Parce que tu penses que je vais bien là ? Samuel, tu t'es battu avec le père de mes filles, tu m'as parlé grossièrement, à moi et à mes filles. Tu as voulu te battre avec Bilel et tu dis que tu t'inquiètes ! Si je suis comme ça c'est de ta faute Samuel.

(Renaud qui avait tout entendu entra dans la pièce.)

Renaud : Comment ça Samuel, tu as voulu te battre ?

Leïla : Oui, il s'est même pris un point dans le nez.

Renaud : J'ai cru que tu avais changé...

Leïla : Ton père a raison.

Samuel : J'ai changé vous le savez, c'est juste que quand quelqu'un dit que l'enfant que Leïla porte et qui est le nôtre est une erreur je le supporte pas.

Renaud : C'est qui qui a dit ça ?

Samuel : Bilel. Sacré comportement d'adulte lui aussi.

Renaud : Tu lui as dit d'autres choses quand même non ?

Samuel : Ok on a était tout les deux insultants l'un envers l'autre c'est pas totalement de ma faute, il m'a insulté, il a aussi dit à Leïla des choses qui lui ont fait mal, j'allais pas le laisser dire.

Leïla : Ce n'était pas à toi de lui faire la réflexion, et ce n'est pas une raison pour se battre, tu penses que c'est un bon comportement pour un futur papa ? Tu pense que c'est comme ça que je t'aime ? Tu te trompes Samuel. J'ai était très dessu par Bilel, par sa manière de se comporter, mais par la tienne aussi. Bilel lui il fait ce qu'il veut, parce que je sais qu'il n'est pas comme ça avec mes filles mais toi je te laisserai pas être comme ça et tu le sais.

Renaud : Je vous laisse entre vous.

Leïla : Non Renaud, de toute façon je dois allez travailler.

Samuel : Laisse moi te raccompagner, je veux qu'on parle.

Leïla : Pas moi je préfère rester seule et ce soir aussi.

Samuel : Leïla... Je veux pas te laisser seule.

Leïla : Si c'est mieu et puis je suis grande ça va aller.

Samuel : Je suis désolé de t'avoir fait du mal ce n'était pas mon but, Leïla... Je t'aime.

Leïla : Moi aussi je suis désolé, mais pas pour la même chose.

Samuel : Leïla... Attend ne part pas...

Renaud : Laisse là Samuel, je pense qu'il faut que tu la laisses réfléchir !

Samuel : Lâche moi ! Lui laisser le temps de réfléchir à quoi ? A ce qu'elle me quitte ? Qu'elle avorte au final ? Il faut que j'aille lui parler.

Renaud : Ok, ok si ca te rassures j'irai lui parler ok ? Mais la laisse la tranquille.

[Cela me faisait du mal de le laisser comme ça, mais il fallait qu'il prenne conscience qu'il m'avait blaissé. J'avais vraiment envie de le prendre dans mes bras, qu'il me rassure mais c'était trop facile, je ne pouvais lui pardonner à chaques bêtises de sa part.]

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