Demain nous appartient, la LOVING FICTION
Chapitre 26 : Chapitre 26 de la Loving Fiction
855 mots, Catégorie: G
Dernière mise à jour 05/02/2020 13:11
Chapitre 26 :
[Dans la tête de Noor]
*Leïla avait fini sa garde tôt aujourd'hui, tout c'était bien passé, elle rigolait bien avec Victoire, les 2 s'entendaient très bien. Il était temps pour Leïla de rentrer chez elle mais elle voulait prendre son temps car il y a avait Samuel, elle était quand même fatigué de sa garde et ne voulait plus se prendre la tête à une heure si tardive.*
"- Samuel (Qui entendit la porte claqué, signifiant l'arrivée de sa femme et son bébé) : Coucou mes amours, ça va ?
- Leïla : Salut, oui.
- Samuel : Et mon bisous ? Tu vas où chérie ?
- Leïla : J'ai encore le droit d'aller me coucher où c'est trop suspé pour toi ?
- Samuel : Chéri, je suis désolé pour ce midi... Je voulais pas qu'on s'engueul surtout pour te mettre dans cet état, c'est pas prudent de ma part.
- Leïla : Parce que quand je suis pas enceinte tu as le droit de me dire ça et plus maintenant ? Non mais tu te fou de moi Samuel.
- Samuel : Arrêtes, tu sais très bien que ce n'est pas ce que je voulais dire...
- Leïla : Pourtant tu l'as dit, bon je vais me coucher je suis crevée et je commence à avoir mal au ventre.
- Samuel : Leïla il faut que tu me dises si tu as trop mal on va à l'hôpital et il faut aussi qu'on parle.
- Leïla : Non tu vois j'en reviens et si j'ai mal c'est parce qu'on arrête pas de se prendre la tête et j'en ai mare, j'ai pas besoin de me prendre la tête.
(A ce moment quelqu'un toqua à la porte puis entra, c'était Noor.)
- Leïla : Et ma chérie ça va ? Ça faisait longtemps.
- Noor [Je ne sais pas si je rentrais au bon moment, l'ambiance avait l'air tendu mais de toute façon je ne passais pas longtemps.] : Salut maman ! Ça va toi ?
- Leïla : un peu fatigué mais ça va, et toi ?
- Noor : Ça va !
- Samuel : Ba oui ça ne peut que aller, tu as réussi ton coup et fait accusé Bilel à ta place, tu sais que tu as faire souffrir ta mère aussi ?
- Noor : De quoi il parle lui ?
- Leïla : Samuel ! Laisse nous s'il te plait !
- Samuel : Non mais c'est vrai mais c'est tellement plus simple, mais moi je sais que c'est toi, j'ai des preuves !
- Leïla : SAMUEL TU SORS !
[J'étais contente qu'enfin maman prenait ne serait ce qu'un petit peu ma défense.]
- Noor : La c'est toi qui l'énerve et qui lui fait du mal,tu vois pas ? Et après tu t'étonnes qu'elle se retrouve à l'hôpital ?
- Leïla : Bon ça suffit ! Samuel laisse nous, on parlera après !
[Enfin je parlerais avec ma mère, qu'avec elle. Mais j'étais très géné car je savais que Samuel avait raison, même si j'avais très envie que tout ça se finisse il fallait que je tienne le coup.]
- Leïla : Tu sais qu'on se dit tout chérie ?
- Noor : Oui mais c'est pas moi !
- Leïla : Tu es bien sur la défensive chérie.
- Noor : Puisque je te dis que c'est pas moi !
- Leïla : Ok, ok. Pourquoi tu pleurais la dernière fois avec ton père alors ?
- Noor [Elle commençait à me coincé je ne savais plus trop quoi répondre.] : Comment ça ? Quand ? Tu m'espionnes maintenant ?
- Leïla : Non c'est pas ça chérie mais...
- Noor [Je commençais à comprendre, la personne qui me suivait, c'était elle qui l'avait engagé.] : Attend maman, c'est quand même pas toi qui a engagé ce type qui me suis tout le temps.
- Leïla : Attend je vais tout t'expliquer.
(Leïla expliqua tout à sa fille du début jusqu'à encore aujourd'hui, elle lui dit que c'était Samuel et oui expliqua ses disputes avec le futur papa de son bébé.)
Leïla : Voilà chérie je suis désolé de t'avoir laisser faire ça.
Noor : Attend mais c'est dégueulas, pfff il me dégoute ce mec. Et toi tu l'as laissé faire ça ?
Leïla : Il me disait pleins de choses qui m'intriguaient mais je lui ai toujours dit que tu ne pourrais pas faire ça n'est ce pas ? Hein chérie je t'ai tout dis, il faut que tu me rendes certe confiance, n'est ce pas ?
[J'étais bloqué, je ne savais plus quoi faire, même si je détestais Samuel, ma mère restait ma mère et malgrès la colère que j'éprouvais pour elle, je ne pouvais pas m'empêcher de l'aimer quand même et j'étais très reconnaissante qu'elle se disputait pour me protéger avec le père de son enfant et à mon grand regret l'homme qu'elle aimait. Je ne savais plus quoi faire j'étais perdu...]