Danganronpa : Une autre version de l'histoire

Chapitre 2 : Prologue : Une situation désespérée (et désespérante)

3325 mots, Catégorie: T

Dernière mise à jour 20/11/2016 11:42

               ATTENTION : (Je mettrai cet avertissement avant chaque chapitre) Cette fic vous spoilera à 100% les évènements de Danganronpa : The Animation, Il est donc FORTEMENT conseillé d'avoir vu cet anime ou d'avoir joué au jeu Danganronpa : Trigger Happy Havoc avant de lire cette fiction, il y aura quelques références mineures à l'anime Danganronpa 3 : The end of Kibougamine Gakuen via le personnage inventé. VOUS ÊTES PREVENUS !


MERCI DE LIRE CET AVERTISSEMENT !

Sur ce bonne lecture !


PROLOGUE (PARTIE 2) :


Point de vue : Makoto


Certains ne se prirent pas la tête et se rendirent à l'endroit indiqué mais personnellement j'avais un très mauvais pré-sentiment au sujet de tout ceci, apparemment je n'étais pas le seul : Sayaka, Kyouko et Celes était elles aussi réticentes à y aller.


  • Qu'est-ce qu'on va bien pouvoir trouver là-bas ? Fit Sayaka d'une voix peu assurée
  • En tout cas on ne va rien gagner en restant ici ! Fit Celes en partant à son tour
  • Nous ne sommes pas plus en sécurité ici de toute manière. Dit Kyouko avant de partir.


Il ne restait plus que moi et Sayaka.

Une fois arrivés, je découvris que le gymnase avait été décoré, comme pour une cérémonie d'entrée.


  • Vous voyez ! Fit Hagakure, Je vous avez dit qu'il n'y avait pas de quoi s'inquiéter !
  • Non ce n'est pas aussi simple. Murmura Kyouko


Sauf qu'au moment même où elle prononça ces mots, quelque chose s'agita sur la scène, plus précisément autour du pupitre qui s'y trouvait.

Je plissais les yeux pour mieux voir ce qui s'y passait et je faillis m'étrangler.

Une sorte d'ours en peluche, d'un côté blanc et de l'autre noir venait de surgir de derrière le pupitre, alors que le côté blanc semblait plus ou moins normal, le côté noir avait l’œil rouge et des dents, le mélange des deux donnait à l'ours un côté malsain.


  • Qu'est-ce que c'est que cet ours en peluche ? Demanda Aoi en brisant le silence
  • Je ne suis pas un ours en peluche ! Cria l'ours en peluche
  • Aaaah ! La peluche viens de bouger, et elle parle en plus ! Fit Hifumi
  • Je ne suis pas une peluche ! Je suis Monokuma et je suis le directeur !
  • Comment ça le directeur ? Demandais-je
  • Bien ! Maintenant que c'est réglé commençons la cérémonie, saluez ! Fit l'ours en ignorant ma question.


Seul Kiyotaka, en bon préfet ultime, salua l'ours en peluche.

L'ours reprit ensuite son discours :


  • Vous êtes des lycéen jeunes et prometteurs, vous portez l'espoir du monde entier sur vos épaules et c'est pour protéger les symboles d'espoir que vous êtes que j'ai décidé que vous alliez vivre tous ensemble dans cette école !


Ces paroles nous laissaient tous dans l'incompréhension totale.


  • Qu'est-ce que ça veut dire ?! Demanda Junko
  • Et bien comme vous êtes enfermés et qu'il n'y a pas de limite de temps, vous allez rester ici jusqu'à la fin de votre vie, mais ne vous inquiétez pas pour tout ce qui est nourriture, on a un gros budget donc vous ne manquerez de rien !
  • Mais ce n'est pas le problème ! Fit Sayaka
  • C'est une blague ? C'est ça ? Demanda Junko
  • Ce qui veut dire que les plaques de métal sur toutes les fenêtres, elles sont là pour nous garder enfermés ?! M'exclamais-je
  • Exact, vous pourrez crier autant que vous voulez, personne ne viendra vous chercher !
  • C'est assez problématique, en effet. Fit Celes
  • Ah, au fait, si un élève veut sortir d’ici, il doit se plier à une certaine règle.
  • Une règle ? Demanda Byakuya
  • Faites le de la façon dont vous voudrez mais seul un étudiant en ayant tué un autre pourra s'en aller, c'est tout.
  • C'est pas sérieux ! Cracha Léon
  • Pourquoi devrions nous nous entre tuer? Fit Sayaka
  • Elle à raison, il n'y a aucune raison ! Continua Hifumi
  • Écoutez, dorénavant cette académie est votre nouvelle maison, alors vous pouvez vous laisser aller, vous savez …


C'est alors que Mondo se dressa devant l'ours.


  • S'entre-tuer, et puis quoi encore, je crois que cette blague a été suffisamment loin comme ça.
  • Une blague ? Tu veux sans doute parler de ta coupe de cheveux ?


Mondo vit rouge, il attrapa l'ours et l'éleva en l'air.


  • Je me fiche que tu sois une machine, je vais t’exploser ! Fit-il
  • Aaaah ! Les actes de violence envers le principal sont interdits par le règlement de l'académie!


Les yeux de l'ours se mirent à clignoter et une alarme stridente retentit.


  • C'est quoi ce bruit ? Fit Mondo
  • Attention ! Jette le ! Cria Kyouko
  • Hein ?
  • Fais ce que je te dis !


Il s’exécuta puis, après quelques secondes en l'air, la peluche explosa.


  • Qu'est-ce que c'est que ça ! M'exclamais-je
  • Une putain d'explosion ! Fit Mondo
  • La peluche est morte ? Demanda Chihiro


Comme pour lui répondre, la voix s'éleva de nouveau autour de nous :


  • Je ne suis pas une peluche ! Je suis Monokuma !


Un autre ours en tout points semblable au précédent fit son apparition de la même façon que le premier : en surgissant de derrière le pupitre.


  • Je te laisse t'en sortir avec un simple avertissement cette fois ci. Fit-il en s'adressant à Mondo. Mais si quelqu'un enfreint de nouveau le règlement il sera puni et cette fois, je ne raterai pas ! Mais bon, j'imagine que vous avez compris, ceci conclut donc cette cérémonie d'entrée, j'espère que vous apprécierez votre nouvelle vie !


Il se repositionna sur le pupitre et descendit puis disparut derrière celui-ci.

Un énorme blanc s'en suivit, ce fut Celes qui le brisa.


  • Donc le seul moyen de sortir est de tuer quelqu'un ? Fit-elle
  • Ça ne peut pas être possible. Murmura Kiyotoka
  • C'est une blague, n'est-ce pas ? Questionna Chihiro au bord des larmes
  • La question n'est pas de savoir si c'est une blague mais de savoir si quelqu'un est assez idiot pour le faire. Fit froidement Byakuya


Et c'est sur ces paroles que nous nous regardâmes tous en chiens de faïences, nous demandant si ceux autour de nous étaient alliés ou ennemis, enfin presque tous.

Il y n'y en a qu'une qui reste hors du lot, Kyouko a l'air de ne pas se soucier de ce qu'il se passe, ou plutôt de ne pas être affectée, comment fait-elle ?

Nous décidons finalement de fouiller la salle ainsi que d'examiner les petites machines que nous a donné Monokuma et qu'il avait appelé Electro-ID, le mien affiche mon nom, ma taille, mon poids ainsi que mon « talent ».

Apparemment les plaques de fer sur les fenêtres étaient complètement impossible à retirer, même pour Sakura.

Léon et Mondo tentèrent de trouver par où Monokuma était entré et sorti mais il ne trouvèrent rien.


  • On devrait peut-être fouiller un peu les environs ! Fit Aïko
  • Personnellement, je part de mon côté … Fit Byakuya
  • Pourquoi ça ?
  • Parce que peut-être que l'un d'entre nous a déjà prévu de tuer …
  • Quoi, mais c'est … Commença Sayaka
  • Impossible ? Tu ne peux pas le savoir …
  • Eh, attends un peu ! Cria Mondo en le retenant
  • Pousse toi de là, microbe …
  • Qu'est-ce que t'as dit !
  • J'ai dit que tu n'étais qu'un microbe, ce que tu fais n'a aucune influence sur les personnes comme moi …
  • Ta geule, bâtard !
  • Attendez un peu ! Fis-je en me précipitant vers eux. Vous battre ne servira à rien
  • Que de belles paroles ! Fit Mondo. Tu crois que tu peux me donner des ordres !
  • Ce n'est pas ce que je …


Et là, sans prévenir, il me frappa, et tout devint noir …


Point de vue : Aïko


Un coup de poing, j'ai entendu Makoto retomber, Mondo l'a propulsé comme s'il ne pesait pas plus lourd qu'une plume.

Sayaka fut la première à réagir, elle se précipita aux côtés de Makoto pour voir s'il allait bien.


  • Makoto ? Makoto ? Fit-elle.


Il ne bougeait plus mais il respirait encore.


  • Il s'est évanoui, on dirait … Observa Kyouko


Pauvre Makoto, il ne voulait que les aider.

Je me dirigeai vers Mondo les poings serrés, je me mis devant lui, croisait les bras et lui adressa un regard noir.

Il avait beau faire deux têtes de plus que moi, il n'était rien d'autre qu'un imbécile et je n'avais aucunement peur de lui.


  • Non mais t'as quoi dans ta tête ! Qu'est-ce qu'il t'as pris de faire ça ? Imbécile !


Il me regarda éberlué, visiblement peu habitué à ce qu'on lui parle de cette façon.


  • Hé ! Grogna-t-il. Si tu veux pas faire une sieste toi aussi, ferme là !
  • Alors comme ça tu frapperais une fille ? Eh bien quel homme, félicitation, t'es fier de toi ?
  • Mais qu'est-ce que tu … !
  • Nan ! C'est moi qui parle ! Tu vas te taire et m'écouter ! Déjà de un, quand Makoto se réveillera tu lui présentera tes excuses, ensuite …
  • Mais pour qui tu te …
  • La ferme j'ai dis ! Y'a pas de « mais » qui tienne ! Ensuite tu vas arrêter de faire ta grosse racaille, tu as compris ou je dois répéter ?
  • Tu commences vraiment à m'énerver ! Fit-il en craquant ses doigts
  • C'est toi qui commence à m'énerver !


Il me saisit par le cou et me souleva de terre.


  • Hey ! Mais t'es fou ! S'écria Aoi


Sakura commença à s'avancer mais je lui fit signe de ne pas m'aider tandis que je défiait Mondo du regard.

Il resserra la poigne, je commençai à avoir du mal à respirer mais ne le montrait pas.

Finalement il me relâcha après presque une minute de ce traitement.


  • T'es du genre à régler tes problèmes toi-même ? J'ai bien ça, mais par contre je saurais pas dire si t'as du courage ou si t'es juste conne. Ricana-t-il
  • Moi j'ai pas ce problème te concernant. Répliquais-je du tac au tac


Il se mit à rire puis me frotta les cheveux avant de partir de son côté …

Aoi et Sakura s'approchèrent de moi tandis que Sayaka et Kiyotaka transportaient Makoto dans sa chambre.


  • Quelle brute ! Grogna Aoi
  • Ce n'est pas comme ça qu'un homme devrait se comporter envers une femme. Appuya Sakura
  • C'est bon les filles, c'est pas grave, ne vous inquiétez pas pour moi j'ai connu bien pire que ça, dîtes moi plutôt ce que voudriez manger !
  • Pardon ?
  • Je vais voir ce que je peux trouver dans la cuisine, et je vais nous mitonner un bon petit plat avec ça !
  • Oh moi je sais ! Fit Aoi. Des donuts ! Des montagnes de donuts !


Sakura et moi même rigolâmes tandis que Aoi se demandais ce qui nous faisait rire.


  • Bah quoi ?
  • Non rien, va pour les donuts, mais je ne vais pas faire que ça, une idée Sakura !
  • J'aurais besoin de protéines pour garder mon corps en forme, mais je ne pense pas trouver ne serait-ce que l'ombre d'un flacon de protéines ici …
  • Ne t'inquiètes pas, il y aura sûrement assez de viandes, de poissons et d’œufs pour combler tes besoins, je compléterai le tout avec quelques petit légumes et ça devrai passer pour ce soir.
  • Wow, et t'auras le temps de faire tout ça ?
  • Bien sûr ? Où est le problème ?


Elle me regardèrent blasées.


  • Ben, on est seize …
  • Et ?
  • Ça fait beaucoup de nourriture.
  • Mais non, c'est rien ça ne t'en fait pas !
  • Bon, bah si tu le dis …


Elles partirent donc de leur côté pendant que j'allais vers la cuisine.


Point de vue : Sayaka


J'attendais derrière la porte de sa chambre, j'avais insisté pour veiller sur lui pendant qu'il étais évanoui.

Pauvre Makoto, il faut dire que Mondo n'y a pas été de main morte, ça doit bien faire une heure qu'il est évanoui.

Si j'ai voulu rester avec lui, c'est aussi parce que son visage m'est familier, je suis presque sûre que c'est le garçon qui était avec moi au collège, nous n'avons jamais été dans la même classe, et pourtant je le reconnaîtrai entre mille, après tout ce temps que j'ai passé à chercher son regard.

La porte s'ouvrit alors que j'étais derrière et me heurta brutalement, me faisant tomber et me coupant dans mes pensées.


  • Sayaka ! Tu vas bien ? Désolé, je ne t'avais pas vue …
  • C'est pas grave, je suis plus solide que j'en ai l'air …


Il m'aida à me relever mais il semblait plongé dans ses pensées.

C'est étrange mais rien qu'en regardant son visage j'ai l'impression de savoir ce qu'il pense, il se demande si je me souviens de lui.


  • Je me souviens de toi, tu sais ?
  • Comment as-tu ?
  • Je suis télépathe …


J'essayais de garder mon sérieux mais au bout de quelques secondes je ne pu me retenir de lâcher un rire, j'adore lui faire cette blague, il me regarde toujours d'un air sidéré.


  • Non je rigole, c'était juste mon intuition …


Il me regarda bizarrement, puis se mit à rire lui aussi, il est vraiment gentil, un peu trop, j'en ai bien peur, les gens ne sont pas tous comme lui.


  • Ça me fait plaisir d'avoir un visage familier dans un endroit comme celui-ci. Finis-je par dire


Je vis ses joues rosir un peu, apparemment il l'avait remarqué aussi parce qu'il décida de changer de sujet.


  • Et sinon, que font les autres ?
  • Ils se sont divisés en groupe pour examiner les environ, on doit se retrouver dans le réfectoire pour mettre nos découvertes en commun. Répondis-je
  • On devrait y aller, non ?


Je hochai la tête et nous nous dirigeâmes vers le lieu du rendez-vous, personne n'y était encore, on s'assied en attendant les autres, mais je ne peux pas m'empêcher de m'inquiéter.


  • Sinon, tu te sens mieux ?
  • Oui, merci mais ne t'inquiète pas, et puis je ne vais quand même pas être le seul à ne rien faire.


C'est en entendant ces mots que j'eus une idée de génie.


  • Ok, dans ce cas je serai la « Lycéenne ultime des assistantes » !
  • Euh … tu sais tu n'est pas obligée …
  • T'inquiète pas ça me fait plaisir ! Dis-je en souriant


Après ça les autres sont arrivés uns par uns,

Lorsque Mondo est arrivé, il a présenté ses excuses à Makoto pour l'avoir frappé.


  • Ne t'inquiète pas pour ça. Répondit Makoto. Avec tout ce qu'il se passe, c'est normal d'être un peu stressé.


Comment arrive-t-il à être aussi gentil dans une situation pareille ?

Enfin … en mettant en commun toutes les informations nous avons pu apprendre qu'on avait chacun une chambre à nous, totalement isolées si bien que si quelqu'un criait nous ne l'entendrions pas, ce qui ne nous arrange pas, les chambres sont également équipées d'un verrou mais elle sont aussi munie de caméras et de plaques de fer aux fenêtres, comme pour chaque pièces de cette académie, de plus chaque porte de chambre était affublée d'une petite pancarte indiquant qui était le propriétaire de la pièce.

Nous avons aussi appris que les escaliers vers le second étage était bloqués et que la cuisine était pleine de nourriture, d'après Monokuma elle se remplirait tout les jours.

Finalement, nous avions la confirmation que nous étions bel et bien enfermés ici, aucune sortie n'avait été découverte et aucune des plaques d'acier n'avait pu être retirée.

C'est alors qu'Aïko sortit de la cuisine avec un chariot métallique où étaient disposées des assiettes ainsi que différents plats d'où une odeur exquise s'échappait.

Elle plaça une assiette et des couverts devant chacun à une vitesse record, elle servit ensuite à chacun une bonne plâtrée de spaghettis recouverts d'un appétissante sauce ainsi qu'un beau morceau de dinde et quelques petits légumes, triple ration de viande pour Sakura bien sûr.


  • Je ne me suis pas trop cassée la tête à cause du manque de temps, j'espère que ça ira !
  • Ça à l'air délicieux, Miss Aïko, mais vous auriez du me prévenir que vous faisiez la cuisine, je vous aurez prêté main forte ! S'exclama Kiyotaka
  • Mais non ! T'inquiètes Taka !
  • Taka ? S'étonna-t-il
  • Ouai ! C'est plus court et plus simple à retenir ! Ça ne te déranges pas au moins ?
  • Euh … non non, c'est bon.


Aïko sourit, puis vit Mondo considérer avec étonnement son assiette.


  • Qu'est-ce qu'il y a ? Tu n'aimes pas ? Je te préviens je déteste le gâchis !
  • Non, c'est pas ça … je ne m'attendais pas à ce que tu en fasse pour moi aussi, c'est tout.


Ce fut à elle de le regarder avec étonnement.


  • Bah pourquoi ça ?


Il lui jeta un autre regard étonné.


  • Bah avec tout à l'heure quand je me suis énervé et tout …
  • Je ne comprends pas vraiment quel rapport ça a avec la nourriture … Fit-elle, l'air de ne rien comprendre …
  • Hein ?
  • Ça n'a rien à voir, je ne vais pas te laisser crever de faim juste parce que tu t'es énervé, t'es vraiment bizarre comme mec toi ! Rit-elle légèrement


Actuellement je suis quasi-sûre que tout le monde pense que la plus bizarre, c'est elle, mais bon …


  • Hey Sayaka ? De quoi il parlait Mondo ? Il s'est énervé sur elle ?
  • Hein ? Ah oui, c'est vrai que tu étais évanoui …


Je lui racontais alors tout ce qui s'était passé pendant qu'il était dans les pommes.


  • Eh ben, j'imaginais pas qu'Aïko puisse s'énerver comme ça !
  • Moi non plus ! Mais elle lui a tenu tête jusqu'au bout, elle m'a impressionnée !


Aïko reprit la parole.


  • D'ailleurs tête de banane ! T'as fais ce que je t'ai demandé tout à l'heure ?
  • Tête de banane ?! S'étrangla Mondo
  • Oui, il s'est excusé camarade Aïko ! S'exclama Kiyotaka. Je peux en témoigner.
  • Moi aussi ! Fit Aoi en avalant une bouchée de spaghettis. Oh mon dieu ! C'est trop bon !


Plus personne ne se fit prier et tous commencèrent à manger leur nourriture, chacun s'extasiant à sa façon sur la cuisine de l'argentée, soit en le criant haut et fort pour Aoi ou en la savourant en silence pour Celes ou Kyouko.


  • Bon je ne sais pas vous mais moi je me retire dans ma chambre. Finis par dire Celes après avoir terminée son assiette.
  • Déjà ? Demanda Kiyotoka
  • Le temps de nuit est dans vingt minutes et j'aimerai me laver avant de dormir.


C'est vrai que d'après les règles, l'eau est coupée lors du temps de nuit, il est donc impossible de se laver.

Finalement, presque tout le monde, moi comprise, suivit le plan de Celes et retourna dans chambre.

Apparemment, en plus de celle de ma chambre, la porte de la salle de bain disposait aussi d'un verrou, en plus de cela je disposai d'un nécessaire de couture et d'une feuille montrant les points vitaux du corps humain.

Je finis par m'écrouler dans mon lit en pensant à cette horrible journée et peut-être aussi un peu à Makoto ...



FIN DU PROLOGUE

SURVIVANTS : 16 sur 16


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