Charmed Parentes - { Episodes }
Chapitre 3 : Episode 3 : Trois sorcières venant du futur
6457 mots, Catégorie: G
Dernière mise à jour 14/04/2020 23:22
CHARMED PARENTES, Saison 1
Épisode 3 : Trois sorcières venant du futur
Chapitre 1
Des mois se sont écoulés. Il fait beau sur San Francisco, les petites Prudence et Piper joue dans la maison. Le téléphone se mit à sonnait, Penny Halliwell alla répondre.
Penny : Allô, oui, … Comment vas-tu ma chérie ? … Certainement pas, non Donna ça me fais de la peine que, tu soupçonne mes petits anges de faire ce genre de chose.
Les petites filles, Prudence [alias Prue] et Piper s’amuse à courir partout dans la maison en rigolant. Cela dérangea Penny qui était au téléphone.
Penny (à Prue) : Prue ! dit-elle quand celle-ci passa devant elle en courant.
Penny (au téléphone) : Excusez-moi une petite seconde.
Penny : Prue, Piper, on ne cours pas dans la maison.
Les petites filles écoutèrent leurs grand-mère et la laissèrent discuter au téléphone.
Penny (au téléphone) : Oui… d’accord…
Prue et Piper continuèrent de jouer dans la maison sans trop se faire remarquer. Lorsque soudain le téléphone sonna à nouveau.
Penny : Oui oui, une seconde j’arrive.
Elle décroche.
Penny : Oui.
Patty : Maman c’est moi, il sait passer quelque chose, je ne sais pas ce qui c’est passée et…, répondit-elle paniquer et en parlant si vite que même que Penny ne compris pas la suite.
Penny : Tu parle beaucoup trop vite, je ne peux pas, Patty mon trésor, calme-toi.
Patty : Je ne peux pas maman, je viens d’avoir une prémonition !
Penny : Quelle prémonition, c’est impossible, tu n’as jamais eu de prémonition.
Patty : Je sais mais, je l’es ressentie à l’intérieur de moi.
Penny : Tu devrais peut-être consulté un médecin ?
Patty : Maman, je n’aie pas besoin d’en consulter un. Je sais très bien, ce que je dis.
Penny : Je n’en doute pas, mais j’aimerais trouver une explication.
Patty : Moi aussi, je t’assure. En tout cas, c’est arrivée même si c’est inexplicable, juste après avoir senti ce tiraillement, boum, je l’aie est vus.
Penny : Tu as vu quoi ?
Patty : Trois femmes, trois mauvaises sorcières, et l’une d’elle prenait Prue.
Penny : Ce n’était pas une prémonition, juste un rêve éveillé. Tu as toujours des nausées ? Rentre à la maison, ne reste pas chez Buddy.
Patty : Je ne peux pas, et ce n’était pas un rêve éveillé.
Penny : Très bien, on reparlera de tout ça à la maison, en attendant, vas voir un médecin.
Patty : Je vais essayez, à ce soir.
Penny raccroche le téléphone et change de pièce.
Penny : Prudence, Piper !!! s'écria-t-elle.
Les petites filles continuèrent de courir malgré ce que leurs grand-mère leurs avaient dit. Prue fit déplacé un fauteuil avec ses yeux pour bloquer la porte et ainsi évité à Piper de passer.
Piper : C’est pas du jeu, si t’utilise la magie.
Elles continuèrent à courir, et passèrent dans la pièce voisine. Elles étaient en train de jouer quand soudain trois jeunes femmes entra dans la pièce. La jeune femme brune au cheveux carré passa devant les deux autres et s’arrêta devant Prue.
La jeune femme brune au cheveux carré : Coucou, dit-elle le sourire au lèvre
Prue : Coucou, répondit-elle puis posa son doigt sur un grain de beauté du visage de la jeune femme.
La jeune femme brune au cheveux carré : Toi aussi tu as en un, dit-elle en le touchant au même endroit
La jeune femme brune au cheveux carré : Allez viens voir, répondit-elle tout sourire et en tendant ses bras.
Prudence se dirigea dans les bras de la jeune femme pour recevoir un câlin.
Penny : Combien de fois devrais-je vous dire de… s'écria-t-elle avant de s’arrêter net en voyant les inconnues et laissant tomber l’assiette qu’elle essuyé.
La jeune femme brune au cheveux carré : Hmm, grand-mère. Attends on va t’expliquer.
Penny : Mauvaise sorcière, S'énerva-t-elle avant de mettre ses deux mains devant elle pour utiliser son pouvoir de télékinésie.
Les jeunes femmes furent projeté en l’air et volèrent jusque la porte d’entrée et les jeta en dehors de la maison avant de refermer la porte par magie.
Prue : Dis, tu m’apprendras à le faire ?
Penny : On verra ça, plus tard Prudence. Est-ce que vous aller bien mes petites chéries ?
Prue et Piper : Oui grand-mère.
Penny : Bon très bien. écoutez-moi très sérieusement les filles. Vous ne devez surtout pas vous approcher de ses trois femmes, ce ne sont pas des bonnes personnes, elle sont très dangereuses.
Prue : Pourquoi, qu'est-ce qu'elle ont fait ? Interrogea-t-elle sa grand-mère
Penny : Ce sont des histoires de grande personne ma chérie. Fais moi confiance, je ne veux que votre bien. Vous savez que grand-mère vous aimes plus que tout, n'est-ce pas ?
Prudence et Piper : Ouiiii, s'écrièrent-elle ensemble
Penny : Parfait mes chéries, je compte sur vous. Maintenant vous pouvait continuer à jouer entre sœur, grand-mère à du travail sur les planches qui l'attends.
GENERIQUE
Chapitre 2
Patty est à Buddy, elle travaille en temps que serveuse, c’est son premier jour dans ce restaurant. Patty avait quitter son ancien restaurant car le salaire ne lui convenait pas et qu'elle devait survenir au besoin de sa famille. Malheureusement pour elle, deux des jeunes femmes présente chez les Halliwell plus tôt était elle aussi présente et scruter ses moindres fait et gestes, sans que celle-ci ne s'en aperçoive. La troisième femme du trio, elle, avait préférer les attendre à l'extérieur. Patty revenu en salle avec deux commandes de client passés. Il y avait deux assiettes de hamburger frites. Elle apporta au client concerné qui se trouve juste devant les deux jeunes femmes qui la scruter.
Patty : Ça c’est pour vous. Répondit-elle en posant l'assiette
Le client : Merci
Patty : Et ça pour vous.
La cliente : Merci.
Patty se dirigea à la table enfin vers la table ou ce trouvait les deux jeunes femmes.
Patty : Vous avez choisit ? Leur demanda-t-elle
Elles ne lui répondirent pas et la fixèrent sans la lâcher des yeux.
Patty : Prenez votre temps, je reviens. Dit-elle s’éloigna de la table.
Les deux jeunes femmes: Euh…non
La jeune femme au cheveu long et châtain : ... Ça y est, on as choisit, n’est-ce pas Prue ?
La jeune femme brune au cheveux carré : Du poulet !! Du poulet. Elle voudrait savoir si vous n’auriez pas une salade aux poulets, une salade de…
Patty : Aux poulets, oui je crois. Je crois qu’on en a. Comme je suis nouvelle, je vais vérifiée.
La jeune femme brune au cheveux carré : Non !!! Elle va choisir autre chose finalement.
Patty : On ne sait pas déjà vu ? J’ai l’impression de vous connaître. Les questionna-t-elle
La jeune femme brune au cheveux carré : Oui, nous aussi, répondit-elle
La jeune femme brune au cheveux carré (à l’autre femme) : Vas-y. dit-elle en ce forçant à sourire
La jeune femme au cheveu long et châtain mit brusquement ces deux mains devant elle très vite à plusieurs reprises.
La jeune femme brune aux cheveux carré : Qu’est-ce qui se passe ? s'intrigua-t-elle
La jeune femme au cheveu long et châtain : Rien c’est ça, l’ennui. Essaye-toi.
La jeune femme brune au cheveux carré regarda le verre d'eau devant elle et plissa ses yeux dessus comme si quelque chose devait se produire.
La jeune femme brune au cheveux carré : Attends mais c’est pas possible.
Voix off : Patty, téléphone. S'écria un collègue de Patty
Patty : Oui, j’y vais merci. Je.. je reviens tout de suite.
Elle leur tourna le dos.
La jeune femme au cheveu long et châtain : Attendez, on sais que vous êtes enceinte !
Patty surprit se dirigea de nouveau vers leurs table.
Patty : Quoi ???
La jeune femme au cheveu long et châtain : Hem… Ça va sans doute vous paraître peut-être bizarre mais en réalité, on est…
La jeune femme brune au cheveux carré : Cousines. répondit-elle brusquement. De passage ici.
La jeune femme au cheveu long et châtain : C’est ça, vos cousines et on voudrait vous dire, quelque chose de très important. A propos du bébé que vous attendez.
Patty : Quoi !! Que cela ne vous regarde pas, sachez que je ne peux plus avoir d’enfant, c’est médicalement impossible. Excusez-moi, dit-elle en quittant la table
Patty se dépêcha d'aller répondre au téléphone.
Patty : Oui.
Penny : Où était-tu ??
Patty : Je travaillez maman, je ne pouvez pas répondre.
Penny : Dans la prémonition que tu as eu, tu as vu à quoi ressemblé les sorcières ?
Patty : Les sorcières, non, je n’aie pas vu leurs visages pourquoi ?
Penny : Pourquoi ? Parce que je les aient vu, je les aient vus toutes les trois, ici, et l’une d’elle tenait Prudence, dieu sais ce…
Patty : Est-ce que les petites vont bien ?
Penny : Pour l’instant oui, grâce à moi.
Patty : Je rentre immédiatement.
Elle raccrocha le combiné. Patty récupéra sa veste blanche et son sac et sortit par derrière pour être discrète. En sortant du restaurant, Patty fouilla son sac à la recherche des clefs de sa voiture. Concentré sur celui-ci elle ne fit pas attention devant elle et se cogna le coup à une jeune femme. Pendant le petit choc le sac de Patty tomba par terre.
Patty : Je suis vraiment désolée. s'excusa-t-elle
La jeune femme au cheveux carré et châtain : Ah non, c’est entièrement de ma faute.
Patty : Oh non non, c’est la mienne.
La jeune femme aide Patty à récupérer ses affaires mais en relevant la tête elle s'arrêta net devant Patty. Il s'agissait de la troisième femme du trio qui attendez à l'extérieur.
Patty : Je suis très gauche, parfois.
La jeune femme au cheveux carré et châtain : Ah oui, moi aussi, répondit-elle avec le sourire
Patty : Ah oui ?
La jeune femme au cheveux carré et châtain : Euh… des crackers. La questionna-t-elle en les récupérant au sol
Patty : Hm, contre le mal d’estomac.
La jeune femme au cheveux carré et châtain : Vous saviez, vous ne devriez pas fumer en ce moment, c’est mauvais pour votre estomac.
Patty : Vous êtes très gentille. Merci. Je dois filer. Lui annonça-t-elle avec le sourire
La jeune femme au cheveux carré et châtain : Oh déjà ! s'étonna-t-elle
Patty : Je vous demande pardon ?
L’officier Nicholas : Est-ce que tout va bien ? Les interrogea-t-il
Patty : Oui merci beaucoup.
La jeune femme au cheveux carré et châtain : Oh non mon dieu, Nicholas, dit-elle en reculant
Patty : Je suis pressée, encore merci, au revoir, dit-elle en partant.
L'officier Nicholas regarda par la jeune sorcière qui montait dans sa voiture et la regarda partir
La jeune femme au cheveux carré et châtain : Excusez-moi comment va-t-on à Berkeley ? Interrogea-t-elle l'officier
L’officier Nicholas : Fichez-moi la pays. Répondit-il en la poussant sur le côté pour se rendre à sa voiture.
L’officier Nicholas alla rentrer la clé dans la serrure de la voiture quand soudain la jeune blonde lui donna des coup de pied et jeta ses clés de voiture plus loin avant de s’enfuir en courant.
Chapitre 3
Patty se trouve dans sa chambre. La jeune sorcière parcourt sa garde robe, à la recherche d'une robe à se mettre pour aller voir Victor, le père de ses filles. Penny était avec elle pour la contredire.
Patty : Tu m’as dit que les filles étaient en sécurité avec toi, et puis j’ai envie d’y aller.
Penny : Tu vas commettre la plus grosse erreur de ta vie parce que Victor ne reviendra pas.
Patty : Maman !
Penny : Je ne veux seulement que ton bien et tu le sais.
Patty : Oui bien sur comme d'habitude. Tu préférerais que je reste ici, n'est-ce pas ?dit-elle en tirant la tête
Penny : Oui, s’il te plaît chérie.
Patty : Mais maman je suis obligé d'y aller, Victor m’a envoyé un mot pour me demander de passer à son hôtel après mon travail !
Penny : Tu devais savoir dès le début que c’était voué à l’échec, la preuve c’est que tu n’as pas voulu porter son nom de famille.
Patty : Tu m’a n’en empêchée. Lui rappela-t-elle
Penny : Ah bon, je ne m’en souviens pas. Pourquoi tu ne veux pas être en uniforme pour le voir ?
Patty : Parce que je ne veux pas qu’il sache que je suis serveuse. Écoute parler n’as jamais fait de mal à personne.
Penny : Crois-moi, laisse-le partir. Si les mariés étaient fait pour rester marier, le ciel les aurez fait plus résistant.
Patty : Maman !!
Penny : Quoi !!
Patty fit son choix parmi les robes qu'elle avait tout en se chamaillant avec sa mère. Une fois prête, toutes deux descendirent les escaliers pour aller au rez-de-chaussé.
Penny : Très bien, puisque tu veux y aller, je ne peux pas t’en empêcher, mais je ne peux pas te promettre que je n’apprendrais pas une formule aux petites en ton absence.
Patty : Si tu leurs apprenez plutôt à faire des gâteaux comme tous les autres grands-mères.
Penny : Les recettes que je leurs apprends, elles ne les trouveront jamais dans des livres de cuisine.
Patty : Au revoir mes chéries, à plus tard, dit-elle avant de quitter la maison.
Aucune réponse des petites Prue et Piper se firent attendre.
Penny : Prudence, Piper ?? se mit-elle à appeler au premier étage.
Penny descendue les escaliers avec une corbeille à linge, en passant elle vu au salon Andy, l'ami des petite Prue et Piper figé.
Penny : Oh Andy, est-ce que Piper c’est encore amuser à te figé ? Oh pauvre petit chéri ! Tu ne te souviendra de rien, dit-elle en utilisant de la magie
Penny : Tu sais où sont allez les filles ? Lui demanda-t-elle gentiment
Andy : Je crois que les drôles de dames les ont emmenés.
Penny : Ohhh. Dit-elle en courant vers la porte d’entrée pour sortir
Penny arriva devant l'entrée et descendu rapidement les marches. Mais c'était trop tard, les trois femmes avait prit la voiture de la famille Halliwell et s'enfuir avec les deux petites filles à bord. Penny était désespérer, elle paniqua et entra à toute vitesse dans le manoir familiale pour chercher une solution. Elle contacta dans un premier temps la police pour signaler l'enlèvement de ses petites fille. Au fond d'elle elle se disait que même s'il s'agissait de sorcières, elle se devait de mettre toutes ses chances de son côté pour les retrouver. De plus, en signala cela, elle avait signaler son modèle de voiture et sa plaque d'immatriculation ce qui pouvait aider les policiers à retrouver le véhicule en question.
Chapitre 4
Patty arrive à la chambre d’hôtel de Victor, elle prit une grande respiration et frappa à la porte.
Voix off : Entrez !!
Elle ouvre la porte et entre.
Patty : Victor ??
Elle avança dans la pièce quand soudain l’Officier Nicholas, l’attrape violemment et la cogna contre le mur.
Patty : Lâchez-moi, cria-t-elle.
L’Officier Nicholas, lui passe les menottes aux dos.
L’Officier Nicholas : Attention ne me figez pas Patty, vous risqueriez de tout gâcher.
Patty recule devant l’Officier Nicholas.
Patty : Vous ? S'écria-t-elle surprit
L’Officier Nicholas : Appelez-moi Nicholas.
Patty : Où est Victor ?
Nicholas : Je n’en sais rien, comme appât il est excellent.
Elle lui donna un coup et commença à partir quand soudain, Nicholas mit sa main devant lui, ferma son points et utilisa son pouvoir.
Nicholas : Votre sans va bouillir. Et très vite la mort viendra.
Patty commença à être fatiguée. Le pouvoir de Nicholas était qu’il pouvait faire bouillir le sang à l’intérieur d’une personne et cela la tuera.
Patty : Qu’est-ce que vous voulez ?
Nicholas : Ce que tous les mauvais sorciers veulent, je veux votre pouvoir bien sûr. Du moins, c’est ce que je voulais au début, ensuite j’ai su que vous étiez la mère de celle qui auront le pouvoir des trois.
Patty : Non, non, vous faites erreur. Je n’ai que deux enfants.
Nicholas : Au mais vous allez en avoir un autre, d’où viens la prémonition que vous avez eu, si ce n’est de l’enfant auquel vous donnerais naissance. Votre téléphone était sur écoute. Je vous et entendue vous et la vielle sorcière en parler tout à l’heure.
Patty : Non, j’ai vu trois mauvaises sorcières. Croyez-moi. Lui demanda-t-elle
Nicholas : Je les est vu aussi, elles vous cherchaient. Des rivales peut-être.
Il récita une formule qui affaiblit la sorcière.
Nicholas : Seulement, je vous est trouvaient avant, dit-il en se dirigeant vers un tiroir
Une fois celui-ci ouvert, Nicholas en sorti une bague qu'il passa à son doigt.
Patty : Oh, s’il vous plaît, je vous en implore, ne leurs faites aucun mal. menaça-t-elle
Nicholas : Il y a une autre solution Patty !!
Il endormit la sorcière avec son pouvoir.
Chapitre 5
Penny et au grenier, elle parcourt les page du livre des Ombres à la recherche d'indice sur les trois jeune femme. Hélas, elle ne trouva rien faisant mention d'elle à l'intérieur.
Penny : Même le livre des Ombres et après moi, répondit-elle en se passant les main dans les cheveux
Penny réfléchi quelques instants et retenta sa chance de les localiser avec le penduler. Elle le tourna fermement dans ses mains et le fit tourner sur la ville. Le pendule tourna à mainte reprise mais ne localisa pas les petites filles.
Penny : Comment est-ce possible que cela ne fonctionne pas. Il n'y pas de raison, ça a toujours marcher jusqu'ici. Le pendule aussi m'est d'aucune utilité, ça n'as aucun sens. S'énerva-t-elle et lança le pendule dans la pièce
Plus les minutes passer et plus Penny paniqua. Que pouvait-il arriver aux petites Prue et Piper, qui sont ses trois jeunes femmes. Tant de question qui ne pouvait en aucun rassurer la grand-mère des petites filles. Le téléphone fixe de la maison se mit à sonner. Penny qui s'y attendait pas sursauta et fit voltiger le téléphone dans les airs qui s'éclata contre un mur du grenier.
Penny : Qu'est-ce que j'ai fait !! Penny, il faut que tu te calme si tu veux les retrouver, se dit-elle à elle-même
Le téléphone de la maison, dont un qui se trouver au rez-de-chaussé continua lui de sonner. Penny se précipita dans les escaliers. Descendit les marches à toutes vitesse jusqu'à atteindre le combiné.
Penny : Allô Patty, c'est toi ? Questionna-t-elle
Un policier : Non madame, c'est un officier de police. Vous êtes...
Penny : Je suis Penny, Penny Halliwell, monsieur l'agent.
Un policier : Très bien madame Halliwell. J'ai d'excellente nouvelle nous avons retrouver vos petites filles ainsi que le véhicule. Rassurez-vous elles vont bien.
Penny : Merci beaucoup. Merci à tous je vous en suis très reconnaissant.
Un policier : Je vous en prie. Un collègue et en chemin il vous ramène la voiture avec vos petites filles.
Penny : Et pour ses trois femmes les avez-vous trouvait ?
Un policier : Oui, elles sont actuellement en garde à vue. Elles ne s'en sortiront pas si facilement faites-moi confiance.
Penny : Vous m'en voyez heureuse. Elle n'auront que ce qu'elle mérite après tout.
Penny termina sa discussion avec le policier et raccrocha pendant ce temps, elle partie préparer des petits goûter pour les petites Prudence et Piper.
Penny : Et moi qui n'aurait pas parier sur les mortels pour les retrouver avant moi, et bien m'en voilà surprise. Se dit-elle à la même
Penny entendit la porte de l'entrée qui s'ouvrit.
Penny : Patty tu peux venir une minute à la cuisine, il faut qu'on parles de ces trois sorcières. Elles sont revenue à la maison, répondit-elle en finissant de préparer des petits gâteau.
L'inconnu : Vous avez dit des sorcières ?
Penny se retourna et vit un policier qui été accompagné de ses petites filles.
Le Policier : Désolé d'être rentrée ainsi les petites m'ont tirés jusqu'ici.
Piper : Grand-mère, s'écria-t-elle en courant vers elle.
Prudence fit de même. Penny les serra fort contre elle et leurs fit des bisous sur la tête.
Penny : Attendez-moi sagement au salon, grand-mère finit de préparer les gâteau et elle arrive.
Prudence : D'accord, lui répondit-elle
Les petites Prudence et Piper se dirigèrent au salon. Penny regarda le policier et vit qu'il attendait une réponse à sa question.
Penny : Oui vous avez bien entendu. Ce sont des sorcières comment voulez-vous que je les qualifie. Regardez ce qu'elles ont fait à mes petites filles. Les pauvres, elles qui sont si invulnérable. Comment de tel personne peuvent faire des choses ainsi. Dites-le moi vous ? Le questionna-t-elle
Le Policier : Oui vous avez raison, il n'y as pas d'autres mots.
Penny : Monsieur l'agent vous devez en voir des choses bien triste durant votre carrière, lui fit-elle la remarque
Le Policier : Vous l'avez-dit. Tenez les clés avant que j'oublie. Bon, beh, je vais vous laisser prenez soin de vous et de votre famille madame Halliwell.
Penny : Merci, vous aussi, lui répondit-elle
Penny raccompagna le policier à l'entrée. Le téléphona sonna de nouveau. Penny décrocha, c'était Patty celle-ci lui annonça ce qui s'était passé à l'hôtel et lui confirma qu'elle en était sûre, elle était bien enceinte. Après lui avoir donner tout les détails, Penny en fit de même sur ce que les petites avaient subi. Patty demanda à sa mère ou se trouver le poste de police car elle voulait plus que tout s'y rendre et rencontrer ces trois jeunes femmes. Malgré qu'elle en soit réticente, Penny lui donna son accord et lui donna l'adresse.
Chapitre 6
Patty arriva au poste de Police. Elle souhaitais plus que tout tirer cette histoire au claire. En venant rencontrer ces trois jeunes femmes, c'était peut-être la chance d'avoir toutes les réponses à ses questions.
La gardienne : Cinq minutes madame. Lui annonça-t-elle
Patty : Qui vous as dis que j’étais enceinte ? Qui êtes-vous expliquez-moi ?
La jeune femme au cheveux carré et châtain : Maman, nous somme tes filles.
A l’extérieur du commissariat.
Patty : Très bien, je vous et fait sortir, mais j’espère que vous n’êtes pas de mauvaise sorcière.
La jeune femme brune : Maman, si on l’était on aurait pu se débrouillez tout seule pour sortir.
Patty : J’ai vu des choses magiques dans ma vie, mais ça c’est un miracle.
La jeune femme blonde : Plus que tu le crois.
La jeune femme aux cheveux longs : Où sont les petites filles ?
Patty : A la maison avec grand-mère, je lui et téléphoné avant de venir ici. C’est comme ça que j’ai su que vous étiez arrêtées.
La jeune femme brun : Tu lui as parlé de nous ?
Patty : Non, non je ne savais pas quoi lui dire. Je ne saviez même pas qui vous étiez !
Elles continuèrent de marche, puis s’arrêtèrent un moment.
Patty : Oh, vous êtes toutes tellement belles, encore plus belles que je l’aurais imaginais. Phoebe. Dit-elle avant de caresser son ventre et prit la main de la jeune femme blonde qui est Phoebe.
Patty : Phoebe que tu sois là, c’est un vrai miracle. J’ai voulu t’appeler comme ma tante préférée, mais si tu n’aime pas ce prénom, je peux le changeais.
Phoebe (la blonde) : Non, je l’adore.
Patty et Phoebe rigolèrent ensemble.
Prue (la brune coupe aux carrées) : Euh… Maman, on a récité une formule qui nous a fait remonter le temps pour t’aider à ne pas le faire.
Patty : A ne pas faire quoi ??
Prue : A ne pas conclure de pacte avec un sorcier qui s’appelle Nicholas.
Patty : Vous arrivez trop tard.
Piper (celle aux cheveux long et brun) : Quoi ??
Patty : Je croyais que j’allais voir Victor, votre père, malheureusement, je suis tombée dans un piège.
Prue : Nicholas !!
Patty : Il a tenté de me tuée et donc Phoebe avec. J’ai été forcée de l’immunisé contre vos pouvoirs, en échange de vos vies. C’est que… J’aurais préférée que vous soyez des filles normales, plutôt que de bonnes sorcières en danger de mort.
Piper : Quoi qu’il en soit, il va nous tuer pour avoir nos pouvoirs.
Patty : Non, non il attendra la naissance de Phoebe et que vous ayez développé vos pouvoirs. J’ai gagné un peu de temps dans l’espoir que grand-mère pourrait nous aidées. Oh, elle va être folle de joie, quand elle vous verra. Je suis très fier de vous. répondit-elle avant de faire une pause et enfin les prendre dans ses bras.
Chapitre 7
Les sœurs Halliwell sont arrivée depuis un bon bout de temps au manoir familiale, mais grand-mère ne cesse de leurs posés des questions.
Penny : Où suis-je venue au monde ?
Patty : Maman.
Penny : J’aimerais être convaincue qu’elles ne sont pas de mauvaises sorcières.
Patty : On a un pacte à annulé, on devrait chercher une formule pour l’annuler, et rien d’autres.
Prue : A Boston. Dans une chambre d’hôtel.
Penny : Comment s’appelait mon mari ?
Prue : Lequel ? Ta n’as eu plusieurs !
Les sœurs se mirent à rire.
Penny : Qui est Melinda Warren ?
Phoebe : La première sorcière de la famille, c’est elle qui nous a donné nos pouvoirs et qui a tracée notre destin.
Penny : Quel sont les ingrédients secrets que je mets dans mon punch.
Piper : Tu ajoute du miel et du rhum.
Penny : Quel sont les actions les plus côtés à West Street à votre époque ?
Patty : Maman !!
Penny : Quoi ??
Patty : On ne doit pas faire de profil personnel et tu le sais.
Penny : C’est vrai. Je voudrais juste une petite piste, chuchota-t-elle à sa fille.
Patty (à Penny) : S’il te plaît ? Chuchota-t-elle à son tour.
Penny (à Patty): Bon oublions ça.
Penny : Eh bien, c’est incroyable de vous avoir la toute les trois. Oh Patty, j’ai toujours su que j’accoucherais des sorcières qui auraient le pouvoir des trois.
Patty fit une grimace.
Penny : Par ton intermédiaire bien sûr. Prue (dit-elle en la montrant) Oh Piper (elle aussi) et ?
Phoebe : Phoebe !! dit-elle montre le ventre de sa mère.
Penny : Un autre P quel surprise.
Patty : Si on parler du pacte ?
Penny : Il faut absolument que les filles soit en sécurité jusqu'à ce qu’on l’annule, je vais devoir brider leurs pouvoirs.
Piper : Euh… Brider nos pouvoirs ?
Penny : Euh… les enlevés aux petites filles pour que Nicholas ne puisse pas leurs volés. Je ne vais pas le faire tout de suite mais dès que tu viendras au monde (à Phoebe) j’inventerai une formule pour suspendre leur… vos pouvoirs.
Prue : C’est exactement ce que tu as fait. Tu fff... Ce que tu fera, enfin bon tu vois ce que je veux dire.
Piper : Oui ça explique pourquoi on ne se rappelle pas avoir eu des pouvoirs quand ont n’étaient petites.
Penny : Mais comment ça, attendez. Quels âges aviez-vous quand vous avez récupérée vos pouvoirs ?
Piper : On les a eus récemment.
Penny : Quoi ??? Mais euh… J’ai débridée vos pouvoirs sans avoir brisé le pacte ?? Oh.. Pourquoi aurais-je fais ça ? A moins que je ne sont morte, ce qui aurez bien sûr automatiquement… débridé vos pouvoirs.
Penny compris enfin ce qui s'était passés. Elle resta silencieuse un petit moment. Penny fini par se levait doucement et marcha un peu.
Penny : C’est dommage je voulais vivre jusqu’au prochain millénaire.
Phoebe : Euh… En parlant de ça, maman ?
Penny : Non, on ne doit rien savoir de plus sur l’avenir. Vous êtes revenues pour une seule raison, pour brisée le pacte, vous ne devez pas interférer dans rien d’autre, c’est bien trop risquer. Qui c’est les dégâts que vous avez déjà fait en revenant ici.
Prue : Mais, mais on a rien fait du tout. On a même raté l’occasion d’empêcher le pacte.
Penny : Et il y a une raison à ça. La destinée suis toujours son chemin. Ce n’est pas aussi facile de changer le passé que vous pourriez le croire, si vous ne le faites pas comme ça doit être fait alors tout risque d’être changés.
Elles se levèrent toutes et suivirent Penny qui se diriger dans l’autre pièce.
Penny : Les démons que vous avez vaincues, le bien que vous aurez fait, vous devrez peut-être tout recommencer.
Piper : Oh, Mais qu’est-ce qu’on doit faire dans ce cas, repartir et le laisser nous tuées ?
Patty : La seule solution pour que vous puissiez le vaincre à votre époque, c’est que la bague qui est dans un tiroir de sa chambre d’hôtel ne l’immunise plus contre vos pouvoirs.
Phoebe : Il ne nous reste plus qu’à aller à l’hôtel de Nicholas pour récupérée la bague. Espérons quel y soit encore.
Patty : Non c’est trop dangereux, surtout sans pouvoir, je vais y aller ?
Prue : Non, si jamais il t’arrive quelque chose, c’est l’avenir qui risque d’être modifiée comme l’as dit grand-mère, on va y aller nous.
Penny : Ça me fait plaisir de voir que tu as finis par apprendre à m’écouter. Vous devriez vite y aller, en vous attendant, j’inventerai une nouvelle formule qui vous ramènera à votre époque.
Piper : Mais attends, tu peux le faire, tu peux nous renvoyées ?
Penny : On est des sorcières, on peut faire ce qu’on veut. Dit-elle avant de monter les escaliers.
Phoebe : Si seulement c’était vrai. Répondit-elle tristement
Ses deux sœurs la regardèrent brusquement.
Prue : Très bien, il faut qu’on y aille, dit-elle avant de partir.
Patty : Faites très attention !!
Elles fermèrent et partir à l'hôtel de Nicholas.
Chapitre 8
Penny et Patty sont au grenier autour d’un chaudron et prépare la potion quand soudain, les trois sœurs Halliwell arrivèrent.
Prue : Voilà, on a trouvé la bague. Tiens maman. Dit-elle en lui tendant
Piper : Et maintenant, on fait quoi ?
Penny : On vous renvoie dans votre époque.
Patty : Ensuite je vais travailler sur la bague et la rapportée avant que Nicholas s’en aperçoive.
Penny : Vous reviendrez au moment où vous êtes partie, ce qui veut dire que Nicholas sera la, aussi.
Phoebe s’était mise à l’écart et écrit un mot sur une feuille de Papier.
Piper : Il ne sera plus immunisé contre nos pouvoirs ?
Prue : On sera prête. Phoebe ? dit-elle en se retournant vers sa sœur.
Phoebe : Je viens une petite minute, dit-elle avant d’aller mettre son mot dans la première page du livre des Ombres.
Prue : Je t’aime maman, dit-elle en la prenant dans ses bras.
Piper : Je n’apprendrai jamais à aimé ton punch grand-mère mais merci, merci pour tout le reste, dit-elle en la serra dans ces bras.
Piper partie prendre sa mère dans ses bras. Phoebe elle, prit grand-mère dans les siennes.
Penny : Tu ne nous laisseras pas une minute de répit ?
Phoebe : T’apprendra à m'aimer. Dit-elle avant de prendre sa mère dans les bras.
Patty : Au revoir Phoebe.
Phoebe : Tu vas me manquée.
Les sœurs Halliwell se rapprochèrent en face de leurs grand-mère qui alluma une allumette et la jeta dans le chaudron et récita la formule magique pour renvoyées les sœurs à leurs époques.
Penny : Un temps pour chaque chose,
Et chaque chose à sa place,
Replacer ce qui à été déplacé,
A travers le temps et l’espace.
Rien ne se produisit Patty regarda les sœurs Halliwell étonnée avant d'aller rejoindre sa mère.
Patty : Je vais t’aider, dit-elle en lui prenant la main.
Patty et Penny : Un temps pour chaque chose,
Et chaque chose à sa place,
Replacer ce qui a été déplacé,
A travers le temps et l’espace.
Les trois sœurs disparus par magie à travers des plusieurs boules blanches et scintillante.
Penny et Patty se regardèrent et sourirent.
Penny : Tu as très bien travaillé. Elles sont fabuleuses.
Patty : Tu crois que ça ce passera bien ?
Penny : Oh oui. Rassura-t-elle sa fille.
Soudain, des boules magique et blanches réapparurent et les trois sœurs avec.
Prue : Ooops.
Penny : Que c’est-il passée ?
Patty : Où êtes vous allez ?
Piper : On est allez nulle part ! On été ici devant et l’instant d’après on, on…
Phoebe : On été ici devant vous.
Patty (à Penny) : Tu aurais du utiliser du peuplier.
Penny : C’était parfait, l’acacia, ça les as fait voyager dans le temps.
Patty : Oh oui, dix secondes.
Penny : Je peux t’assurer que ça ne vient pas de la formule. Mais pour quel opère, il nous faut d’autres pouvoirs.
Piper : On a peut-être le pouvoir des trois.
Phoebe : Le problème, c’est que… il n’existe pas encore.
Les cinq femmes se regardèrent dans les yeux.
Plus tard, Penny chercha une solution dans le livre des Ombres, après quelque instant, elle dit.
Penny : Il n’y a rien.
Phoebe : C’est peut-être notre destinée ?
Penny : Non, la votre est exceptionnel.
Piper : Elle n’est pas encore très claire.
Patty : Si c’est évident !
Prue : Non, on as pas de pouvoir. Lui fit-elle remarquer
Patty : Mais si, les petites Prue est Piper on leurs pouvoirs et Phoebe m’a donné une prémonition, donc elle a forcément le sien. Si on peut apprendre la formule aux petites peut-être qu’à nous trois, on vous renverra à votre époque.
Prue : Le pouvoir des trois, oui ça vaut le coup d’essayer.
Au rez-de-chaussée un claquement de porte se fit entendre. Puis une voix se fit entendre.
Nicholas : Sorcière, où êtes-vous ? Où est ma bague ?
Dans le grenier.
Patty : Nicholas ! s'écria-t-elle
Penny : Va avec Piper chercher les filles, nous on s’occupe de lui.
Les cinq femmes commèrent à partir, quand brusquement Phoebe fit demi-tour et récupéra le mot qu'elle avait laisser dans le livre des Ombre un peu plus tôt.
Penny : Tu viens Phoebe ? l'interpella-t-elle
Phoebe alla les rejoindre.
Nicholas commença à monter les escaliers quand Penny le fit voltiger sur la table qui se cassa.
Prue : Grand-mère reste loin de lui et de son pouvoir.
Penny : Je sais, je sais.
Phoebe (à Penny) : On ne peut pas te laisser pendre de risque, remonte aider maman avec les petites.
Prue : Phoebe et moi, on va s’occuper de lui.
Penny remonta aussitôt les escaliers. Prue est Piper descendirent les escaliers et allèrent face de Nicholas. Phoebe lui donna un coup de pied qui le refit tombé.
Patty et Piper elle, arrivèrent au grenier avec les petites Prue et Piper. Penny les attendait et était prête.
Patty (aux petites) : On va faire un jeu, d’accord, donnez-moi la main.
Piper : Vite, vite !!
Patty (aux petites) : Et répété après moi, un temps pour chaque chose, et chaque chose à sa place.
Les Petite Prue et Piper : Un temps pour chaque chose, et chaque à sa place.
Patty : Replacer ce qui a été déplacé, à travers le temps et l’espace.
Les petites Prue et Piper : Replacer ce qui a été déplacé, à travers le temps et l’espace. Répéta-t-elle.
Piper junior fit un câlin à sa mère. En bas, Prue jeta la chaise qui se cassa en milles morceaux sur Nicholas.
Prue : C’est bon, dit-elle en remontant en courant au grenier.
Au grenier.
Patty, Prue et Piper junior : Un temps pour chaque chose, Et chaque chose à sa place, Replacer ce qui a été à travers le temps et l’espace.
Prue et Phoebe arrivèrent.
Prue : On a très peu de temps.
Piper : Et la bague, où ce trouve-t-elle ?
Penny : Pour l’instant, ce qui compte, c’est de vous renvoyer.
Prue : Oui mais elle ne le protégera plus ?
Penny : En principe non, mais on as pas le temps de vérifier.
Prue : Donc pour l’instant, on n'en sais rien.
Phoebe prit en photo sa mère et les petites Prue et Piper réuni avec un appareil photo qu'elle trouva sur une armoire du grenier.
Penny : Non, vous ne pourrais le savoir qu’à, votre retour. Étant donnés que vous retrouverais au moment où vous êtes partie, il n’en saura pas d’avantage.
Penny : Au revoir mes chéries, soyez une bonne sorcière.
Les trois sœurs Halliwell firent un câlin à leur grand-mère puis à Patty, Prue et Piper junior.
Chacun ce remit à sa place et Patty, Prue et Piper junior récitèrent la formule. Patty mit sa main sur son votre pour capter le pouvoir de Phoebe à l’intérieur d’elle.
Patty, Prue et Piper junior : Un temps pour chaque chose, Et chaque chose à sa place, Replacer ce qui a été à travers le temps et l’espace.
Les trois sœurs disparus par magie comme la première fois, mais cette fois-ci pour de bon. Patty travailla sur la bague est enleva l’immunité des pouvoirs de Prue, Piper et Phoebe. Penny, quand à elle, se mit à écrire une formule dans le livre des Ombre pour vaincre Nicholas et y déposa les ingrédients dans un petit sachet qu'elle prit soin de déposer entre les pages du livre des Ombres.