Un diable de majordome

Chapitre 2 : Une histoire de duel

3277 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 18/03/2017 16:28

Chapitre 2

 

 

 

 

 

 

/!\ ATTENTION : CE CHAPITRE EST UNE ADAPTATION ÉCRITE DU MANGA BLACK BUTLER DE YANA TOBOSO, ET PAR CONSÉQUENT TOUS LES DROITS D'AUTEURS LUI SONT RÉSERVÉS. AUCUN DE CES PERSONNAGES NE M'APPARTIENT (même si, personnellement, je ne serai pas contre posséder Sebastian ou Undertaker :3) ET JE NE TOUCHE AUCUN ARGENT AVEC LA PUBLICATION DE MES TEXTES (la fortune c'est pas pour demain, les amis !). APRÈS CE PASSAGE EN MAJUSCULE, J'EN SUIS CONSCIENTE, UN PEU AGRESSIF POUR LES YEUX, (mais ça évite les ; "nan mé ta pa mi de disclaimer, tu profite du talen des autteur tu me dégoute" (je sais, on fait pas de parenthèse dans une parenthèse mais c'était juste pour préciser que toutes les fautes précédentes ont été faites exprès, et je m'excuse pour vos pauvres rétines) JE VOUS SOUHAITE UNE BONNE LECTURE !

 

 

Ah non ! J'ai failli oublier : dans cette fanfiction il y aura des couples et des relations homosexuelles, que ce soit yaoi ou yuri, donc je dis au revoir à tous ceux que cela dérangerait, beaucoup d'autres fanfictions sauront vous convenir, je n'en doute pas une seconde ♥. Bon, cette fois-ci, bonne lecture pour de bon !

 

 

 

 

  Les deux pactisants étaient toujours main dans la main lorsque Sebastian dit :

"Quel est votre premier ordre, Monsieur ?

- Commence déjà par remettre ta chemise..."

  Le démon, surpris, regarda son buste et prit conscience qu'il était toujours torse nu. La gêne apparente qui colorait les joues de son petit maître le fit pouffer mais lorsqu'il vit l'incompréhension de celui-ci, il ne put se retenir et éclata de rire. Au bout de quelques secondes, il reprit son sérieux et commença à enfiler sa chemise. Il en était à la moitié du boutonnage lorsque lui vint le sentiment d'être observé. Il leva les yeux et surprit le comte qui observait sans gêne la musculature de son torse. Après tout, malgré ces airs qu'il aimait tant se donner, ce n'était qu'un enfant ! La curiosité non dissimulée de Ciel le fit sourire discrètement. Il attacha le dernier bouton de sa chemise et son Maître lui lança :

"Voici mon deuxième ordre ; je veux que mon chauffeur n'aie plus aucun souvenir de ce qu'il s'est passé.

- Sans aucun problème, Monsieur."

  Sebastian se coula habilement au dehors par la fenêtre et Ciel le vit s'approcher de l'homme, toujours immobile et blanc de peur. Il passa derrière lui et lui murmura quelques mots à l'oreille, ce qui eut pour effet de le détendre instantanément et de lui donner un regard vide, dénué d'expressions. Le cocher se retourna alors et pressa les chevaux afin de faire redémarrer l'attelage. Une fois le démon de retour à l'intérieur du véhicule, il dit :

"C'est fait. Il me prend pour votre majordome, et je pense que c'est ce que je serai à l'avenir pour toutes vos connaissances, ainsi que votre famille, vos amis et même vos domestiques. Notre lien doit rester secret.

- Je devrai donc te présenter à tous comme mon majordome ? Il faudra que je m'habitue à te considérer comme tel... réfléchit Ciel

- Ne vous inquiétez pas, Maître, vous n'aurez pas à vous habituer car je serai au quotidien votre majordome, je vous laverai, vous habillerai, vous coifferai, vous préparerai et vous amènerai votre petit déjeuner, je m'occuperai de votre emploi du temps... le rassura le démon

- Toi, un diable, tu sera capable d'être un simple majordome ? questionna l'enfant

- Je ne serai pas un simple majordome. Je suis un diable de majordome... conclut Sebatian."

  Il enleva son gant de ses dents et s'approcha du jeune garçon pour finalement poser sa main marquée sur l’œil maudit de son Maître. Le corps du comte s'arqua en arrière et Sebastian lui passa un bras autour de la taille afin de le ramener contre lui pour ne pas qu'il tombe. Lorsqu'il retira sa main, l’œil de Ciel ne portait plus aucune trace de saignement. Pressés l'un contre l'autre dans cette étreinte, ils échangèrent un long regard empreint d'une mêlée de sentiments passant du dégoût à l'acceptation, de la franche incompréhension au bonheur léger, en passant par la gêne. Sebastian finit enfin par briser leur immobilité en repoussant doucement derrière son oreille une mèche de cheveux de son maître et en lui enfilant délicatement un cache œil noir.

"Mais... protesta le garçon, Mes proches vont s'apercevoir que quelque chose a changé si je porte un cache-œil !

- Monsieur... murmura Sebastian, Il est moins suspect de porter un cache-œil que d'arborer fièrement un œil violet orné du signe du diable ! Les gens à cette réception sont loin d'être stupides et au moins, avec ce cache-œil, vous pourrez prétendre à une maladie !

- Tu as raison... dit le jeune Maître. Merci.

- De rien Monsieur, c'est la moindre des choses pour un majordome de la maison Phantomhive."

  Le carrosse s'arrêta alors dans une secousse, ce qui aurait fait tomber le jeune garçon s'il n'avait pas été dans les bras de Sebastian. Avisant tout d'un coup l'étrange position dans laquelle ils se tenaient, Ciel se dégagea vivement.

"Qu'est-ce qu'il te prend ? Je ne t'autorise pas à m'approcher ainsi !

- Ceci est donc gênant pour un humain...? hasarda le majordome

- Oui, extrêmement ! répondit son Maître, rougissant encore une fois

- Votre visage semble apprécier virer au rouge... dit Sebastian pour lui-même

- Tais-toi ! ordonna l'adolescent. C'est un ordre !

- Yes my lord. répondit le grand homme, sans vraiment comprendre ce qui avait fâché son Maître. Les humains ont des réactions tellement étranges... se dit-il. Mais je commence déjà à comprendre qu'apparemment la nudité, même incomplète, est dérangeante à leurs yeux, ainsi que la proximité de deux corps, continua-t-il intérieurement."

  Le cocher vint leur ouvrir la porte pour leur annoncer qu'ils étaient arrivés à destination, et aida Ciel à descendre. L'enfant le repoussa fièrement, proclamant qu'il était bien capable de descendre d'un véhicule par ses propres moyens. Malheureusement sa fanfaronnerie le perdit car il trébucha sur sa cape et tomba en avant. Instinctivement il se protégea, ferma les yeux de toutes ses forces en croisant les bras sur sa tête, appréhendant le choc... Qui n'arriva jamais. En effet, Sebastian se propulsa en avant à une vitesse irréelle et rattrapa son petit maître juste avant que celui-ci ne percute le sol. Le jeune garçon se détendit lentement, décroisant ses bras, et s'aperçut alors que c'étaient les bras de son majordome qui le soutenaient. Un soupir de soulagement s'échappa de sa bouche mais il sauta vivement à terre, son ego touché de ce qu'il venait de se passer, et légèrement vexé. C'est vrai quoi ! Cela ne faisait à peine une heure qu'ils se connaissaient que le démon avait déjà du l'empêcher par deux fois de tomber ! Il s'éloigna, frappant le sol de sa canne, le visage boudeur. Sebastian le rejoignit et marcha sereinement à ses côtés, comme s'il ne s'était rien passé, et Ciel en fut contenté. Il retrouva son air hautain habituel, ce qui était tout de même mieux que la moue renfrognée qu'il avait auparavant. Ils avancèrent jusqu'aux portes du beau manoir, qui étaient ouvertes, et entrèrent. Le crieur n'eut même pas le temps de les annoncer que...

"CIIIIEEEEELLL !!!!!!!!!!!!!!!"

  Une tornade de boucles blondes et de volants de tissu bleu percuta l'infortuné de plein fouet, qui garda pourtant son éternel expression mi-dédaigneuse, mi-ennuyée.

"Bonjour, Elizabeth. répondit-il

- Ciel ! se plaignit cette dernière, Combien de fois t'ai-je dit de m'appeler Lizzy ?!

- Désolé. dit-il froidement tout en étant loin de l'être.

- Ce n'est pas grave, ne t'inquiète pas. Tu as vu tout ce monde qui est venu ? Et le buffet ? Il est fabuleux, il faut absolument que tu goûte ces financiers ! Et as-tu dit bonjour à Mère ? Regarde, elle est là-bas ! Sa robe est magnifique, non ? En parlant de tenue, la tienne est adorable ! Tu es si mignon dedans ! Moi aussi je suis en bleu, tu as vu ? C'est parce que je savais que tu mettrai cette couleur ! Comme cela nous sommes assortis !"

  Étourdi de toutes ces paroles, Sebastian regarda abasourdi la jeune fille qui tournoyait autour du comte en pépiant sans cesse, tel un joli (mais beaucoup trop bavard) petit oiseau, et rit intérieurement de l'air prématurément las du jeune homme. Il dut avoir l'air perplexe lorsqu'il se demanda qui était cette demoiselle vis-à-vis de son maître, car ce dernier se tourna vers lui et fit les présentations :

"Lizzy, voici Sebastian, mon nouveau majordome. Sebastian, je te présente Lizzy, ma fiancée."

  C'est seulement alors que la jeune fille s'aperçut de la présence du démon. Elle lui dit bonjour dans un grand sourire et il s'inclina devant elle. Il était extrêmement surpris de cette révélation. Son Maître, avoir une fiancée ? De ce dont il savait déjà de lui, cela ne lui ressemblait pas du tout ! Laissant le diable à ses réflexions, Lizzy lui emprunta Ciel qu'elle traîna jusqu'à sa mère. La marquise de Midford le salua froidement, puis lança :

"Toujours aussi négligée, cette coupe de cheveux !"

  Elle remarqua ensuite l'homme qui les escortait et Ciel recommença les présentations. La dame se prononça alors d'une voix calme :

"Quel visage immonde..."

  Surpris, Sebastian la salua tout de même avec politesse en pensant que, pourtant, il avait essayé de respecter les critères de la beauté humaine ! La mère de Lizzy attrapa soudain le domestique et son Maître par le bras et les assit de force sur une banquette en leur disant de ne pas bouger. Elle commença par Sebastian, et lui traça une raie sur le côté bien nette, peignant les cheveux noirs de ses doigts et les rabattant derrière ses oreilles. Elle s'attaqua ensuite à la chevelure gris-bleutée de Ciel, prévoyant de l'arranger de la même manière, mais en repoussant les cheveux de devant ses yeux, elle découvrit le cache-œil. Elle demanda, surprise, à Ciel comment se faisait-il que son œil soit bandé, et le garçon fut d'un coup bien soulagé que Sebastian lui ait prévu un mensonge à répondre. Il dit d'une voix égale :

"Je suis allé hier chez le médecin, car je voyais flou de l’œil droit. Il m'a diagnostiqué une maladie dégénérative, incurable. Je vais perdre petit à petit l'usage de mon œil..."

  Il avait même réussi l'exploit de faire trembler légèrement sa voix sur la fin de sa phrase, donnant à l'ensemble le petit côté dramatique qui finit de convaincre France de Midford que ce garçon avait décidément bien peu de chance dans la vie. Ce fut une voix émue qu'elle lui dit :

"Navrée, mon garçon..."

  Sebastian, quant à lui, se demandait si son Maître avait le moindre scrupule de mentir effrontément à ses proches de cette manière, mais un rapide coup d’œil au fond de son oeil "valide" le convainquit du contraire. Le petit comte se fichait bien de faire de la peine à quiconque. Le démon en fut fort impressionné, l'enfant avait une personnalité tellement complexe ! Il avait grandit beaucoup trop vite, son caractère était certainement plus mature que celui de la majorité des personnes présentes, ce qui était un peu effrayant...

 

***

 

  Deux heures plus tard, la fête battait son plein et le comte de Phantomhive était entraîné de groupes en groupes, tous cherchant à discuter avec le gérant de la plus grande entreprise de jouets et de confiseries d'Angleterre. Un peu en retrait, le majordome trouvait cela assez amusant de voir tous ces adultes se disputer la parole d'un enfant de treize ans. Il commença à s'éloigner un peu de son maître, lorsque des éclats de voix le firent tourner la tête. Un invité visiblement ivre mort criait après son Maître, lui reprochant de lui avoir volé sa place, son rang, sa fortune, et que sais-je encore... Sebastian revint prestement aux côtés de l'adolescent, qui ne prêtait pas la moindre attention aux hurlements de l'homme, de plus en plus échauffé par la nonchalance dont il faisait preuve. Le bras du majordome jaillit, bloquant la gifle que l'ivrogne était sur le point d'administrer à Ciel, et lorsque le démon se pencha vers l'homme, il lui dit d'une voix glaciale :

"Ne vous avisez jamais de porter la main sur mon Maître, ou bien vous en paierez amèrement le prix.

- Pour qui ttte prends-tu ??? répondit l'ivre mort d'une voix rendue pâteuse et traînante par tout l'alcool qu'il avait ingurgité. Jjje fais cce que je veeuux !!!!!!! Dd'ailleurs, je te proovoque en duueel, stupide valet !"

  Sebastian eut un sourire carnassier et lui accorda le duel, le lendemain à midi, dans la cour même de ce manoir. Il ne l'affronta pas immédiatement car, même si ce n'était pas un duel à mort, il tenait à ce que son adversaire eût dessaoulé et à ce que, de ce fait, on ne puisse attribuer sa défaite qu'à son manque de talent. Après tout, il restait un diable, et l'humiliation des gens restait pour lui un passe-temps ! Après avoir eu l'accord de la marquise concernant l'organisation du duel en sa demeure, le majordome se fit interpeller par son Maître :

"Sebastian ! lança l'enfant. Viens, nous rentrons."

  Le diable rejoint son contractant, qui lui expliqua en chemin que l'homme qu'il affronterait le lendemain matin n'était autre que le Marquis de Monenvish, chef d'une entreprise autrefois première dans le secteur du divertissement infantile, qui avait été détrônée par Phantom à l'arrivée de Ciel. Forcément, qui d'autre qu'un enfant pour mieux comprendre les désirs d'un enfant ? Le jeune comte avertit tout de même son majordome qu'il était plutôt fort au maniement de l'épée, mais le démon aux cheveux noirs n'eut pour réponse qu'un sourire confiant.

  Quelques heures plus tard, ils étaient de retour au manoir Phantomhive et Sebastian avait été présenté aux domestiques de son petit Maître. Quelle ne fut pas sa surprise en faisant la connaissance de ce groupe hétéroclite ! En effet, la domesticité de Ciel se composait de ; Bard, un (soi-disant) chef cuisinier qui ne savait rien cuire autrement qu'au lance-flamme et ne servait donc que des plats carbonisés, May Linn, la femme de ménage/femme de chambre d'une maladresse affolante, de Finny, le jardinier aux airs innocents mais à la force surhumaine (au grand regret des arbres et des plantes du jardin), et enfin de Monsieur Tanaka qui... Ne servait à rien. Sebastian poussa un grand soupir et commença à s'affairer, préparant le dîner, dressant la table, et chargeant les autres de tâches minimes afin qu'ils ne se sentent ni délaissés ni remplacés. Il dut tout de même arrêter Bard in extremis avant qu'il ne réduise les légumes en poussière, et rattraper May linn avant qu'elle ne s'écrase au sol accompagnée des assiettes. "Quelle bande d'empotés !" pensa le grand homme. " Comment Monsieur a-t-il pu vivre tant de temps seul avec eux ? Je comprends qu'il soit aussi grognon !".

  L'heure du dîner arriva enfin. Ciel se mit à table, ravi - intérieurement, car en façade il ne se départit pas de son air bougon - de l'odeur délicieuse qui embaumait l'air. Sebastian arriva et annonça :

"Au menu ce soir, oignons à la reine accompagné de poitrine de veau à l'étouffée. Quand au dessert, nous aurons une tarte tatin aux pommes caramélisées."

  Les yeux du jeune garçon s'illuminèrent. Enfin un repas digne de ce nom ! Il attendit l'arrivée du plat avec impatience et ne put s'empêcher de pousser un petit soupir de contentement en prenant la première bouchée. Comme c'était bon ! Il était vraiment heureux de ne pas avoir à choisir entre une viande noire de cuisson et une salade de légumes crus comme il le faisait d'habitude. Les oignons fondaient en bouche accompagnés de leur béchamel et la viande était tendre à souhait... Il appela son démon :

"Sebastian ?

- Oui ? répondit ce dernier. Quelque chose ne va pas ?

- Non, au contraire... Je voulais te dire que c'est délicieux. Merci beaucoup."

  Le majordome, surpris, pensa "Il est donc capable de faire des compliments... Étonnant !", mais malgré cette pensée plutôt acerbe, il ne put s'empêcher de sourire, car ce fameux compliment le touchait réellement. Le petit Maître finit son dessert en un temps record, et s'affala sur sa chaise, plus que repus. Sebastian nota qu'il avait l'air d'avoir une nette préférence pour les mets sucrés, ce qu'il se promit de vérifier.

  Voyant que le jeune garçon commençait à somnoler, le diable lui passa un bras derrière le dos, l'autre bras sous les genoux, et le souleva. Une fois son Maître dans ses bras, il s'arrêta et attendit une protestation, qui ne vint pas. Il l'emmena donc jusqu'à sa chambre, où il le tira de sa torpeur afin qu'il se tienne debout le temps qu'il le déshabille et lui enfile sa robe de chambre. Il l'assit dans un fauteuil afin de lui retirer ses chaussettes, et le comte s'endormit. Le démon le porta donc jusqu'au lit, l'y déposa doucement et l'enveloppa dans les couvertures. Il écarta une mèche de cheveux de devant le visage enfantin de Ciel et lui retira délicatement son cache-oeil, qu'il déposa sur sa table de chevet. Il s'écarta et regarda l'enfant endormi, en se disant qu'il avait l'air beaucoup plus jeune ainsi détendu. Il s'apprêtait à quitter la chambre lorsqu'une voix lourde de sommeil surgit du tas de couvertures :

"Sebastian !

- Oui, Monsieur ?

- Reste auprès de moi cette nuit. Je fais souvent des cauchemars et c'est encore pire si je suis seul.

- Yes, my Lord."

  Et c'est ainsi que toute la nuit, le démon qui lui n'avait pas besoin de sommeil, veilla sur son Maître. En observant les draps se soulever et s'abaisser au rythme de la respiration de l'enfant, Sebastian se fit une surprenante réflexion... Il lui semblait qu'il commençait à avoir un semblant d'affection envers ce gamin orgueilleux et égoïste, ce petit comte bien trop mature pour son âge. Et Ciel, juste avant de s'endormir, se dit que finalement, son majordome était plus agréable que ce à quoi il s'attendait...

Laisser un commentaire ?