Batboy Rise Of The Devil

Chapitre 6 : Gala de charité.

6833 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 11/01/2023 18:21

Note de l’auteur : Notre procédé d'écriture sortant de l'ordinaire et similaire à une écriture théâtrale, il est important de mémoriser les codes employés afin d'éviter toute confusion dans la lecture.


Pour rappel :

Paragraphes en italique : Le narrateur est l'un des personnages. (le plus souvent Alex)

Texte simple en italique : Citations, Surnoms ou Incantations. S'applique aussi dans les dialogues.

Dans les dialogues :

Phrase entre des astérisque : exemple * J'ai l'impression qu'on m'observe * : Le personnage réfléchit ou pense.

Phrase entre guillemets : exemple « Boit un verre d’eau » : Le personnage fait une ou plusieurs actions, avant, pendant ou après avoir parlé.

Texte entre parenthèses après une phrase en langue étrangère : exemple : Guten tag (Bonjour) : Traduction.

Mot entre parenthèse et italique derrière le nom de personnage dialoguant : exemple : Alfred (téléphone) : donne une information sur les conditions de dialogue. Ici, Alfred parle au téléphone.


Voilà tous les codes qui vous permettront de suivre au mieux la lecture. Nous vous souhaitons des à présent un agréable moment en compagnie de nos personnages. 


L’équipe Brotherhood Corp.




Chapitre VI. Gala de charité.




20 h 30. À proximité de Gotham, Manoir Wayne.



C’est le grand jour et au sein de la prestigieuse demeure, tout le monde se prépare. Tandis qu’Alfred dispose les verres et les boissons sur les tables, Kathy l’assiste en y déposant les plateaux d’apéritifs.


Malgré tout ce petit monde au travail, un seul ne participe pas. En effet, Alex est en train de se batailler avec une cravate qu’il peine à mettre depuis plusieurs minutes.


Une fois, son exploit accomplit, il sort de sa chambre et descend les escaliers avec fière allure, avant d’interpeller son majordome en action.



Alex Mason : Alfred, si vous me le permettez, je vais accueillir les invités à l'extérieur, pendant que vous êtes occupé à dresser les tables.


Alfred : « Pose des verres sur la table ». Maitre Mason, j’aurai sans doute fini bien avant et puis, avec tout le respect que je vous dois, je tiens à souligner que ce n’est pas votre travail de les accueillir.


Alex Mason : Je tiens vraiment à le faire!… Hum, qui y a-t-il Alfred ?


Alfred : « Observe le jeune homme et soupir ». Monsieur Mason, n’avez-vous donc rien appris sous ma tutelle ? Votre cravate est mal mise.



Le majordome s’approche d’Alex et réajuste sa cravate.



Alfred : Ah, voilà qui est mieux, vous ne trouvez pas ? « Observe Kathy Kane au loin ». Hum, tout compte fait, vous pouvez les accueillir Monsieur, je vous avoue que cela me déchargera.


Alex Mason : Merci Alfred. « Sort ».



Kathy Kane arrive au même moment avec un énorme plateau et le dépose sur la table.



Kathy Kane : « Pose ses mains sur sa taille ». Ah, voila, tout est prêt de mon côté ! Alfred, vous avez besoin d’aide ?


Alfred : « Disperse des cruches d’eau ». Mmm…si vous voulez mademoiselle, vous pouvez accueillir les invités, ils vont bientôt arriver.


Kathy Kane : C’est comme si c’était fait ! « Part à son tour ». 



Une fois dehors, elle constate avec surprise, qu’elle sera en compagnie d’Alex, qui répondait à un texto en attendant les premiers invités. La jeune femme prend position à son tour et croise les bras en signe de protestation, tandis que Alex fait mine de ne pas l’avoir entendu. L’atmosphère tendue entre eux laisse planer un long silence. 



Kathy Kane : « Racle sa gorge ». C’est un coup d’Alfred…


Alex Mason : « Range son téléphone puis croise les bras ». De quoi tu parles ?


Kathy Kane : Ne fais pas l’innocent ! Il m’a dit de venir en sachant que tu serais là, vous êtes de mèche tous les deux, ça se voit !


Alex Mason : Si je savais que tu serai aussi présente, je ne serais absolument pas venu. Donc, oui ! C’est bien un coup d’Alfred !


Kathy Kane : Ah celui-là, c’est bien la dernière fois que je lui rends service.


Alex Mason : Pour une fois, on est du même avis.



Les deux hôtes se tournent le dos et un nouveau silence s’installe. Après plusieurs minutes de calme pesant, Kathy l’interpelle une nouvelle fois.



Kathy Kane : Oh et puis merde, je ne vais pas tourner autour du pot ! Je…je m’excuse de mon comportement de la dernière fois, je n’ai pas été droite avec toi, donc je m’excuse même si je sais que tu vas…


Alex Mason : « L’interrompt ». Excuses acceptées !


Kathy Kane : « Se tourne vers lui ». Hein ?? Tu acceptes comme ça sans te mettre en colère ? Alors que j’ai …


Alex Mason : Tu avais tout à fait raison d’être en colère Kathy ! Mon comportement arrogant et tous mes autres défauts, tu les as supportés depuis bien trop longtemps.


Kathy Kane : Ah ça oui ! Tu nous as gonflé avec ton histoire de "je travail en solo", pour au final abandonner et tout me mettre sur le dos !


Alex Mason : Ouais, je vous ai saoulé avec mon désir d’être comme Batman, mais j’ai compris bien plus tard que je n’étais pas à la hauteur pour ce travail. Je ne pouvais plus continuer ainsi ou j'aurai fini par le regretter.


Kathy Kane : Et parce que c’est trop dur, tu me refiles le sale boulot, c’est ça ? Bah, tu sais quoi Mason, t’es vraiment qu’un sale égoïste.


Alex Mason : Je sais ce que je fais et si tu m’en veux, c’est ton droit. Tu peux me détester pour ce choix, je m’en moque, j’ai plus important à faire maintenant.


Kathy Kane : Ah oui, ta petite vengeance !


Alex Mason : Ce n'est plus ma priorité.


Kathy Kane : Attends, quoi ? Même ça, tu laisses tomber ?


Alex Mason : Non ! Je vais quand même la poursuivre, mais d’une autre manière. Je vais enquêter et trouver plus de preuves, mais pas en tant que remplaçant de Batman, je vais le faire en tant qu'Alex Mason. Malgré ça, j’ai une autre priorité en tête.


Kathy Kane : Et c’est quoi cette priorité ?


Alex Mason : Protéger ceux qui me sont le plus cher.


Kathy Kane : Et en quoi ça t’empêche de combattre le crime à mes côtés ?


Alex Mason : On a déjà fait le ménage dans cette ville, la grande majorité des criminels sont derrière les barreaux. Donc il n’y a plus grand-chose à faire de ce côté-là, on a restauré la sécurité et la justice.


Kathy Kane : Mais pour combien de temps ? Tout peut arriver à Gotham et tu le sais très bien.


Alex Mason : Raison de plus pour arrêter avant qu’il ne soit trop tard. Bon, tu m'excuseras, mais la discussion est close. « Se tourne une nouvelle fois ».


Kathy Kane : « Saisis son épaule ». Non ! Ce n’est pas terminer !


Alex Mason : « Se retourne et fixe la femme d’un regard noir ». Kathy, lâche moi tout de suite !


Kathy Kane : Pas avant que tu m’ai dit la vérité. Pourquoi tu nous as lâchés comme ça ?


Alex Mason : J’ai déjà répondu, maintenant lâche moi !


Kathy Kane : ARRÉTE DE TOURNER AUTOUR DU POT ET CRACHE LE MORCEAU !


Alex Mason : BON, TU VEUX LA VÉRITÉ ? OK, JE LES FAIS POUR VOUS TOUS, LÀ, C’EST BON ?


Kathy Kane : Comment ça pour nous tous ?


Alex Mason : J’allais mal tourner si je continuais ! Ces cauchemars et ces hallucinations, c’était le signal d’alarme ! Je devais réagir avant qu’il ne soit trop tard et que je ne franchisse pas la limite.


Kathy Kane : « Le relâche ». La limite ?


Alex Mason : J’aurais perdu mon âme dans ce combat, tu comprends ça ? Je devenais trop dangereux pour vous tous, un jour ou l’autre, je vous aurez causé du tort. Alfred, Caitlin, toi et ceux que j’aime, vous tous, vous aurez payé ma connerie.


Kathy Kane : Alors tu as sacrifié ton avenir de justicier…pour empêcher cela ?


Alex Mason : Bah ouais ! Maintenant fous moi la paix.


Kathy Kane : Pourquoi tu ne nous as rien dit ?


Alex Mason : Ça n’aurait rien changé..


Kathy Kane : Au contraire, je ne l’aurai pas mal pris, je t’aurais soutenu même.


Alex Mason : Alors tu as fini par comprendre ?


Kathy Kane : Oui, mais cela n’empêche pas que tu aurais dû nous l’expliquer plus tôt. Écoute Alex, je passe l’éponge pour cette fois, mais, s’il te plaît, ne garde plus les choses pour toi.


Alex Mason : C’est plus fort que moi. Je ne veux pas paraître pour un faible à cause de mes sentiments profonds.


Kathy Kane : Au contraire, c’est courageux de ta part de faire passer tes proches avant tes intérêts. À l’avenir, je tâcherai de te comprendre au lieu de te juger.


Alex Mason : Et moi, je ferai tout pour me corriger et changer.



Le jeune homme s’arrête brusquement et scrute la jeune femme vêtue d’une veste de soirée rouge, qu’elle laisse ouverte pour dévoiler un crop top blanc, parfaitement assorti à son pantalon rouge et ses escarpins gris paillette.



Kathy Kane : Eh bien, qui y a-t-il ?


Alex Mason : Tu es….tu es splendide dans cette tenue.


Kathy Kane : « Gênée ». Ah…eh bien…merci. Toi aussi, tu es classe avec ton costard, en plus le noir te vas vraiment très bien.


Alex Mason : Ah…tu trouves…merci pour ton compliment.



À peine réconciliés, ils se font interrompre par le bruit de moteur de plusieurs véhicules au loin, qui se rapprochent de plus en plus. Peu après, le majordome les rejoint avec empressement.



Alfred : « Essoufflé» . Juste à temps….


Kathy Kane / Alex Mason : Alfred !? Mais qu’est-ce que…


Alfred : Pas le temps pour les explications ! Mademoiselle, restée devant le porche et maître Mason, allez dans le hall pour accueillir et guider les invités.


Kathy Kane / Alex Mason : Oui ! Tout de suite Alfred ! « Disent-ils en se mettant au garde-à-vous ».



Kathy et Alex rejoignent leurs postes assignés par le vieil homme. Très vite, deux fourgons blindés et une voiture de patrouille du GCPD se gare dans la cours.


Apres un accueil chaleureux de Kathy, le commissaire Jim Gordon et quelques policiers se dirigent vers Alex.



Jim Gordon : Monsieur Mason. « Lui tend une poignée de main ».


Alex Mason : Messieurs…« Sert la main du commissaire ». Commissaire Gordon.


Jim Gordon : Depuis le temps mon garçon, appelle-moi Jim, je t’ai vu grandir tout de même.


Alex Mason : J’ai toujours eu du respect pour les personnes… disons plus âgées que moi.


Jim Gordon : Comment ça ?! Tu insinues que je suis vieux ?! « Dit-il en affichant un regard hostile ».


Alex Mason : Euh.. hehe… Ce n’est pas ce que je voulais dire. « Se frotte l’arrière de la nuque ».


Jim Gordon : Haha. « Tape sur l’épaule du jeune homme ». Je t’ai bien eu gamin, tu aurais dû voir ta tête. « Rigole ».


Alex Mason : Haha, oui… c’était… c’était une blague. « Dit-il gêné ». Hum, merci d’être venu, vous et vos hommes.


Jim Gordon : Tout le plaisir est pour moi mon garçon. Bon, je vais positionner mes gars, afin que ce gala se déroule de la meilleure des façons. J’ai prévu de les poster aux abords de la propriété et également a l’intérieure du manoir, salle de réception y compris. Tu n’y vois pas d’inconvénients ?


Alex Mason : Non, ça me va Commi… euh.. « Se racle la gorge »...Jim…


Jim Gordon : Au fait, une question, quand est-ce que Wayne revient ?


Alex Mason : Bruce ? Eh bien, aux dernières nouvelles, il est toujours en voyage d’affaires..ou en vacances, enfin… avec Bruce, on ne sait jamais. « Rigole ».


Jim Gordon : Je ne te le fais pas dire. « Rigole ». Bon, à plus tard mon garçon. .



Tandis que le Commissaire Gordon part en direction de la salle de réception, Lucy O’Bryan interpelle le jeune homme à son tour.



Lucy O’Bryan : Eh bien Alex, quelle élégance !


Alex Mason : Euh… Lucy ? Qu’est-ce que tu fais là ?


Lucy O’Bryan : Eh bien, je suis au travail comme tu le vois. « Regarde un peu partout ». Hmm…. Tiens, je pensais voir la fameuse Caitlin à tes côtés. Où est-elle ?


Alex Mason : Elle devait repartir pour Star Labs, une urgence de dernière minute.


Lucy O’Bryan : Oh, Star Labs ? C’est à Star City, non ? Je ne savais pas.


Alex Mason : Hum, tu ne m’as pas posé la question non plus.


Lucy O’Bryan : Eh bien, c’est toi qui devrais m’en parler, je suis ta meilleure amie quand même !


Alex Mason : « Croise les bras ». Pourtant, on ne se voit que très rarement Lucy.


Lucy O’Bryan : Eh bien, c’est pas une raison ! Je suis sûr que je suis la seule que tu mets de côté, alors que Hans lui, tu lui dit tout. D’ailleurs, lui aussi me met de côté et on se dit encore amis ?


Alex Mason : Déjà avec Hans, ce n’est pas pareil, on se connaît depuis l’enfance et ensuite, toi aussi, tu nous caches des choses. Et pour preuves, tu fais partie du GCPD et tu ne nous as rien dit.


Lucy O’Bryan : Eh bien, je fais comme vous faites. C’est pénible les cachotteries hein ?


Alex Mason : Bref, si l'agent O’Bryan veut bien se donner la peine de rentrer, j'ai d'autres invités qui vont débarquer.


Lucy O’Bryan : Lieutenant O’Bryan, je te prie.


Alex Mason : Mouais, pour moi ça change rien. Bon, on se voit plus tard, Lieutenant O’Bryan. « Dit-il d'un air moqueur ».


Lucy O’Bryan : Raaah ! Je vais prendre mon poste, tu m’énerves Mason ! « Part rejoindre son supérieur d’un pas décidé ».


Alex Mason : « Cri légèrement ». Moi aussi, je t’aime Lucy ! Haha.



Peu après, Hans Meyers, en compagnie de son chauffeur vêtu d’un smoking noir, assorti à sa cravate et ses bottes parfaitement lustrées, rejoignent Alex.



Hans Meyers : Ah, mon ami ! « Tend une poignée de main ».


Alex Mason : Hans, quel plaisir de te voir ! « Sert la main de son ami et se tourne vers le chauffeur ». Et... Friedrich, c’est bien cela ? 


?? : « Répond avec un accent germanique prononcé ». Ach nein Herr Mason, vous faites erreur sur la personne. Permettez-moi de me présenter. « S’incline en baissant légèrement son buste ». Ich bin (je suis) Klaus Von Richtofen, pour vous servir.


Hans Meyers : Oui, je ne vais pas laisser ce pauvre Klaus tout seul dans la voiture.


Klaus : Vous êtes bien aimable monsieur.


Hans Meyers : Et sinon, comment vas-tu Alex ? Tu as bonne mine, on dirait.


Alex Mason : Plutôt bien, je dirais, merci de te soucier de moi. « Affiche un sourire avant que son visage ne se décompose ». Euh….


Hans Meyers : Hum, qu’est ce qu’il y a ?


Alex Mason : « Observe son ami ». C’est quoi ces vêtements Hans ? Tu… tu comptes vraiment rester comme ça ?


Hans Meyers : Et bien oui, pourquoi cette question ?


Alex Mason : « Soupir et pose sa main sur son visage ». Mais, c’est une tenue de travail Hans ! Tu n’as pas autre chose ? C’est quand même un grand événement mon ami.


Hans Meyers : Autre chose ? Non, je me sens bien dans ces vêtements, donc je ne vois pas le problème.


Alex Mason : « Soupir ». Eh bien, de mieux en mieux.


Hans Meyers : Bah quoi ?


Alex Mason : Non rien, t’inquiète pas, tu peux y aller.


Hans Meyers : Ah, voilà qui est plaisant, j’ai bien cru que tu allais me faire une remarque toi aussi.


Alex Mason : Attends, tu as croisé Lucy ?


Hans Meyers : Non, il s’agit de ton amie à l’entrée qui m’a… « Cogite ». Attends, Lucy est venue ?


Alex Mason : Bah ouais, elle fait partie de l’équipe du GCPD qui assure la sécurité durant le gala.


Hans Meyers : Euh…Hahahaha tu me fais marcher là ?


Alex Mason : Malheureusement non.


Hans Meyers : Ah….Bon, je vais aller prendre mes marques à l’intérieur, ne t’inquiète pas pour moi, je connais le chemin. « Tape son épaule et part en direction de la salle de banquet en compagnie de Klaus ».


Alex Mason : Ah sacré Hans. « Rigole ».


Klaus : Si je peux me permettre monsieur, votre ami, Herr Mason, n’as pas tout à fait tort, votre tenue de scientifique n’est pas correct pour ce type de soirée.


Hans Meyers : Oui, et alors ?


Klaus : Ach, vous allez attirer tout les regard sur vous.


Hans Meyers : Ce n’est pas grave, le regard des autres sur ma tenue m’importe peu.



C’est maintenant au tour de Monsieur Danielson, vêtu d'un trench-coat et d'un chapeau haut de forme, de se présenter dans le hall, avant de se débarrasser de ses affaires.


Son smoking marron foncé, sublimé par un nœud papillon rouge, le tout harmoniser avec ses chaussures noires, prouve son amour pour les tenues distinguées.



Alex Mason : Monsieur le maire, je ne pensais pas que vous viendrez à mon œuvre de charité. « Dit-il étonnait ».


Drew Danielson : « Pose son Trench et son chapeau sur un porte manteau ». Haha, monsieur Mason, je ne manquerai pour rien au monde un gala de charité, qui plus est, un gala qui peut aider les citoyens de Gotham mon garçon. « Tend une poignée de main ».


Alex Mason : Hum, j’apprécie vos paroles « Lui sert la main ».


Drew Danielson : C’est une très bonne initiative que peut apporter la jeunesse.


Alex Mason : Monsieur le maire, à ce propos, j’avais appelé la mairie hier, je ne sais pas si votre secrétaire vous en a parlé.


Drew Danielson : Elle m’en avait parlé, c’est exact, mais voyez-vous, j’étais en réunion. Cependant, puisque je suis ici autant en profiter, alors dites moi ce que je peux faire pour vous mon garçon.


Alex Mason : Je désire un rendez-vous avec vous, afin de parler de cette œuvre de charité, enfin…de sa finalité, si vous préférez.


Drew Danielson : Bien sur, j’allais justement vous le proposer. Permettez que je regarde mes disponibilités. « Sort un carnet et un stylo de son manteau ». Et bien…Mmm.. Demain en milieu d’après-midi, entre 15 et 16 h, cela vous va ?


Alex Mason : Oui, ça m’arrange beaucoup, merci monsieur.


Drew Danielson : Parfait! « Range son carnet et son stylo ». J’ai hâte d’avoir cette conversation avec vous jeune homme ! Humm… Où puis-je rejoindre les invités ?


Alex Mason : Oh excusez moi…par ici, je vous prie. « Indique la direction avec son bras ».


Drew Danielson : Merci mon garçon. « Remarque la présence de Hans Meyers au loin ». Ah ! Monsieur Meyers. « Part en direction de Hans ». Quelle bonne surprise de vous voir.


Hans Meyers : « Parle au loin ».Ah… Monsieur le Maire….



Peu après, deux jeunes femmes interpellent Alex.



??? / ??? : Monsieur Mason !


Alex Mason : Vicky Vale et Piper Nate… « Soupir ».


Vicky Vale : Vous n'allez pas l’air d’être ravi de nous voir…


Alex Mason : Si si bien sûr, mais deux journalistes de journaux différents qui arrivent ensemble, ce n’est pas commun.


Piper Nate : Vicky est celle qui m’a tout appris et puis, même si nous travaillons pour des journaux différents, nous restons de très bonnes amies.


Alex Mason : Je n’ai rien contre. Par ici mesdames. « Montre le chemin de la salle de réception ».


Vicky Vale / Piper Nate : Merci « Se dirigent tout deux vers la salle ».



Enfin, une femme très élégante, aux cheveux tressés sur le côté, dotée d’un luxueux sac à main doré et vêtu d’un manteau qui laisse apparaître une robe en satin verte, valorisant ses talon gris argentés, se présente à son tour devant Alex.



Alex Mason : Ah, Madame Thannhauser.


Carla Tannhauser : Par pitié Alex… appelle moi Carla !


Alex Mason : Hmhm, c’est que ….


Carla Tannhauser : Tu as honte ? « Dit-elle en coupant la parole au jeune homme ».


Alex Mason : Honte ? Non pas du tout, je dirais plutôt du respect.


Carla Tannhauser : Alex, tu es fiancé à ma fille voyons !


Alex Mason : Certes, j'aime énormément Cait, mais je préfère rester discret sur ma vie privée. Hum, dans tous les cas merci d’être venue Car…la…« Tousse ».



Carla Tannhauser est la mère de Caitlin, c’est une ingénieuse en biomédical de renommée mondiale et directrice d’une grande entreprise, la Tannhauser industries. C’est aussi la meilleure amie de ma défunte mère. De premier abord, elle est froide et cassante, mais en vérité, elle peut se montrer gentille et compatissante.



Carla Tannhauser : C’est un hommage envers tes parents Alex et puis, je contribue moi aussi à ce projet. Tu as remis à flot ce qui semblait perdu. Tu peux être fier de toi, car tes parents l’auraient très certainement étaient.



La femme observe de gauche à droite la salle de réception, mais quelque chose semble la gêner et l’interpeller.



Carla Tannhauser : Alex, dit moi, ce jeune homme blond en blouse blanche parmi tes invités, qui est-ce ?


Alex Mason : « Frotte son visage avec sa main gauche et soupir ». Mon meilleur ami Hans, mon ami d’enfance. Hélas, je ne cherche même plus à comprendre… « Dit-il avec un air désespéré ».


Carla Tannhauser : Sa tenue n’est pas adéquate, quel manque de respect. Je vais lui en dire deux mots… Tiens-moi ça ! « Dit-elle remonter, tout en confiant ses affaires personnelles ».


Alex Mason : Oh non, la guerre va éclater… « Claque sa main valide sur son visage et dépose les affaires de Carla ».



D’un pas décidé, la mère de Caitlin rejoint Hans, qui est en train d’hésiter devant le somptueux buffet dressé par Alfred et Kathy.



Hans Meyers : « Claque sa langue sur son palais ». Hum, il y a du choix là…par quoi vais-je l’inaugurer ? « Plonge sa main dans un bol de chips ». Je vais vous dire une chose Klaus, ce qui est bien avec Alex, quand on vient au manoir, c’est que l’on repart le ventre plein.


Klaus : Ah, Herr Meyers, il est vrai que votre ami sait s'y prendre avec les invités, il y en a pour tous les goûts, c’est eine évidence, malheureusement, je n’ai pas vu la moindre goutte de schnaps.


Hans Meyers : Que voulez-vous, on ne peut pas tout avoir mon cher Klaus. « Prend une poignée de chips dans sa main et la mange ».


Carla Tannhauser : « Racle sa gorge ». Jeune homme, j’ai à vous parler.


Klaus : Qui êtes-vous madame ?


Carla Tannhauser : Je suis madame Tannhauser. « Se penche vers la droite pour parler à Hans ».


Hans Meyers : « Parle de façon incompréhensible ».


Carla Tannhauser : Ne parlez pas la bouche pleine, on ne comprend rien !


Hans Meyers : « Termine de mastiquer et avale rapidement ». Je disais, c’est bon Klaus…. Madame Thannhauser hein ? Qui ne connaît pas votre nom, ainsi que votre réputation. Enchanté chère madame, je suis Hans Meyers, PDG de la Meyers Compagnie. « Dit-il en penchant légèrement son buste et en écartant les bras au niveau de sa taille ». Dites-moi, que voulez-vous ?


Carla Tannhauser : Votre accoutrement ne correspond pas à cet événement qui est, selon moi, important pour l’organisateur.


Hans Meyers : Eh bien, comme je le disais à mon majordome ici présent, vos remarques m’importent peu. « Observe Carla de haut en bas ». De plus, vous pouvez parler de tenue incorrecte, eh bien pour une femme de votre stature, la votre est pitoyable.


Carla Tannhauser : Comment osez-vous ?! Une femme n’a pas le droit de s’habiller avec élégance ? « Croise les bras ». Et si l'on parlait du fiasco que vous avez causé lors de l’inauguration de votre laboratoire ?


Hans Meyers : Comment ça un fiasco ?!


Klaus : Ouuu…calmez vous Herr Meyers !


Alex Mason : « S'appuie contre le mur et observe depuis le hall ». Et voila… ça a commencé…« Dit-il avec un air désespéré ».



Le majordome referme la porte d’entrée et rejoint le jeune homme, après avoir remarqué son visage se décomposer de plus en plus.



Alfred : Hum, Maître Mason, après que mademoiselle Kane m’ait transmis la liste des invités attendus, la présence de Mr et Mme Boyle n’as toujours pas était confirmée, peut-être s’agit il d’une erreur.


Alex Mason : Non, ils ne sont toujours pas venus. Ont-ils appelé pour signaler un retard ou un empêchement ?


Alfred : Aucun appel de leur part monsieur.


Alex Mason : Hum…étrange… « Regarde une nouvelle fois la dispute ». Manquait plus que ça….


Alfred : Un problème maître Mason ?


Alex Mason : Observez le buffet Alfred. « Dit-il en pointant son index ».


Alfred : Ah… madame Tannhauser, votre belle-mère…. Elle a l’air de se disputer avec Mr Meyers, je comprends. Pour le peu que je connais de cette dame, elle n’est pas du genre à se laisser faire. 


Alex Mason : C’est bien ça le problème Alfred, Hans non plus ne se laisse pas marcher dessus.


Alfred : Je disais donc monsieur, pour les Boyle, peut-être ont-ils simplement oublié de venir, ou bien, peut-être n’ont-ils pas reçu les invitations.


Alex Mason : Ça m’étonnerait, ce sont des donateurs principaux et ils ont confirmé la réception de l’invitation…. Hum…peut-être sont ils en retard à cause d’un empêchement, ça arrive. Quelle heure est-il Alfred ?


Alfred : « Regarde sa montre » 21 h 15 monsieur.


Alex Mason : Hum… nous commencerons dans 15 minutes. Tant pis, ils sonneront à la porte d’entrée quand ils arriveront, pour le moment, on a une armistice à faire signer entre Hans et Carla.



Les deux hommes se hâtent devant le buffet afin de calmer les deux invités.



Hans Meyers : À ce que je vois, vous jouez les fortes têtes ?


Carla Tannhauser : Vous êtes loin de l'imaginer.


Alfred : Eh bien eh bien, que se passe-t-il ici !?


Carla Tannhauser : Monsieur Pennyworth… Alex !?


Hans Meyers : Hmpf. « Croise les bras et tourne le dos ».


Klaus : Ouuu !! Attendez chère madame Tannhauser, vous avez dit Pennyworth ?


Carla Tannhauser : Et bien oui pourquoi donc ?


Alfred : C’est moi-même, qui me demande ?


Klaus : Ouuuu, je ne peux pas cacher mein (ma) joie que d’entendre ce nom. Je ne pensais pas vous voir dans cette majestueuse demeure. Ich bin (Je m’appelle.) Klaus Von Richtofen.


Alfred : Richtofen…hum ce nom m’est familier…


Klaus : Vous connaissez sans doute ein Jarvis Pennyworth nein ?


Alfred : Il s’agit de mon défunt père…pourquoi cette question ?


Klaus : Permettez-moi de vous rafraîchir votre mémoire ja. Mein (Mon) grand-père, Edward Richtofen, a rencontré votre père en France lors de la trêve de Noël en 1916. Mein GroBVater (Mon grand-père) m’a raconté ce passage dans mon enfance. Ils se sont échangés du chokolade et des cigarettes. D’ailleurs, votre père était ein si bon tireur que ces kamarade anglais le surnommé…ach…ja…Biegel (Beagle).


Alfred : Dieu du ciel ! Ma famille est restée en bon terme avec la vôtre. Je n’en reviens pas de vous trouvez ici en étant au service de Mr Meyers. Euh…Maître Mason, puis-je parler du bon vieux temps avec Mr Richtofen ? « Dit-il en se tournant vers Alex, les yeux remplis de joie ».


Alex Mason : « Rigole ». Bien sûr Alfred, ne vous inquiétez pas, je m’occupe du reste.


Alfred : « S’incline avec élégance ». Je vous remercie monsieur. Venez Mr Richtofen.


Klaus : Danke (Merci ) Herr Mason.


Alex Mason : Et bien, je ne m’attendais pas à ça, le majordome de Hans, ami de longue date avec Alfred ! Tu ne trouves pas, ça dingue Hans ?... Hans ? « Regarde autour de lui ». Tiens donc, où est-il passé ?


Carla Tannhauser : Ils était juste à côté de moi, puis il s’est volatilisé.


Alex Mason : * Ça explique pourquoi monsieur Richtofen n’a pas demandé à Hans de bien vouloir parler avec Alfred *. Hum, je le trouverais bien. « Balaye rapidement la salle du regard ». Ah, il se trouve au deuxième buffet, je vous laisse.


Carla Tannhauser : Il a totalement oublié l’histoire qui s’est déroulée. Hum…tant pis…ça ne va pas changer ma vie.



Le PDG de l’entreprise Meyers, inspecte les différents plateaux afin de remplir davantage son assiette pourtant déjà pleine.



Hans Meyers : « Tapote son doigt sur son menton » Hmhm, je ne les trouves pas…mais où sont-ils ?


Alex Mason : Hans il faut que je te parle au sujet de Carla… Hans ?


Hans Meyers : Oh, tu sais Alex, l’histoire avec ta belle-mère, enfin, ta futur belle mère, m’importe peu.


Alex Mason : Comment as-tu su ?


Hans Meyers : Pas très compliqué, elle lui ressemble beaucoup hahahaha . « Dit-il en cherchant un plat ». Par contre, j’ai une question de la plus haute importance ?


Alex Mason : Dis-moi Hans ?


Hans Meyers : « Regarde Alex avec un regard des plus sérieux ». Où sont-ils ?


Alex Mason : « Surpris ». Hein ? De quoi ?


Hans Meyers : Ou sont mes petits merveilleux ?


Alex Mason : « Ravale sa salive ».Ah ça ? Et bien, il n'y en a pas, désolé Hans. « Dit-il en se grattant l’arrière du crâne ».


Hans Meyers : Quoi ? Non ! Comment est-ce possible ? La soirée commençait pourtant bien ! 


Alex Mason : Pourtant bien ? Tu t'es embrouillé avec Carla, il y a peine 5 minutes….Bon attend je vais voir ce que je peux faire pour toi…Et si…



Alex dévoile un plateau garni de bretzels de différentes saveurs qui était caché sous une serviette blanche.



Alex Mason : Bizarre que tu n’as pas soulevé cette serviette haha. Alfred les a fait lui-même, ils sont encore tout chaud, régale toi bien.


Hans Meyers : Oh ! Tu m’as bien eu, petit menteur. « Se sert dans le plat ».


Alex Mason : Alfred ! « Fais un geste du bras ».


Alfred : Excusez-moi Mr Richtofen, nous reprendront plus tard. « Rejoint Alex ». Que puis-je pour vous maître Mason ?


Alex Mason : Quelle est-il l'heure s’il vous plaît ?


Alfred : Un instant, je vous prie. « Sort sa montre ». 21 h 25 monsieur. Encore 5 minutes.


Alex Mason : Toujours aucune nouvelle des Boyle ?


Alfred : Pas la moindre monsieur.


Alex Mason : Bon, allez chercher Kathy, nous allons commencer maintenant.


Alfred : Bien monsieur. « Sort de la salle ».


Alex Mason : Bon Hans, il va être l’heure de mon discours, je te laisse, on se voit plus tard.


Hans Meyers : Ça marche. « Continue de manger ».



Lorsque Alfred revient en compagnie de Kathy, Alex Mason monte sur la scène spécialement empruntée pour le gala, avant de régler son micro, pendant que les invités l’applaudissent.



Alex Mason : « Tapote sur le micro ». Bien ça devrait aller, le son est nickel. « Réajuste sa cravate ».


Alex Mason (Micro) : [Bienvenue mesdames, messieurs, je suis Alex Mason PDG actuel de l’entreprise Mason Corporation, mais ça, vous le savez déjà.] « Racle sa gorge ». [Je suis content de vous voir si nombreux ce soir, bien que vous ne savez pas la réelle raison de ce gala. Peut-être êtes-vous venu par simple curiosité, pour visiter le manoir Wayne ou par pure gentillesse ? Mais sachez que vous n’êtes pas venu pour rien, je vous le garantie. Je vais vous donner la principale raison même de votre venue ici.] « Tourne la page de son discours ». 


[ Bien, tout le monde peut tomber malade ou se blesser plus au moins grièvement, je vous ne vous apprend rien, n’est ce pas ? Certains mêmes peuvent souffrir de maladies extrêmement graves comme le cancer et ses variantes, des maladies incurables, etc. Des blessures graves nécessitant des interventions urgentes ou non-urgentes. Je vais vous présenter un exemple récent.] « Tourne la page de son discours ».


[ Les événements criminels de ces trois dernières années, des personnes de second plan, des victimes collatérales blessées, exposer à la délinquance et au banditisme.] « Effectue des gestes avec ses bras ».


[Comme par exemple Vous… Et Vous aussi.] « Montre des personnes au hasard » Ou bien des personnes sans-abri qui errent dans les rues de Gotham, qui n’ont pas forcément les moyens pour couvrir frais médicaux, des opérations de chirurgie ou autre.] « Se racle la gorge ».


[Alors, j’ai décidé de remédier à tout cela ! La solution c'est d’offrir aux personnes sans-abri.] « Fait un geste du bras ». [ Ou qui n’ont pas les moyens comme je vous ai dit tout à l’heure, une aide des plus précieuse. Bien sûr, nous l’offriront dans le respect et le sérieux le plus total, avec un traitement méticuleux des dossiers de demande.] 



Le PDG se saisit d’une petite télécommande sur le pupitre et allume un rétroprojecteur.



Alex Mason (Micro) : [Mesdames et Messieurs, je vous présente donc le projet SOIN POUR TOUS !!! ]


« Défile le diaporama ». [ Si vous vous rappelez bien, pour ceux qui ont connu mes parents, ce projet a déjà été proposé par eux même, quelques semaines avant leur mort. Grace a votre aide et en hommage à leurs mémoires, leurs projet peut enfin être lancé !



Le jeune homme défile une diaporama comportant une photo de Rick et Amanda Mason. Très vite, les invités l’applaudissent en chœur.



Alex Mason (Micro) : « Effectue un geste de la main ». [Merci, merci !] « Racle sa gorge et passe une diaporama ». [Mon équipe d’inventaire stock a constaté un énorme surplus de médicaments qui approchent de leurs dates de péremption, certes lointaine. Afin d’éviter le gaspillage et leur destruction, nous les prescrirons à nos patients. Bien entendu, cela va sans dire, avec un contrôle approfondie de tous les médicaments par l’équipe qualité.]


Investisseur 1 : Très bonne idée monsieur Mason !


Investisseur 2 : Bonne initiative ! « Applaudie ».


Pharmacien : Stop au gâchis, bien vu monsieur Mason ! 


Alex Mason : « Passe une diaporama ». [Bien sur tout, cela se passera à l’hôpital général de Gotham City. Leurs équipes de médecins et celle de mon entreprise en collaboration avec mes pharmaciens qualifiés assureront un service de qualité.]


« Eteint le Visio-projecteur ». [Pour finir ce discours, je tiens une nouvelle fois à vous remerciez d’être venu m’écouter. Si vous souhaitez participer à ce projet grâce à des dons, vous le pouvez sans contraintes, comme ça, vous ne direz pas que je vous ai poussé à le faire.] « Rigole ». [ Un grand merci à vous tous pour votre attentions et un grand merci aux forces de police de Gotham qui opèrent à la protection du manoir Wayne durant cette longue soirée. Au nom de ma famille et de moi-même merci !! Vous pouvez profiter des plateaux-repas, même si certains se sont déjà servi Haha. Bonne soirée à tous.]



Sous tonnerre d’applaudissement, Alex descend de scène en saluant le public.



Alfred : Très bon discours monsieur, vos parents seraient fière de vous.


Alex Mason : Haha « Se frotte la tête ». Merci Alfred.


Hans Meyers : Très bon discours mon ami, je suis bluffé « L’applaudi ».


Kathy Kane : Tu te débrouilles bien Mason.


Alex Mason : Merci à vous tous pour votre soutien. Hans, tu peux poursuivre avec tes Bretzels hahaha


Hans Meyers : Plus tard mon ami, j'ai autre chose a faire avant.


Alex Mason : Et de quoi s’agit-il ?


Hans Meyers : Un petit discours qui va rester dans les annales.


Alex Mason : Hein !? Euh, tu es vraiment sûr ? Avec ce qui c’est passé à ton inauguration ?


Hans Meyers : Haha…ne t’inquiète pas Alex, vous n’avez encore rien vu. « Dit il d’un air déterminé et avant de sourire fièrement ».


Alex Mason : Hum très bien Hans, je vais annoncer ton discours.



Le PDG remonte sur scène et prend une nouvelle fois le micro.



Alex Mason (Micro) : [Excusez-moi, Mesdames et Messieurs, je viens vous annoncez qu’un autre discours va être dit.]


Carla Tannhauser : Sans doute le maire qui va réagir.


Alex Mason (Micro) : [Mesdames et Messieurs, je vous présente mon ami de toujours. Veuillez accueillir Mr. Hans Meyers !]



Hans rejoint son ami sur scène dans un silence pesant. En effet, lors de sa dernière prestation, beaucoup de spectateurs furent déçus de s'être déplacé pour rien et à ce jour beaucoup lui en veulent. Toutefois, Hans n’est pas inquiet de là réaction du public et semble sur de lui.



Alex Mason : « Sert la main de son ami et lui chuchote à l’oreille ». Je crois qu’il y a quelques personnes qui ont participé à ton discours de la dernière fois qui sont là.


Hans Meyers : Ne t’en fais pas, regarde plutôt ce qui va se passer. « Fixe le public avec fierté ».


Alex Mason : Je te laisse la place « Descend de l’estrade ».


Hans Meyers : Tiens, je vois que monsieur Mason a réajusté le micro pour moi haha. Plus besoin de le faire. « Prend un grand souffle d’air et racle la gorge ».


Hans Meyers (Micro) : [Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs bonsoir. Bien, avant toute chose, je tiens à remercier monsieur Mason qui a réalisé ce gala de charité pour prêter assistance aux citoyens les plus démunie de notre ville. Je vous remercie également pour votre présence, ainsi que le soutien que vous portez à cette noble cause qui semble vous touchez tous particulièrement.]


[Sachez que j’ai moi aussi grandi à Gotham et malgré le statut élevé de ma famille, j’ai vu la misère de la majorité des habitants de cette ville. Sachez que cela m’a profondément attristé. Cette tristesse face à cette réalité, je la partage avec Monsieur Mason et je sais, ô combien, il tient à la réalisation de ce projet, car oui, ce projet est d’une nécessité absolue !] « Dit-il avec de grands gestes expressifs ».


Alex Mason : Hans…


Hans Meyers (Micro) : [ Monsieur Mason, sachez que votre projet me tiens également à cœur et que je vous soutient à 200%. Vous avez besoin d'une grande aide dans sa réalisation et c’est pourquoi, Moi, Hans Meyers, je m’engage à y participer !] « Lève le bras droit ». [ Par conséquent, les laboratoires de la Meyers Company, de Pennsylvanies et du New Jersey à Gotham, fourniront directement leurs médicaments a la Mason Corporation dans l’initiative ‘Soin Pour Tous’ ! ]



Tout les spectateurs, en état de choc face à la déclaration du jeune homme, applaudissent en chœur.



Alex Mason : « Applaudi ». Je…je ne m’attendais pas à ça…Merci Hans !


Hans Meyers (Micro) : « Fais un geste des bras pour demander le silence avant de poursuivre ». [ Toutefois, même avec une aide conséquente, ce projet ne pourra voir le jour que si les politiciens de notre ville apportent leurs contributions. Est-ce stupide de ma part de croire que cela se produira ? 


Invité 1 : Mais enfin, c’est insensé de dire cela Monsieur Meyers !


Invité 2 : Laisse le poursuivre. « Dit-il à son voisin ».


Hans Meyers (Micro) : [Sachez cher monsieur, que ce que je m’apprête à vous dire vous paraîtra encore plus insensé.] « Poursuis ».[ Comme je le disais, ce projet ne se réalisera que si les politiciens apportent une contribution plutôt qu’une opposition. Et puisque l’on est jamais mieux servi que par sois même….je veillerai sur ce projet personnellement ! Oui, il est temps pour moi de vous faire une grande annonce !]


Membre de la foule : Qu’est-ce qu’il veut dire par là ?


Pharmacien : Mais, quoi ? Qu'est-ce qu'il veut faire…


Jim Gordon : Monsieur le Maire, vous songez à…


Drew Danielson : Oui….c’est bien cela !


Hans Meyers (Micro) : [En ce 17 juin 2015, en ce lieu et en cet instant, je vous annonce à tous ici présent …MA CANDIDATURE AUX ÉLECTIONS MUNICIPALES DE GOTHAM CITY !!!] « Dit-il en levant les bras ».


Alex Mason : « Choqué ». Sérieusement Hans ?!


Carla Tannhauser : « Abasourdie ». C’est…c’est une blague ?!


Klaus : « Applaudi ». Au contraire Herr Mason, il est tout à fait sérieux.



Fin du chapitre VI Gala de Charité !

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