Astrid et Raphaëlle 2.0
- Mon accident, mais euh tu sais bien que je n'ai aucun souvenir et euh je euh dit Raphaëlle en se laissant installer le détecteur de mensonges.
- Quoi Raphaëlle ?
- Astrid n'était pas là elle n'a rien avoir dans cette histoire.
- C'est vrai, mais j'ai compris que tu étais très attachée à elle quand tu es venus me faire une petite leçon de morale dans mon bureau.
- Je euh mais euh...
- Ah ah attention si tu mens on le sera tous les trois dit monsieur Coste en faisant signe aux deux hommes de partir.
- Tu es un monstre s'écrit alors Raphaëlle.
- Après ces mots, seul le bruit de l'aiguille sur le papier raisonne dans ce lieu.
- Mmm mmm c'est amusant la machine te donne raison dit Philippe Coste en riant.
- Hum hum s'amuse Astrid avec son sourire en coin.
- C'est un sourire que tu fais là, Astrid tu crois que c'est le moment dit Raphaëlle .
- Ton père est plus drôle que ce que tu m'en as dit.
- Je l'aime bien celle-ci, j'espère que tu lui briseras pas le cœur comme les autres, dit le père de Raphaëlle.
- La ferme s'écrie Raphaëlle.
- Ont ce calme Raphaëlle sinon.
- Sinon quoi ?
- Bien tu vois les détecteurs de mensonges dont vous vous êtes gentiment vêtu ils sont spéciaux vois-tu ma fille, si tu t'énerves un peu trop fort zi zi zi des décharge électrique vienne te chatouiller le corps et de même si tu ne veux pas me répondre à mes questions.
- Hum hum vous êtes moins sympathique tout à coup dit Astrid.
- Bordel, qu'est-ce qui t'est arrivé pour être aussi déjanté.
- Réponse impossible à trouver ce n'est pas moi qui suis interrogé.
- Vas-y posent tes questions que l'on en finisse dis Raphaëlle.
- À enfin le jeu peut commencer s'extasi le père de Raphaëlle.
- Hum hum, je euh hum je ne peux pas je euh...murmure Astrid désespérée.
- Ça va aller Astrid c'est toi qui la dis .
- Bien Raphaëlle je veux que tu avoues tes sentiments pour Mademoiselle Nielsen.
- Quel rapport avec mon accident.
- Soit pas si pressée on va y venir d'abord dit nous quels sont tes sentiments pour ton amie.
- Non, je euh hum je ne peux pas, pas ici, pas comme ça, s'il te plaît papa.
- Bien dit Philip Coste en appuyant sur un petit boîtier.
- Aussitôt Astrid pousse un cri de douleur.