Le premier humain tombé

Chapitre 20 : Alphys

3060 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 04/12/2017 18:06

Frisk et Chara se rendirent à Snowdin, à pied pour une fois. L'humain demanda :

"À ton avis, qu'est-ce qu'il nous veut, Papyrus ?

— Un truc débile, si c'est vraiment lui. Undyne était avec lui, c'est peut-être elle qui va nous demander quelque chose.

— Je pense que c'est ça. Mais ça pourrait être quoi ?

— La connaissant, ça doit être quelque chose qu'elle n'a pas envie de faire et elle va nous demander de nous en occuper à sa place.

— Mais Papyrus est avec elle, il ne peut pas l'aider ?"

Les deux enfants se regardèrent l'espace d'un instant avant de secouer la tête. Si Papyrus avait la force nécessaire lors d'un combat, il était beaucoup trop innocent pour la Chef de la Garde Royale, dure et exigeante.

Ils arrivèrent à Snowdin. Undyne se tenait à gauche de Papyrus, et Chara dut cligner des yeux pour remarquer quelque chose. Undyne trépignait sur place, serrait les poings comme si sa vie en dépendait, à tel point que des veines saillaient sous sa peau écailleuse. Elle tenait un bout de papier qui par miracle n'était pas froissé, et elle le tendit à l'humain.

"Tiens ! Je... Faudrait que tu ailles à Hotland, et donne ça... Au docteur Alphys. Je compte sur toi !

— Et pourquoi je devrais le faire à ta place ?

— Hotland ça craiiint ! J'ai pas envie d'y aller, fait trop chaud là-bas !

— Et comme tu es une amie super sympa, fit Chara sans se soucier des conséquences, tu décides t'envoyer ton ami galérer à ta place. Bien, l'amie ?

— Quoi ? Non, mais je... répondit Undyne sur la défensive. Devant elle, un fantôme clignotant commençait à se rendre compte de ce qu'il venait de faire. Mais c'est juste une demande, d'abord ! Il est pas obligé !

— Mais je suis un très bon ami, avança Frisk en s'emparant du papier, du coup je vais faire tout le chemin jusqu'à Hotland pour toi.

— Génial ! Et..."

Frisk ne se détourna pas. Il tendit la main grande ouverte à Undyne, qui la regarda avec des yeux abrutis.

"Qu'est-ce tu fais ?

— Tu me donnes combien pour que j'aille porter cette lettre en toute sécurité ?"

Même Papyrus était étonné devant une telle question. Il posa sa main sur Undyne et demanda :

"ET MOI, TU ME DONNERAIS COMBIEN POUR T'AIDER QUAND TU EN AS BESOIN, COMME POUR CUISINER OU AUTRE CHOSE ?

— Quoi ? Mais non, enfin ! s'énerva le poisson. Il n'a jamais été question d'argent ! Le bénévolat, tu connais ?

— Non.

— Ugh... Bon, vas-y ! Et si tu l'ouvres et que tu la lis, je te tue. Merci encore !"

Frisk n'eut pas le temps de parler davantage ; Undyne le fit pivoter et le poussa, avant de faire un geste de la main amical avec un grand sourire. L'enfant se détourna et s'éloigna suffisamment des deux monstres, suivi de Chara qui lui n'avait qu'une seule idée en tête : ouvrir la lettre. Il l'arracha des mains de Frisk, mais un détail l'interpella. Il regarda Frisk qui lui semblait subitement fatigué, alors que lui n'avait eu aucune difficulté à se saisir du papier. Il puisait à peine dans son énergie pour le tenir.

"Tu te sens bien ? demanda le fantôme à l'enfant, qui pâlissait à vue d'oeil.

— Non, répondit celui-ci. Tu en as de la force !

— Comment ? Mais je suis un fantôme ! Je... je suis... un..."

Chara devint livide, et se rendit compte qu'il tenait toujours le papier. Frisk tomba à genoux, visiblement épuisé et haletant. Chara tenta de prendre sa main pour le relever, mais celle-ci s'effaça brièvement entre ses doigts.

"Frisk, tu as un problème.

— Et toi, tu vas beaucoup mieux que d'habitude. Il se passe des choses bizarres.

— Alphys pourra nous aider, tu crois ?

— Je pense qu'elle saura ce que c'est, mais qu'elle pourra rien y faire."

Frisk baissa les yeux vers sa main, qui cessa de clignoter. Le papier s'envola de la main de Chara, et l'enfant le rattrapa au vol.

"Bon, et si on faisait ce qu'on veut de cette lettre ? fit Chara en reprenant son sérieux.

— Tu veux dire la porter à Alphys ?"

Le fantôme prit une expression faussement offensée ( haussement de sourcils + ouverture de la bouche ) et croisa les bras.

"Tu me déçois. Non, je voulais dire l'ouvrir !"

Frisk sourit un peu comme un idiot et tenta de déchirer l'enveloppe. Mais à la seconde même ou le papier se séparait en deux, la fissure se referma d'elle-même, et le papier redevint aussi soigné qu'il l'était. L'humain fronça les sourcils avant de déchiqueter le papier, mais cette étape s'avéra impossible : la feuille se régénérait.

"Ça doit être un coup d'Undyne, fit Chara, plutôt amusé. On voit la confiance qu'elle porte en toi : elle a utilisé un papier régénérateur pour que tu ne puisses pas l'ouvrir et pour te dissuader."

Cependant l'enfant n'était ni rassuré de voir que la lettre ne risquait rien, ni dissuadé d'en faire quelque chose. Il prit son air le plus malicieux possible et avec tout le bon sens qu'il plaçait en cette action, il jeta la lettre dans la rivière. Le défunt regarda le papier prendre l'eau et dériver vers Waterfall ; lorsqu'il ne fut plus en mesure de l'apercevoir, il se tourna vers Frisk, qui commençait à réaliser ce qu'il venait de faire.

"Et maintenant tu fais quoi, andouille ?

— Je regrette ce que je viens de faire, et j'irai voir Undyne."

Tout à coup, la figure de Frisk s'illumina et il bomba le torse. Chara se plia en deux tant son partenaire était ridicule avec cette attitude.

"Je peux lui demander de transmettre le message à Alphys ORALEMENT ! Comme ça Undyne sera obligée de me le dire !"

L'air toujours aussi peu crédible, il se planta devant la Chef de la Garde Royale avec un grand sourire et déclara :

"J'ai perdu ton message si important.

— Ugh ! Je m'en doutais, fit la femme-poisson. Son visage désappointé laissa la place à une expression des plus joyeuses possibles, et tendit la main vers Papyrus, qui y déposa une enveloppe. C'est pour ça que j'en ai faite une autre ! Et au final, elle est bien meilleure que la vieille, et tu ne pourras pas la perdre."

Frisk la prit d'un geste sec et vif et tourna les talons tout aussi vivement. Il s'éloigna le plus possible, et alors qu'il se dirigeait vers le Riverman comme n'importe quel individu doté de bon sens l'aurait fait, il pressa le papier dans sa main et voulut le lâcher. Mais la lettre resta collée à sa main, fixée par une super-glue invisible.

Frisk leva la tête vers Chara, qui haussa les épaules. Ils se rendirent à Hotland et arrivèrent finalement devant le laboratoire. Comme par hasard, le papier se décolla de la main de Frisk et se posa sur le sol. L'enfant la glissa sous la porte et frappa quelques coups ; une voix se fit bientôt entendre.

"Quoi ? Encore une lettre ? Non, je ne la lirai pas. Tant pis !"

Chara devint livide. Si Alphys ne lisait pas cette lettre, c'était pour une bonne raison. Frisk se colla au mur pour entendre un quelconque signe de la part de la scientifique et effectivement celle-ci se retourna sur ses pas.

"Non... Je ne peux plus continuer comme ça... Si ça se trouve, c'est vraiment important."

Un bruissement se fit entendre. Alphys avait ramassé la lettre, et un bruit de déchirure suivit. La porte s'ouvrit enfin sur Alphys, mais elle s'était changée en catastrophe. Elle portait une robe noire à pois blanc, et ses pieds étaient dissimulés par sa robe. Elle regarda la lettre, puis Frisk, puis la lettre, puis Frisk

"Ce... c'est toi qui l'a écrite ? Je... Je ne m'y attendais pas... C'est vraiment... très bien écrit et... Je ne pensais pas que tu songeais à moi de... d'une telle façon ?

— Attends un peu, l'interrompit l'enfant confus. Qu'est-ce qu'il y a d'écrit dans cette lettre ?

— Ce n'est pas toi qui l'a écrite ? s'étonna la scientifique en posant son regard sur les mots tracés.

— Non, c'est Undyne ! répliqua Frisk. Peu à peu, les pièces se mettaient en place dans sa tête. Elle m'a demandé, ou plutôt ordonné de te l'amener, et j'ai pas pu la lire."

Alphys rougit immédiatement en entendant le nom d'Undyne, et se détourna de l'humain. Chara se pencha sur son épaule pour lire et hésita entre rire ou compatir.

"Chère Alphys, depuis que je te connais, je te trouve fascinante. Tu vas sûrement trouver ça totalement stupide et déplacé de ma part, mais tu es vraiment incroyable. Tu as toujours de bonnes idées pour m'aider quand je ne sais plus quoi faire, tu es toujours là pour moi peu importe les bêtises que je peux dire ou faire. Tu es patience, tu es modeste, intelligente. Il m'a fallu du temps pour enfin avouer mes sentiments... j'étais persuadée que tu trouverais mon amour pour toi niais et trop peu commun pour y attacher une quelconque importance. Je t'aime Alphys, et cela depuis bien plus longtemps que tu ne le croies."

Chara rapporta le contenu global de la lettre à Frisk, qui eut une réaction déconcertante.

"Wouah, je m'y attendais pas ! Mais... euh... tu... Pourquoi t'es habillée comme ça ?

— Ah... Eum...

— Tu veux un rendez-vous avec moi ?! s'écria l'humain, qui devint totalement fou de joie.

— ...Oui !! C'est ça !! répondit Alphys, manifestement de plus en plus mal à l'aise. Euh... on y va ?

— Oui !!"

Chara leva les yeux au ciel. Il n'arrivait pas à dire si Frisk se débrouillai bien ou mal dans l'Underground, car même s'il avait plus ou moins réussi à survivre jusque-là, le nombre d'embrouilles qu'il avait créées restait important.

Alphys passa devant l'enfant qui la suivit sagement sans tenir compte du chemin de plus en plus étonnant que la scientifique prenait. Elle se dirigeait vers la décharge.

"Tu viens souvent ici ? demanda Frisk qui devait masquer sa décontenance.

— Oui... Avec une de mes amies... C'est d'ailleurs elle qui m'a... Offert cette robe.

— Elle a du goût," fit remarquer l'humain sans gêne.

Ils s'évitèrent chacun du regard pendant plusieurs secondes gênantes. Alphys faisait mine de s'intéresser aux ordures qui jonchaient le sol, et Frisk fixait Chara avec des yeux qui li suppliaient de l'aider.

Demerden sie sich.

Sale traître.

Je sais.

Ils furent capables de se dire tout cela uniquement en se regardant les yeux dans les yeux, avec des mouvements de sourcils accompagnateurs et des mimiques plus ou moins poussées, jusqu'à ce qu'Alphys rompe le silence.

"Tu aimes... les animés, les mangas ?

— C'est quoi un animé ? demanda Frisk

— C'est... euh... un dessin animé..."

La scientifique se retenait manifestement de faire un exposé sur le sujet et cherchait des mots simples et facile à comprendre.

"Si je te dis-Oh non !! Cache-moi!

— Quoi, qu'est-ce qui se passe ?

— Je te dirai plus tard !"

Sans donner plus d'explications, Alphys se cacha derrière une poubelle, et Frisk se retourna pour comprendre. Undyne était là, vêtue d'un blouson de cuir, d'un jean noir, d'un tee-shirt et de bottes. Elle avait également attaché ses cheveux en queue-de-cheval, en laissant une mèche sur le côté. Elle courut vers l'humain.

"Hey... Je me disais que c'était pas une bonne idée de te donner cette lettre ! Rends-la-moi, je vais lui donner moi-même !

— J'ai plus cette lettre, je lui ai donnée.

— Raah, merde ! Et tu as vu Alphys ? le pressa Undyne.

— Non..."

Elle se détourna de l'humain sans remarquer la poubelle à côté d'elle et repartit dans le sens opposé. Ce ne fut que lorsqu'elle se trouva hors de champ de vision d'Alphas que celle-ci se décida à sortir de sa cachette.

"Elle est partie ?

— Pourquoi tu te caches, exactement ? demanda Frisk, alors que le coin de ses lèvres formait un léger sourire amusé. Ok, Undyne est imposante et tout, mais tu la connais ?"

La scientifique se tordit les mains sans répondre; visiblement, elle cherchait à toute vitesse un mensonge convainquant.

"OK, d'accord. Ce n'est pas toi que j'aime, mais Undyne. Voilà, tu es contente ? Moque-toi un bon coup si tu veux.

— Pourquoi je me moquerais ? C'est naturel d'aimer," répondit Frisk.

Chara fronça les sourcils. Il n'aimait pas vraiment les homosexuels ; la nature devait se reproduire, ce qui est impossible avec deux femmes ou deux hommes. Après, si les homo ne s'en vantaient pas ouvertement et qu'ils n'en faisaient pas tout un plat, ce n'était pas l'enfant qui allait les discriminer.

"C'est naturel pour une femme d'aimer une autre femme ? répliqua Alphys qui rougissait à vue d'oeil. Ou mieux encore ; c'est naturel pour une femme de pouvoir aimer un homme OU une femme ? Et après, comment veux-tu te confesser à cette personne ?"

Frisk recula d'un pas, pris au dépourvu. Il tenta de recouvrer son assurance, mais malgré cela lorsqu'il reprit la parole, sa voix tremblait.

"Pourquoi elle refuserait ? Il y a une chance sur... plusieurs autres qu'elles t'aime aussi.

— Peu importe le nombre suivant, ce n'est pas assez ! Si elle savait...

— Si je savais quoi ?"

Alphys se retourna, sans doute pour rien à celle qui l'avait interrompue de partir, mais elle n'en fit rien. C'était Undyne qui se tenait derrière elle.

"Hey, Undyne ! Ça va ?

— Alphys, tu vas bien ? s'inquiéta l'interpellée. Tu cries sans raison sur mon copain, tu parles de moi dans mon dos... Ça ne ressemble pas à la Alphys que je connais."

La jeune femme regarda Undyne droit dans les yeux, alors que les siens se remplissaient de larmes. Elle éclata en sanglots devant l'enfant impuissant qui s'abaissa vers elle, non sans rester planté là pendant plusieurs longues secondes.

"Je suis une moins que rien, réussit-elle à dire entre deux sanglots. Je ne la mérite pas... Je ne mérite pas d'avoir des amis aussi géniaux... Après... après tout ce que j'ai fait... que... Je... je..."

Chara sentit un pincement au coeur en entendant ces paroles.

Je ne mérite pas d'avoir des amis.

Il posa ses yeux rouges sur Frisk, qui câlinait la scientifique en tentant de la rassurer comme il le pouvait, Undyne à ses côtés un peu perdue.

J'ai fait des choses si horribles...

Chara baissa les yeux sur Alphys. Cependant ce n'était ni de la pitié ni de la compassion.

C'était du dédain.

Tu ne peux pas avoir fait pire que moi.

De quoi te plains-tu ?

Une violente envie de pleurer s'empara de lui, et malgré ses frottements frénétiques, une larme coula sur sa joue et atterrit sur le sol.

"Calme-toi, calme-toi et explique ce qui se passe.

— Je... je..."

Comme pour se donner du courage, Alhys leva les yeux vers l'élue de son coeur et cessa immédiatement de pleurer.

"Undyne, je t'aime ! Je veux t'embrasser, te serrer dans mes bras, savoir que tu m'aimes... Je t'aime Undyne ! Tu es belle, forte et ut as la classe ! Et pour finir, tu m'encourages toujours même quand tu ne comprends rien à mes projets scientifiques !"

Ces mots transformèrent la chef de la Garde Royale, qui souleva Alphys sans difficulté et la lança en l'air. La scientifique atterrit en plein dans la poubelle où elle s'était cachée plus tôt.

"Tu sais quoi, Alphys ? Je te trouve vraiment cool, moi aussi. Tu es belle, intelligente... Mais pas que ! 'que j'aime en toi, c'est que t'es passionnée ! Quand tu fais un truc, tu y vas à fond, que ce soit pour tes trucs scientifiques ou tes animés, et ça c'est pas donné à tout le monde !

— Ce... c'est vrai ? Vraiment... vrai ?

— Oui !! Et si tu t'en donnais la peine, tu serais plus encore ! C'est ça, le secret. Prendre soin de soi."

Les yeux d'Alphys s'illuminèrent à la fin de cette phrase, et un sourire s'étira sur son visage. Frisk songea à toutes ces choses qu'elles pourraient faire une fois seule, et ses joues rosirent légèrement, ce qui faisait un peu tache sur sa peau jaunâtre. Chara préféra ne pas lire dans ses pensées pour ne pas être choqué.

"Tu... tu vas m'aider ?

— Quoi moi ? Tu rigoles ? Non, je vais demander à Papyrus de s'en charger."

L'étrange sourire de Frisk s'effaça lorsque le nommé s'interposa entre les deux femmes, vêtu d'un ensemble sportif toujours plus déroutant et improbable. L'enfant détourna les yeux pour ne pas être aveuglé à vie par cette horreur. Le squelette attrapa Alphys par la main et Undyne sourit plus largement encore, dévoilant des dents jaunes et pointues devant lesquelles Chara ne put s'empêcher de frissonner.

"ALLEZ, ON FAIT CENT TOURS DE PISTE EN CRIANT BIEN FORT : ON GÈRE TROP !

—Prête ? J'ai le doigt sur le chronomètre !

— Je... je vais faire de mon mieux !"

Ils coururent tous les trois vers une destination inconnue et très rapidement. Frisk les laissa courir et se tourna vers Chara.

"On fait quoi maintenant ?

— Tu veux faire quoi ?

— Retourner au labo."


HEY !!! Comment ça va les gens ???

Ça fait super longtemps que j'ai pas dit ça, ça m'a manqué. Vous m'avez manqué, les gens !

Bon, plus sérieusement, je ne suis pas amplement satisfaite de ce chapitre. Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je trouve celui-là assez bâclé comparé à d'autres, et en même temps ça fait quelque mois que je n'ai rien posté. Mais bon, l'idée d'un planning, très peu pour moi. Je n'aime pas m'imposer un rythme, parce que je n'arrive pas à travailler normalement avec cette pression en plus.

Et je voudrais vous parler de quelque chose.

Je suis pratiquement sûre que vous vous êtes déjà demandé l'intérêt de cette fanfiction ; OK, on redécouvre l'histoire d'Undertale avec Chara en plus, cool mais ça change quoi ?

Ça change pas grand-chose à l'histoire de base et ça s'appuie sur des théories peut-être un peu bancales. Mais je vais vous dire une bonne chose : la patience est une qualité.

Salut salut !!

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