Sans X oc
Je me réveille, petit à petit, d'un sommeil sans rêve. Je garde les yeux clos, profitant de l'air frais. Un peu trop frais... mais... je suis en train de mourir de froid ! Je me relève en sursaut, totalement congelé. Je reste figé: je ne suis pas dans ma chambre. Je suis dans la neige. Par terre. Dans ma robe de chambre. Je me lève tant bien que mal, perdus. Me pieds nus me font mal à cause du froid. Mais qu'es ce que...? Ont est censé être en été ! Alors c'est quoi cette neige ? Je remarque une grande porte majestueuse. Je m'en approche et tante de l'ouvrir, mais elle est bloquer. Cet endroit me semble familier...je fait marche arrière et continue mon chemin. Les arbres sont mort autour de l'aller. Une branche morte craque. Je sursaute. De plus en plus familier... et flippant... je me retourne, mais il n'y à personne. Je continue mon chemin. Je m'arrête. Devant moi, il ya un petit pon. Une grande barrière me fait face. Les barre en vois sont trop espacé les unes des autres pour empêcher qui que ce soit de passer. Je sais ou j'ai vus cet endroit. Je suis dans Undertale.
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Mais qu'es ce que ?! Je dois être folle. Je dois confondre. Oui. C'est ça.
«Humain, ne sais tu pas comment saluer un nouvel ami ? Tourne toi et ser moi la main.
Je frisonne. Sans !
Je me retourne lentement, intrigué. Je commence à le dévisager. Il est plus grand que l'ordinateur le laisse croire. Il fait une tête de plus que moi ! C'est assez étrange de ce retrouver face à un vrai squelette... mais je n'ai pas peur. Sûrement car je sais qu'il ne me fera pas de mal. Du moin, c'est censé être comme ça...
Il me tend la main son expression devient assez embarasser, je le dévisager depuis deux minute au moin, je le comprend ! Je me reprend.
-Ha ! Hum... Oui ! Désolée...
Avant que je ne me souvienne de la blague du cousin péteur dans la manche, je lui serre la main. Trop tard. Le bruit résonne dans la forêt silencieuse. Je me peux m'empêcher de rire un peu, c'est plus amusant en vrai !
Il à l'air plutôt content de me voir rire à sa blague. I remet sa main dans sa poche
-Alors, t'es humain, c'est ca ? Cool. Tu t'appelle comment ?
-Miel ! Ravie de te voir en vrai, Sans !
Silence. Oups. Je fixe un point derrière son épaule, ne sachant pas quoi faire. Je panique intérieurement.
-Hum. Tu connais mon nom alors ? Et comment ça "Ravie de te voir en vrai " ? Tu m'a déjà vus...en faux ???
Je ne parvint pas à repondre. Il me regarde, intriguer.
Je réfléchie. Une idée ! Eurêka !
-hééééé bien oui, je te connais... parce que les monstres dans les ruines m'ont parler de toi...et de ton frère, Papyrus...
Son regard s'éclaircit.
-Ha ! Alors ont est si connus que ça ! Cool ! Haha ! Je plaisante. Ici, tout le monde ce connais. Bienvenue dans les souterrain gamine.
Je souris, gêner et rassurer. Néanmoins, je remarque une leur de suspicions dans son regard. Je décide de l'ignorer.
-Aller, viens, je vais te ramener à Snowdin.
-M...Merci...
-Hé, c'est comment en haut ?
-Tu veux dire, à l'extérieur ?
Il hoche la tête.
Je baisse les yeux en continuant de marcher.
-Je bien... c'est vivant. Il y à tellement d'endroits à découvrir... je n'ai jamais voyager, j'aimerai le faire quand je serai plus âgé. Il y'a plain de culture et d'espèces animal différente...
-wow. Et les étoiles ? Le soleil ?
-Le soleil ? Il est beaux, quand il se couche au loin, il éclair les nuages d'une lumière orange, la nuit, il fait place à la l'une et aux étoile. Elles brilles dans le ciel... et quand ont les regrde, on ce sent minuscule dans ce monde immense...
Un silence ce fait. Sans à l'air ému.
-Ca à l'air fantastique... Désolé pour toi que tu sois tomber ici. C'est un petit monde diviser en quatre partit seulement : les ruines, snowdin, hotland, waterfall. Les peintures dans les grottes nous servent d'étoiles. Mais ... on s'occupe, tout le monde se connaît, l'ambiancece est agréable.
Il rajoute, l'air sombre.
-Je comprend que tu vienne à t'ennuyer ici, mais ne t'avise pas de commencer quelque chose de grave pour t'amuser... sinon, tu passera un sale quart d'heure...crois moi...
Je frisonne. J'ai la tête qui tourne... je me souviens d'hier soir, quand j'ai terminer le mode génocide sur Papyrus... je dégluti. Je ne ferai pas ça en vrai ! Non...
-Sans... je ne vous veux pas de mal...
Je perd conscience, morte de froid.