A mon fils Kaloru

Chapitre 1 : A mon fils Kaloru

Chapitre final

638 mots, Catégorie: G

Dernière mise à jour 10/03/2022 17:35

"Cher enfant,


Si tu me lis c'est que je ne suis plus déja de ce monde. Je t'avais informée de ma maladie cardiaque il y a quelques mois. A ma mort j'aurais eu 40 ans. Tu as en 14.

Il y a pratiquement 22 ans je pensais y passer. J'ai eu la chance de vivre encore longtemps pour te voir devenir un beau jeune homme.

Ton prénom en daniar veut dire joie. Oui la joie d'avoir enfanter un être aussi beau et plein de curiosité que toi.

Tu porte sur tes épaules le royaume. Une responsabilité que tu auras à assumer à la mort de ton père. Cependant rien n'y t'y oblige.

Tu es libre de choisir ta vie mon fils.


J'ai choisie aussi de vivre malgrè les tempêtes. Tu m'a demander des renseignements sur ta famille. Tu as sentis que j'éluder autour d'un nom. Trop jeune pour comprendre?.

Aujourd'hui tu es prêt. Je te laisse lire mes journaux et j'éspère que tu comprendras la part de mystère qui sommeil dans cette famille.

Ta tante garde des secrets comme les écureuils. Ta mére porte le deuil comme une charge. Tes grands-parents préfèrent passer sous silence mes faits du passé.

On voulait préserver ton innocence mais tu liras que la violence est partout et brise des familles. Tu apprendra aussi que l'adversité est ton meilleur allié comme en parler et pouvoir avancer.

Je te l'ai répété que quelque soit tes soucis, parle-en. Personne ne te jugeras dans ton entourage.

On chute mais on se rélève. On apprend à chaque instant.


Tu fûs un beau bébé souriant et bien en chair. Tu m'as aider à oublier ma dépression, ma folie passagère.

Je t'ai border comme si ma vie en dépendait. J'éspère avoir était assez présente.

Je suis fière de toi mon fils. Pour le moment tu suis les traces de ton père.

La musique coule dans nos sangs et je t'encourage à entrer à l'école des Arts de la Scène à Madrid dirigée par Alicia Jarugie.

Ancienne rivale de ma soeur, elle a changer pour devenir quelqu'un de bien. Tu l'as du l'apercevoir lors de nos derniers concerts. Une femme élancée, cheveux longs bruns dans les bras de Horacio. Le professeur de théâtre avec qui tu as passer quelques heures l'été dernier.


En parlant de pièce de theâtre merci de l'avoir fait vivre ce spectacle en plusieurs actes sur la légende d'Abigaël. Je t'ai bien aimer en kail ami de la jeune femme.

Cette légende est dans le folkore maintenant. Tu l'a interpréter sans tenir compte de mes pensées inscrite dans le livre.

Diras-ton encore que la légende est basée sur un prophétie, après ma mort ? Sûrement.

Dit leur alors la vérité.

Celle d'une enfant qui doit tuer son oncle c'est la prophétie. Celle d'une enfant qui doit travailler pour son oncle c'est l'une trois légendes. L'autre fuit chez les humains demander de l'aide. Au final, le personnage humain prendra son oncle pour le méchant. La troisième est le mixte des deux.

Enfin toi tu l'a écris avec Horacio dans une version pour enfants.


Moi j'ai avancer comme la prophétie. J'ai tuer le méchant et j'ai inculquer une religion de paix basé sur l'Universalisme. Tu l'as pratique d'ailleurs. Tu m'a vu le faire.

Je ne t'encourage pas à obliger le monde à la pratiquer. Elle n'a de valeur que de remise en ordre des énergies.

Je finis cette lettre en te souhaitant du succès mon fils. Je reste une étoile dans le ciel.

Je suis fière de toi.


Ta mère


Marta Ramos.


Les jeux sont faits "

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