Le Secret D'Aya
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- Xiao ? sa va allez ? Tu à l'air déçu de nous voir rétorque Alisa
Je secoue les mains comme pour me débarrasser de l'inquiétude qu'affichait mon visage.
Je laisse un long soupire s'échapper de mes lèvres avant de les regardaient.
- Je suis bien contente de vous voir c'est juste que je suis inquiète à propos d'Aya dis je finalement
- Elle n'est pas là ? me demande Lars surpris On pensait qu'elle serait avec toi
- Et bien, c'est assez compliquée mais disons qu'elle est à ses bureaux pour régler certaines affaires
- C'est à dire ? insista Lars
- Elle veux couper les pont avec Kazuya, elle à appris des choses sur ses agissement dis je en passant une mains dans mes cheveux
- Elle sait que c'est son père..? demanda Alisa soudainement
Je secoue la tête négativement.
Elle ne sait pas le lien de parentés qui les lié.
Elle ne sait pas que quelques part, c'est une Mishima.
Elle ne sait pas qu'il ont le même sang.
Elle ne sait pas que c'est une famille maudite.
Elle ne sait pas que c'est sa famille..
- Eh bien ont doit immédiatement la rejoindre dit Lars pour couper court au silence
- Pourquoi ça ? demandais je incrédule
- Aya est vraiment en danger surtout avec Kazuya dans les parages, cette proximité entre eux n'est que temporaire.
Kazuya ne veux d'elle que pour ses pouvoirs. Il faut qu'on la mette dans un endroit sûre en attendant que les choses se calme sachant qu'un autre ennemis potentielle aurait réapparut...
A la suite de sa phrase, la surprise pouvait se lire sur mon visage.
Kazuya ? En veut à Aya et non à Jin ? Et qui était cette ennemis ?
Comment peut il être aux courant ?
Il faut absolument la trouvée.
- Il faut qu'on aille la prévenir de tous cela dis je sérieusement
- Bien dit Lars en sortant suivi d'Alisa et de moi même
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J'ouvris pour la deuxième fois de la journée mes paupières qui se faisait lourde.
Le soleil m'aveugla, je referme immédiatement les yeux.
Je me redresse contre l'arbre étant couchée dessus.
C'est alors que j'ai eu un déclic, tous ce qui s'est passée.
La poursuite, le véritable visage de Yuki et ses intentions ainsi que celle de Kazuya.
J'ouvris à nouveau les yeux et aperçue une silhouette en face de moi.
Je me redresse tout en me tenant à l'arbre, mon équilibre n'était pas revenue.
La douleur à la hanche était toujours présente et j'avais remarquer qu'on me l'avait bandée.
Je me détache de l'arbre pour faire face à l’individu qui n'était qu'à quelques mètres de
moi à présent.
- Qui êtes vous ? dis je en me faisant de l'ombre pour mieux distinguer cette homme
- Tu n'a rien à craindre, je ne suis pas là pour vous nuire au contraire, pour preuve c'est moi qui vous emmener ici dit il d'une voix neutre
Nous ne sommes pas loin de la ville, ne vous inquiétait pas.
Je soupire soulagée.
Je l'observe discrètement et malgré ses vêtements d'espions, la seule chose qui me sauta aux yeux, fût sa cicatrices qui trônait fièrement
en pleins milieu de son visage, formant un X.
J'ose poser la questionne qui me brûlais les lèvres.
- Pourquoi m'avais vous sauvez ? Et comment avez vous fait ? Enfin, je veux dire personne n'était vraiment au courant que j'avais des ennuis...
Il croise ses bras sur son torse et malgré ses lunettes qui couvrait ses yeux.
Je pouvais ressentir l'hésitation de m'avouer le pourquoi du comment.
- Pourquoi je t'ai aidez, cela ne regarde que moi dit il malicieusement
Comment j'ai fait ? C'est très simple, il y avait une fenêtre dans la salle ou vous étiez enfermée, c'était la seule issue possible excepter la porte.
Comment j'ai su que vous étiez en danger ? Et bien, disons que j'ai ressentit le danger qui venez à vous.
J'hôche simplement la tête avant de sourire comme pour le remercier malgré son indifférence.
Ses réponses sont flous mais je pense avoir confiance en lui.
- Maintenant les explications faites, vous devez allez vous réfugiez dans un endroit sûre dit il en s'approchant de moi
- Un endroit sûre ? répétais je abasourdi
Le ton qu'il avait employé n'avais aucune trace d'incertitude ou de doute,
il n'était que sérieux et confiant. J'étais réellement en danger que ça.
A telle point que les autres le voit et pas moi.
J'ai l'impression qu'on me cache quelques choses.
- Ecoutez moi, je ne peux pas vous dire ce qu'il se passe, ce n'est ni le moment ni à moi de le faire mais faites moi confiance.
C'est pour vous, pas pour moi.
Si vous voulez encore vivre quelques bonnes années, alors vous allez suivre mes instructions.
Vous pouvez marcher ? me demanda t'il
- Oui, je pense marcher, je n'ai plus vraiment mal dis je prête à l'écoutez
~
Alors que nous arrivons devant l'immense building, je laisse faire Xiaoyu et Alisa pour essayer de rentrée.
Je suis rester bien à l'écart, ne voulant pas être remarquer.
La première chose qui m'a surpris, c'est le nombre important de soldats postés autour de l'entreprise comme si une menace allez surgir.
J'avais un mauvais pressentiment.
Je savais très bien que si je n'irais pas chercher Aya de moi-même, Jin ne le ferai pas.
Par Hésitation ? Par colère ? Je n'en n'ai aucune idée.
C'est un enfant pleins de mystère.
Soudain, je vois arriver une voiture complètement noir.
L'individu sortant de cette dernière se dirige vers l'entrée,
une colère et une incompréhension m'envahis. Que fait il ici ?
Je devais le mettre au courant.
~
Depuis que nous avons franchi la porte avec Alisa, je ne fais que taper du poing sur la table répétant un milliers de fois la même chose.
Ils ne veulent pas nous faire rentrer, sous prétexte que la sécurité à était renforcée et qu'ils ne laissent plus personne rentrée de près ou de loin,
sachant que je suis déjà venue ici.
Mais apparemment d'après Alisa, ayant des oreilles bien plus fine, Aya n'était pas là.
Je me posais milles et une idée, où diable est elle ? Voir Kazuya ?
Je ne prend pas la peine de les salue comme je l'aurais fais que je fais
signe à Alisa de déguerpir le plancher.
Arrivée vers l'entrée, plusieurs soldats surgissent, un homme rentre.
Cette homme.
Celui que je redoute.
Il ne nous remarque à peine, ne serais ce qu'un regard et se dépêche de rejoindre
l'ascenseur. Je bloque quelques minutes, réalisant ce qu'il se passait.
Il était là.
Seul.
Pas d'Aya en vue.
Aya n'est pas allez le voir.
Si elle n'est pas avec lui, il doit sûrement la chercher.
C'est Alisa qui me tire de ma rêverie en me tirant par le bras.
C'est vrai, il faut qu'on la retrouve au plus vite.
Avant lui.
A tout prix.
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Raven.
J'ai pu finalement mettre un nom sur cette espion à l'allure solitaire.
Il m'avait indiqué qu'il y avait une base comme secrète assez loin de là, au nord
de la ville, mais qui me mettra en lieu sûr.
Il ne m'accompagne pas, il devait surveillé mes arrières au cas où.
Je marchais normalement malgré la douleur à la hanche.
<< Ce n'est rien >> me répétais je
J'ai vécu pire.
Je pense automatiquement à Yûki et ses paroles poignantes, destructrice même.
C'est bien ce qui ma le plus mal.
Je chasse ses pensées en voyant que j'étais arrivée en ville.
Sachant que Yûki à sûrement lancer des avis de recherche à mon nom,
je rabats la capuche sur ma tête et avance entre les foules.
Je dois d'abord rejoindre un bâtiment abandonné.
Le train n'est pas loin de ce dernier m'a informé, Raven.
Malgré mon regard baissée et mes pas discret. Les cris, les rires, les pleurs
ou bien les discussions entre toutes ses personnes ne passent pas inaperçu.
Un fin sourire se dessine sur mon visage.
Les gens vivent dans l'insouciance de ce qu'il peux se passer.
Il n'ont pas à se méfier ou à douter d'une personne, ils se jettent corps et âme
dans les relations qu'ils ont et puis cela aboutit ou pas.
Mais << Il faut toujours agir sans regret sinon on n'arrive à rien, on
n'apprend pas et on reste seule >> me disait Chihiro à l'époque quand je venais d'arrivée en Amérique.
Alors que je tournais dans une rue un peu moins bondée, deux soldats portant le
signe qu'avait instaurer Yuki passent par là. Je garde mon sang froid et me
rabaisse rapidement vers mon pied faisans semblant de refaire mes lacets défaits.
Ils ni voient rien et passe sans ce douter de quoi ce soit.
Je soupire avant d'accélérer le pas vers le fameux bâtiment.
Arrivée à cette endroit, je me permet d'y pénétrer et monte les marche jusqu'à arrivée au 5ème étage
Il est totalement détruit laissant place à une plateforme ouverte à la vu de tous le monde.
Seul la rambarde du balcon, je présume est encore intacte.
Je sors mon cellulaire qui hiberne dans ma poche, depuis un moment.
J'hallucine en voyant autant d'appels de la part de Xiao et Lars.
C'est vrai, que personne n'est au courant de ce qu'il se trame.
Je ne devrais pas stopper ma course avant d'être arrivée à destination,
mais je devais les rassurer.
Enfin, la rassurée.
Je n'ai pas beaucoup de réseau, l'appeler ne servirais à rien. Je décide simplement
d'écrire en quelques lignes ce que je compte faire.
Ceci fait, je range ce dernier dans ma poche à nouveau mais je n'ai le temps
de me retourner que plusieurs hommes ou plutôt soldats apparaissent devant moi.
Je regarde leurs insignes mais ne reconnais pas ce signe. Serais ce de la Zaibatsû ?
Je n'ai plus le temps de me poser des questions qu'ils se rapprochent et sont
de plus en plus nombreux.
Je recule.
Ils pointent leurs armes.
Je recule.
Ils chargent.
Je recule.
Mais je sens la rambarde, j'étais arrivée au bout.
Je les regarde un par un comme pour les visualisée.
Avant de sauter de la rambarde, de toute mes forces pour tomber sur le train qui par hasard passait par là.
Je tombe et roule avant de me redresser avec quelques difficultés.
Je les vois sautaient à leurs tours, certains y parviennent d'autres non.
Je débute alors une course poursuite, ils courent à leurs tours en tirant quand ils en avaient l'occasion.
J'étais déjà assez amochée pour la journée. Cela commence à m'agacée fortement.
Ne voyant qu'aucun des survivants lâchent le grappin, je décide de sauter de nouveau.
Je braque mes bras contre mon visage et passe à travers la vitre d'une usine déserte.
Les quelques soldats arrivent à me rejoindre, certains même appels des renforts qui débarquent aussitôt.
La colère me pris immédiatement. Quand est ce qu'on va me laisser enfin en paix ?
Je pris alors une barre en fer et me défend avec, les soldats n'ayant pas d'armes arrivent à toute allure sur moi,
essayant de m'atteindre en donnant plusieurs coups mais je ne faisais qu'évitais leurs attaques.
C'est alors qu'un des leurs arrive à me retirer ma barrière de défense qui me protègait.
Je grogne intérieurement.
Ils veulent se battre, je vais me battre.
Deux d'entre eux arrivent en furie et enchaînent les coups, au début je ne faisais qu'évitez.
C'est alors que l'un des coups m'atteignit en pleine mâchoire.
Je n'attendis plus une minutes de plus pour lui rendre la pareille mais beaucoup plus fort.
Je pris alors sa tête avec rage et le lance contre son coéquipier. Je me dirige vers les autres qui accouraient.
Je donne un coup de pied dans le ventre du premier de la bande et effectue une roulade avant de donner un coup de pied dans les jambes du suivant,
je me redresse et frappe son voisin dans l'abdomen. Mes poings étaient emplis d'une rage et d'une colère indescriptible.
Alors que mon adversaire s'écroule, je donne un coup de pied en arrière assommant son coéquipier, qui voulait sûrement me prendre par surprise.
Je passe dessus sans gêne et glisse au sol pour faire tomber ceux qui étaient sur mon chemin,
je me relève et attrape à nouveau l'un des soldat, un frisson me parcouru et je parus absente pendant
une fraction de seconde, en revenant à moi, le soldat avait la nuque brisé, comment cela est arrivée ?
je me donne une claque mentalement et repris conscience je pris rapidement appuies sur ses épaules pour faire un saut et me propulse pied
joins contre la tête du soldat le plus près, je me baisse et pris son pied, pour tourner sur moi-même et expulse les autres autours.
Soudain, d'autre soldats font irruption dans l'usine et se trouvent sur le palier de l'étage supérieur.
J'étais comme un gibier à leurs yeux, voyant qu'ils ne se retiendront pas, je fais plusieurs salto
arrière pour échapper aux flèches et arrive à atteindre une espèce de voiture délabrée. Cela ne va pas
réellement m'aider, je vois au loin, la barre de fer. Je n'hésite pas une seconde et sors de ma cachette
en sautant sur le barre, les flèches reprirent leurs courses de plus belles mais cette fois-ci, je ne fuis pas mais les dévies.
Malheureusement pour moi, je ne pus interceptée toutes les flèches.
3 flèches me transperce, une à l'épaule, une sur le côté gauche de mon ventre et une à la hanche.
Exactement aux même endroit.
Je laisse un gémissements de douleurs s'échapper.
Je laisse tomber cette protection en voyant plusieurs soldats près à me réduire en morceaux.
Je me lève rapidement mon regard voyant une silhouette, bien plus grande que les autres.
Je ne voyais pas très bien mais il est plus grand que les autres et sa coupe de cheveux est improbable
malgré son crâne chauve. Mais je n'ai le temps de m'attarder sur l'apparence de ce vieil homme qui
paraît être le chef de la bande, que ses hommes me sautent dessus.
Ils enchaînent les coups, je les contre malgré la douleur qui me ronge la chair, je
rassemble toute la colère en moi et d'un coup de poing, je propulse les 5 soldats au tapis.
Je ne tarde pas sur le détail et d'un saut, je m’agrippe aux bord de la rembarre du plancher de l'étage supérieur.
Je saute par dessus et assène un coup de pied à mon adversaire et je fonce sur le second avant
de le repousser à l'aide de mon poing en plein estomac. Je me dirige rapidement vers le vieillard en envoyant valser ses petits pions.
Arrivée à sa hauteur, je serre le poing plus fort et frappe sans vraiment savoir ce que je faisais.
Il recula de plusieurs mètres en bousculant ses quelques soldats, il parût surpris de ma force
avant de me regardez souriant de toute ses dents.
Je ne me laisse pas allée à la surprise et me met en appuies sur mes mains pour lui faire
perdre l'équilibre mais il esquive mon attaque et m'envoie à l'étage inférieur d'un seul coup de main.
Je tombe durement contre le sol.
Mon corps est tous endolorie et fatigué. Il n'en pouvais plus.
Je n'en pouvais plus.
Malgré la douleur, malgré la fatigue, malgré le nombres de personnes.
Je me retrouvais dans ce genre de situation.
Seule.
Pour la première fois.
Mais je ne m'avoue pas vaincue.
Je me relève, le regard plus froid que jamais.
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- Ne te moque pas de moi, c'est une blague dis je en la regardant droit dans les yeux
L’ambiance était de plus en plus tendu.
Je l'avais rendu ainsi.
- Ecoute de toute façon, elle ne peux pas s'échapper ont devraient rapidement la retrouvait se justifiait elle avant de soupirée
Comment diable à telle fait pour la laissez s'échapper ? Je me déplace jusqu’ici, pour entendre cela.
J'étais vraiment de mauvaise humeur mais à cause de ça, mon humeur était plus qu'exécrable.
Ma colère s'était totalement pris de moi, je devais absolument la retrouver !
Avant qu'un autre le fasse.
- Bon écoute, tiens moi au courant des rapports de tes soldats dis je en partant
Ce n'est pas le moment de laissez ma rage se faire entendre, j'ai encore besoin d'elle et de tous ce qu'elle possède.
Mais ma priorité est de retrouver mon cobaye.
Je souris à l'idée qu'Aya se cache pour nous échapper.
Je commence réellement à l'apprécier cette petite, elle n'est si faible qu'elle en n'a l'air et tant mieux, sa me prouve qu'elle à de la valeur.
Maintenant que les rideaux sont levés et que les secrets découverts que le spectacle commence.
A toi de jouer, Aya.